Nicolas Sarkozy n'a pas de désir d'avenir
"Il y aura malheureusement un moment où la question ne sera plus : 'Avez-vous envie ?' mais 'Aurez-vous le choix ?' (...) Dans ce cas, je ne pourrai pas continuer à me dire : je suis heureux, j'emmène ma fille à l'école, et je fais des conférences partout dans le monde. Dans ce cas, effectivement, je serai obligé d'y aller. Pas par envie. Par devoir. Uniquement parce qu'il s'agit de la France", déclare l'ancien chef de l'Etat, battu par François Hollande le 6 mai 2012, selon l'hebdomadaire de droite qui doit paraître jeudi.
Dans le même temps, Nicolas Sarkozy n'a "pas envie d'avoir à faire au monde politique qui (lui) procure un ennui mortel", selon d'autres propos rapportés dans l'article. "Et puis, regardez comment j'ai été traité ! Lorsqu'on m'a convoqué pour treize heures d'interrogatoires, à propos de l'affaire Bettencourt (...) Sans compter la manière dont ils ont traité ma femme. Interdite de chanter pendant cinq ans", assure-t-il.
Revanche ?
Interrogé pour savoir s'il veut prendre sa revanche, il répond que "c'est un très mauvais sentiment". "Et puis quelle revanche ce serait ? Pour reprendre la France dans l'état où les socialistes la laisseront. Tu crois que je ne sais pas que je vais mourir ? Donc franchement est-ce que j'ai envie de revenir ? Non", affirme-t-il également.
Mi-février, Alain Juppé avait confié qu'il croyait "sentir" chez Nicolas Sarkozy, dont il a été le ministre des Affaires étrangères, une envie de se présenter en 2017. Une information démentie à l'époque par l'entourage de l'ancien président. Et contestée par le maire de Bordeaux mercredi matin sur RTL. "Il y a quelques temps, on m'a interrogé pour savoir ce que je pensais des intentions de Nicolas Sarkozy. J'ai dit : 'Je pense qu'il s’intéresse toujours à la politique'. Et c'est devenu une heure après : 'Alain Juppé annonce le retour de Nicolas Sarkozy' ! Je suis donc prudent", a-t-il déclaré au micro de Jérôme Chapuis.
On est maintenant curieux de savoir ce que pensent Jean-François Copé et François Fillon de ce sens du devoir...
RTL 06/03/2013
On lance les paries pour un retour gagnant en 2017
"Dans mon parti y a qu'moi et c'est déjà l'merdier!" H.Tachan
si maupassant est devenu fou , c'est parce que il avait une conscience aigüe de la matiére , du néant et de la mort.
"extension du domaine de la lutte".michel houellbecq
Sans compter la manière dont ils ont traité ma femme.Interdite de chanter pendant cinq ans", assure-t-il.
Qui c'est 'ILS" parce que ce reproche ne peut être fait aux socialistes qui n'ont pas 5 ans de pouvoir derrière eux.
Quand a la manière dont sa femme est traitée, il oublie de dire que le contribuable continue de payer pour les gardes du corps de madame qui souffre de loger dans un 320 m2 paye lui aussi par la republique.
j'emmène ma fille à l'école!!
Precosse la demoiselle.
"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo
"Dans ce cas, je ne pourrai pas continuer à me dire : je suis heureux, j'emmène ma fille à l'école, et je fais des conférences partout dans le monde. Dans ce cas, effectivement, je serai obligé d'y aller. Pas par envie. Par devoir. Uniquement parce qu'il s'agit de la France"
Sarkozy, le martyre de la République
J'imagine que s'il accepte " devoir", il le fera gratuitement, non ? Par solidarité avec la France qui souffre de la crise, il assumera la charge de l'état bénévolement ? Ou alors pour un SMIC ?
Pensez à laisser quelques Kleenex pour la Comptesse, elle pleure toutes les larmes de son corps tant erlle est émue par le sens du devoir de son idôle...
le renouvellement de la classe politique est le réél problème de ce pays.
il faudra bien que les frrançais changent leur fusil d'épaule et arrêtent l'UMPS.
juste pour mettre un peu de compétitions aux niveaux d'autres partis,et relever le niveau des deux partis institutionnels.
Fonck1 a écrit : le renouvellement de la classe politique est le réél problème de ce pays.
il faudra bien que les frrançais changent leur fusil d'épaule et arrêtent l'UMPS.
juste pour mettre un peu de compétitions aux niveaux d'autres partis,et relever le niveau des deux partis institutionnels.
