L'expression "je m'en tamponne" vient de prendre tout son sens. Grâce à une nouvelle mode venue tout droit des Etats-Unis, relayée par plusieurs chaînes d'info américaines (voir vidéo ci-dessous), et qui consiste, pour augmenter les effets de l'alcool, à s'insérer dans l'anus des tampons imbibés de vodka. Qui, de toute façon, n'est plus un alcool noble depuis longtemps...
Une information à la lecture de laquelle on ne peut que se souvenir du phénomène "Eyeballing", qui fait rage en Angleterre, et où il s'agit de se verser de la vodka (déjà...) dans les yeux avec l'idée d'être saoul le plus rapidement possible. "Les jeunes qui s'adonnent à ce genre de pratiques sont déjà saouls, car il faut être d'une certaine manière anesthésié pour pouvoir supporter la douleur. Cela représente un danger pour la surface de l'œil, très sensible à ce type d'agressions qui peut entraîner des troubles définitifs de la vision", prévenait dès l'automne 2010 Jean-Antoine Bernard, directeur scientifique de la Société française d'Ophtalmologie, alors interrogé par MetroFrance.com.
La mode du "tampon imbibé de vodka dans l'anus" ne porte, elle, pas encore de nom anglophone branché, mais il y a fort à parier que cela ne saurait tarder. Dans les faits, ses adeptes y trouvent leur compte parce que l'alcool ainsi "introduit" n'est plus filtré par l'estomac, et passe directement dans le système sanguin...
Nul doute, d'ailleurs, qu'un spécialiste prendra la peine d'interpeller ces jeunes Américains sur les dangers d'une pratique pouvant provoquer de sévères irritations, en plus de multiplier les risques de coma éthylique, l'alcool ne pouvant ainsi plus se vomir... Les autorités américaines, complètement dépassées par ce phénomène, pourraient même alors suggérer que le Get 27 serait sans doute bien plus efficace pour lutter contre les odeurs.






Mais la vraie question est : comment ont-ils pensé à ça
