Plus noir que le noir, tu meurs.
- da capo
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Le scepticisme qu'inspirent certaines œuvres d'art contemporain peut s'appliquer, avec beaucoup moins d'indulgence à la musique contemporaine.
Dans ce domaine bien curieux, le snobisme et les postures de ses prétendus initiés prêtent à sourire.
Échec total de la musique contemporaine
Par Pierre Desjardins.
Le professeur de philosophie reproche essentiellement à la musique contemporaine sa pauvreté mélodique. Il fait l’hypothèse que l’invention mélodique provient de la structuration psychique primaire chez l’enfant. Il souligne le lien de la mélodie avec l’origine vocale de la musique occidentale où il discerne un ordre rythmique faible. Il émet l’idée que la musique contemporaine ravive la peur des traumatismes originaires. Les codes de la musique contemporaine sont artificiels et inintelligibles, engendrant une musique déshumanisée qui n’intéresse qu’un minuscule public. Seul le système des bourses et commandites de l’État maintient en vie une musique cliniquement morte, située en dehors de tout principe éducatif valable et condamnée à l’enfermement schizophrénique. L’auteur appelle de ses vœux l’apparition d’un vent nouveau qui rendra accessible la musique contemporaine de création.
L'article entier ici pour ceux que ça intéresse.
https://www.erudit.org/fr/revues/circui ... 2155ar.pdf
Dans les faits, cette musique intéresse le cercle de ceux qui la font, le cercle très restreint de ses amateurs comme de ceux qui en vivent grâce aux subsides de l'Etat.
L'exclusion sociale par ce type de marqueur, selon l'expression de Victor, doit concerner 99,99 % de la population et je doute que le minuscule public qui se rend à des (rares) concerts de musique contemporaine y soit vraiment guidé par ses goûts et ceci grâce à un degré supérieur de compréhension dont la quasi-totalité de ses contemporains seraient privés.
Et ce qu'on associe naïvement à un signe déterminant un rang social élevé n'est en fait qu'une posture, un rôle de figurant dans le navrant spectacle qui ne se joue pas sur la scène, mais dans le public.
Dans ce domaine bien curieux, le snobisme et les postures de ses prétendus initiés prêtent à sourire.
Échec total de la musique contemporaine
Par Pierre Desjardins.
Le professeur de philosophie reproche essentiellement à la musique contemporaine sa pauvreté mélodique. Il fait l’hypothèse que l’invention mélodique provient de la structuration psychique primaire chez l’enfant. Il souligne le lien de la mélodie avec l’origine vocale de la musique occidentale où il discerne un ordre rythmique faible. Il émet l’idée que la musique contemporaine ravive la peur des traumatismes originaires. Les codes de la musique contemporaine sont artificiels et inintelligibles, engendrant une musique déshumanisée qui n’intéresse qu’un minuscule public. Seul le système des bourses et commandites de l’État maintient en vie une musique cliniquement morte, située en dehors de tout principe éducatif valable et condamnée à l’enfermement schizophrénique. L’auteur appelle de ses vœux l’apparition d’un vent nouveau qui rendra accessible la musique contemporaine de création.
L'article entier ici pour ceux que ça intéresse.
https://www.erudit.org/fr/revues/circui ... 2155ar.pdf
Dans les faits, cette musique intéresse le cercle de ceux qui la font, le cercle très restreint de ses amateurs comme de ceux qui en vivent grâce aux subsides de l'Etat.
L'exclusion sociale par ce type de marqueur, selon l'expression de Victor, doit concerner 99,99 % de la population et je doute que le minuscule public qui se rend à des (rares) concerts de musique contemporaine y soit vraiment guidé par ses goûts et ceci grâce à un degré supérieur de compréhension dont la quasi-totalité de ses contemporains seraient privés.
Et ce qu'on associe naïvement à un signe déterminant un rang social élevé n'est en fait qu'une posture, un rôle de figurant dans le navrant spectacle qui ne se joue pas sur la scène, mais dans le public.
Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve.
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Je suis entièrement d'accord. La mélodie est une part capitale de la musique. Et elle devient de plus en plus absente, qu'il s'agisse de musique dite classique ( Boulez and co) ou de variétés. Comment comparer une chanson comme par exemple les lacs du Connemara et du rap ou les pseudo chanteurs n'ont comme seule obsession que celle de prononcer le plus vite possible des paroles qu'ils voudraient signifiantes. Ne reste de la musique que le rythme.da capo a écrit : ↑29 octobre 2022 23:06 Le scepticisme qu'inspirent certaines œuvres d'art contemporain peut s'appliquer, avec beaucoup moins d'indulgence à la musique contemporaine.
