et c'est donc dans le prolongement de cette affaire que sortent les listingEn 1988, le groupe Thomson-CSF (aujourd'hui groupe Thales) approche le gouvernement français en vue de l’opération Bravo, soit la vente à Taïwan de six frégates de la classe La Fayette pour la somme de 2,8 milliards de dollars. Le ministre des Affaires étrangères Roland Dumas met son veto, relayant ainsi l'opposition de la Chine à cette transaction.
Le groupe pétrolier Elf, en la personne de Alfred Sirven (bras droit de Loïk Le Floch-Prigent, président du groupe), propose alors aux dirigeants de Thomson les services du "réseau Elf" (par le biais d'Edmond Kwan, un homme d'affaires chinois) pour jouer les intermédiaires avec Pékin. Quelques mois plus tard, la Chine met en sourdine ses objections et le ministère français des Affaires étrangères lève son veto. En août 1991, le contrat Bravo (contrat d'achat des frégates de Taïwan) est signé pour 2,8 milliards de dollars US.
Apparemment les politiques désignés par le listing sont aussi bien de droite que de gauche.Depuis juin 2001, le juge Renaud Van Ruymbeke enquête sur l’affaire des frégates de Taïwan. Au printemps 2004, il reçoit plusieurs lettres anonymes et CD-ROMs prétendant révéler l'existence d'un réseau international d’influences et de malversations, ainsi que celle de 895 comptes bancaires occultes qui, ouverts par de nombreuses personnalités du monde des affaires (dont Alain Gomez, Pierre Martinez, Philippe Delmas) ou de la politique (dont Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius, Alain Madelin et Jean-Pierre Chevènement), auraient fait transiter l'argent des frégates.
- Nicolas Sarkozy
- Dominique Strauss-Kahn
- Laurent Fabius
- Alain Madelin
- Jean-Pierre Chevènement
Bon.. qui pouvait bien être intéressé à l'époque à casser la réputation de ces personnalités... ba peu être Ségolène après tout

M'enfin au départ, cela reste quand même une histoire de guerre commerciale, entre groupe industriel de l'armement, même si les politiques en fonction de l'état, qui ont le pouvoir de donner leur accord ou pas pour la vente de ces armes et en touche peu être des étrennes, se trouvent mêlé à ces opérations commerciales
Et puis derrière tout ça, parce que c'est presque inaudible dans l'actualité, un million de chômeurs vont arriver en fin de droits cette année, suite au milliers de milliards de pertes banquaire et aux réductions d'emplois que cela à entraîné, je crois que c'est plus important que leur théâtre de justice politico-financière....Ainsi, dans le groupe EADS, se déchireraient deux clans issus de l’ancien groupe Matra : d’une part celui d’EADS proprement dit, animé par Philippe Camus et Jean-Louis Gergorin ; d’autre part, celui d’Airbus, dirigé par Noël Forgeard et Philippe Delmas.
à oui... j'ai pas voté... ça me casse les pieds en ce moment.. leurs trucs de fanfreluche.. sous couvert de secret d'état.