Le "plan banlieue" du Président de la République.

[Crapulax]

Alors que la grogne monte chez les élus de banlieue, Emmanuel Macron expose ce mardi sa vision de la politique de la ville. Pas question toutefois d'un énième «plan», martèle l'Élysée. Ni de suivre à la lettre le rapport Borloo.

Autant le candidat Macron avait mis la banlieue à l'honneur, avec un argumentaire rodé sur les «assignations à résidence» et des déplacements médiatisés au pied des barres d'immeubles, notamment à Sarcelles, autant le président Macron a manifesté d'autres priorités à son arrivée au pouvoir. Une seule allocution a été consacrée au sujet. C'était en novembre dernier, à Tourcoing. Emmanuel Macron y annonçait un «grand plan de mobilisation» dont les contours devaient initialement être définis en février 2018. Quant au doublement des moyens de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru), un engagement présidentiel, son financement vient seulement d'être bouclé.

«Jean-Louis Borloo, c'est Jean-Louis Borloo, une personnalité incontestable, mais ce n'est pas la seule »
(Un conseiller à l'Élysée)

C'est ce temps perdu que le chef de l'État va chercher désormais à rattraper, en prononçant ce mardi un discours sur la banlieue à l'Élysée, alors que la grogne monte chez les élus de terrain. Dans la salle sont attendus des maires, des PDG (Michelin, Accor), des associatifs. Emmanuel Macron doit leur exposer sa vision de la lutte contre la ghettoïsation des banlieues. Pas question toutefois d'un énième «plan banlieues», martèle l'Élysée. Ni de suivre à la lettre le rapport Borloo, pourtant commandé par l'exécutif. Celui-ci est apparu, aux yeux du gouvernement, trop daté dans sa vision, trop dispendieux, trop silencieux par rapport au communautarisme. Le chef de l'État n'a, par ailleurs, guère goûté la façon dont l'ancien ministre de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy a mobilisé ses réseaux pour vanter ses propositions. «Jean-Louis Borloo, c'est Jean-Louis Borloo, une personnalité incontestable, mais ce n'est pas la seule», se contente de commenter la présidence.

Le sort réservé à ces 160 pages a suscité la polémique. Des intellectuels se sont mobilisés pour le défendre. De leur côté, 23 maires du Club des maires de la rénovation urbaine ont interpellé le chef de l'État dans une lettre ouverte pour déplorer «le décrochage des banlieues». Ces «dépités-maires» de territoires urbains (Dreux, Les Mureaux, Montfermeil, etc.) «partagent le sentiment d'être abandonnés» par l'État. Côté majorité, un groupe de députés LaREM, élus des quartiers, s'est en revanche prononcé contre un nouveau plan banlieue. «Nous voulons sortir de manière claire et définitive d'une politique de la ville inefficace et à bout de souffle, pour aller vers un instrument d'équité de tous les territoires de la Nation, sans opposer nos compatriotes entre eux», ont-ils écrit dans une tribune publiée dans Libération.

Quelques mesures ponctuelles:

Ils s'inscrivent dans l'approche choisie par Emmanuel Macron, qui ne croit guère aux politiques spécifiques en faveur de la banlieue et plaide pour une amélioration globale de l'économie française. L'exécutif s'est d'ailleurs bien gardé de créer un ministère de la Ville, ce qui avait suscité l'incompréhension de nombreuses associations. Certes, quelques mesures ponctuelles sont attendues, ce mardi, comme l'annonce de 15.000 stages pour les troisièmes dans le public et 15.000 autres stages dans le privé. Il s'agit, selon l'Élysée, de permettre aux jeunes de trouver plus facilement une entreprise ou une administration pour les accueillir, au nom de la logique de désenclavement et d'autonomisation. À cela s'ajoutent deux dispositifs déjà entrés en vigueur: le dédoublement des classes de CP dans certains quartiers et l'instauration des emplois francs, subvention versée aux employeurs qui recrutent des salariés de certains territoires en difficulté.

