Au tribunal de Valence, une reconstitution numérique d’une ampleur inédite a commencé, près de deux ans après le meurtre de Thomas Perotto lors du bal de Crépol. Trois grands écrans ont permis de retracer, minute par minute, les événements de la nuit, en présence des parties civiles, fouillées et encadrées dans un dispositif de sécurité renforcé.
Un témoin grièvement blessé au thorax a raconté avec précision le déroulement de l’agression, depuis l’intérieur de la salle jusqu’à l’attaque à l’arme blanche, sous les questions des avocats et avec l’appui d’une carte virtuelle animée. Les proches de la victime ont décrit un moment éprouvant, ravivant le souvenir de la rixe sanglante. *** propos non vérifiés modérés
curieux qu'aucun autre site en parle, et que celui là soit payant....quid de la vérification?
en fait après vérification, j'ai compris ta manœuvre, ce copier coller est origine de FDS, donc rien de crédible la dedans, vu que c'est soumis à interprétation, malhonnête le lofoten.....en plus du fait de contrevenir au règlement du forum qui interdit ce site sans vérification.
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vous avez le droit de croire à n'importe quoi, mais tant qu'on m'aura pas prouvé que c'est ce qu'a relayé cet article sera modéré.
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Atmosphère sereine, studieuse, pas d'effusion d'émotion dans la salle confirme Me Guillaume Fort : "dans ce type de dossier, il y a toujours une émotion forte, évidemment. Maintenant, chacun a réagi avec dignité et essaie de concourir à la manifestation de la vérité. Et on avance. pierre après pierre, on commence à y voir plus clair." Deux mis en examen ont eu néanmoins un comportement dérangeant, ricanant notamment à quelques moments.
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Lors de la reconstitution numérique du meurtre de Thomas, tué à Crépol en novembre 2023, certains mis en examen ont adopté une attitude jugée provocatrice et choquante par les familles. Rires, gestes déplacés, regards insistants, une posture qui a indigné les parties civiles.
Des réactions des plus malvenues. Lors de la reconstitution numérique consacrée au meurtre de Thomas Perotto à Crépol en novembre dernier, qui a commencé ce lundi 22 septembre, à Valence (Drôme), l’attitude de plusieurs mis en examen a profondément choqué les familles de la victime. Selon plusieurs témoins, certains des mis en examen auraient multiplié les gestes déplacés, avec des ricanements et des regards insistants, rapporte Le Dauphiné Libéré.
Avec ce genre d'accusés, ce genre de criminels, il faut s'attendre à tout.
Même briefés par leurs avocats leur fond de racailles de cités ressort.
Espérons que ces racailles seront mises hors d'état de nuire avec une condamnation à une véritable perpétuité.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Lors de la reconstitution numérique du meurtre de Thomas, tué à Crépol en novembre 2023, certains mis en examen ont adopté une attitude jugée provocatrice et choquante par les familles. Rires, gestes déplacés, regards insistants, une posture qui a indigné les parties civiles.
Des réactions des plus malvenues. Lors de la reconstitution numérique consacrée au meurtre de Thomas Perotto à Crépol en novembre dernier, qui a commencé ce lundi 22 septembre, à Valence (Drôme), l’attitude de plusieurs mis en examen a profondément choqué les familles de la victime. Selon plusieurs témoins, certains des mis en examen auraient multiplié les gestes déplacés, avec des ricanements et des regards insistants, rapporte Le Dauphiné Libéré.
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Atmosphère sereine, studieuse, pas d'effusion d'émotion dans la salle confirme Me Guillaume Fort : "dans ce type de dossier, il y a toujours une émotion forte, évidemment. Maintenant, chacun a réagi avec dignité et essaie de concourir à la manifestation de la vérité. Et on avance. pierre après pierre, on commence à y voir plus clair." Deux mis en examen ont eu néanmoins un comportement dérangeant, ricanant notamment à quelques moments.
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La reconstitution, même numérique, se fait à huis clos. Le Dauphiné Libéré a des journalistes sur place mais je doute qu'ils aient accès à la salle réservée à cet effet... Ceux qui témoignent ont-ils ensuite le droit de se confier aux journalistes... les avocats, peut-être...
