Pologne : le gouvernement confirme la tenue d’un référendum sur la politique migratoire de l’Union européenne

[Yaroslav]

Le prix de l'Europe est aligné sur l'exploitation du gaz, comme le fait surtout l'Allemagne qui n'a presque plus de nucléaire.
Et dire que ça profite à EDF alors qu'EDF doit vendre une partie de son énergie à prix coutant à la concurrence, ça c'est très nouveau, c'est un truc trouvé par Yaroslav.

Non il n'est pas forcément aligné sur le prix du gaz, il est aligné sur le prix du mode de production le moins écolo dont on a forcément besoin.
En période de faible demande, le prix peut être aligné sur le coût du nucléaire. En période de forte demande, il est aligné sur le prix du gaz, voire du charbon, et à ce moment là EDF en tire un maximum de profit puisqu'elle se met à vendre du nucléaire par cher à produire au prix du gaz (pendant que l'Allemagne va vendre du gaz au prix du gaz...).
Le surcoût pour les consommateurs que vous dénoncez (quand on vend du nucléaire au prix du gaz), très concrètement il va dans les poches d'EDF, donc il reste en France.

[berger141]

Le prix de l'Europe est aligné sur l'exploitation du gaz, comme le fait surtout l'Allemagne qui n'a presque plus de nucléaire.
Et dire que ça profite à EDF alors qu'EDF doit vendre une partie de son énergie à prix coutant à la concurrence, ça c'est très nouveau, c'est un truc trouvé par Yaroslav.

Non il n'est pas forcément aligné sur le prix du gaz, il est aligné sur le prix du mode de production le moins écolo dont on a forcément besoin.
En période de faible demande, le prix peut être aligné sur le coût du nucléaire. En période de forte demande, il est aligné sur le prix du gaz, voire du charbon, et à ce moment là EDF en tire un maximum de profit puisqu'elle se met à vendre du nucléaire par cher à produire au prix du gaz (pendant que l'Allemagne va vendre du gaz au prix du gaz...).
Le surcoût pour les consommateurs que vous dénoncez (quand on vend du nucléaire au prix du gaz), très concrètement il va dans les poches d'EDF, donc il reste en France.

1 Quoi qu'il en soit, EDF est toujours contrainte par l'Europe de vendre à la concurrence au prix coutant une partie de son énergie, quelle que soit la demande. Et cette obligation ne rapporte rien à EDF et l'empêche de valoriser cette partie de l'énergie produite.
2 Par quel artifice l'énergie vendue à la concurrence reviendrait à EDF ?; Comment les bénéfices obtenus par cette concurrence qui a facturé l'énergie à ses clients au prix fort (celui qui contrait à la faillite de nombreuses entreprises artisanales françaises) pourraient revenir à EDF?

[vivarais]

Non il n'est pas forcément aligné sur le prix du gaz, il est aligné sur le prix du mode de production le moins écolo dont on a forcément besoin.
En période de faible demande, le prix peut être aligné sur le coût du nucléaire. En période de forte demande, il est aligné sur le prix du gaz, voire du charbon, et à ce moment là EDF en tire un maximum de profit puisqu'elle se met à vendre du nucléaire par cher à produire au prix du gaz (pendant que l'Allemagne va vendre du gaz au prix du gaz...).
Le surcoût pour les consommateurs que vous dénoncez (quand on vend du nucléaire au prix du gaz), très concrètement il va dans les poches d'EDF, donc il reste en France.

1 Quoi qu'il en soit, EDF est toujours contrainte par l'Europe de vendre à la concurrence au prix coutant une partie de son énergie, quelle que soit la demande. Et cette obligation ne rapporte rien à EDF et l'empêche de valoriser cette partie de l'énergie produite.
2 Par quel artifice l'énergie vendue à la concurrence reviendrait à EDF ?; Comment les bénéfices obtenus par cette concurrence qui a facturé l'énergie à ses clients au prix fort (celui qui contrait à la faillite de nombreuses entreprises artisanales françaises) pourraient revenir à EDF?

quel rapport avec le sujet
la liberté de choix pour les peuples y compris de l'UE de décider et choisir ce qu'ils veulent ou pas
et refuser ce qu'on leur impose

[Yaroslav]

1 Quoi qu'il en soit, EDF est toujours contrainte par l'Europe de vendre à la concurrence au prix coutant une partie de son énergie, quelle que soit la demande. Et cette obligation ne rapporte rien à EDF et l'empêche de valoriser cette partie de l'énergie produite.
2 Par quel artifice l'énergie vendue à la concurrence reviendrait à EDF ?; Comment les bénéfices obtenus par cette concurrence qui a facturé l'énergie à ses clients au prix fort (celui qui contrait à la faillite de nombreuses entreprises artisanales françaises) pourraient revenir à EDF?

On est plus en train de parler de la même chose.
La mécanisme de détermination du prix de l'énergie sur le marché spot européen et la libéralisation en France du marché de l'électricité, ce sont 2 choses un peu différentes même si leur impact peuvent se "croiser".

Là vous parlez donc de l'ARENH. Pour la petite histoire, l'ARENH est un dispositif franco-français imaginé par des Français (commission Champsaur). L'exigence européenne était un marché concurrentiel de l'énergie, et pour permettre à ces concurrents d'EDF de survivre malgré ce qu'on appelle "la rente nucléaire" d'EDF (parce qu'on considère que ses investissements sont depuis longtemps amortis), cette commission a effectivement imaginé la vente d'un quart du volume de nucléaire à prix coûtant au bénéfice de ses nouveaux concurrents. Donc en clair, quand le prix européen de l'énergie est élevé, EDF vend 3 / 4 de son nucléaire au prix fort et 1 / 4 à bas prix.