Dans ce domaine bien curieux, le snobisme et les postures de ses prétendus initiés prêtent à sourire.
Échec total de la musique contemporaine
Par Pierre Desjardins.
Le professeur de philosophie reproche essentiellement à la musique contemporaine sa pauvreté mélodique. Il fait l’hypothèse que l’invention mélodique provient de la structuration psychique primaire chez l’enfant. Il souligne le lien de la mélodie avec l’origine vocale de la musique occidentale où il discerne un ordre rythmique faible. Il émet l’idée que la musique contemporaine ravive la peur des traumatismes originaires. Les codes de la musique contemporaine sont artificiels et inintelligibles, engendrant une musique déshumanisée qui n’intéresse qu’un minuscule public. Seul le système des bourses et commandites de l’État maintient en vie une musique cliniquement morte, située en dehors de tout principe éducatif valable et condamnée à l’enfermement schizophrénique. L’auteur appelle de ses vœux l’apparition d’un vent nouveau qui rendra accessible la musique contemporaine de création.
L'article entier ici pour ceux que ça intéresse.
https://www.erudit.org/fr/revues/circui ... 2155ar.pdf
Dans les faits, cette musique intéresse le cercle de ceux qui la font, le cercle très restreint de ses amateurs comme de ceux qui en vivent grâce aux subsides de l'Etat.
L'exclusion sociale par ce type de marqueur, selon l'expression de Victor, doit concerner 99,99 % de la population et je doute que le minuscule public qui se rend à des (rares) concerts de musique contemporaine y soit vraiment guidé par ses goûts et ceci grâce à un degré supérieur de compréhension dont la quasi-totalité de ses contemporains seraient privés.
Et ce qu'on associe naïvement à un signe déterminant un rang social élevé n'est en fait qu'une posture, un rôle de figurant dans le navrant spectacle qui ne se joue pas sur la scène, mais dans le public.
Essayez d'écouter un concerto pour violon et orchestre de Tchaïkovski. Et si vous n'avez pas les larmes aux yeux, c'est que vos oreilles ont été mal habituées.
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Vous avez certainement une sensibilité artistique faiblement développée.LOFOTEN a écrit : ↑29 octobre 2022 18:28Je suis perplexe devant ces "tableaux"....estime ou rigolade ?? Je dois probablement manquer d'instruction ....Hdelapampa a écrit : ↑29 octobre 2022 12:22 Les monochromes complexes de Soulages peuvent être décrits très fidèlement avec des mots.
"Rectangles composés de sous rectangles orientés des deux façons (horizontale et verticale).
Chaque sous rectangle est recouvert longitudinalement, latéralement, ou en diagonale de noir mat avec une granulosité produisant de légers reliefs."
On peut ainsi sans faire une idée précise et faire "à la manière de" Soulages exactement du Soulages.
La seule façon de les distinguer sera la signature.
Personne ne saura distinguer la "patte" de l'artiste autrement que par la date de FABRICATION.
A partir de sa mort, bien entendu.
On peut faire du Soulages sans l'imiter, sauf pour une ou plusieurs de ses oeuvres particulières, "uniques".
C'est toute la différence avec d'autres types d'oeuvres, véritablement uniques.
On peut reproduire les Tournesols, en les imitant, mais alors ce n'est pas une création.
On peut aussi tenter de faire du Van Gogh en essayant de peindre à sa façon telle qu'on la perçoit. Mais ce ne sera pas totalement du Van Gogh. Juste une "création" personnelle du type de celles qui débutent ou non une carrière d'artiste par l'apprentissage des techniques des prédécesseurs.
Idem pour le bleu de Klein ....
Ou bien un esprit très conformiste.
Ou bien encore plus certainement les deux à la fois.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
C'est une vision totalement conformiste de la musique et de l'art en général.papibilou a écrit : ↑30 octobre 2022 09:13Je suis entièrement d'accord. La mélodie est une part capitale de la musique. Et elle devient de plus en plus absente, qu'il s'agisse de musique dite classique ( Boulez and co) ou de variétés. Comment comparer une chanson comme par exemple les lacs du Connemara et du rap ou les pseudo chanteurs n'ont comme seule obsession que celle de prononcer le plus vite possible des paroles qu'ils voudraient signifiantes. Ne reste de la musique que le rythme.da capo a écrit : ↑29 octobre 2022 23:06 Le scepticisme qu'inspirent certaines œuvres d'art contemporain peut s'appliquer, avec beaucoup moins d'indulgence à la musique contemporaine.
