liberté a écrit :Ce qui est effrayant dans ce que dit le yag detour, c'est qu'un tiers des contaminés chaque année en France sont homos.
Ils sont pourtant informés, des risques encourus.
Heï !! j'ai jamais dit çaRananen a écrit :les transfusez peut etre homos ou hetero ...
tu voudrait dire que c est la 2 eme étape du plan bachelot , interdire les transfusion au homosexuel ?
Je ne sais pas sur quoi tu te bases pour l'affirmer comme ça. Devant un tribunal l'humanisme sera-t-il pris en compte avec la même valeur que celle de savoir qu'il y a un risque de santé publique pour un ministre?Rananen a écrit :ce qui est clair cest que cette interdiction pour les homosexuel ce fait avec des arrière pensez malsaine et aucunement sur des base scientifique ou humaniste .
Dans ces chiffres on dit 38% pour les homosexuels masculins, et 60 % pour les rapports hétérosexuels, soit on peut le supposer 30% d'hommes et 30% de femmes dont la moitié des personnes viennent d'Afrique sub saharienne.L’épidémie en France* (données pour 2007)
• 6 500 découvertes de séropositivité en 2007 (6 300 en 2006)
• Les rapports hétérosexuels représentent 60% des découvertes de séropositivité en 2007 et concernent pour moitié des personnes d’Afrique subsaharienne
• Les homosexuels masculins représentent 38 % des découvertes de séropositivité (29% en 2006).
voyez les derniers chiffres en 2007
38 gays sur 100 personnes sont devenus séropo
qui sont donc les 62 autres personnes?
Dans un entretien paru dans Libération le mercredi 14 janvier, la ministre de la santé justifie sa décision en affirmant que "les données épidémiologiques sont incontestables : entre 10 et 18 % des gays sont contaminés, alors que ce pourcentage est de 0,2 % pour les hétérosexuels. Les situations épidémiques ne sont pas les mêmes. Il y a un risque, et ce risque est trop élevé".
Comme le dit ce document ce sont les pratiques qui sont à risque.spacedan a écrit :Alors qu'en France les autorités sanitaires continuent de refuser que les homosexuels donnent leur sang, l'Institut portugais du sang (IPS) a décidé de mettre fin à cette exclusion. « La tendance actuelle est à l'égalité des critères pour tous, indépendamment de leur orientation sexuelle », affirme José de Almeida Gonçalves, directeur de l'IPS. Selon lui, l'apparition de nouvelles techniques de dépistage beaucoup plus fiables, comme le test d'amplification des acides nucléiques (TAN), permettent aujourd'hui de lever cette interdiction qui frappe les gays. « Grâce à un degré de fiabilité très supérieur aux tests précédents, cette technique permet de dépister avec beaucoup plus de sécurité les infections comme le VIH ou les hépatites », explique-t-il. La mesure a été évidemment accueillie avec joie par les associations homosexuelles. En France, la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) s'est prononcée le 6 février 2006 sur une évolution de l'interdiction systématique faite aux homosexuels de donner leur sang. Jean-Luc Romero, président de l'association Élus locaux contre le sida (ELCS), a interpellé le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, pour qu'il mette fin à cette discrimination. Mais le ministre de la Santé a réaffirmé la doctrine française sur le sujet : « Ce n'est pas le fait d'être homosexuel, mais la pratique de relations homosexuelles entre hommes qui constitue une contre-indication au don du sang ».
Ce qui s'appelle jouer sur les mots et laisse camper cette mesure discriminatoire choquante à l'encontre des homosexuels.
source : http://www.arcat-sante.org
Nous avons des moyens de tests efficaces, il n'y a plus de public à risque mais de pratiques à risque.
Cessons de faire de la discrimination et faisons avancer notre pays sur ce point comme en Italie ou au Portugal !
Où restons dans un positionnement discriminatoire.
tisiphoné a écrit :dans les hétéro contaminés , on range qui ? les enfants ? les transfusés ?
Tu dis n'importe quoi car :Rananen a écrit :ce qui est clair cest que cette interdiction pour les homosexuel ce fait avec des arrière pensez malsaine et aucunement sur des base scientifique ou humaniste .
Tu as des ratios, chez les gays, concernant les hommes et les femmes contaminés ?leYAGdetours a écrit :• 6 500 découvertes de séropositivité en 2007 (6 300 en 2006)
• Les rapports hétérosexuels représentent 60% des découvertes de séropositivité en 2007 et concernent pour moitié des personnes d’Afrique subsaharienne
• Les homosexuels masculins représentent 38 % des découvertes de séropositivité (29% en 2006).
homosexualité masculine???
non homosexualité tout court! femmes et hommes.
les lesbiennes sont tout autant potentiellement suceptibles d'etre infectées que les gays
il a plus de chance statistiquement de tombez sur un hetero contaminé ( 60 % ) donc c'est bien des arriéres pensez qui font l interdiction de dont du sang pour les homosexuels .liberté a écrit : Tu dis n'importe quoi car :
- Scientifiquement, il y a une base qui s'appelle "statistiques".
- L'humanisme passe au second plan, voire devient inexistant quend il s'agit de risques de contamination.
Ne cherche pas encore une fois de voir des choses malsaines la ou il n'y en pas.
Tu ne comprends rien à rien, ta réponse prouve que tu mélanges données absolues et données relatives, alors, de grace, arrète de te méler des conversations sérieuses, on croirait que ton trollage est volontaire.Rananen a écrit :
il a plus de chance statistiquement de tombez sur un hetero contaminé ( 60 % ) donc c'est bien des arriéres pensez qui font l interdiction de dont du sang pour les homosexuels .
liberté a écrit : Tu ne comprends rien à rien, ta réponse prouve que tu mélanges données absolues et données relatives, alors, de grace, arrète de te méler des conversations sérieuses, on croirait que ton trollage est volontaire.
Les stats dont je te parle sont niveau seconde.