Maintenant, si on veut mon avis sur cette concurrence des revendeurs d'électricité en France, je pense que ça n'a rien apporté de bénéfique, les concurrents se contentant d'acheter et revendre, je ne pense pas qu'ils aient pu particulièrement orienter la production vers le renouvelable, ni faire baisser les prix (au contraire, ils ont morflé pendant la crise).

[Yaroslav]

quel rapport avec le sujet
la liberté de choix pour les peuples y compris de l'UE de décider et choisir ce qu'ils veulent ou pas
et refuser ce qu'on leur impose

Pour en revenir à la Pologne, elle tente un coup politique avec son référendum, elle essaie de mettre la pression sur ses partenaires européens pour renégocier un accord qui a déjà été voté par les membres de l'UE.

Ce qu'il ne faut pas perdre de vue, c'est que ce projet de politique migratoire européenne, qui consiste donc à partager les migrants dans chaque pays de l'UE en fonction de sa taille ou à en payer le prix, a été adopté le 8 juin à la majorité qualifiée.

• POUR = 20 (Allemagne + Autriche + Belgique + Chypre + Croatie + Danemark + Espagne + Estonie + Finlande + France + Grèce + Irlande + Italie + Lettonie + Luxembourg + Pays-Bas + Portugal + Roumanie + Slovénie + Suède)

• ABSTENTION = 5 (Bulgarie + Lituanie + Malte + Tchéquie + Slovaquie)

• CONTRE = 2 (Pologne + Hongrie)

S'agissant donc d'un domaine politique où la majorité qualifiée suffit à prendre des décisions (seuil de 15 "pour" représentant 65% de la population), le référendum polonais (quel que soit son résultat) n'y changera rien du point de vue du droit, mais les Européens pourraient malgré tout être tentés d'en tenir compte.

[berger141]

quel rapport avec le sujet
la liberté de choix pour les peuples y compris de l'UE de décider et choisir ce qu'ils veulent ou pas
et refuser ce qu'on leur impose

Pour en revenir à la Pologne, elle tente un coup politique avec son référendum, elle essaie de mettre la pression sur ses partenaires européens pour renégocier un accord qui a déjà été voté par les membres de l'UE.

Ce qu'il ne faut pas perdre de vue, c'est que ce projet de politique migratoire européenne, qui consiste donc à partager les migrants dans chaque pays de l'UE en fonction de sa taille ou à en payer le prix, a été adopté le 8 juin à la majorité qualifiée.

• POUR = 20 (Allemagne + Autriche + Belgique + Chypre + Croatie + Danemark + Espagne + Estonie + Finlande + France + Grèce + Irlande + Italie + Lettonie + Luxembourg + Pays-Bas + Portugal + Roumanie + Slovénie + Suède)

• ABSTENTION = 5 (Bulgarie + Lituanie + Malte + Tchéquie + Slovaquie)

• CONTRE = 2 (Pologne + Hongrie)

S'agissant donc d'un domaine politique où la majorité qualifiée suffit à prendre des décisions (seuil de 15 "pour" représentant 65% de la population), le référendum polonais (quel que soit son résultat) n'y changera rien du point de vue du droit, mais les Européens pourraient malgré tout être tentés d'en tenir compte.

Il serait interessant que les 20 pays qui ont voté pour la répartition des migrants demandent à leur peuple respectif son opinion/ Le résultat a de fortes chances de fournir une large majorité parmi ces 20 , contre la répartition.
Conclusion : on peut douter du caractère démocratique du fonctionnement de cette Europe.

[Yaroslav]

Oui enfin la démocratie ça ne consiste pas nécessairement à arbitrer tous les sujets par référendum.
Y'a qu'en Suisse qu'ils font ça.

[gare au gorille]

Oui enfin la démocratie ça ne consiste pas nécessairement à arbitrer tous les sujets par référendum.
Y'a qu'en Suisse qu'ils font ça.

Pour le reste il y a bientôt des élections Européennes, et il est possible que l'U.E. d'aujourd'hui ne soit pas la même que celle de demain.

[Yaroslav]

Pour le reste il y a bientôt des élections Européennes, et il est possible que l'U.E. d'aujourd'hui ne soit pas la même que celle de demain.

À quoi vous attendez vous ?
Autre chose que : 1- PPE, 2- SD ?

[Cépajuste]

Oui enfin la démocratie ça ne consiste pas nécessairement à arbitrer tous les sujets par référendum.
Y'a qu'en Suisse qu'ils font ça.

Pour le reste il y a bientôt des élections Européennes, et il est possible que l'U.E. d'aujourd'hui ne soit pas la même que celle de demain.

Il est possible que l'UE de demain soit différente de celle d'aujourd'hui, mais il m'étonnerait que les élections européennes y soient pour quelque chose.

[gare au gorille]

Pour le reste il y a bientôt des élections Européennes, et il est possible que l'U.E. d'aujourd'hui ne soit pas la même que celle de demain.

Il est possible que l'UE de demain soit différente de celle d'aujourd'hui, mais il m'étonnerait que les élections européennes y soient pour quelque chose.

Ben il parait que cette Europe est démocratique, si demain les nouveaux députés Européens arrivent avec des idées politiques différentes de celles d'aujourd'hui, théoriquement l'U.E ne devrait plus avoir tout à fait la même configuration.