
Le réchauffement climatique n’est pas naturel
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
Bon, avec cette canicule comment voulez vous que dans votre vestibule on vous entende ? 

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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel



Attention scoop de la comptable-climatologue !!!
Les chercheurs auraient "oublié" de tenir compte des variations maintenant

Le ridicule ne tue pas sinon vous seriez six pieds sous terre depuis des plombes ...

Dans ma grande bonté j'essaye (en pure perte) de vous éduquer ... passez du niveau collège au niveau début de lycée et essayez de comprendre ce qu'est la dispersion d'une série statistique ... je sais intellectuellement je vous en demande beaucoup là.
- lotus95
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
c'est surement parce que c'est ridicule que vous avez coupé la phrase au bon endroitsolaris a écrit : ↑01 août 2023 20:40![]()
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Attention scoop de la comptable-climatologue !!!
Les chercheurs auraient "oublié" de tenir compte des variations maintenant![]()
Le ridicule ne tue pas sinon vous seriez six pieds sous terre depuis des plombes ...
Dans ma grande bonté j'essaye (en pure perte) de vous éduquer ... passez du niveau collège au niveau début de lycée et essayez de comprendre ce qu'est la dispersion d'une série statistique ... je sais intellectuellement je vous en demande beaucoup là.
![Dan.San :]](https://www.forum-actualite.com/debats/images/smilies/8.gif)
Vous n'êtes qu'un guignol , allez jouer aux billes2- Eh bien, c'est justement là que se trouve l'arnaque , parce que les moyennes sur X années gomment les fluctuations de température en diluant les pics de chaleur passés dans un magma qui ne veut rien dire , pour faire croire que le réchauffement actuel est sans précédent , ou qu'il y a une accélération.
À la télé ils disent tous les jours : 'Y a trois millions de personnes qui veulent du travail.' C'est pas vrai : de l'argent leur suffirait." Coluche
- Mesoke
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
1- Sérieux tu penses vraiment que les climatologues sont des gros crétins qui font des bêtes moyennes non pondérées ? Tu crois vraiment qu'ils ne prennent pas en compte les densités géographiques de stations météo ?lotus95 a écrit : ↑01 août 2023 18:37 1- je parlais de fréquence : heures; jours, semaines, mois ...
et justement , tu ne sais pas si les mesures et moyennes se font toujours à base comparable sur 30 ans ; le nombre de stations augmente , et l'évolution de leur répartition peut fausser les données lorsqu'on se place à l'échelle mondiale
- Non, 30 ans , c'est très insuffisant si on cherche à démontrer que le réchauffement a un lien avec l'activité humaine
- Pas de mauvaise foi stp, je te rappelle que les courbes sur ces dernières années (2015-2023) ne visent qu'à démontrer qu'il n'y a pas d'accélération puisque les températures stagnent depuis 2015 , contrairement à la propagande mensongère diffusée quotidiennement
- 41000 stations , c'est sur la planète ... en quoi c'est contradictoire avec le fait qu'elles sont plus concentrées dans des zones urbanisées qu'ailleurs ?
2- Eh bien, c'est justement là que se trouve l'arnaque , parce que les moyennes sur X années gomment les fluctuations de température en diluant les pics de chaleur passés dans un magma qui ne veut rien dire , pour faire croire que le réchauffement actuel est sans précédent , ou qu'il y a une accélération.
C'est bien qu'on puisse choisir d'autres périodes , mais moi je parle de ce qui a permis au Giec d'annoncer une hausse de température de 1.5° à l'échelle mondiale à l'horizon 2030
3- pas mal ta carte ; mais pour la répartition, relis l'article que j'ai posté , si on devait suivre le maillage de la planète selon les modèles climatiques, les stations devraient être multipliées par 1000
- 30 ans c'est le temps pris en compte pour réaliser une moyenne de température avec laquelle comparer les relevés actuels. C'est largement suffisant pour réaliser une moyenne qui gomme les variations annuelles. Ca n'est pas la durée du relevé lui-même.
- Ca n'est pas de la mauvaise foi, mais juste un relevé d'une de tes contradictions. Tu critiques des relevés sur 30 ans pour établir une base de comparaison quand ça t'arrange, mais tu valides une observation sur 8 ans quand ça t'arrange. Les observations se font aussi sur 30 ans, pas sur 8 ans choisis spécifiquement parce qu'ils montrent le phénomène voulu sur cette période. La mauvaise foi est de ton côté sur le coup ...
- Il y a un peu de plus de 4000 villes de plus de 100 000 habitants dans le monde, soit 10 stations météo par ville de 100 000 habitants. Stations météo qui ne sont généralement pas en centre ville.
