Par ce que ce n'est pas un tyran.Steph a écrit : Et pourquoi pas boycotter toute forme de diplomatie avec la Russie, intégrer l'Ukraine au sein de l'union.
Privé la Russie d'échanges économiques avec l'union.
Mais merde !! Pourquoi le monde occidental, tremble devant ce tyran !
Une Pussy Riot privée d'eau
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
Steph a écrit : Et pourquoi pas boycotter toute forme de diplomatie avec la Russie, intégrer l'Ukraine au sein de l'union.
Privé la Russie d'échanges économiques avec l'union.
Mais merde !! Pourquoi le monde occidental, tremble devant ce tyran !

Ca répond à ta question ?
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
Solution ?? Gaz de schisteJohan a écrit :
Ca répond à ta question ?
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
ok, dans ton pays alors.
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
ça changera pas grand chose au final.Johan a écrit : Et donc, faut fermer sa gueule ? Accepter que pour un délit mineur, on puisse se retrouver au goulag ?
Et l'opinion public et la communauté internationale devrait eux aussi accepter une telle situation ?
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
ben disons que la façon dont tu as réagit laisse à penser que selon ton point de vue, c'est mérité.Fonck1 a écrit :
ça changera pas grand chose au final.
et lorsque tu dis "c'est mérité", garde à l'esprit que les mots ont un sens.
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
non,c'est pas ça.coincetabulle a écrit : ben disons que la façon dont tu as réagit laisse à penser que selon ton point de vue, c'est mérité.
et lorsque tu dis "c'est mérité", garde à l'esprit que les mots ont un sens.
la russie ne sait pas vivre sans dictature.
c'est con,mais c'est ainsi.
sinon,ils auraient pas mis un dictateur au pouvoir.
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
c'est très con ce que tu viens de dire, tu t'en rends compte ?
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
non ! c'est les russes qui sont cons.coincetabulle a écrit : c'est très con ce que tu viens de dire, tu t'en rends compte ?
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
non, c'est l'image que tu te fais des russes qui est très conne, c'est complètement différent.
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
C'est fatigant d'entendre des mots forts tels que "dictateurs" employés à tort et à travers. Ca finit par faire perdre tout son sens au concept, et c'est même dangereux car si tout le monde est un "dictateur" (Poutine, Chavez, et je ne sais qui encore, pourquoi pas Hollande tiens), on finit par se dire que finalement, c'est pas si grave...
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
ben c'est pas les ukrainiens qui ont mis,remis,par devant et par derrière poutine.coincetabulle a écrit : non, c'est l'image que tu te fais des russes qui est très conne, c'est complètement différent.
Quand même.
Kelenner a écrit :C'est fatigant d'entendre des mots forts tels que "dictateurs" employés à tort et à travers. Ca finit par faire perdre tout son sens au concept, et c'est même dangereux car si tout le monde est un "dictateur" (Poutine, Chavez, et je ne sais qui encore, pourquoi pas Hollande tiens), on finit par se dire que finalement, c'est pas si grave...
certains le sont d'autres non.
par exemple,il ne faut pas confondre dictat,et gestion.
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
Incomptatible avec la liberté politique. Dans le cas de la Russie de Poutine, on y est...Dictature : Régime arbitraire et coercitif, incompatible avec la liberté politique, le gouvernement constitutionnel et le principe de l’égalité devant la loi
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
Non, on y est pas. Les opposants sont brimés, harcelés, parfois emprisonnés sous des motifs futiles, c'est un fait. Mais l'opposition existe, elle peut s'exprimer, même si elle encourt des risques. Le simple fait que le témoignage de la "Pussy Riot" soit parvenu jusqu'à nous est la preuve que le muselage n'est pas total.
Régime autoritaire, c'est une certitude. Mais n'oubliez pas que la Russie sort tout juste (20 ans, ce n'est vraiment rien à l'échelle d'une nation) de plus de 70 ans de régime soviétique, authentiquement dictatorial celui-là. Il est totalement utopique d'envisager de passer sans transition d'un modèle complétement verrouillé à une société de liberté absolue dans un laps de temps aussi court.
Les mots ont un sens. Poutine n'est ni un dictateur, ni un tyran, c'est un dirigeant qui participe à sa manière à une phase de l'histoire de son pays. Vouloir appliquer à la Russie post-soviétiques des standards de démocratie occidentale que nous avons mis plus d'un siècle à construire (et encore, on est loin de la perfection) est absurde. Les jugements à l'emporte-pièce ne feront pas avancer le problème, bien au contraire.
Régime autoritaire, c'est une certitude. Mais n'oubliez pas que la Russie sort tout juste (20 ans, ce n'est vraiment rien à l'échelle d'une nation) de plus de 70 ans de régime soviétique, authentiquement dictatorial celui-là. Il est totalement utopique d'envisager de passer sans transition d'un modèle complétement verrouillé à une société de liberté absolue dans un laps de temps aussi court.
Les mots ont un sens. Poutine n'est ni un dictateur, ni un tyran, c'est un dirigeant qui participe à sa manière à une phase de l'histoire de son pays. Vouloir appliquer à la Russie post-soviétiques des standards de démocratie occidentale que nous avons mis plus d'un siècle à construire (et encore, on est loin de la perfection) est absurde. Les jugements à l'emporte-pièce ne feront pas avancer le problème, bien au contraire.
