SNCF, taxis, pharmacies, hôpitaux... Ces secteurs qui appellent à la grève en septembre

[jeandu53]

SNCF, taxis, pharmacies, hôpitaux... Ces secteurs qui appellent à la grève en septembre

Les mesures d’économies annoncées en juillet par François Bayrou ont agacé de nombreuses professions qui veulent se mobiliser à la rentrée. La période sera aussi marquée par le mouvement de blocage du 10 septembre, venu des réseaux sociaux.

suite

Le bazar social à la française va donc repartir de plus belle en septembre.

Alors je veux bien qu'on reproche beaucoup de choses à nos gouvernements, mais il faut bien constater que la France est un pays où règnent les corporatismes divers et variés, un pays peuplé de corporations toujours promptes à manifester et à bloquer dès qu'un gouvernement ose toucher ne serait-ce qu'un peu à leurs acquis et privilèges, voire pour revendiquer de nouveaux privilèges.

Et face à ce bazar permanent, un gouvernement n'a généralement pas d'autre choix que renoncer aux mesures d'économies envisagées, voire annoncer des nouvelles aides.

Quant au mouvement du 10 septembre, il s'agit d'un agrégat assez hétéroclite qui n'est pas sans rappeler les Gilets jaunes, et qui illustre assez bien la culture contestataire qui règne dans la société française. "Ouin, ouin, on n'est pas contents"... Mais que proposent ces gens-là ? Ce qui est sûr, c'est que, là encore, comme pour les Gilets jaunes, le gouvernement devra renoncer aux mesures d'économies envisagées, voire annoncer de nouvelles dépenses, pour calmer la grogne.

Comment peut-on efficacement réduire les dépenses publiques dans ces conditions ?

[Désactivé]

J'écoutais hier des commentaires sur l'origine du mouvement, ses composantes et le rôle des réseaux sociaux.

Il est clair que l'appel initial est parti d'un internaute d'ED du nord de la France, et que la mousse initiale a été RN/Reconquête/souverainiste. Mais le mouvement a été récupéré par les partis d'EG (LFI, EELV et maintenant PS) et certains syndicats, qui ont "pris le train en marche" selon la formule de Georges Séguy. Je ne sais pas comment l'affaire va tourner.

Je vais rentrer à Paris avant le début du mouvement, car j'ai un bon programme et RdV personnels et professionnels jusqu'à début octobre. Je vais prendre mes précautions avant le 10, faire le plein de la voiture, de médicaments, de fournitures essentielles car je sens venir les emmerdements.

[Fonck1]

ça s'appelle la politique, au dépends de l’intérêt général.
si la politique n''avait pas fait de clientélisme, on en serait pas là.

[Désactivé]

ça s'appelle la politique, au dépends de l’intérêt général.
si la politique n''avait pas fait de clientélisme, on en serait pas là.

Le problème que j'ai: il me semble qu'une large partie de la population est atteinte d'irresponsabilité.

[papibilou]

Tant que des français estimeront que l'état leur doit tout et que eux ne lui doivent rien, on aura des poussées populistes plus ou moins violentes. Irons nous jusqu'à une révolution voire une guerre civile ?

[Patchouli38]

Et on pourra s'attendre à la venue de Black Bloks trop heureux de foutre le bordel en caillassant les vitrines et en se prenant aux forces de l'ordre.
Si l'origine de cet appel trouve sa source chez un militant d'ED, le but est bien de faire tomber le gouvernement par la manière forte en manipulant l'opinion. C'est à se demander si le but réel n'est pas de creuser la dette encore plus. Bref, mettre des bâtons dans les roues du budget afin de mettre le gouvernement en difficulté.

[UBUROI]

Tant que des français estimeront que l'état leur doit tout et que eux ne lui doivent rien, on aura des poussées populistes plus ou moins violentes. Irons nous jusqu'à une révolution voire une guerre civile ?

