voilà ce qui va augmenter la pénurie de logements à louer

[vivarais]

Pourquoi ça te fait rire ?
Moi pas du tout ..pourtant je ne loue rien ..je loge gracieusement ...
Mais je me met a la plac du proprio ..
Un ex
un 3 galons de la marine (un copain ) muté à Brest ..Il loue son appart a un couple de personnes âgées
La dame décède ..le monsieur fait venir son FILS avec ses deux enfants ..Il paie le loyer ..
Le monsieur décède ..PLUS RIEN ..venu sur place il constate qu'il a changé les barillets de serrures ..
Plaintes ..replaintes rien n'y fait ..LUI paie un location en Bretagne ..
Bref quand ils quittent les lieux Mon pot découvre sa maison (neuve ) complètement dévasté ..
Le Fautif ..intouchable ..Il a vendu sa maison en état ..Il n'est jamais revenu vivre ici ..
Tu vois Kelenner ça peut arriver a n'importe qui ..ce n'est pas un rupin ..

Oui, mais il faut comprendre que Kelenner vit dans un monde différent de celui du bailleur lésé, vu qu'il sait que ça tombera tous les mois jusqu'à la tombe, quoi qu'il arrive.
Alors il ricane.

mais rira bien qui rira le dernier
certains restent locataires alors qu'ils pourraient accéder à la propriété
alors qu' au bout de 20 ans de crédit , il n'aurait plus de loyer à payer
après ils chialent comme il dit qu'avec leur petite pension de retraite , ils ont du mal à payer un loyer jusqu'à leur mort et pas de capital s'Ils doivent aller en EHPAD
Apres 20 ans de crédit c'est l'économie chaque mois d'un loyer ; même si c'est le solde à payer après déduction de l'APL

[gare au gorille]

c'est tout à fait possible et rapidement, il faut juste prendre les bonnes procédures au bon moment au lieu de passer sont temps à se plaindre.

Mais personne ne se plaint !! Pour ce qui est des procédures je pense que personne ne vous a attendu pour les engager, sauf que les délais d'expulsions sont soumis à la bonne volonté des autorités et que dans les faits cela peut durer des années pour un squat et bien davantage pour un locataire ayant un contrat de location même s'il a cessé de s'acquitter des loyers et des charges .
A partir de la, à chacun bien sur d'en tirer ses propres conclusions.

[Fonck1]

la plupart des gens passent leur sacré temps à se plaindre, mais personne ne saisit la justice comme il faut, avec la bonne procédure, avec les bonnes méthodes et de façon appliquée.
Si Anne était encore là, elle pourrait vous en citer des centaines comme ça.

y a t il une autre méthode que de mandater un avocat pour déclencher une procédure de dénonciation du bail
moi j'ai perdu 3 mois en l'ayant cru que son salaire n'était pas versé par le trésor public parce qu'elle avait changé d'agence de pole emploi
d'où l'adage trop bon trop con

oui je pense que vous pouvez faire une constatation avec un huissier, et faire une requête au tribunal, tout simplement.
mais il faut être réactif, et un avocat n'est pas toujours nécessaire.

[Fonck1]

c'est tout à fait possible et rapidement, il faut juste prendre les bonnes procédures au bon moment au lieu de passer sont temps à se plaindre.

Mais personne ne se plaint !! Pour ce qui est des procédures je pense que personne ne vous a attendu pour les engager, sauf que les délais d'expulsions sont soumis à la bonne volonté des autorités et que dans les faits cela peut durer des années pour un squat et bien davantage pour un locataire ayant un contrat de location même s'il a cessé de s'acquitter des loyers et des charges .
A partir de la, à chacun bien sur d'en tirer ses propres conclusions.

non si vous avez des procédure ad vitam eternam, c'est que vous avez vous ou votre agence traîné et pas pris les bonnes procédures, et surtout pas dans la bonne période.