Dans ce domaine bien curieux, le snobisme et les postures de ses prétendus initiés prêtent à sourire.
Échec total de la musique contemporaine
Par Pierre Desjardins.
Le professeur de philosophie reproche essentiellement à la musique contemporaine sa pauvreté mélodique. Il fait l’hypothèse que l’invention mélodique provient de la structuration psychique primaire chez l’enfant. Il souligne le lien de la mélodie avec l’origine vocale de la musique occidentale où il discerne un ordre rythmique faible. Il émet l’idée que la musique contemporaine ravive la peur des traumatismes originaires. Les codes de la musique contemporaine sont artificiels et inintelligibles, engendrant une musique déshumanisée qui n’intéresse qu’un minuscule public. Seul le système des bourses et commandites de l’État maintient en vie une musique cliniquement morte, située en dehors de tout principe éducatif valable et condamnée à l’enfermement schizophrénique. L’auteur appelle de ses vœux l’apparition d’un vent nouveau qui rendra accessible la musique contemporaine de création.
L'article entier ici pour ceux que ça intéresse.
https://www.erudit.org/fr/revues/circui ... 2155ar.pdf
Dans les faits, cette musique intéresse le cercle de ceux qui la font, le cercle très restreint de ses amateurs comme de ceux qui en vivent grâce aux subsides de l'Etat.
L'exclusion sociale par ce type de marqueur, selon l'expression de Victor, doit concerner 99,99 % de la population et je doute que le minuscule public qui se rend à des (rares) concerts de musique contemporaine y soit vraiment guidé par ses goûts et ceci grâce à un degré supérieur de compréhension dont la quasi-totalité de ses contemporains seraient privés.
Et ce qu'on associe naïvement à un signe déterminant un rang social élevé n'est en fait qu'une posture, un rôle de figurant dans le navrant spectacle qui ne se joue pas sur la scène, mais dans le public.
Essayez d'écouter un concerto pour violon et orchestre de Tchaïkovski. Et si vous n'avez pas les larmes aux yeux, c'est que vos oreilles ont été mal habituées.
Vous avez un esprit particulier étriqué dans ces domaines artistiques.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Mon avis ...
Faut vraiment ne pas savoir quoi faire de son fric pour acheter une toile peinte en NOIR ou comme une de mes amies en ROUGE ..

Faut vraiment ne pas savoir quoi faire de son fric pour acheter une toile peinte en NOIR ou comme une de mes amies en ROUGE ..





La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Et un avis sur Jeanne Mas ?
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Tu veux dire Jeanne d'Arc .


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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
En fait de musique classique, la symphonique en général et les concertos avec orchestre ne me transportent pas vraiment, Tchaïkovski inclus,(mes oreilles sans doute mal habituées). A la rigueur, j'apprécie certains opus, pas tous, chez Lizt, Debussy, Ravel, Villa-Lobos... mais mes préférences se portent avant tout sur des œuvres au piano : Bach, Chopin, Erik Satie etc.. la liste n'étant pas exaustive.papibilou a écrit : ↑30 octobre 2022 09:13
Je suis entièrement d'accord. La mélodie est une part capitale de la musique. Et elle devient de plus en plus absente, qu'il s'agisse de musique dite classique ( Boulez and co) ou de variétés. Comment comparer une chanson comme par exemple les lacs du Connemara et du rap ou les pseudo chanteurs n'ont comme seule obsession que celle de prononcer le plus vite possible des paroles qu'ils voudraient signifiantes. Ne reste de la musique que le rythme.
Essayez d'écouter un concerto pour violon et orchestre de Tchaïkovski. Et si vous n'avez pas les larmes aux yeux, c'est que vos oreilles ont été mal habituées.
En musique moderne, j'essaie de ne rien exclure, car même dans le rap, quelques perles rares de hip/hop/rap peuvent surgir d'un océan de médiocrité, mais j'écoute surtout de la musique anglo-saxonne, des Beatles à Arlo Parks pour faire très court.
