C'est assez délicat dans la mesure où chacun a droit aussi à un minimum de calme du point de vue du voisinage, et à la possibilité de faire valoir ses droits.dinosaure a écrit : C'est clair que c'est une pathologie lourde. Pour moi ce n'est pas à la justice de régler le problème.
Mais on peut plus que légitimement en effet s'interroger sur l'efficacité d'une telle décision, dans la mesure où quelque soit sa sévérité, one ne voit pas trop comment le trouble du voisinage cessera.
Et quelles sont les possibilités d'action d'une dame âgée et démunie qui est la première victime des crises de son fils ?