[Fonck1]

Oui, mais il faut comprendre que Kelenner vit dans un monde différent de celui du bailleur lésé, vu qu'il sait que ça tombera tous les mois jusqu'à la tombe, quoi qu'il arrive.
Alors il ricane.

mais rira bien qui rira le dernier
certains restent locataires alors qu'ils pourraient accéder à la propriété
alors qu' au bout de 20 ans de crédit , il n'aurait plus de loyer à payer
après ils chialent comme il dit qu'avec leur petite pension de retraite , ils ont du mal à payer un loyer jusqu'à leur mort et pas de capital s'Ils doivent aller en EHPAD
Apres 20 ans de crédit c'est l'économie chaque mois d'un loyer ; même si c'est le solde à payer après déduction de l'APL

tout à fait.
mais les gens préfèrent s'acheter le dernier iphone à 1000 balles que mettre de côté pour avoir un apport.
par contre, se plaindre ils savent faire, et c'est toujours de la faute des autres.

[gare au gorille]

Mais personne ne se plaint !! Pour ce qui est des procédures je pense que personne ne vous a attendu pour les engager, sauf que les délais d'expulsions sont soumis à la bonne volonté des autorités et que dans les faits cela peut durer des années pour un squat et bien davantage pour un locataire ayant un contrat de location même s'il a cessé de s'acquitter des loyers et des charges .
A partir de la, à chacun bien sur d'en tirer ses propres conclusions.

non si vous avez des procédure ad vitam eternam, c'est que vous avez vous ou votre agence traîné et pas pris les bonnes procédures, et surtout pas dans la bonne période.

Mais ne racontez pas n'importe quoi. Les procédures sont enclenchées par l'assurance elle même dès que les loyers demeurent impayés après quelques lettres de rappels et que l'assurance doit elle même prendre en charge les loyers. Et ça fait deux ans que l'assurance bataille pour obtenir une date d'expulsion du locataire défaillant. Et croyez bien qu'une compagnie d'assurance possède des moyens judiciaires autrement plus important que les vôtres et qu'elle n'a aucun intérêt à faire trainer la situation.
C'est juste que la réglementation est devenue excessive et qu'il serait tout simplement bien de tout remettre à plat pour aller vers quelque chose de plus raisonnable.

[Kelenner]

La contrepartie ce serait forcément que les bailleurs respectent la loi, mais comme une bonne moitié ne le fait pas, m’étonnerait beaucoup qu’ils soient si pressés qu’on se penche sur la question.

[vivarais]

y a t il une autre méthode que de mandater un avocat pour déclencher une procédure de dénonciation du bail
moi j'ai perdu 3 mois en l'ayant cru que son salaire n'était pas versé par le trésor public parce qu'elle avait changé d'agence de pole emploi
d'où l'adage trop bon trop con

oui je pense que vous pouvez faire une constatation avec un huissier, et faire une requête au tribunal, tout simplement.
mais il faut être réactif, et un avocat n'est pas toujours nécessaire.

vous avez raison si l'on disponible pour assister à l'audience où vous serez seul présent
comme je le fus pour moi car accoutumée du fait elle ne s'est même pas présentée à l'audience
et des mois plus tard à la réception de l'avis d'expulsion , elle est partie avant à la cloche de bois ayant trouver un autre bailleur à rouler avec ses revenus de salaire de pole emploi
ce genre de malfaiteurs ne tombent pas sous le coup de la loi avec ses actes multirécidivistes , ni poursuivis par le fisc car les sommes que je n'ai pas déclaré ni payé a CSG ont été un revenu non imposable pour elle
cela donne un aperçu répété des dizaines de milliers de fois chaque année le manque à gagner pour le fisc et les caisses sociales
on voit donc en analysant que cela va plus loin que le simple : voilà ce qui va augmenter la pénurie de logements à louer

[vivarais]

La contrepartie ce serait forcément que les bailleurs respectent la loi, mais comme une bonne moitié ne le fait pas, m’étonnerait beaucoup qu’ils soient si pressés qu’on se penche sur la question.

à part les marchands de sommeil ls bailleurs respectent la loi par obligation
penchez vous plutôt sur les conséquences de cette pénuries pour les locataires eux même par le fait de loyers plus chers dus à la rareté de l'offre
et ensuite d'être à plusieurs à postuler pour un même logement
outre tout le reste vis à vis du fisc et des caisses sociales
aujourd'hui on en et à verifier les critères pour conserver un logement social occupé
ce qui était inimaginable il y a seulement 5 ans
par vos positions gauchistes vous causez plus de tort aux locataire qu'aux bailleurs

[papibilou]

La contrepartie ce serait forcément que les bailleurs respectent la loi, mais comme une bonne moitié ne le fait pas, m’étonnerait beaucoup qu’ils soient si pressés qu’on se penche sur la question.

