On progresse finalement.

Le gars qui en a la charge est un polytechnicien ; il peut gererFonck1 a écrit : j'ai lu ou entendu ce matin que le système informatique "le cerveau" etait pas scindable....ca laisse présager une super gestion du problème,je le crains fort...
je ne pense pas qu'il faille renoncer,juste prendre le maximum de précautions (en l'état visiblement,ca en prends pas le chemin),un réacteur nucléaire,c'est pas un four a pizza.
95D a écrit : Enfin des bonnes nouvelles :
1- une autorité étatique qui se permet d'auditer des installations à risque et qui émet des recommandations de modification à des mastodontes comme Areva et EDF (et qui les rend publiques).
2- Ces mêmes opérateurs qui répondent qu'ils s'occupent de faire le nécessaire pour corriger les anomalies détectées.
C'est comme çà que doit fonctionner une démocratie et un Etat responsable. Dommage que pour Tchernobyl, ce n'étaient pas l'ASN et AREVA qui étaient aux manettes !!! On aurait ainsi pu éviter une catastrophe.
C'est votre interprétation, mais pourquoi pas. Celà ne fait que prouver qu'au delà de la démocratie, la coopération eurropéenne marche bien.Rananen a écrit : d abort si l organisme français a admit le probleme c est bien parce que 2 organisme de contrôle étrangers l annoncez , il ne pouvait donc pas faire autrement .
Peut-être, mais ai-je dit le contraire. Il est aussi loin d'être sur qu'il ne le soit pas.Rananen a écrit : d autre par il est loin d être sur que se probleme soit résolvable .
En toute logique, si on arrête de travailler, on résoud JAMAIS les problèmes !!!Rananen a écrit : aussi en toute logique avant d avoir démontrez que le probleme est résolue les travaux devrait s arrêtez .
95D a écrit :
En toute logique, si on arrête de travailler, on résoud JAMAIS les problèmes !!!
Je ne vois pas en quoi la réfection d'un problème informatique devrait empécher par ailleurs de monter des murs en béton ? Je vois mal la CGT du bâtiment accepter de mettre des maçons au chomage sous pretexte que des informaticiens ont du boulot à refaire ailleurs.
Je vous rappelle que l'EPR n'est pas en fonctionnement actuellement (puisque La Palisse aurait pu remarquer qu'il est en construction !!!) et que donc le risque nucléaire aujourd'hui est NUL !!!
GECKO a écrit : ha! le nucléaire, quelle belle cible pour l'intégrisme écolo...![]()
mais il y en a qui oublient de dire que depuis qu'on est au nucléaire, il y a
moins de morts dans les mines de charbons
moins de pollution de co2
moins de pollution radioactive OUI Car remuer du charbon, en plus de remuer du radon , répand dans l'astmosphère des particules radioactives..c'est ballot..
j'arrête là..
la sécurité nucléaire ? ah oui, ben comme toute chose, faut les moyens , faut le temps, mais en attendant à ce jour
le bilan en vies humaines est positif par rapport au charbon, sauf à Tchernobyl où évidememnt ils y a d'autres règles appliquées..
vas y produit des chiffres, moi je les ai pour le charbon...Rananen a écrit :
c'est sur lles mines d uranium fond beaucoup moins de mort en France puisqu on les fait au soudan .
GECKO a écrit : vas y produit des chiffres, moi je les ai pour le charbon...
et puis faut pas confondre uranium enrichi et minerai..
donc tu ne sais rien ...Rananen a écrit : aréva et l etat du soudan interdit toute enquête indépendante .
il y a quelque années des scientifique on voulue allez prendre des mesures ça a était interdit les instrument confisquez , les scientifique on subit des pression physique pour les empêchez d enquêtez . certaine association parle de plusieurs centaine de mort rien que pour l implantation . les dechet d etraxion radioactif ( on sait pas de combien puisque pas de matériel autorisez ) sont laissez en pleine air , les mineur et les ouvrier autour n ont aucune protection !
lol , cest trop facile , on interdit de faire les enquêtes et donc ca veut dire que y a pas de probleme .... tu est formidable , tu te serait bien portez sous le naziqme toi ....GECKO a écrit : donc tu ne sais rien ...
google est ton ami, et je te laisses trouver les morts dans les mines de charbon, récents, passés, au non de l'énergie,
et ceux évités par dispersion du charbon dans les centrales
ceux évités par moins de co2 dissipé etc etc..
mais bon, je n'ai aucune illusion à ce que tu l'admettes..
seule ta vision compte
je note rananen , je note.....Rananen a écrit : lol , cest trop facile , on interdit de faire les enquêtes et donc ca veut dire que y a pas de probleme .... tu est formidable , tu te serait bien portez sous le naziqme toi ....
« Aucun impact sur le planning», assurent EDF et Areva après les doutes émis par les autorités nucléaires sur la sécurité du réacteur en construction à Flamanville (Manche). Mais le débat, lui, fait rage.
La remise en cause du système de contrôle et de commande des deux réacteurs nucléaires, en construction à Flamanville et en Finlande, électrise le monde politique. Les Verts réclament « l'arrêt du chantier de Flamanville. Quatre milliards d'euros pour un réacteur expérimental, c'est de l'argent gaspillé. Il aurait pu servir dans un grand programme d'isolation thermique », commente Noël Mamère, député-maire de Bègles.
Le parti socialiste, par la voix de sa secrétaire nationale à l'énergie, Aurélie Filippetti, réclame « une commission d'enquête parlementaire sur la sûreté nucléaire », tandis que Corinne Lepage (MoDem) exige un moratoire et « un débat national sur les choix énergétiques ».
Ce tir de barrage ne semble, toutefois, pas émouvoir EDF et Areva. « Les réponses aux questions des autorités de sûreté seront apportées avant la fin de l'année. Et, à ce stade, il n'y a pas d'impact sur le planning du chantier. »
L'EPR n'en est pas à ses premiers déboires. L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a déjà suspendu le chantier pour différentes malfaçons. « Pourquoi réagir aussi tard ? Le réacteur comporte-t-il d'autres défauts de conception mettant en cause sa sûreté ? Faut-il confier à des experts extérieurs un réexamen exhaustif des éléments de sûreté afin de vérifier si d'autres défauts de conception n'ont pas été négligés ? », interroge la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad).
L'ASN a-t-elle réagi tardivement ?
L'intervention des autorités nucléaires semble, en effet, bien tardive. Le projet de réacteur de 3e génération est à l'étude depuis 1992. Comment le Premier ministre, Dominique de Villepin, a-t-il pu signer, en 2007, le décret d'autorisation de création sans savoir comment on allait piloter le coeur nucléaire ? « Rien d'anormal à cela », explique Guillaume Wack, directeur des centrales nucléaires au sein de l'ASN. « Un réacteur est très complexe. Son évolution est étudiée par étapes successives. Chaque fois plus détaillée. »
Les Anglais et les Finlandais s'en étaient émus dès décembre 2008. Guillaume Wack assure que l'ASN s'est penchée sur ce problème informatique « dès la fin 2007 ».
Pour Guillaume Wack, la réaction commune des trois autorités « constitue un bon exemple de coopération ». Elle pèse plus lourd face aux industriels de l'atome qui ne peuvent plus esquiver en arguant que les analyses diffèrent selon le pays client. La fin d'une partie de poker menteur en quelque sorte.
Source ouest france