La séquestration de dirigeants d'Akers prend fin

[95D]

Regardez le fil en tête. La négo finit ce matin à 28.500 !!!
Or, ils étaient déjà à 28.000, il y a 2 jours !!!
Faites les calculs vous même.

[dinosaure]

Or, ils étaient déjà à 28.000, il y a 2 jours !!!

Affirmation qui n'apparaît pas dans le texte que vous citez et que vous êtes incapable de prouver.

[Fonck1]

FRAISSES (Loire) - Les quatre dirigeants du groupe métallurgique suédois Akers, retenus dans leur usine de Fraisses (Loire) par des salariés grévistes pendant plus de 24 heures, ont été relâchés jeudi soir.
Un des quatre dirigeants d'Akers, Laurent Dousselin, quitte l'usine de Fraisses après avoir été séquestré une journée par des ouvriers le 21 janvier 2010.

AFP/Philippe Desmazes

Un des quatre dirigeants d'Akers, Laurent Dousselin, quitte l'usine de Fraisses après avoir été séquestré une journée par des ouvriers le 21 janvier 2010.

Les quatre cadres, dont le directeur général d'Akers France Philippe Bello et le directeur des ressources humaines Dominique Lasalle, sont sortis après la signature d'un premier protocole d'accord en compagnie de représentants syndicaux, a constaté un journaliste de l'AFP.

Ils se sont ensuite rendus ensemble à la mairie de Fraisses et ont "contresigné quatre autres exemplaires de ce même protocole destinés aux partenaires sociaux, devant des élus dont le maire de la commune", a précisé jeudi soir à l'AFP David Berthaud, secrétaire (CFDT) du comité d'entreprise.

"Un protocole définitif sera signé le 17 février prochain, qui inclut l'accord d'aujourd'hui", a-t-il ajouté.

Les cadres étaient retenus sur le site, condamné à la fermeture en juin prochain. La majorité des 117 salariés était en grève depuis le 13 janvier.

L'accord signé prévoit, outre un nettoyage des locaux par les salariés vendredi et une reprise du travail à partir de lundi, "une prime supra-légale de 20.000 euros et une prime variable, en fonction du chiffre d'affaires du site, d'un minimum de 8.500 euros aux salariés licenciés", a précisé Jean-Paul Chamblas, délégué syndical (FO).

"C'est un bon accord, même si on n'a pas obtenu tout ce qu'on voulait, car on a quand même plus que ce que proposait la direction, 6.000 euros, au départ", a-t-il ajouté.

"Nous, nous avons réclamé jusqu'à 60.000 euros, dix fois plus, en sachant que ça ne passerait pas", reconnaît Jean-Michel, l'un des ouvriers.

Jusqu'aux dernières heures de la journée, la situation paraissait pourtant bloquée. Les tractations s'éternisaient entre les quatre dirigeants, en contact par téléphone avec la direction suédoise, et les syndicats, consultant leur base lors d'assemblées générales auxquelles la presse n'était pas conviée.

Les cadres retenus conditionnaient quant à eux la négociation à leur libération, après une nuit passée dans une salle de réunion de l'usine.

"Il n'y a pas d'autre solution que de nous laisser sortir, puisque notre mandat à négocier nous a été enlevé par la direction", a dit Laurent Dousselin, directeur du site, qui s'est finalement rangé à contrecoeur à un accord signé en deux temps, sur le site, puis à la mairie de Fraisses.

A Saint-Etienne, le tribunal de grande instance avait ordonné jeudi en référé la libération des quatre cadres.

De son côté, le ministre de l'Industrie Christian Estrosi avait estimé qu'"il ne saurait y avoir de poursuite du dialogue tant que les dirigeants n'auront pas recouvré leur entière liberté d'action" et condamné des "comportements irresponsables.

Akers a annoncé en novembre 2009 la fermeture de l'usine de Fraisses, évoquant un effondrement des commandes.

A l'entrée du site, des salariés s'étaient relayés jeudi autour d'un brasero, avalant sandwiches et cafés pour conjurer le froid, à côté d'un mannequin en bleu de travail, pendu à une corde.

http://www.lexpress.fr/actualites/1/loi ... 43478.html

[paris16]

comme quoi seul la violence payent .

vous plaisantez, j'espère . Car vous n'êtes pas sans savoir qu'un accord conclut sous la menace n'a aucune légitimité et que demain les dirigeant peuvent légalement ne pas appliquer cet accord arraché par des procédés illégaux dignes de mafiosis

[dinosaure]

vous plaisantez, j'espère . Car vous n'êtes pas sans savoir qu'un accord conclut sous la menace n'a aucune légitimité et que demain les dirigeant peuvent légalement ne pas appliquer cet accord arraché par des procédés illégaux dignes de mafiosis

Pauvre paris16 qui fait du juridisme.

[paris16]

Pauvre paris16 qui fait du juridisme.

il est toujours préférable d'agir avec son cerveau qu'avec ses biceps

[dinosaure]

il est toujours préférable d'agir avec son cerveau qu'avec ses biceps

Boaf une bonne baffe dans la gueule d'un patron-voyou est un excellent moyen de lui apprendre la vie.

[Fonck1]

Boaf une bonne baffe dans la gueule d'un patron-voyou est un excellent moyen de lui apprendre la vie.

surtout a faire des 000 a la fin du chèque

[capitaine]

La psychologie, y en a qu'une : défourailler le premier ! (les tontons flingueurs)

[paris16]

surtout a faire des 000 a la fin du chèque

mais surement avec aucun chiffre devant......dans le monde actuel, sachez que le petit sera toujours la poire et que les méthodes de voyous celà marche peut-être dans certains quartiers mais pas dans les salons des DRH

[barbara]

Boaf une bonne baffe dans la gueule d'un patron-voyou est un excellent moyen de lui apprendre la vie.

A quand le rétablissement de la peine de mort? :content2

[paris16]

Boaf une bonne baffe dans la gueule d'un patron-voyou est un excellent moyen de lui apprendre la vie.

Vous voulez rire, qu'est ce qu'un voyou peut apprendre à un patron......votre méthode préconisée aura assurement comme résultat la mise à pied de cette graine de canaille d'employé cogneur sans indemnités car faute grave...vous voyez le patron aura toujours le dernier mot

[Fonck1]

Vous voulez rire, qu'est ce qu'un voyou peut apprendre à un patron......votre méthode préconisée aura assurement comme résultat la mise à pied de cette graine de canaille d'employé cogneur sans indemnités car faute grave...vous voyez le patron aura toujours le dernier mot

le respect d'autrui et de ses familles.

[paris16]

le respect d'autrui et de ses familles.

un patron a assez à faire à gérer son entreprise, à trouver des marchés, tenter d'anticiper etc.....si en plus vous voulez qu'il s'occupe des familles de ses employés, et pourquoi pas aussi faire faire les devoirs des petits le rôle du patron vis à vis de son employé c'est de le payer pour le travail qu'il doit faire , tenter de lui apporter une formation permanente pour qu'il puisse évoluer au sein de l'entreprise et puis stop le reste c'est du social et l'entrepreneur n'est pas là pour cela, il y a en france pléthore d'organismes sociaux, à chacun son boulot

[dinosaure]

Vous voulez rire, qu'est ce qu'un voyou peut apprendre à un patron......

La question est :
Qu'est-ce qu'un patron de grande entreprise comprend actuellement à part le rapport de force ?