Les "Français patriotes"... ouais ! Sauf quand il s'agit de se battre, résister, et faire des efforts. Je suis prêt à tout ça, dans la mesure - essentielle - que ces efforts, renoncements et périls sont répartis à proportion des moyens de chacun.
C'est sans doute cette démonstration que Bayrou est incapable de faire... à vouloir caresser les vrais riches.

[Patchouli38]

Ce mouvement a pris sa source via un message mis sur Telegram la veille des annonces de F. Bayrou, par un groupe souverainiste d'extrême-droite "Les essentiels".

Je viens d'aller sur leur site, impossible de savoir qui est derrière ce dernier, pas de nom, rien. Ce que l'on peut déjà deviné est qu'il s'agit d'un mouvement d'extrême-droite. Ce site promeut : le Frexit et la destitution d'Emmanuel Macron bien mis en avant sous forme d'onglet.

https://lesessentiels-france.fr/index.p ... ouveraine/

Alors, on peut se demander, au vu de ce site, si le but véritable de ce mouvement serait plutôt de faire tomber le gouvernement et déligitimer Emmanuel Macron. Des nostalgiques des gilets jaunes rêvant de recréer ce mouvement d'une autre manière.

[papibilou]

Tant que des français estimeront que l'état leur doit tout et que eux ne lui doivent rien, on aura des poussées populistes plus ou moins violentes. Irons nous jusqu'à une révolution voire une guerre civile ?

Les "Français patriotes"... ouais ! Sauf quand il s'agit de se battre, résister, et faire des efforts. Je suis prêt à tout ça, dans la mesure - essentielle - que ces efforts, renoncements et périls sont répartis à proportion des moyens de chacun.
C'est sans doute cette démonstration que Bayrou est incapable de faire... à vouloir caresser les vrais riches.

C'est ça. Un effort d'accord mais les autres d'abord.

[Mickey]

J'écoutais hier des commentaires sur l'origine du mouvement, ses composantes et le rôle des réseaux sociaux.

Il est clair que l'appel initial est parti d'un internaute d'ED du nord de la France, et que la mousse initiale a été RN/Reconquête/souverainiste. Mais le mouvement a été récupéré par les partis d'EG (LFI, EELV et maintenant PS) et certains syndicats, qui ont "pris le train en marche" selon la formule de Georges Séguy. Je ne sais pas comment l'affaire va tourner.

Je vais rentrer à Paris avant le début du mouvement, car j'ai un bon programme et RdV personnels et professionnels jusqu'à début octobre.Je vais prendre mes précautions avant le 10, faire le plein de la voiture, de médicaments, de fournitures essentielles car je sens venir les emmerdements

En gros le pétochard franco franchouillard. C'est génétique chez vous.

[Désactivé]

J'écoutais hier des commentaires sur l'origine du mouvement, ses composantes et le rôle des réseaux sociaux.

Il est clair que l'appel initial est parti d'un internaute d'ED du nord de la France, et que la mousse initiale a été RN/Reconquête/souverainiste. Mais le mouvement a été récupéré par les partis d'EG (LFI, EELV et maintenant PS) et certains syndicats, qui ont "pris le train en marche" selon la formule de Georges Séguy. Je ne sais pas comment l'affaire va tourner.

Je vais rentrer à Paris avant le début du mouvement, car j'ai un bon programme et RdV personnels et professionnels jusqu'à début octobre.Je vais prendre mes précautions avant le 10, faire le plein de la voiture, de médicaments, de fournitures essentielles car je sens venir les emmerdements

En gros le pétochard franco franchouillard. C'est génétique chez vous.

Je vous emmerde, cher monsieur. Le gros pétochard est allé dans de nombreux pays difficiles pour son business et en est revenu vivant et sans trop d'ennuis, genre Chine, Inde, Vietnam, Cambodge, Arabie Saoudite, Nigeria, Brésil, Argentine, Mexique, Turquie, Liban. Et vous vous avez fait quoi ?

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Sinon, le RN n'a pas l'air de vouloir participer au mouvement, selon la Vice-Présidente Edwige Diaz (pas bête celle-là).

