Patchouli38 a écrit : ↑28 avril 2023 08:26
vivarais a écrit : ↑28 avril 2023 07:58
encore une intervention qui va inciter comme je l'ai fait à aller voir ce qu'il en est réellement sur les propositions du RN
l'écologie selon "mésoké" ou "selon moi"
lorsque les gens auront vérifié est que leur vision sur l'écologie correspondra à celle de rousseau (EELV ou à celle du RN
Pour vous même à laquelle vison de l'écologie correspond elle
celle contre les bassines , contre la réalisation de structures routières et autres , contre le nucléaire , CELLE des ZAD
ou à l'autre
Ne répondez pas cela vous évitera de mentir
cela me rappelle ce qui s'est produit par le passé avec les progrés de l'imprimerie
comme l'église interdisait de lire la bible désormais accessible , les gens ont été incités à la lire et cela n'a fait qu'amplifier le protestantisme
Arrêtez de dire n'importe quoi Vivarais, il suffit de lire le programme du RN sur l'écologie pour se rendre compte que l'article dit vrai. Tout est axé sur le localisme et rien que sur le localisme, c'est tout. Or, l'écologie est une enjeu mondial et non une affaire réduite à chaque pays ou chacun fait sa petite sou-soupe dans son coin. Faut arrêter.
D'ailleurs, dans cet article, un événement montre bien les contradictions du RN en matière d'écologie : celui du soutien RN en faveur des bonnets rouges qui étaient contre la taxation des poids lourds polluants. C'est cela leurs actions en faveur de l'écologie ? De la poudre aux yeux, rien d'autre.
Et je vais ajouter l'article ci-dessous qui démontre l'hypocrisie du RN en matière d'écologie :
"Marine Le Pen, ennemie du climat et des vivants
La candidate du Rassemblement national (RN) a tenté de verdir son discours ces dernières années en portant une vision nationaliste et caricaturale de l’écologie. Marine Le Pen fait fi de la science et des expert·es et promet un programme intenable pour le climat et le vivant.
"
C’est même pas Le Pen. « La crise climatique ne constitue par la priorité de ma politique étrangère », martelait Marine Le Pen en conférence de presse la semaine dernière. Une prise de position symptomatique de l’« écologie nationale » portée par la candidate du Rassemblement national (RN). Pour défendre son projet, elle manie une technique bien maîtrisée par l’extrême droite : considérer « l’autre » comme la source de tous nos maux. « La France n’a pas à sacrifier le bien-être de sa population pour corriger les erreurs ou les abus des autres pays ! », évoque-t-elle dans son programme thématique sur l’écologie.
La candidate promeut d’ailleurs l’idée fallacieuse que la France serait une bonne élève sur le climat, éludant sa responsabilité historique dans le réchauffement climatique ‒ elle occupe le 11ème rang mondial. Selon les calculs du Climate equity reference project, réalisés à partir des émissions cumulées de gaz à effet de serre imputables à la France et de sa capacité d’action financière, la France devrait réaliser 2,6 % de l’effort planétaire de réduction des émissions en 2030 même si elle ne représente que 0,7 % de la population mondiale.
De cette position centrée sur les intérêts supposés de la France découle de larges ambiguïtés sur le plan international
. Mercredi dernier, Marine Le Pen a promis de ne pas sortir de l’Accord de Paris, qui engage les États signataires à contenir le réchauffement climatique bien en deçà de 2 °C par rapport à la moyenne de l’ère préindustrielle (milieu du 19e siècle). Dans son programme, la candidate affirme pourtant, sans plus de précision, que la France répondra aux engagements de l’Accord, mais « par les moyens qu’elle aura choisis, et selon les étapes dont elle aura décidé ».
Dans le même temps, Marine Le Pen a annoncé la semaine dernière sa volonté de se retirer du Fonds vert pour le climat, le bras financier de l’Accord de Paris qui aide les pays les plus vulnérables à s’adapter à la crise climatique. Un quinquennat Le Pen entraînerait inévitablement l’isolement de la France sur le plan de la politique climatique internationale.
La confusion entre localisme et écologie
L’écologie sert le discours anti-mondialisation de Marine Le Pen en glorifiant le « local » par rapport au « global ». « Le localisme, qui est un thème important à l’extrême droite dans les milieux identitaires depuis le début des années 2000, renvoie à l’idée d’enracinement, en particulier dans un territoire », analyse pour Vert Stéphane François, politologue auteur d’un livre intitulé Les Verts-bruns, l’écologie de l’extrême droite française.