Re: Une Pussy Riot privée d'eau
http://tempsreel.nouvelobs.com/presiden ... sants.htmlEn Russie, on emprisonne les opposants
"J'ai retrouvé la liberté mais ce n'est pas un cadeau de Dimitri Medvedev, c'est une victoire du peuple russe!" Devant le centre de détention de Moscou, une centaine de manifestants est venue accueillir l'opposant Sergueï Oudaltsov emprisonné depuis le 25 décembre après avoir participé à une manifestation non autorisée pour dénoncer les dernières fraudes électorales.
Policiers et opposants se regardent en chien de faïence. Un vieil homme brandit une pancarte trouvée sur le sol. Immédiatement, deux hommes en uniformes se précipitent vers lui et le trainent jusqu'au panier à salade garé un peu plus loin. Il sera rapidement relâché. Ici, la contestation est tolérée mais très encadrée. Un système que Vladimir Poutine revendique, qualifiant le régime de "démocratie dirigée".
A quelques encablures de la prison qu'il vient de quitter le leader du Front de gauche, amaigri par une grève de la faim et de la soif, s'adresse immédiatement à ses partisans. Ses premières flèches sont dirigées vers le parti au pouvoir, Russie Unie.
"Il faut pousser dehors le parti des menteurs et des voleurs ".
Il promet même quelques minutes plus tard de "les mettre en prison".
Des propos qui pourraient agacer un peu plus le pouvoir et accélérer le retour derrière les barreaux ce "prisonnier politique professionnel". Ses huit incarcérations en 2011 justifient le qualificatif ironique donné par l'avocate Violetta Volkova.
Des détentions administratives utilisées massivement par le pouvoir russe pour affaiblir l'opposition. Selon les registres officiels cités par l'organisation non gouvernementale Human Rights Watch, au moins 600 manifestants dont "des leaders d'opposition, des journalistes et des militants bien connus ont été arrêtés" et emmenés dans des commissariats de la capitale mais aussi de Saint-Petersbourg et de nombreuses autres villes de province depuis le 5 décembre, début de la contestation.
Il est impossible de connaitre le nombre d'incarcérations consécutives à cette vague d'arrestation. Plusieurs dizaines d'entres-eux au moins ont rejoint les centres de détentions administratifs après un procès expéditif bien éloigné des critères internationaux en matière de justice.
Yaroslav Nikitenko jeune militant écologiste à subit la répression. Quelques jours après sa libération il a réuni une poignée d'amis pour célébrer sa liberté retrouvée. Tous les convives présents autour de la table sont des activistes et connaissent les dangers.
"Bien sur nous prenons de grand risques, mais il faut absolument pousser Poutine dehors" commente avec détermination Oksana Gerashenko, militante écologiste.
Le jeune homme d'à peine 24 ans se lève et attire l'attention des convives. Il commence le récit de son arrestation. "Le 25 décembre dernier, j'étais présent à un rassemblement devant le tribunal à l'occasion du jugement de Serguei Oudaltsov. Alors que j'étais un peu à l'écart, en train de raconter les événements sur Twitter, la police est venue m'arrêter. Peut-être parce que mes tweets agaçaient, plus certainement simplement parce que je suis un activiste connu." Selon lui, les policiers disposent d'un trombinoscope des principaux opposants, avec la consigne de les arrêter à la moindre incartade. "Même si nous sommes incarcérés sans raison. Le pouvoir couvrira toujours les forces de l'ordre."
Il s'en suit un procès digne des grandes heures soviétiques. "La police m'a refusé (alors que c'est inscrit dans la loi) le droit d'appeler mes avocats et de prévenir mes proches. Je connaissais le juge parce que l'avocat Magnitsky (décédé en prison) avait prouvé qu'il faisait parti d'un système de corruption important. Il est même interdit de séjour aux Etats-Unis." Il s'en suit un procès expéditif dans lequel la défense ne pèse pas lourd. Yaroslav est condamné à dix jours de détention pour rébellion et violence sur des policiers. "La condamnation se base sur un faut rapport de police. Il existe même des vidéos qui le prouvent, mais le juge à préféré croire la version du policier en niant l'évidence", explique son avocate Violetta Volkova.
"Avant, la police tentait de donner un vernis de justice à ces condamnations politiques, maintenant ils ne se cachent même plus."
Derrière les barreaux le jeune homme ne subit pas de violence physique mais il ne peut pas voir ses proches. "La prison est d'une grande violence psychologique surtout quand on se sait innocent". Il refuse de travailler. Des taches ménagères qui permettent de gagner un peu de confort, souvent une simple douche. "Heureusement, je n'ai été condamné qu'a une détention administrative."
Edouard Limonov, le leader du parti National-Bolchevique lui à connu la prison habituellement réservée aux droits-communs. Deux ans et demi derrière les barreaux. "En comparaison l'enfermement administratif c'est un emprisonnement d'opérette. Le 30 décembre dernier l'un de nos militants à été condamné, à Smolensk, à dix ans de prison, dix ans! Mon parti à subit le plus lourd tribu sous le règne de Poutine. Près de 210 personnes ont été emprisonnées ou mis dans des camps d'internement."
Selon le député Ilia Ponomarev, "plusieurs milliers de personnes croupissent en prison pour des raisons politiques." A l'approche des présidentielles, le candidat Poutine, promet sur son site de campagne d'adoucir le ton. "Il nous faut repenser tout le système de protection des intérêts de la société et renoncer à une répression malsaine."
La Russie n'est pas un pays libre.


