pour sourire un peu

il fait peine TiTi

Lors d'une conférence de presse commune, Raymond Domenech et Thierry Henry ont minimisé le "clash" au sein de l'équipe de France. Le premier a refusé de commenter les "mensonges" parus dans la presse, le second a assuré qu'il y a eu une discussion "constructive", mais "pas d'embrouilles".
Lors d'une conférence de presse commune avec le sélectionneur Raymond Domenech, l'attaquant de l'équipe de France Thierry Henry a une nouvelle fois démenti mardi avoir critiqué la gestion du sélectionneur Raymond Domenech et a affirmé que le "groupe n'était pas perturbé" avant le choc contre la Serbie, mercredi à Belgrade en éliminatoires du Mondial-2010.
A la question de savoir pourquoi il est intervenu lundi 7 septembre au journal de 20 heures de TF1, il a expliqué que c'est "parce qu'il y a quelque chose qui a été déformé. Comme je l'ai dit, il y a eu une discussion qui a été constructive (avec le sélectionneur, NDLR). Il n'y a pas eu de clash, pas d'embrouilles. Il n'y a rien eu de grave. On a tous été surpris. C'est dommage de sortir des informations comme celles-là. Mais on commence à en avoir l'habitude."
Selon lui, cette histoire, lancée par un article dans Le Parisien, n'a pas atteint le groupe France. "Cela n'a pas perturbé le groupe, a-t-il expliqué. Vous l'avez vu lors du match contre la Roumanie. On voulait prendre les trois points. Cette discussion a été très bonne pour le groupe et cela s'est vu sur le terrain."
Pour lui, le problème n'est pas que l'information ait été rendue publique. "Ce n'est pas grave quand l'information est bien donnée mais quand cela sort mal, je trouve cela dommage", a-t-il précisé.
"Je ne commente pas les mensonges dans la presse", a pour sa part indiqué Raymond Domenech au sujet de ces remous médiatiques, à la veille de Serbie-France, ce mercredi. A la question de savoir s'il était "amusé ou agacé" par l'article du Parisien et ses conséquences, il a répondu: "Ni l'un ni l'autre, mon travail est de préparer une équipe. Il n'y a pas de place pour les états d'âme".
La conférence de presse a été agitée, dans une petite salle bondée près du Marakana à Belgrade, parasitée par les difficultés du traducteur serbe demandant à Thierry Henry, présent au côté du sélectionneur, des précisions sur les questions qui lui étaient posées. Il y eut aussi des problèmes de micros et des fous rires entre Henry et Domenech.
nan , il répète la leçon apprise et elle a du mal à passerEax a écrit : Il est défoncé ?
C'est la première fois que je le vois comme ça, il cherche ses mots.Pas très cohérent tout ça.
on peut pas demander à un footballeur de réfléchir avec son piedclint a écrit : J'ai la faiblesse de penser que Henry a bien dit ce qu'on fait fait dire.
Mais, il aurait pu le dire avant et non quelques heures avant la rouste contre les délicats serbes (que je ne souhaite pas).
Tout ça est aussi vide que la cellule de l'assassin présumé de la fille Giraud.