2- Il n'y a pas d'arnaque : les pics de chaleur c'est de la météo, et on parle climat. Le but est de constater une variation moyenne, pas de contredire les merdias qui annoncent des vagues de chaleur. La température moyenne augmente, pic de chaleur local dans l'espace et le temps ou pas.
- Le GIEC dessine juste une courbe des relevés de variation de température dans le temps, et la prolonge jusqu'en 2030 pour effectuer une prédiction. C'est de la statistique de base ...
3- Des satellites qui font des relevés avec un maillage plus serré. Tu te raccroches aux branches là : tu critiques les stations météo qui seraient en ville, et quand on te prouve que non tu critiques leur faille nombre. Encore une fois, cette méthode permet de constater une augmentation des températures. Si tu trouves entre +1,2 et +1,4 aux quatre coins d'un carré de 500km de côté et que c'est conforme à ce qu'on trouve ailleurs dans le monde, y'a pas trop de raisons de penser qu'au milieu du carré on aurait -1. Le maillage est loin d'être parfait, mais suffisamment dense pour permettre de faibles marges d'erreur (car marge d'erreur il y a).
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
on peut trouver de que l'on cherche chaque année quelque part sur la planeteMesoke a écrit : ↑02 août 2023 08:381- Sérieux tu penses vraiment que les climatologues sont des gros crétins qui font des bêtes moyennes non pondérées ? Tu crois vraiment qu'ils ne prennent pas en compte les densités géographiques de stations météo ?lotus95 a écrit : ↑01 août 2023 18:37 1- je parlais de fréquence : heures; jours, semaines, mois ...
et justement , tu ne sais pas si les mesures et moyennes se font toujours à base comparable sur 30 ans ; le nombre de stations augmente , et l'évolution de leur répartition peut fausser les données lorsqu'on se place à l'échelle mondiale
- Non, 30 ans , c'est très insuffisant si on cherche à démontrer que le réchauffement a un lien avec l'activité humaine
- Pas de mauvaise foi stp, je te rappelle que les courbes sur ces dernières années (2015-2023) ne visent qu'à démontrer qu'il n'y a pas d'accélération puisque les températures stagnent depuis 2015 , contrairement à la propagande mensongère diffusée quotidiennement
- 41000 stations , c'est sur la planète ... en quoi c'est contradictoire avec le fait qu'elles sont plus concentrées dans des zones urbanisées qu'ailleurs ?
2- Eh bien, c'est justement là que se trouve l'arnaque , parce que les moyennes sur X années gomment les fluctuations de température en diluant les pics de chaleur passés dans un magma qui ne veut rien dire , pour faire croire que le réchauffement actuel est sans précédent , ou qu'il y a une accélération.
C'est bien qu'on puisse choisir d'autres périodes , mais moi je parle de ce qui a permis au Giec d'annoncer une hausse de température de 1.5° à l'échelle mondiale à l'horizon 2030
3- pas mal ta carte ; mais pour la répartition, relis l'article que j'ai posté , si on devait suivre le maillage de la planète selon les modèles climatiques, les stations devraient être multipliées par 1000
- 30 ans c'est le temps pris en compte pour réaliser une moyenne de température avec laquelle comparer les relevés actuels. C'est largement suffisant pour réaliser une moyenne qui gomme les variations annuelles. Ca n'est pas la durée du relevé lui-même.
- Ca n'est pas de la mauvaise foi, mais juste un relevé d'une de tes contradictions. Tu critiques des relevés sur 30 ans pour établir une base de comparaison quand ça t'arrange, mais tu valides une observation sur 8 ans quand ça t'arrange. Les observations se font aussi sur 30 ans, pas sur 8 ans choisis spécifiquement parce qu'ils montrent le phénomène voulu sur cette période. La mauvaise foi est de ton côté sur le coup ...
- Il y a un peu de plus de 4000 villes de plus de 100 000 habitants dans le monde, soit 10 stations météo par ville de 100 000 habitants. Stations météo qui ne sont généralement pas en centre ville.
2- Il n'y a pas d'arnaque : les pics de chaleur c'est de la météo, et on parle climat. Le but est de constater une variation moyenne, pas de contredire les merdias qui annoncent des vagues de chaleur. La température moyenne augmente, pic de chaleur local dans l'espace et le temps ou pas.
- Le GIEC dessine juste une courbe des relevés de variation de température dans le temps, et la prolonge jusqu'en 2030 pour effectuer une prédiction. C'est de la statistique de base ...
