Yaroslav a écrit : ↑14 avril 2025 01:02Quand on vous lit, on peut effectivement avoir l'impression que vous ne soutenez pas la violence.gare au gorille a écrit : ↑14 avril 2025 00:50C'est incroyable tous les poncifs qui vous tiennent lieu de réflexion et le niveau de vos idées toutes faites. La violence est détestable et nous la détestons tout autant que vous.
Après il est certain que je trouve plus de qualités chez Trump qui essaye de se battre bec et ongle pour son pays que pour Macron qui passe son temps à l'humilier dès qu'il est en Algérie et qui n'hésite jamais à sacrifier les intérêts de la France par idéologie Européenne.
Macron n'a rien de modéré, ce mec est un danger public qui se prend pour le chef de guerre qu'il est incapable d'être.
Mais quand on regarde qui vous soutenez, on est obligé de constater tout le contraire.
Car Trump représente bel et bien à lui tout seul une forme de violence politique et institutionnelle (sans aucun doute personnelle aussi). Le 6 janvier restera à tout jamais gravé dans le marbre comme étant la forme de violence qui a le plus ébranlé le système démocratique américain (à ce jour..., le pire à venir ne peut malheureusement pas être exclu). Sans même parler de tout le reste, puisque Trump nous en fait la démonstration tous les jours.
Sans être un fanatique de Macron, c'est le genre de personne qui aurait été totalement incapable de produire l'équivalent d'un 6 janvier, voyez-vous ?
À force de vouloir coûte que coûte et systématiquement défendre l'indéfendable, vous en récoltez logiquement l'effet d'être associé à la violence.
Plus globalement, je pense que vous haïssez les modérés, mais avec une prose feutrée (c'est assez subtil).
Macron n'a rien d'un modéré, il est plutôt un va-t'en guerre qui heureusement ne sait que brasser du vent. En comparaison je trouve Marine Le Pen beaucoup plus modérée.
Quant à Trump je pense il est en train de gagner son pari sur l'Ukraine en apportant une paix sans avoir besoin de faire la guerre et tout en défendant les intérêts de l'Amérique qui est la première des missions de sa présidence.