Parallèlement, le président va officiellement installer, ce mardi, le Conseil présidentiel des villes. Il a été voulu par Emmanuel Macron pour alimenter sa réflexion sur les quartiers prioritaires. Il rassemble vingt-cinq représentants des quartiers «qui ne sont pas là pour administrer la politique des quartiers, mais qui y vivent». Une façon de court-circuiter les élus et les interlocuteurs habituels, selon certains. Parmi les participants se trouvent Saïd Hammouche, président et fondateur du cabinet de recrutement Mozaïk RH, Mohamed Mechmache, fondateur de la coordination Pas sans nous ou encore l'humoriste controversé Yassine Belatar.



Source:Le Figaro.

[evariste]

ceux qui habitent les banlieues ne sont pas plus malheureux que ceux qui n'y habitent pas , ils ont tout ce qu'il leur faut ! loyers payé , aides sociales de toutes natures , le confort à eux de le protéger que veulent ils de plus ? Seulement voilà la plupart des habitants n'ont qu'une vague notion de savoir vivre, ce qu'est la propreté , respecter les autres et ceci conduit à bien des désagréments qui coûtent très cher aux contribuables c'est à dire à ceux qui paient des impôts et qui ne peuvent pas bénéficier des logements à bas coûts

[Victor]

D'un point de vue purement politique, si Hulot se barre du gouvernement, une arrivée de Borloo au gouvernement (avec un ministère de la ville rien que pour lui ) aurait de la gueule et pourrait faire oublier le départ de Hulot !

[hornby]

evariste, il y a des banlieues chics et des banlieues pauvres, voir très pauvres. Il vaut mieux résider et investir dans une banlieue chic.

[hornby]

http://www.europe1.fr/politique/plan-ba ... oo-3659168
Juste pour avertir qu'entre Borloo et Macron le courant est plus qu'alternatif !

[Allora]

ceux qui habitent les banlieues ne sont pas plus malheureux que ceux qui n'y habitent pas , ils ont tout ce qu'il leur faut ! loyers payé , aides sociales de toutes natures , le confort à eux de le protéger que veulent ils de plus ? Seulement voilà la plupart des habitants n'ont qu'une vague notion de savoir vivre, ce qu'est la propreté , respecter les autres et ceci conduit à bien des désagréments qui coûtent très cher aux contribuables c'est à dire à ceux qui paient des impôts et qui ne peuvent pas bénéficier des logements à bas coûts

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ce sont des tonneaux sans fond ces banlieues : tout est refait à neuf et qqs jours après tout est dégradé

[Victor]

ceux qui habitent les banlieues ne sont pas plus malheureux que ceux qui n'y habitent pas , ils ont tout ce qu'il leur faut ! loyers payé , aides sociales de toutes natures , le confort à eux de le protéger que veulent ils de plus ? Seulement voilà la plupart des habitants n'ont qu'une vague notion de savoir vivre, ce qu'est la propreté , respecter les autres et ceci conduit à bien des désagréments qui coûtent très cher aux contribuables c'est à dire à ceux qui paient des impôts et qui ne peuvent pas bénéficier des logements à bas coûts

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ce sont des tonneaux sans fond ces banlieues : tout est refait à neuf et qqs jours après tout est dégradé

Un de mes enfants est formateur dans une chambre des métiers. Il fait des formations pour des personnes qui veulent créer leur propre activité artisanale. Dans son secteur actuel (93 et 95), il a principalement des mecs de banlieue qui veulent devenir chauffeur VTC.
Il me dit que la question qui revient sans arrêt auprès de cette population est : 1) mais à quoi servent les impôts ?... puis en 2) comment faire pour ne payer ni taxe ni impôt dans leur future activité mais avoir toutes les aides possibles.

[hornby]

Victor, juste un conseil, demande à ton enfant de changer de métier, si c'est possible ?.