3- Des satellites qui font des relevés avec un maillage plus serré. Tu te raccroches aux branches là : tu critiques les stations météo qui seraient en ville, et quand on te prouve que non tu critiques leur faille nombre. Encore une fois, cette méthode permet de constater une augmentation des températures. Si tu trouves entre +1,2 et +1,4 aux quatre coins d'un carré de 500km de côté et que c'est conforme à ce qu'on trouve ailleurs dans le monde, y'a pas trop de raisons de penser qu'au milieu du carré on aurait -1. Le maillage est loin d'être parfait, mais suffisamment dense pour permettre de faibles marges d'erreur (car marge d'erreur il y a).
personnellement encore aujoud'hui cmmoe depuis avril il pleut comme vache qui pisse là où je vis
cela fait plus de 100 jours
pour info meme si c 'est un mythe le déluge n'avait duré que 40 jours

et malgre cella les sociétés comme la SAUR ont augmenté leur facturation de 80 % sous prétexte de secheresse
vous qui parliez de risque nucléaire en cas de sècheresse
pouvez vous nous donner par exemple le dédit du rhone ou de la loire

cette année à sainte soline les agriculteurs n'ont pas besoin de bassines
déception pour vous qui comptiez éradiquer l'agriculture intensive par manque d'eau

et l'herbe n'a jamais été aussi verte et les vaches si grasses
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
Vous en tenez une couche (de bétise) c'est assez halluciant à ce niveau là ... même avec votre phrase complète cela change quoi ?lotus95 a écrit : ↑01 août 2023 21:32c'est surement parce que c'est ridicule que vous avez coupé la phrase au bon endroitsolaris a écrit : ↑01 août 2023 20:40
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Attention scoop de la comptable-climatologue !!!
Les chercheurs auraient "oublié" de tenir compte des variations maintenant![]()
Le ridicule ne tue pas sinon vous seriez six pieds sous terre depuis des plombes ...
Dans ma grande bonté j'essaye (en pure perte) de vous éduquer ... passez du niveau collège au niveau début de lycée et essayez de comprendre ce qu'est la dispersion d'une série statistique ... je sais intellectuellement je vous en demande beaucoup là.
Vous n'êtes qu'un guignol , allez jouer aux billes2- Eh bien, c'est justement là que se trouve l'arnaque , parce que les moyennes sur X années gomment les fluctuations de température en diluant les pics de chaleur passés dans un magma qui ne veut rien dire , pour faire croire que le réchauffement actuel est sans précédent , ou qu'il y a une accélération.
Rien du tout ... avec vos deux neurones vous semblez penser que les analyses se limitent à utiliser des moyennes qui lisseraient tout.
Aussi inculte et illogique c'est triste quand même ...

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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
Bon pour ceux et celles qui ignore ce qu'est exactement un climatologue, une définition s'impose...
"Climatologue
La qualité de l'eau ou de l'air comme le réchauffement climatique sont en tête des préoccupations. Les climatologues sont des chercheurs qui mènent des études sur le long terme pour prévoir les évolutions de notre climat et les conséquences possibles.
"Le métier
Des études sur le long terme
Généralement, les climatologues participent à des programmes de recherche, souvent au sein d'une équipe scientifique abordant plusieurs thématiques. Ils s'appuient sur des relevés climatiques couvrant des périodes souvent très longues car, même si le phénomène a tendance à s'accélérer, le climat évolue plutôt lentement.
De nombreuses données à prendre en compte
Température de l'air ou des océans, chutes de neige ou de pluie, épaisseur de la glace, courants marins, pression atmosphérique... font partie des variables étudiées par les climatologues. Ils étudient minutieusement toutes les données liées à ces phénomènes, grâce à des programmes informatiques performants qui produisent courbes et cartes en 3D (trois dimensions). Mais, comme l'informatique ne fait pas tout, ils doivent ensuite interpréter tous ces résultats.
Des interventions de terrain ponctuelles
En cas de catastrophe naturelle (inondation, tempête, tsunami, etc.), les climatologues se rendent sur le terrain afin d'étudier le phénomène de plus près, de faire des relevés et des mesures. Ils cherchent ensuite à trouver une explication au phénomène et, surtout, les moyens de prévenir une récidive.
"ompétences requises
Scientifique de haut niveau
Les climatologues sont des scientifiques de haut niveau, généralement chercheurs, dont la rigueur et la méthode sont appréciées, notamment dans le monde de l'entreprise. Ils possèdent un solide bagage en mathématiques (notamment en modélisation), physique, géographie physique mai aussi en chimie. Ils peuvent échanger avec des scientifiques d'autres disciplines (biologie, géologie, physique...) pour faire progresser sa connaissance des phénomènes climatiques. Ils savent vulgariser le résultat de leurs recherches en rédigeant des rapports adaptés à leurs destinataires.