« C’est une déclinaison du patriotisme économique, qui est très cher au RN, qui considère qu’on doit toujours favoriser une entreprise française, même si elle produit mal ou cher. Mais ce n’est pas de l’écologie », abonde Erwan Lecœur, sociologue spécialisé dans l’extrême droite et l’écologie politique.
Ainsi, lorsque le programme de Marine Le Pen met l’accent sur l’agriculture française, il n’est pas question de développer l’agroécologie à l’échelle locale, mais plutôt de soutenir les filières agricoles traditionnelles (et industrielles) françaises.
Pour le sociologue, cette confusion découle du « manque total de compréhension » qu’a Marine Le Pen des enjeux environnementaux, qui débouche sur un projet édulcoré et caricatural. Son programme insiste sur la « beauté » et la « splendeur de nos paysages », la préservation du « cadre de vie » et du « patrimoine » des Français·es.
Une vision immatérielle et abstraite qui soutient une fois de plus le discours identitaire et xénophobe de Marine Le Pen. « Ce sont les populations unies par la longue durée de présence sur un territoire qui peuvent revendiquer leur complicité avec la nature, cette interdépendance avec l’environnement qui fait la diversité des cultures humaines, et que le nomadisme forcé et les migrations de masse détruisent sans retour », soutient la candidate dans son programme.
Sa défense du patrimoine national s’étend jusqu’au mode de vie des Français·es. Elle promet qu’elles et ils pourront continuer à utiliser leur voiture, prendre des bains chauds et apprécier les feux de cheminée lors du réveillon de Noël. Une attaque à peine masquée envers les maires écologistes, cibles de polémiques pour avoir retiré des sapins de Noël municipaux ou le foie gras de certains repas officiels."
https://vert.eco/articles/marine-le-pen ... es-vivants
Bref, les français pourront continuer à polluer, gaspiller l'eau à volonté et manger français, de la bonne nourriture bien française arrosée de pesticides.
ne mettez pas de lien de décryptage (interprétation de son programme )
mettez directement le volet écologie du RN et tenter de démonter ligne par ligne ce qu'il propose
c'est quoi pour vous gaspiller l'eau ??
laisser le robinet trop longtemps ouvert
suivez le cheminement de cette eau elle ira rejoindre la station d'épuration où il faut un certain volume d'eau pour son bon fonctionnement
une fois traitée elle sera rejetée dans un cours d'eau
une partie s'infiltrera pour la nappe phréatique , le reste suivra le cours d'eau
depuis le début de la source de la seine jusqu'à son estuaire il y a de fortes chances qu'une molécule d'eau sortie du robinet ait été pompée , potabilisées x fois avant de rejoindre la mer ou océan si elle ne s'est pas évaporée avant pour se recondenser sous forme de pluie ou simplement de rosée
le volume d'eau de la planète ne peut pas être gaspillé car il reste constant
il peut simplement varier sous forme solide , liquide ou gazeuse
on ne gaspille de l'eau on en perd la disponibilité en ne prévoyant pas de la stocker soit en facilitant son écoulement le plus rapide qui lui évite de s'infiltrer pour la nappe phréatique soit en ne faisant des possibilités de stockage
et contrairement à certains les gens l'ont compris en se procurant de plus en plus de micro bassines de ce type pour compenser l'imbécilité de la pseudo écologie qui empêche la création de plus grosses et de levées collinaires
https://www.bing.com/images/search?q=re ... C3&first=1
dans les magasins qui en proposent il y a pénurie comme pour l'huile de tournesol un temps et les gens les réservent d'avance
je crois qu'avec la phobie de la sècheresse les gens n'ont jamais autant épargner de l'eau
et toute cette capacité de stockage risque fort de mettre à sec les cours d'eau cet été car la moindre pluie l'été sera stockée par les particuliers
alors que les mégas bassines auraient stocké les pluies abondantes d'automne et de printemps
l'hiver contrairement à ce que certains pensent il pleut très peu et c'est pour cela que l'on cite la pluviométrie de ces lois là (décembre , janvier , février) pour générer la phobie sur la sècheresse
pas les mois où il y a ce que l'on appelle les orages cévenols
plutot que de se laisser mener en bateau chacun peut se procurer un pluviomètre et faire ses relevés lui même
surtout qu'aujourd'hui il y en a des électroniques
https://www.bing.com/shop/productpage?q ... rowse=true
et même une mini station météo pour ceux qui ne sont pas gênés financièrement ou radins
https://www.amazon.fr/Bresser-Centrale- ... 35709&th=1
aujourd'hui se faire couillonner par des profiteurs n'est plus crédible

même à 83 ans on peut vivre avec son temps et ne plus aller mesurer le volume dans une éprouvette comme il y a 40 ans