[latresne]

Enième plan de banlieue ,pour rassurer la G et qqs élus concernés. On sait trés bien que rien ne changera ,mais la morale sera sauve.Macron pourra dire comme les Présidents précédents :" J'ai fait mon job pour ces quartiers ,passons à autre chose".
On peut investir le double ,le triple ,si les jeunes ne veulent pas s'intégrer ,c'est de l'argent ,mal employé .
"Aide toi ,le ciel (l'Etat en l'occurence )t'aidera ."
Par contre s' il venait à l'idée du gouvernement de créer une formation pour la vente de chite : faudrait prévoir affluence de candidats.

[Victor]

Victor, juste un conseil, demande à ton enfant de changer de métier, si c'est possible ?.

Il vient d'être diplômé. C'est son premier job. Cela lui montre une réalité qu'il avait tendance à embellir.
C'est une bonne première expérience qui va lui mettre un peu de plomb dans la cervelle.

[oldeagle]

D'un point de vue purement politique, si Hulot se barre du gouvernement, une arrivée de Borloo au gouvernement (avec un ministère de la ville rien que pour lui ) aurait de la gueule et pourrait faire oublier le départ de Hulot !

J'aimerai bien voir partir aussi Jean-Yves Le Drian, qu'il faudrait remplacer par Dominique de Villepin qui est un excellent géopoliticien. La France y gagnerait à l'avoir comme chef de la diplomatie française.

[oldeagle]

ceux qui habitent les banlieues ne sont pas plus malheureux que ceux qui n'y habitent pas , ils ont tout ce qu'il leur faut ! loyers payé , aides sociales de toutes natures , le confort à eux de le protéger que veulent ils de plus ? Seulement voilà la plupart des habitants n'ont qu'une vague notion de savoir vivre, ce qu'est la propreté , respecter les autres et ceci conduit à bien des désagréments qui coûtent très cher aux contribuables c'est à dire à ceux qui paient des impôts et qui ne peuvent pas bénéficier des logements à bas coûts

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ce sont des tonneaux sans fond ces banlieues : tout est refait à neuf et qqs jours après tout est dégradé

Il faut appliquer la loi martiale !!!!! Un gros coup de chars d'assaut là dedans avec tir dans les immeubles ! On chope toute la racaille délinquante, on brûle ces merdes de drogues, et on livre ces connards à la justice !

[oldeagle]

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ce sont des tonneaux sans fond ces banlieues : tout est refait à neuf et qqs jours après tout est dégradé

Un de mes enfants est formateur dans une chambre des métiers. Il fait des formations pour des personnes qui veulent créer leur propre activité artisanale. Dans son secteur actuel (93 et 95), il a principalement des mecs de banlieue qui veulent devenir chauffeur VTC.
Il me dit que la question qui revient sans arrêt auprès de cette population est : 1) mais à quoi servent les impôts ?... puis en 2) comment faire pour ne payer ni taxe ni impôt dans leur future activité mais avoir toutes les aides possibles.

Encore des parasites arabes qui demandent ça !

[myself72]

Un de mes enfants est formateur dans une chambre des métiers. Il fait des formations pour des personnes qui veulent créer leur propre activité artisanale. Dans son secteur actuel (93 et 95), il a principalement des mecs de banlieue qui veulent devenir chauffeur VTC.
Il me dit que la question qui revient sans arrêt auprès de cette population est : 1) mais à quoi servent les impôts ?... puis en 2) comment faire pour ne payer ni taxe ni impôt dans leur future activité mais avoir toutes les aides possibles.

Encore des parasites arabes qui demandent ça !

Pourquoi parasite arabe ? J'en connais en campagne de bons français de pure souche qui ne bosse pas et attendent leurs allocations pour aller faire la fête ,et je connais des arabes qui bossent et qui payent leurs impots.

[oldeagle]

Encore des parasites arabes qui demandent ça !

Pourquoi parasite arabe ? J'en connais en campagne de bons français de pure souche qui ne bosse pas et attendent leurs allocations pour aller faire la fête ,et je connais des arabes qui bossent et qui payent leurs impots.

Ah bon, parce que tu ne considères pas les arabes comme français ?