Adaptable et bilingue
Comme tout acteur du monde de la recherche, les climatologues doivent parfois se tourner vers l'international, pour débuter ou en cours de carrière. Par ailleurs, ils peuvent à voyager ou partir en mission pour des périodes allant de plusieurs semaines à plusieurs mois. Maîtriser l'anglais est donc indispensable, et connaître une 2e, voire une 3e langue constitue un véritable plus.
Où l'exercer ?
Devant son ordinateur...
Les climatologues travaillent la plupart du temps devant son ordinateur. Ils sont également amenés à travailler en équipe pluridisciplinaire (météorologue, géologue, physicien, etc.) afin d'étudier tous les facteurs ayant une influence sur le climat. En tant que chercheurs, une fois leur projet de recherche accepté, ils jouissent d'une certaine autonomie d'organisation.
...ou à l'autre bout du monde
Dans le cadre de son travail, les climatologues peuvent aller travailler à l'étranger, parfois dans des conditions climatiques extrêmes (comme aux pôles ou en zone tropicale). Dans ce cas, ils doivent généralement prendre des tours de garde avec leurs collègues pour certains relevés ou certaines tâches qui doivent être réalisés de jour comme de nuit, 7 jours/7. La participation à des congrès ou à des conférences est une autre facette du métier exigeant des déplacements.
Des horaires pas toujours fixes
Lorsque le travail s'effectue sur le terrain (après une catastrophe naturelle, par exemple), les climatologues adaptent leurs travail et emploi du temps en fonction des impératifs rencontrés. Le travail en laboratoire de recherche est beaucoup plus normé en termes d'horaires, avec cependant des périodes plus chargées et stressantes pour la remise d'un rapport."
https://www.onisep.fr/ressources/Univer ... imatologue
Je crois bien plus aux prédictions d'un climatologue quà celles de Lotus, question de niveau...
"Climatologue
La qualité de l'eau ou de l'air comme le réchauffement climatique sont en tête des préoccupations. Les climatologues sont des chercheurs qui mènent des études sur le long terme pour prévoir les évolutions de notre climat et les conséquences possibles.
"Le métier
Des études sur le long terme
Généralement, les climatologues participent à des programmes de recherche, souvent au sein d'une équipe scientifique abordant plusieurs thématiques. Ils s'appuient sur des relevés climatiques couvrant des périodes souvent très longues car, même si le phénomène a tendance à s'accélérer, le climat évolue plutôt lentement.
De nombreuses données à prendre en compte
Température de l'air ou des océans, chutes de neige ou de pluie, épaisseur de la glace, courants marins, pression atmosphérique... font partie des variables étudiées par les climatologues. Ils étudient minutieusement toutes les données liées à ces phénomènes, grâce à des programmes informatiques performants qui produisent courbes et cartes en 3D (trois dimensions). Mais, comme l'informatique ne fait pas tout, ils doivent ensuite interpréter tous ces résultats.
Des interventions de terrain ponctuelles
En cas de catastrophe naturelle (inondation, tempête, tsunami, etc.), les climatologues se rendent sur le terrain afin d'étudier le phénomène de plus près, de faire des relevés et des mesures. Ils cherchent ensuite à trouver une explication au phénomène et, surtout, les moyens de prévenir une récidive.
"ompétences requises
Scientifique de haut niveau
Les climatologues sont des scientifiques de haut niveau, généralement chercheurs, dont la rigueur et la méthode sont appréciées, notamment dans le monde de l'entreprise. Ils possèdent un solide bagage en mathématiques (notamment en modélisation), physique, géographie physique mai aussi en chimie. Ils peuvent échanger avec des scientifiques d'autres disciplines (biologie, géologie, physique...) pour faire progresser sa connaissance des phénomènes climatiques. Ils savent vulgariser le résultat de leurs recherches en rédigeant des rapports adaptés à leurs destinataires.
Adaptable et bilingue
Comme tout acteur du monde de la recherche, les climatologues doivent parfois se tourner vers l'international, pour débuter ou en cours de carrière. Par ailleurs, ils peuvent à voyager ou partir en mission pour des périodes allant de plusieurs semaines à plusieurs mois. Maîtriser l'anglais est donc indispensable, et connaître une 2e, voire une 3e langue constitue un véritable plus.
Où l'exercer ?
Devant son ordinateur...
Les climatologues travaillent la plupart du temps devant son ordinateur. Ils sont également amenés à travailler en équipe pluridisciplinaire (météorologue, géologue, physicien, etc.) afin d'étudier tous les facteurs ayant une influence sur le climat. En tant que chercheurs, une fois leur projet de recherche accepté, ils jouissent d'une certaine autonomie d'organisation.