Bloquons tout : le RN « n’a pas vocation à organiser des manifestations » le 10 septembre, selon sa vice-présidente

Alors que la gauche soutient la mobilisation, le parti d’extrême droite préfère se tenir à l’écart, invoquant le risque de débordements et la liberté de ses sympathisants.

Contrairement aux partis de gauche qui ont pris fait et cause pour la mobilisation Bloquons tout prévue le 10 septembre, le Rassemblement national (RN) « n’a pas vocation à être l’instigateur [ni] l’organisateur de manifestations » et ne donnera pas de consigne à ses sympathisants, a assuré vendredi 22 août à l’Agence France-Presse (AFP) la députée Edwige Diaz, vice-présidente du mouvement d’extrême droite. « Notre rôle en tant que parti politique est d’apporter des réponses aux problèmes et aux revendications des gens. Pas de crier dans un haut-parleur », a également affirmé l’élue de Gironde.

Né sur les réseaux sociaux, le mouvement Bloquons tout a reçu cette semaine le soutien de La France insoumise, rapidement suivie des Ecologistes, du Parti communiste puis du Parti socialiste. Jean-Luc Mélenchon « ne pouvait pas faire un plus beau cadeau à Emmanuel Macron », selon Mme Diaz, « parce que récupérer cette manifestation (…), c’est le meilleur moyen de l’affaiblir, de la démonétiser et donc de dissuader des personnes d’y participer ».

« Nos adhérents et nos électeurs sont libres de faire ce qu’ils veulent », ajoute la vice-présidente chargée de la formation des membres du parti à la flamme, tout en disant redouter des débordements dans les cortèges. « Je doute de la capacité » du ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, « à empêcher l’intrusion de black blocs », dit-elle, pointant « les risques de casse de mobilier urbain ou de vitrines d’entreprises ».
....

Et je note que Madame Sophie Binet ne déborde pas d'enthousiasme à propos de ce projet de bordélisation.

"C’est encore totalement nébuleux": Sophie Binet prudente face au mouvement "Bloquons tout le 10 septembre"

La secrétaire générale de la CGT n'a pas officiellement soutenu le mouvement né sur les réseaux sociaux "Bloquons tout" et dit que la question sera débattue avec les instances de la CGT la semaine prochaine.
Sophie Binet n'a pas encore tranché. La CGT doit-elle ou non soutenir le mouvement "Bloquons tout le 10 septembre", une initiative citoyenne appelant au blocage en réaction au projet de budget présenté par le gouvernement de François Bayrou? "Nous allons en débattre la semaine prochaine" avec l'ensemble des fédérations territoriales et professionnelles, a répondu la numéro un de la CGT Sophie Binet sur France Inter.

"C’est encore totalement nébuleux et sur les modes d’actions et sur les revendications", estime la syndicaliste.
Elle a tout de même salué "la multiplication des initiatives de mobilisation qui montre la volonté d’action et la grande colère sociale" et considère que le 10 septembre peut être "une étape".

"Les tentatives d’instrumentalisation de l’extrême droite"
Ce mouvement baptisé "Bloquons tout" s'est formé via des appels au blocage sur les réseaux sociaux venus d'horizons divers, en réaction notamment aux coupes budgétaires voulues par l'exécutif. En quelques jours, la contestation a pris de l'ampleur sur les réseaux sociaux et en dehors, sans qu'on sache qui en est à l'initiative. "Ce qui ressort de plus en plus, ce sont des revendications sociales et la dénonciation de ce budget Bayrou, ce qui rejoint tout à fait notre analyse", juge Sophie Binet. Néanmoins, elle reste prudente face aux "tentatives de noyautage de l'extrême droite".

"Du côté des initiateurs, il y a une pluralité de points de vue, on est très vigilants sur les tentatives d’instrumentalisation de l’extrême droite."
La secrétaire générale de la CGT estime que "l'extrême-droite essaie de développer des discours antisyndicaux et essaie de réorienter la colère en faisant croire que le budget Bayrou est un problème parce qu'il ne prendait pas assez d’argent aux immigrés et aux étrangers, alors que c'est un problème parce que ce sont les travailleuses et les travailleurs qui paient et pas les rentiers et les plus riches".