Vous arrivez à ce chiffre d'une bonne moitié à partir de quoi ?

[da capo]

La contrepartie ce serait forcément que les bailleurs respectent la loi, mais comme une bonne moitié ne le fait pas, m’étonnerait beaucoup qu’ils soient si pressés qu’on se penche sur la question.

Vous arrivez à ce chiffre d'une bonne moitié à partir de quoi ?

Ce qui est aussi intelligent que dire par exemple qu'un fonctionnaire sur deux ne fout pas grand chose.. 

Les bailleurs agissent dans leur intérêt qui consiste dans la quasi-totalité des cas à respecter la loi, simplement parce qu'ils en attendent un revenu pérenne, une bonne conservation des lieux et un minimum d'emmerdements.

Mais bon, dès qu'une catégorie d'individus est désignée par des gauchistes de salon comme l'ennemi de classe...

[papibilou]

La pénurie de logements à louer ou acheter est inquiétante à 2 titres au moins.
- l'offre se réduit,
- la construction stagne
Or le dicton : " quand le bâtiment va tout va" reste toujours d'actualité. Sauf que, précisément, il ne va pas. Entre des taux d'emprunts élevés, et la pénurie de terrains ( loi Pacte limitant l'artificialisation des sols), l'augmentation des coûts de matériaux etc.. le secteur commence à être sérieusement sinistré.
Or c'est un secteur à 1,6 millions d'emplois.
Bruno le Maire a reconnu avoir des responsabilités dans ce recul d'activité. Je n'entend personne ni à droite ni à gauche pour protester contre une politique bloquante et non dynamisante. Le terme artificialisation est utilisé d'une façon choquante. Vous avez une maison avec jardin de disons 500m2 ? C'est une surface artificialisée !
Ajoutons les oppositions diverses. Dans ma petite ville de 6500 habitants l'agglomération des communes a décidé de permettre la construction entre autres de logements sociaux. Mais les manifestations ( agriculteurs et écolos) se succèdent, les recours aussi car il ne faut pas construire sur des surfaces qui " pourraient" servir pour l'agriculture ou l'élevage ( meme si dans les 20 dernières années je n'y ai vu ni une animal ni une culture).. Je serais le constructeur j'hésiterais à construire là.

[jeandu53]

La pénurie de logements à louer ou acheter est inquiétante à 2 titres au moins.
- l'offre se réduit,
- la construction stagne
Or le dicton : " quand le bâtiment va tout va" reste toujours d'actualité. Sauf que, précisément, il ne va pas. Entre des taux d'emprunts élevés, et la pénurie de terrains ( loi Pacte limitant l'artificialisation des sols), l'augmentation des coûts de matériaux etc.. le secteur commence à être sérieusement sinistré.
Or c'est un secteur à 1,6 millions d'emplois.
Bruno le Maire a reconnu avoir des responsabilités dans ce recul d'activité. Je n'entend personne ni à droite ni à gauche pour protester contre une politique bloquante et non dynamisante. Le terme artificialisation est utilisé d'une façon choquante. Vous avez une maison avec jardin de disons 500m2 ? C'est une surface artificialisée !
Ajoutons les oppositions diverses. Dans ma petite ville de 6500 habitants l'agglomération des communes a décidé de permettre la construction entre autres de logements sociaux. Mais les manifestations ( agriculteurs et écolos) se succèdent, les recours aussi car il ne faut pas construire sur des surfaces qui " pourraient" servir pour l'agriculture ou l'élevage ( meme si dans les 20 dernières années je n'y ai vu ni une animal ni une culture).. Je serais le constructeur j'hésiterais à construire là.

La pénurie de logements est un vrai problème social. Alors que faire ?

Déjà, il faut signaler que, au cours des dernières décennies, le bâtiment a été très largement subventionné : APL, amortissements Besson, Duflot et autres, prêts à taux zéro, subventions aux offices HLM, etc. Tous ces dispositifs coûtent cher aux finances publiques, et ils ont surtout eu pour effet d'augmenter les prix, sans vraiment solutionner le problème de l'insuffisance de l'offre.