...ou à l'autre bout du monde
Dans le cadre de son travail, les climatologues peuvent aller travailler à l'étranger, parfois dans des conditions climatiques extrêmes (comme aux pôles ou en zone tropicale). Dans ce cas, ils doivent généralement prendre des tours de garde avec leurs collègues pour certains relevés ou certaines tâches qui doivent être réalisés de jour comme de nuit, 7 jours/7. La participation à des congrès ou à des conférences est une autre facette du métier exigeant des déplacements.
Des horaires pas toujours fixes
Lorsque le travail s'effectue sur le terrain (après une catastrophe naturelle, par exemple), les climatologues adaptent leurs travail et emploi du temps en fonction des impératifs rencontrés. Le travail en laboratoire de recherche est beaucoup plus normé en termes d'horaires, avec cependant des périodes plus chargées et stressantes pour la remise d'un rapport."
https://www.onisep.fr/ressources/Univer ... imatologue
Je crois bien plus aux prédictions d'un climatologue quà celles de Lotus, question de niveau...
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
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- lotus95
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
1- l'argument de choc .. "tu prends les climato pour de gros crétins" ...Mesoke a écrit : ↑02 août 2023 08:38
1- Sérieux tu penses vraiment que les climatologues sont des gros crétins qui font des bêtes moyennes non pondérées ? Tu crois vraiment qu'ils ne prennent pas en compte les densités géographiques de stations météo ?
- 30 ans c'est le temps pris en compte pour réaliser une moyenne de température avec laquelle comparer les relevés actuels. C'est largement suffisant pour réaliser une moyenne qui gomme les variations annuelles. Ca n'est pas la durée du relevé lui-même.
- Ca n'est pas de la mauvaise foi, mais juste un relevé d'une de tes contradictions. Tu critiques des relevés sur 30 ans pour établir une base de comparaison quand ça t'arrange, mais tu valides une observation sur 8 ans quand ça t'arrange. Les observations se font aussi sur 30 ans, pas sur 8 ans choisis spécifiquement parce qu'ils montrent le phénomène voulu sur cette période. La mauvaise foi est de ton côté sur le coup ...
- Il y a un peu de plus de 4000 villes de plus de 100 000 habitants dans le monde, soit 10 stations météo par ville de 100 000 habitants. Stations météo qui ne sont généralement pas en centre ville.
2- Il n'y a pas d'arnaque : les pics de chaleur c'est de la météo, et on parle climat. Le but est de constater une variation moyenne, pas de contredire les merdias qui annoncent des vagues de chaleur. La température moyenne augmente, pic de chaleur local dans l'espace et le temps ou pas.
- Le GIEC dessine juste une courbe des relevés de variation de température dans le temps, et la prolonge jusqu'en 2030 pour effectuer une prédiction. C'est de la statistique de base ...
3- Des satellites qui font des relevés avec un maillage plus serré. Tu te raccroches aux branches là : tu critiques les stations météo qui seraient en ville, et quand on te prouve que non tu critiques leur faille nombre. Encore une fois, cette méthode permet de constater une augmentation des températures. Si tu trouves entre +1,2 et +1,4 aux quatre coins d'un carré de 500km de côté et que c'est conforme à ce qu'on trouve ailleurs dans le monde, y'a pas trop de raisons de penser qu'au milieu du carré on aurait -1. Le maillage est loin d'être parfait, mais suffisamment dense pour permettre de faibles marges d'erreur (car marge d'erreur il y a).
![Dan.San :]](https://www.forum-actualite.com/debats/images/smilies/8.gif)
non, certainement pas , mais a minima pour des scientifiques sélectionnés par des représentants d'Etat , qui se soumettent aux directives qui leur ont été données ; je rappelle au passage que les statuts du Giec indiquent que les objectifs de ce groupe sont d'étudier l'impact humain sur le réchauffement climatique , ce qui bride d'entrée de jeu le champ d'investigations et ne laisse pas beaucoup de marge de manoeuvre sur les conclusions ... exit l'impact de l'activité solaire , exit les cycles glaciaires .. ceux qui ont fondé ce groupe avaient une idée très claire de ce qu'ils cherchaient à obtenir ... de là à créer des modèles fondés sur des hypothèses arbitraires qui minimisent certains effets et en accentuent d'autres, il n'y a pas un grand pas
Et ce n'est pas comme si on ne connaissait pas les aboutissants de ce cirque ...