D'autres soutiens au mouvement
Si la CGT n'a pas encore décidé si elle allait soutenir officiellement ce mouvement, d'autres n'ont pas tardé à y adhérer. Le syndicat Sud Rail a appelé "à rejoindre les initiatives revendicatives qui sont en train de se multiplier dans la perspective du 10, en construisant une grève forte dans notre secteur".

[Kelenner]

SNCF, taxis, pharmacies, hôpitaux... Ces secteurs qui appellent à la grève en septembre

Les mesures d’économies annoncées en juillet par François Bayrou ont agacé de nombreuses professions qui veulent se mobiliser à la rentrée. La période sera aussi marquée par le mouvement de blocage du 10 septembre, venu des réseaux sociaux.

suite

Le bazar social à la française va donc repartir de plus belle en septembre.

Alors je veux bien qu'on reproche beaucoup de choses à nos gouvernements, mais il faut bien constater que la France est un pays où règnent les corporatismes divers et variés, un pays peuplé de corporations toujours promptes à manifester et à bloquer dès qu'un gouvernement ose toucher ne serait-ce qu'un peu à leurs acquis et privilèges, voire pour revendiquer de nouveaux privilèges.

Et face à ce bazar permanent, un gouvernement n'a généralement pas d'autre choix que renoncer aux mesures d'économies envisagées, voire annoncer des nouvelles aides.

Quant au mouvement du 10 septembre, il s'agit d'un agrégat assez hétéroclite qui n'est pas sans rappeler les Gilets jaunes, et qui illustre assez bien la culture contestataire qui règne dans la société française. "Ouin, ouin, on n'est pas contents"... Mais que proposent ces gens-là ? Ce qui est sûr, c'est que, là encore, comme pour les Gilets jaunes, le gouvernement devra renoncer aux mesures d'économies envisagées, voire annoncer de nouvelles dépenses, pour calmer la grogne.

Comment peut-on efficacement réduire les dépenses publiques dans ces conditions ?

La responsabilité de cette grogne incombe principalement à Macron et au gouvernement. En refusant de tenir compte de leur défaite électorale, en s'accrochant au pouvoir par des magouilles politiciennes et en proposant un projet de budget d'une injustice flagrante, ils créent les conditions du mécontentement.

Parce que l'égoïsme et els corporatismes, ils existent dans tous les pays. Mais les gouvernements intelligents, comme celui de Pedro Sanchez en Espagne, arrivent à surmonter cela par une politique EQUILIBREE : ils ont réussi à faire passer des mesures impopulaires (recul de l'âge de la retraite, en particulier) parce qu'en même temps, ils ont mis fortement à contribution les friqués, augmenté le salaire minimum de 30%, investi massivement dans l'économie et contribué ainsi à diminuer le chômage et à stabiliser les travailleurs précaires. Chez nous, Bayrou refuse même d'envisager le début d'une taxation des plus riches dont la fortune, rappelons-le encore et toujours, a été multipliée PAR 14 au cours des 20 dernières années, continue à arroser les entreprises de 220 MILLIARDS d'aides (et, plus grave encore, d'exonérations de cotisations qui en sont que du vol des salariés) sans contrepartie, et voudrait que les 80-90% de gens qui n'ont que leur travail pour vivre acceptent sans broncher qu'on leur demande deux jours de travail gratuit, ne soient plus indemnisés en cas d'arrêt maladie, et supportent seuls le poids des hausses d'impôts. Pourquoi devraient-ils se satisfaire de se faire plumer de la sorte ?

[lepicard]

ça s'appelle la politique, au dépends de l’intérêt général.
si la politique n''avait pas fait de clientélisme, on en serait pas là.