De façon générale, les dispositifs consistant à subventionner la demande (APL, prêts à taux zéro...) ont pour effet d'augmenter les prix, et tout dispositif de défiscalisation au profit des investisseurs éventuels crée des effets d'aubaine. Seule une offre accrue de logements pourra satisfaire la demande et faire baisser les prix. Et pour cela, il faut imaginer autre chose que ces sempiternels dispositifs de défiscalisation et de subvention à la demande.

Il faut donc imaginer autre chose. A mon avis, pour accroître l'offre de logements, il faut donc :
- faire la chasse aux résidences secondaires et aux locations meublées de tourisme (car ce sont autant de logements qui ne peuvent plus servir de logement principal),
- construire massivement (et là, il y aura des choix politiques à faire, au niveau des règles d'urbanisme).

[gare au gorille]

La pénurie de logements à louer ou acheter est inquiétante à 2 titres au moins.
- l'offre se réduit,
- la construction stagne
Or le dicton : " quand le bâtiment va tout va" reste toujours d'actualité. Sauf que, précisément, il ne va pas. Entre des taux d'emprunts élevés, et la pénurie de terrains ( loi Pacte limitant l'artificialisation des sols), l'augmentation des coûts de matériaux etc.. le secteur commence à être sérieusement sinistré.
Or c'est un secteur à 1,6 millions d'emplois.
Bruno le Maire a reconnu avoir des responsabilités dans ce recul d'activité. Je n'entend personne ni à droite ni à gauche pour protester contre une politique bloquante et non dynamisante. Le terme artificialisation est utilisé d'une façon choquante. Vous avez une maison avec jardin de disons 500m2 ? C'est une surface artificialisée !
Ajoutons les oppositions diverses. Dans ma petite ville de 6500 habitants l'agglomération des communes a décidé de permettre la construction entre autres de logements sociaux. Mais les manifestations ( agriculteurs et écolos) se succèdent, les recours aussi car il ne faut pas construire sur des surfaces qui " pourraient" servir pour l'agriculture ou l'élevage ( meme si dans les 20 dernières années je n'y ai vu ni une animal ni une culture).. Je serais le constructeur j'hésiterais à construire là.

La pénurie de logements est un vrai problème social. Alors que faire ?

Déjà, il faut signaler que, au cours des dernières décennies, le bâtiment a été très largement subventionné : APL, amortissements Besson, Duflot et autres, prêts à taux zéro, subventions aux offices HLM, etc. Tous ces dispositifs coûtent cher aux finances publiques, et ils ont surtout eu pour effet d'augmenter les prix, sans vraiment solutionner le problème de l'insuffisance de l'offre.

De façon générale, les dispositifs consistant à subventionner la demande (APL, prêts à taux zéro...) ont pour effet d'augmenter les prix, et tout dispositif de défiscalisation au profit des investisseurs éventuels crée des effets d'aubaine. Seule une offre accrue de logements pourra satisfaire la demande et faire baisser les prix. Et pour cela, il faut imaginer autre chose que ces sempiternels dispositifs de défiscalisation et de subvention à la demande.

Il faut donc imaginer autre chose. A mon avis, pour accroître l'offre de logements, il faut donc :
- faire la chasse aux résidences secondaires et aux locations meublées de tourisme (car ce sont autant de logements qui ne peuvent plus servir de logement principal),
- construire massivement (et là, il y aura des choix politiques à faire, au niveau des règles d'urbanisme).

Construire massivement ne servira pas à grand chose car c'est déjà dans les zones les plus urbanisées que se trouve la plus grande pénurie de logements. Dans ma région la Cote d'Azur, plus on a bétonné plus on a attiré du monde et plus la pénurie du logement a augmenté.

[Patchouli38]

La pénurie de logements vient aussi des propriétaires qui préfèrent louer leur logement en Airbnb, à des touristes, parce que bien plus lucratif que de le louer à des locataires du coin.
Il y a également des propriétaires qui ne veulent plus louer, refroidit par l'incivilité de leur locataire (loyers non pays, destruction du bien, etc.).