- Non, 30 ans , c'est loin d'être suffisant lorsqu'on a pour ambition de démontrer un réchauffement anthropique , c'est une échelle bien trop courte qui élimine de facto d'autres périodes chaudes passées pour augmenter artificiellement la variation et faire croire à un réchauffement sans précédent ;
et je réitère , comparer une moyenne sur 30 ans à un relevé récent sur une échelle bien inférieure est une méthode grossière , les mesures récentes sont bien insuffisantes pour permettre une conclusion sur l'évolution par rapport à une moyenne bridée , et encore moins pour préjuger de l'avenir ;
c'est d'ailleurs tellement peu convaincant qu'on va jusqu'à mentir sur des pseudo records de températures , avec des cartes bien rouges , pour forcer le trait et effrayer les masses
- Si, c'est de la mauvaise foi crasse , parce que tu sais très bien que ces courbes servent à prouver qu'il n'y a pas d'accélération dans le réchauffement, rien d'autre ! contrairement à la sale propagande qu'on diffuse H24 et que tu relaies bêtement ici ...
la seule réalité est que ça fait 8 ans que les températures stagnent , et que ça n'a pas dissuadé les propagandistes d'organiser une com catastrophiste , bien au contraire
Il n'y a aucune contradiction entre le fait de contester ce qui sert de base au calcul de variations de température à l'échelle mondiale , et prendre une autre base pour démontrer qu'il n'y a pas d'accélération récente ... il faut être particulièrement crétin pour faire croire le contraire
- La répartition des stations météo ne repose pas sur un calcul basique , il faut encore prouver que ces stations sont équitablement réparties entre les zones chaudes et froides , et que les stations sélectionnées pour calculer des moyennes sont représentatives de la planète ; je te renvoie à l'extrait de l'article posté quelques pages avant qui démontre le contraire
Savoir par exemple que la Russie a à peine 2.5 fois plus de stations que la France pour une superficie 31 fois supérieure est un exemple de ces déséquilibres ; et le fait que ce nombre de stations évolue dans le temps traduit aussi le fait que les bases ne sont pas comparables d'une période à l'autre
2- Il y a bel et bien arnaque lorsqu'on invoque les moyennes de températures d'une courte période récente pour démontrer un réchauffement "sans précédent" , tout en prétendant que les années chaudes du passé ne sont que de la météo ... c'est toi qui es dans la contradiction
Et la projection de données fondée sur des bases peu représentatives du passé ne peut pas donner des résultats cohérents pour l'avenir , simple logique
3- +1.5° de variation à l'horizon 2030 , je ne suis pas sûre que cela atteigne la marge d'erreur de ces modèles bourrés d'hypothèses contestables ;
tu ne prouves rien , tu affirmes ... est ce que tu peux donner une source qui indique de façon fiable et précise sur quelles données sont basées les prévisions du Giec ?? parce que c'est bien de cela qu'on parle , pas des théories sur les stations météo et satellites
Je me rappelle par exemple que la com catastrophiste d'il y a un ou 2 ans en France pour soit disant démontrer un record de température n'était basé que sur les relevés d'un échantillon de grandes villes ... ce qui est particulièrement mahonnête lorsqu'on sait que ces villes sont logiquement plus chaudes que des zones moins urbanisées , et que rien ne prouve que les mesures passées prenaient la même base.
À la télé ils disent tous les jours : 'Y a trois millions de personnes qui veulent du travail.' C'est pas vrai : de l'argent leur suffirait." Coluche
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
Bon et alors elle propose quoi la comptable-épidémiologiste-climatologue ?lotus95 a écrit : ↑02 août 2023 11:401- l'argument de choc .. "tu prends les climato pour de gros crétins" ...Mesoke a écrit : ↑02 août 2023 08:38
1- Sérieux tu penses vraiment que les climatologues sont des gros crétins qui font des bêtes moyennes non pondérées ? Tu crois vraiment qu'ils ne prennent pas en compte les densités géographiques de stations météo ?
- 30 ans c'est le temps pris en compte pour réaliser une moyenne de température avec laquelle comparer les relevés actuels. C'est largement suffisant pour réaliser une moyenne qui gomme les variations annuelles. Ca n'est pas la durée du relevé lui-même.
- Ca n'est pas de la mauvaise foi, mais juste un relevé d'une de tes contradictions. Tu critiques des relevés sur 30 ans pour établir une base de comparaison quand ça t'arrange, mais tu valides une observation sur 8 ans quand ça t'arrange. Les observations se font aussi sur 30 ans, pas sur 8 ans choisis spécifiquement parce qu'ils montrent le phénomène voulu sur cette période. La mauvaise foi est de ton côté sur le coup ...
- Il y a un peu de plus de 4000 villes de plus de 100 000 habitants dans le monde, soit 10 stations météo par ville de 100 000 habitants. Stations météo qui ne sont généralement pas en centre ville.