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Ce que vous appelez "musique moderne", c'est juste de la musique pop.da capo a écrit : ↑31 octobre 2022 17:04En fait de musique classique, la symphonique en général et les concertos avec orchestre ne me transportent pas vraiment, Tchaïkovski inclus,(mes oreilles sans doute mal habituées). A la rigueur, j'apprécie certains opus, pas tous, chez Lizt, Debussy, Ravel, Villa-Lobos... mais mes préférences se portent avant tout sur des œuvres au piano : Bach, Chopin, Erik Satie etc.. la liste n'étant pas exaustive.papibilou a écrit : ↑30 octobre 2022 09:13
Je suis entièrement d'accord. La mélodie est une part capitale de la musique. Et elle devient de plus en plus absente, qu'il s'agisse de musique dite classique ( Boulez and co) ou de variétés. Comment comparer une chanson comme par exemple les lacs du Connemara et du rap ou les pseudo chanteurs n'ont comme seule obsession que celle de prononcer le plus vite possible des paroles qu'ils voudraient signifiantes. Ne reste de la musique que le rythme.
Essayez d'écouter un concerto pour violon et orchestre de Tchaïkovski. Et si vous n'avez pas les larmes aux yeux, c'est que vos oreilles ont été mal habituées.
En musique moderne, j'essaie de ne rien exclure, car même dans le rap, quelques perles rares de hip/hop/rap peuvent surgir d'un océan de médiocrité, mais j'écoute surtout de la musique anglo-saxonne, des Beatles à Arlo Parks pour faire très court.
La musique moderne, c'est autre chose et vous le savez très bien.
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Victor a écrit : ↑31 octobre 2022 18:17Ce que vous appelez "musique moderne", c'est juste de la musique pop.da capo a écrit : ↑31 octobre 2022 17:04
En fait de musique classique, la symphonique en général et les concertos avec orchestre ne me transportent pas vraiment, Tchaïkovski inclus,(mes oreilles sans doute mal habituées). A la rigueur, j'apprécie certains opus, pas tous, chez Lizt, Debussy, Ravel, Villa-Lobos... mais mes préférences se portent avant tout sur des œuvres au piano : Bach, Chopin, Erik Satie etc.. la liste n'étant pas exaustive.
En musique moderne, j'essaie de ne rien exclure, car même dans le rap, quelques perles rares de hip/hop/rap peuvent surgir d'un océan de médiocrité, mais j'écoute surtout de la musique anglo-saxonne, des Beatles à Arlo Parks pour faire très court.
La musique moderne, c'est autre chose et vous le savez très bien.
Oui, le terme ''moderne'' est impropre au sens strict, vu qu'il intègre des compositeurs comme Satie, Debussy, Ravel, Bartok etc..
J'aurais dû dire contemporaine, mais avec le risque de la confondre avec celle que je critiquais plus haut.

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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Non, la musique contemporaine, c'est autre chose. C'est justement celle que vous n'appréciez pas.
Ce que vous appelez "musique moderne", c'est de la musique populaire moderne, de la chanson, de la variété, du rock, du folk, du rap, du jazz, etc. etc. De la pop musique.
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Victor a écrit : ↑31 octobre 2022 18:36Non, la musique contemporaine, c'est autre chose. C'est justement celle que vous n'appréciez pas.
Ce que vous appelez "musique moderne", c'est de la musique populaire moderne, de la chanson, de la variété, du rock, du folk, du rap, du jazz, etc. etc. De la pop musique.

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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Mais vous avez le droit d'écouter de la musique pop.da capo a écrit : ↑31 octobre 2022 18:47Victor a écrit : ↑31 octobre 2022 18:36
Non, la musique contemporaine, c'est autre chose. C'est justement celle que vous n'appréciez pas.
Ce que vous appelez "musique moderne", c'est de la musique populaire moderne, de la chanson, de la variété, du rock, du folk, du rap, du jazz, etc. etc. De la pop musique.
J'ai l'impression d'avoir été lu trop vite ...et donc mal compris, c'est pas grave.
Même moi, il m'arrive de temps à autre d'écouter de la musique populaire, de siffloter quelques chansonnettes ou d'écouter quelques compositions de jazz endiablées.
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Re: Plus noir que le noir, tu meurs.
Vous vivez dangereusement, vous!
Vous êtes un anarchiste, un déglingo.
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Colonisation: tête de pont de la barbarie dans une civilisation d'où, à n'importe quel moment, peut déboucher la négation pure et simple de la civilisation. Aimé Césaire "Discours sur le colonialisme"