Une enfant de 4 ans violée par deux autres fillettes dans leur école.

[Hdelapampa]

D'accord avec Kelenner.

Que peut-on faire dans un tel cas ?
La gifle de la mère se comprend.
Du temps de mes débuts comme prof dans un petit collège, , le directeur assignait 2 profs à la surveillance de la récré.

1) En collège, ce sont des surveillants qui surveillent les récrés.
2) A quatre ans, on est (normalement) en école maternelle et ce sont des professeurs des écoles qui se partagent " les services (de surveillance) de cour".
MAIS PAS JUSQUE DANS LES TOILETTES.
3) L'agression (la victime l'a peut être vécu ainsi, quand même) s'est produite pendant la pause de midi : c'est le personnel COMMUNAL qui est chargé de surveiller.

Trop pressé d'accuser l'Ecole?

[Mickey]

Beaucoup de choses dérangeantes dans cet article.

Déjà, ça n’aurait jamais dû sortir sur la place publique, ce type de problème doit être réglé en interne, avec intervention des personnes compétentes, d’autant que les faits semblent très flous.

Ensuite, parler de « viol «  suppose une intentionnalité et une compréhension de la nature de l’acte. Là on parle « d’agresseurs «  de 5 et 7 ans, par expérience je sais qu’à cet âge là les enfants sont incapables de comprendre réellement ce qu’ils font. Supposer des comportements adultes chez de très jeunes enfants est une dérive grave et très dangereuse. Une sur réaction brutale et violente, exposée sur la place publique, n’aidera ni la victime ni les fautifs à tirer les bonnes leçons de cette affaire.

Il y aurait aussi beaucoup à dire sur le rôle des Whatsapp de parents, qui montent souvent à des proportions délirantes des histoires banales, sans connaissance des faits et par effet de meute.

Quelque soit l'âge des agresseuses, dès qu'il y a pénétration avec un objet ou non, et sans le consentement de la victime, cela reste un viol.
Les gamins d'aujourd'hui sont bien plus murs qu'il y a 20 ou 30 ans.

Non, le "touche-pipi" entre gamins a toujours existé dans l'enceinte scolaire et même en dehors, de là à parler de viol il ne faut pas exagérer.