2- Il n'y a pas d'arnaque : les pics de chaleur c'est de la météo, et on parle climat. Le but est de constater une variation moyenne, pas de contredire les merdias qui annoncent des vagues de chaleur. La température moyenne augmente, pic de chaleur local dans l'espace et le temps ou pas.
- Le GIEC dessine juste une courbe des relevés de variation de température dans le temps, et la prolonge jusqu'en 2030 pour effectuer une prédiction. C'est de la statistique de base ...
3- Des satellites qui font des relevés avec un maillage plus serré. Tu te raccroches aux branches là : tu critiques les stations météo qui seraient en ville, et quand on te prouve que non tu critiques leur faille nombre. Encore une fois, cette méthode permet de constater une augmentation des températures. Si tu trouves entre +1,2 et +1,4 aux quatre coins d'un carré de 500km de côté et que c'est conforme à ce qu'on trouve ailleurs dans le monde, y'a pas trop de raisons de penser qu'au milieu du carré on aurait -1. Le maillage est loin d'être parfait, mais suffisamment dense pour permettre de faibles marges d'erreur (car marge d'erreur il y a).![]()
non, certainement pas , mais a minima pour des scientifiques sélectionnés par des représentants d'Etat , qui se soumettent aux directives qui leur ont été données ; je rappelle au passage que les statuts du Giec indiquent que les objectifs de ce groupe sont d'étudier l'impact humain sur le réchauffement climatique , ce qui bride d'entrée de jeu le champ d'investigations et ne laisse pas beaucoup de marge de manoeuvre sur les conclusions ... exit l'impact de l'activité solaire , exit les cycles glaciaires .. ceux qui ont fondé ce groupe avaient une idée très claire de ce qu'ils cherchaient à obtenir ... de là à créer des modèles fondés sur des hypothèses arbitraires qui minimisent certains effets et en accentuent d'autres, il n'y a pas un grand pas
Et ce n'est pas comme si on ne connaissait pas les aboutissants de ce cirque ...
- Non, 30 ans , c'est loin d'être suffisant lorsqu'on a pour ambition de démontrer un réchauffement anthropique , c'est une échelle bien trop courte qui élimine de facto d'autres périodes chaudes passées pour augmenter artificiellement la variation et faire croire à un réchauffement sans précédent ;
et je réitère , comparer une moyenne sur 30 ans à un relevé récent sur une échelle bien inférieure est une méthode grossière , les mesures récentes sont bien insuffisantes pour permettre une conclusion sur l'évolution par rapport à une moyenne bridée , et encore moins pour préjuger de l'avenir ;
c'est d'ailleurs tellement peu convaincant qu'on va jusqu'à mentir sur des pseudo records de températures , avec des cartes bien rouges , pour forcer le trait et effrayer les masses
- Si, c'est de la mauvaise foi crasse , parce que tu sais très bien que ces courbes servent à prouver qu'il n'y a pas d'accélération dans le réchauffement, rien d'autre ! contrairement à la sale propagande qu'on diffuse H24 et que tu relaies bêtement ici ...
la seule réalité est que ça fait 8 ans que les températures stagnent , et que ça n'a pas dissuadé les propagandistes d'organiser une com catastrophiste , bien au contraire
Il n'y a aucune contradiction entre le fait de contester ce qui sert de base au calcul de variations de température à l'échelle mondiale , et prendre une autre base pour démontrer qu'il n'y a pas d'accélération récente ... il faut être particulièrement crétin pour faire croire le contraire
- La répartition des stations météo ne repose pas sur un calcul basique , il faut encore prouver que ces stations sont équitablement réparties entre les zones chaudes et froides , et que les stations sélectionnées pour calculer des moyennes sont représentatives de la planète ; je te renvoie à l'extrait de l'article posté quelques pages avant qui démontre le contraire
Savoir par exemple que la Russie a à peine 2.5 fois plus de stations que la France pour une superficie 31 fois supérieure est un exemple de ces déséquilibres ; et le fait que ce nombre de stations évolue dans le temps traduit aussi le fait que les bases ne sont pas comparables d'une période à l'autre
2- Il y a bel et bien arnaque lorsqu'on invoque les moyennes de températures d'une courte période récente pour démontrer un réchauffement "sans précédent" , tout en prétendant que les années chaudes du passé ne sont que de la météo ... c'est toi qui es dans la contradiction
Et la projection de données fondée sur des bases peu représentatives du passé ne peut pas donner des résultats cohérents pour l'avenir , simple logique
3- +1.5° de variation à l'horizon 2030 , je ne suis pas sûre que cela atteigne la marge d'erreur de ces modèles bourrés d'hypothèses contestables ;
tu ne prouves rien , tu affirmes ... est ce que tu peux donner une source qui indique de façon fiable et précise sur quelles données sont basées les prévisions du Giec ?? parce que c'est bien de cela qu'on parle , pas des théories sur les stations météo et satellites
Je me rappelle par exemple que la com catastrophiste d'il y a un ou 2 ans en France pour soit disant démontrer un record de température n'était basé que sur les relevés d'un échantillon de grandes villes ... ce qui est particulièrement mahonnête lorsqu'on sait que ces villes sont logiquement plus chaudes que des zones moins urbanisées , et que rien ne prouve que les mesures passées prenaient la même base.
