Fonck1 a écrit : la société actuelle,sans foi ni lois.il faudra vraiment que l'on tape dur sur ces types de pratiques,c'est lamentable.
sauf qu'en l'occurrence,c'est pas chez nous. :roll:Rananen a écrit : sauf que ça n arrangera rien , ce qui faut c est s attaquez au problème de fond pourquoi notre société crée de la violence .
De Dominique BEAUJOUIN (AFP) – Il y a 13 heures
TOULOUSE — Les supporteurs du Toulouse FC étaient tétanisés par la douleur mardi après l'annonce du décès de Brice Taton à Belgrade, des suites de blessures infligées par une bande de hooligans à quelques heures du match d'Europa league Partizan-TFC, le 17 septembre.
Les responsables d'associations de supporteurs, les Indians, comme Forza Viola, se refusaient à tout commentaire "à chaud", tandis que le club du président Olivier Sadran soulignait dans un communiqué laconique que l"heure est au recueillement".
Un membre des Indians, dont Brice Taton était membre depuis 2001, a simplement indiqué que "les membres prendraient une décision collégiale mardi soir sur les actions concrètes qu'ils mèneraient pour rendre hommage à la mémoire de Brice Taton lors du match contre Bruges", jeudi au Stadium de Toulouse en Europa League.
Requérant l'anonymat, cet Indian a refusé d'indiquer où se réuniraient les supporteurs, désirant rester à l'écart de la presse.
Parallèlement, Guillaume Mottes, président de Forza Viola, équipe de foot loisirs dont Brice faisait partie, ne voulait "pas faire de commentaire aujourd'hui (mardi)" sur la mort de ce jeune homme de 28 ans.
Olivier Sadran a mis l'accent sur "la nécessité de respecter le deuil de la famille" de Brice Taton, commercial de profession, qui fut trésorier des Indians de 2004 à 2006.
Au moment où la nouvelle du décès se répandait devant le stade parmi quelques dizaines de supporteurs venus assister à l'entraînement mardi matin, le président du TFC a décidé de protéger ses joueurs de toute question, demandant aux journalistes de se retirer en déclarant: "Pas de réaction à chaud !".
Olivier Sadran a montré la même retenue dans le communiqué du TFC qui a suivi, tout en soulignant que "viendra le temps où ce déchaînement de violence en marge du sport devra être sévèrement puni".
Le TFC, "en deuil", "veillera à ce que la justice soit rendue et sera un soutien sans faille auprès de la famille de Brice", a-t-il poursuivi sur le site internet du club.
Dans l'après-midi, le TFC a annoncé qu'une collecte de dons serait effectuée et un hommage rendu à son supporteur décédé, lors du match de Ligue 1 dimanche contre Lorient. Le club a mis à disposition des places gratuites pour cette rencontre, précisant qu'"en échange de ces places chaque supporteur pourra librement faire un don à la famille afin de la soutenir dans cette terrible épreuve".
Plus classiquement, tous les institutionnels toulousains ont présenté leur condoléances à la famille de Brice Taton et au TFC.
Le député-maire PS de Toulouse Pierre Cohen s'est dit "effondré". "Mes premières pensées vont à sa famille, à ses amis supporteurs et à tous les membres du Toulouse Football Club", a-t-il ajouté.
"Toulouse et Midi-Pyrénées sont endeuillées aujourd'hui par l'annonce du décès de Brice Taton. Nous sommes tous aux côtés de sa famille. On ne peut pas laisser donner cette image-là du sport. Les instances européennes de football doivent prendre des mesures (...) c'est le football qui est en deuil dans toute l'Europe et qui doit le manifester", a déclaré Martin Malvy (PS), président de la région Midi-pyrénées.
tout dépends des matchs en angleterre.la politique tarifaire ne changera jamais rien,regarde,dans les pays les plus pauvres,les gens préfèrent aller au stade et se priver de bouffe une semaine..Crapulax a écrit : Tu dis vrai Fonck,mais avec une politique tarifaire qui a exclu pratiquement des stades,une certaine classe "populaire" qui était en droit pour un sport qui l'est justement.Je ne suis pas pour,en outre,tu dis vrai les Hools ne sont plus dans les stades pour les championnats mais double facette,les Anglais comme les Allemands en sélection Nationale sont les plus violents,le problème n'est que déplacé.
Il y avait une époque ou tous les ultras etaient fichés et bien connu, surveillés dans les stades. Et ça faisait scandale car beaucoup de supporter ne comprenaient pas pourquoi ces personnes n'étaient pas interdites de stades (la réponse: il est plus facile de les surveiller quand on sait ou ils sont).Crapulax a écrit : Je ne ferais pas de procés aux Hools,je ne peux pas mais les instances Internationale du Foot connaissent les pays à risque,il suffit de voir le résultats des rencontres entre clubs rivaux.Ne pas faire comme MAM qui a fait fermer Boulogne au Parc et dissout le KOB et qui donc a réussie à transformer des ultras en Indépendants,qui se retrouve partout dans toutes les tribunes!Du grand n'importe quoi!
En revanche,je suis attristé du décés de ce supporteur,ca c'est dur.
Si ils sont 200, les flics vont croire à un émeute...Fonck1 a écrit : les faire pointer aux commissariat les soir de match.
Tous n'habitent pas dans le même quartier.padbol a écrit : Si ils sont 200, les flics vont croire à un émeute...
et ils ne peuvent sans doute pas les garder pendant tous le match.
le temps d'attente a l'entrée des stadesCrapulax a écrit : Je suis pour un principe d'identification sensoriel,avec la main par exemple,pour les sups déjà fichés,ce serait efficace mais évidement couteux.
en plus,le moindre doigt coupé par un couteau,et c'est mort.