Le problème que j'ai: il me semble qu'une large partie de la population est atteinte d'irresponsabilité.

bah ,, faut admettre que depuis les GJ ,,c'est la norme ,,,,,, reste à être conscient de," à qui le crime profite " personellement je songe aux "sponsorisés" (en roubles )

[papibilou]

Le bazar social à la française va donc repartir de plus belle en septembre.

Alors je veux bien qu'on reproche beaucoup de choses à nos gouvernements, mais il faut bien constater que la France est un pays où règnent les corporatismes divers et variés, un pays peuplé de corporations toujours promptes à manifester et à bloquer dès qu'un gouvernement ose toucher ne serait-ce qu'un peu à leurs acquis et privilèges, voire pour revendiquer de nouveaux privilèges.

Et face à ce bazar permanent, un gouvernement n'a généralement pas d'autre choix que renoncer aux mesures d'économies envisagées, voire annoncer des nouvelles aides.

Quant au mouvement du 10 septembre, il s'agit d'un agrégat assez hétéroclite qui n'est pas sans rappeler les Gilets jaunes, et qui illustre assez bien la culture contestataire qui règne dans la société française. "Ouin, ouin, on n'est pas contents"... Mais que proposent ces gens-là ? Ce qui est sûr, c'est que, là encore, comme pour les Gilets jaunes, le gouvernement devra renoncer aux mesures d'économies envisagées, voire annoncer de nouvelles dépenses, pour calmer la grogne.

Comment peut-on efficacement réduire les dépenses publiques dans ces conditions ?

La responsabilité de cette grogne incombe principalement à Macron et au gouvernement. En refusant de tenir compte de leur défaite électorale, en s'accrochant au pouvoir par des magouilles politiciennes et en proposant un projet de budget d'une injustice flagrante, ils créent les conditions du mécontentement.

Parce que l'égoïsme et els corporatismes, ils existent dans tous les pays. Mais les gouvernements intelligents, comme celui de Pedro Sanchez en Espagne, arrivent à surmonter cela par une politique EQUILIBREE : ils ont réussi à faire passer des mesures impopulaires (recul de l'âge de la retraite, en particulier) parce qu'en même temps, ils ont mis fortement à contribution les friqués, augmenté le salaire minimum de 30%, investi massivement dans l'économie et contribué ainsi à diminuer le chômage et à stabiliser les travailleurs précaires. Chez nous, Bayrou refuse même d'envisager le début d'une taxation des plus riches dont la fortune, rappelons-le encore et toujours, a été multipliée PAR 14 au cours des 20 dernières années, continue à arroser les entreprises de 220 MILLIARDS d'aides (et, plus grave encore, d'exonérations de cotisations qui en sont que du vol des salariés) sans contrepartie, et voudrait que les 80-90% de gens qui n'ont que leur travail pour vivre acceptent sans broncher qu'on leur demande deux jours de travail gratuit, ne soient plus indemnisés en cas d'arrêt maladie, et supportent seuls le poids des hausses d'impôts. Pourquoi devraient-ils se satisfaire de se faire plumer de la sorte ?

Le recul de l âge de la retraite en Espagne résulte d'une décision prise il y a 14 ans.
En 2025 cet âge passe à 66 ans et huit mois. Une augmentation de deux mois qui ne sera pas la dernière. En effet, l’horizon final de ces changements est en 2027, date à laquelle la légalité atteindra finalement 67 ans. Ainsi, en 2026, elle sera de 66 ans et dix mois et atteindra son maximum à partir de l’année suivante, conformément à la réforme votée en 2011. Donc Sanchez n'y est pour rien.
En revanche l'ISF y a été restauré après une première suppression. Les exonérations sont variables ( dépend de l'autonomie ( Madrid est exonéré à 100% par exemple)). ne sont concernés que les personnes physiques ce qui a poussé les plus riches, s'ils ne l'avaient pas fait avant, à regrouper leurs actions dans des sociétés. Cet impôt devrait permettre de collecter 1,5 milliards !!!
Enfin, quel effort demande le gouvernement français ! 2 jours de travail. Ils vont être épuisés.
En vous levant le matin ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous mais ce que vous pouvez faire pour lui.