"Qui cherche la vérité doit-être prêt à l'inattendu" Héraclite d'Ephèse.
Agnostirex a écrit : ↑24 septembre 2025 14:04
La reconstitution, même numérique, se fait à huis clos. Le Dauphiné Libéré a des journalistes sur place mais je doute qu'ils aient accès à la salle réservée à cet effet... Ceux qui témoignent ont-ils ensuite le droit de se confier aux journalistes... les avocats, peut-être...
ce qui prouve si c'est à huit clos, donc que les "insinuations" faites par les sites de l'ED, dauphiné libéré compris, sont fausses, et déjà du colportage type "téléphone arabe".
On peut réfuter certaines choses ce qui n'enlèvera rien à ce que révèlera la reconstituions du drame
Contrairement à Brest pour l'instant , les auteurs et acteurs du drame sont connus et participeront à la reconstitution
Lorsque l'on arrive à cela c'est que l'enquête a toutes les informations et qu'il suffit de vérifier le rôle de chacun avec de clore le dossier pour le transmettre au procureur pour qu'il déclenche le procès
Pas la peine d'essayer de convaincre de quoi que ce soit car bientôt avec le procès chacun saura le contenu du dossier et la culpabilité et le rôle de chacun
il faut avoir rester un observateur neutre des choses lorsque l'on a pour seules infos les dires des avocats en faveur de leurs clients
Agnostirex a écrit : ↑24 septembre 2025 14:04
La reconstitution, même numérique, se fait à huis clos. Le Dauphiné Libéré a des journalistes sur place mais je doute qu'ils aient accès à la salle réservée à cet effet... Ceux qui témoignent ont-ils ensuite le droit de se confier aux journalistes... les avocats, peut-être...
ce qui prouve si c'est à huit clos, donc que les "insinuations" faites par les sites de l'ED, dauphiné libéré compris, sont fausses, et déjà du colportage type "téléphone arabe".
C'est marrant ceux qui n'ont aucunes pièces du dossiers mais prennent positons comme si cela allait changer quelque chose à l'avis des jurés qui eux auront eu connaissance du dossier pour juger
C'est pourquoi les procès durent parfois des semaines pour entendre tous les experts , ceux qui ont mené l'enquête et la crédibilité de chaque témoignage
La seule chose à prendre en compte c'est qu'un jeune est mort , et que les autre quelque soit leur degré de culpabilité seront toujours vivants quel que soit la peine qui leur sera infligée
latresne a écrit : ↑25 septembre 2025 03:22
Pour certains Thomas s'est jeté volontairement sur le couteau.Ils essayent de justifier l'indéfendable.
Ah bon, et qui ? Rien ne justifie ce meurtre inacceptable, mais vous oubliez que le point d'orgue de cette bagarre fut les insultes racistes proférés par les rugbymans. La fête s'était déroulée sans encombre sauf à la fin ou ces insultes ont commencé à fuser.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
latresne a écrit : ↑25 septembre 2025 03:22
Pour certains Thomas s'est jeté volontairement sur le couteau.Ils essayent de justifier l'indéfendable.
Ah bon, et qui ? Rien ne justifie ce meurtre inacceptable, mais vous oubliez que le point d'orgue de cette bagarre fut les insultes racistes proférés par les rugbymans. La fête s'était déroulée sans encombre sauf à la fin ou ces insultes ont commencé à fuser.
Le point d'orgue de cette bagarre fut surtout le fait que la petite bande soit venue avec des couteaux dans la poches alors que les jeunes sportifs étaient tout simplement venus faire la fête.
* il pleut doucement sur la ville *
* Et le poète soul engueulait l' Univers *
(Rimbaud)
Non, le début de la baston c'était quand des sportifs locaux ont commencé à donner dans le racisme dans le but de "taper des bougnoules" contre des jeunes pas locaux venus s'amuser (et draguer). C'est après qu'une bande pas locale a débarqué pour aider leurs amis pas locaux.