Oh je pense que la situation (chômage explosif, salaires en berne tout comme la croissance) vont aider les partis d'alternative.
oO-Maverick-Oo a écrit :
Oh je pense que la situation (chômage explosif, salaires en berne tout comme la croissance) vont aider les partis d'alternative.
et grand malheureusement le FN....qui surfe sur la vague.
et ça marche.
je suis tombé sur un militaire samedi...anti musulmans,anti machin,anti corruption.ect ect....tout le discours frontiste,il dit lui même qu'il ne vote que pour ect ect....le mec qui se la joue droit,pour la france,respect,éducation de ses gosses,de lui même.....ect ect......
puis quand je lui dis...."mais toi qui récupères a droite a gauche,des stock militaires qui en profite indirectement,ou directement,qui s'en sert pour faire des échanges avec des boites diverses et variées,ou contre services,tout ça au noir,t'as pas l'impression de faire la même chose que ceux que tu dénonces?"
Si après 50ans t’emmène pas ta fille de 17 mois a l’école, tu as raté ta vie. #Sarkozy
"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo
Qu'il y aille,ça arrangera les Socialistes qui se retrouveront au deuxième tour des Présidentielles face à Maine Le Pen.Par contre,là on verra si la majorité de l'UMP ne votera pas pour cette dernière tiens.....
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
L’ancien Premier ministre, François Fillon, interrogé mercredi sur l’évocation par Nicolas Sarkozy de son éventuel nécessaire retour en politique, a relevé que la question posée à son camp aujourd’hui n’était pas «un casting».
«Je ne fais aucun commentaire sur ces sujets-là», a déclaré le député de Paris, interrogé par BFMTV et RMC sur les propos rapportés de l’ancien président («Il y aura malheureusement un moment où la question ne sera plus : +avez-vous envie ?+ mais +aurez-vous le choix ?+»).
«C’est le feuilleton qui va occuper, animer tous les commentateurs politiques pendant des semaines et des mois», a soupiré M. Fillon.
«Je vois régulièrement Nicolas Sarkozy, j’ai beaucoup d’estime et d’amitié pour lui», a-t-il dit.
«La seule chose qui compte, c’est qu’on ait un projet politique. On verra après qui est le mieux à même de porter» ce projet. «Il y a une règle dans la démocratie, quand on perd les élections, on est tous sur la même ligne, c’est-à-dire avec l’obligation de repenser notre projet», a-t-il fait valoir.
«On ne va pas dire aux Français : voilà, on revient devant vous avec exactement le même projet que celui qui nous a conduits à l’échec», a-t-il insisté.
«Ce n’est pas un casting, le sujet aujourd’hui!», a-t-il protesté. «On est tous obligés, moi le premier, de faire notre examen de conscience, de regarder ce qui, dans la manière dont on a gouverné, a fonctionné» ou pas, de regarder aussi «les expériences autour de nous».
«Le moment venu, on proposera un projet aux Français et celui qui sera le plus populaire, le mieux à même de porter ce projet - à condition que ce projet corresponde aux valeurs et aux convictions que je défends, naturellement - c’est celui-là qu’il faudra choisir», a affirmé M. Fillon.
En vue de 2017, Nicolas Sarkozy devrait-il aussi se soumettre à des primaires ? «C’est son choix, c’est à lui d’en décider», a-t-il répondu.
«Dans la Ve République, le candidat à l’élection présidentielle, il est seul face au peuple français», a observé l’ancien chef de gouvernement. «Ca n’a jamais été dans l’esprit de la Ve République (que) les partis décident , théoriquement, des candidats à l’élection présidentielle».
«Ce que je pense, moi, c’est que les primaires sont une étape nécessaire pour permettre un débat sur un projet politique et pour permettre au candidat qui portera les espoirs de la droite et du centre, d’arriver avec un soutien large».
«Pour moi les primaires sont incontournables», a-t-il tranché.
"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo
Ce n'est pas le seul à le penser,loin de là.Entre ce qu'ils disent devant les caméras et par derrière il y a une différence et ça foutrait le boxon dans l'UMP de régler les comptes du quinquennat devant les médias parce que si Sarkozy croit que personne le "descendra" dans son camp,il se trompe lourdement.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."