(à part passer sa vie à pondre des pavés indigeste car elle est incapable de syntétiser sa pensée nauséabonde).
Tout comme pour le Covid où la situation a été mal gérée par des milliers et des milliers de chercheurs incompétants vendus à BigPharma là la situation est tout aussi mal gérée car les chercheurs sur le climats sont tous des vendus aussi (à BigClimat ?).
Déjà vu votre niveau génialissime dans tous les domaines je suis étonné que vous n'essayiez pas d'entrer à l'écadémie des sciences au lieu de rester une petite comptable de seconde zone.
Le monde doit se priver d'une personne qui a des solutions pour à peu près tout et c'est bien dommage

Mais pour en revenir à nos moutons on fait quoi alors ?
Rien ? On continue de polluer comme des cons ? C'est ça votre solution ?
Quand des scientifiques alertent sur le réchauffement climatique on dit qu'ils sont payés.
Quand on propose d'abandonner à terme lesmoteurs thermique on dit que c'est une connerie et on continue jusqu'à la dernière goutte de pétrole.
Quand on constate que les inondations coups de vents et autres tornades augementent exponentiellement ces denrières années on regarde ailleurs.
Quand on constante qu'il y des canicules terribles (par exemple dans les Pyrénées Orientale) on répond qu'il pleut à Brest.
Quand on contate que les glaciers fondent à grande vitesse on dit que c'est une fake news.
Il est beau le monde des con-plotistes égoïstes ...

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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
Mais j'ai déjà expliqué tout cela.
Le fait pour Lotus de ne pas être dans la pensée qui fait consensus, cela lui permet d'exister.
De ne pas être un petit mouton qui suit le troupeau.
Elle a l'impression d'exister.
Le fait pour Lotus de ne pas être dans la pensée qui fait consensus, cela lui permet d'exister.
De ne pas être un petit mouton qui suit le troupeau.
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En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
Hors sujetvivarais a écrit : ↑02 août 2023 08:52 on peut trouver de que l'on cherche chaque année quelque part sur la planete
personnellement encore aujoud'hui cmmoe depuis avril il pleut comme vache qui pisse là où je vis
cela fait plus de 100 jours
pour info meme si c 'est un mythe le déluge n'avait duré que 40 jours![]()
et malgre cella les sociétés comme la SAUR ont augmenté leur facturation de 80 % sous prétexte de secheresse
vous qui parliez de risque nucléaire en cas de sècheresse
pouvez vous nous donner par exemple le dédit du rhone ou de la loire![]()
cette année à sainte soline les agriculteurs n'ont pas besoin de bassines
déception pour vous qui comptiez éradiquer l'agriculture intensive par manque d'eau![]()
et l'herbe n'a jamais été aussi verte et les vaches si grasses
- lotus95
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
Je n'ai pas besoin de ça pour exister, on ne peut pas en dire autant de tous ceux qui brassent de l'air et se cherchent un exutoire via de la psycho à 2 balles pour masquer leur vacuité argumentaire ... à croire qu'ils ont été clonés
À la télé ils disent tous les jours : 'Y a trois millions de personnes qui veulent du travail.' C'est pas vrai : de l'argent leur suffirait." Coluche
-
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
Je crains que ce ne soit un peu plus pathologique:
https://www.livi.fr/sante/maladie-mentale/paranoia/
<< La paranoia est un trouble psychiatrique caractérisé par une méfiance excessive et irrationnelle envers les autres, ainsi que des idées délirantes de persécution ou de complot. >>
- Mesoke
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
1- Tu prends réellement les climatologues pour de gros crétins en pensant qu'en 10 secondes tu vas trouver une faille dans leur méthode d'analyse statistique, alors que tu n'as juste pas compris comment on pouvait réaliser une moyenne.
Tu confonds encore GIEC et climatologue. La grande majorité des climatologues ne font pas partie du GIEC, ne sont pas sélectionnés par des représentants d'état, ne se soumettent pas à des directives qu'on ne leur a pas donné. Les climatologues sont des chercheurs, des scientifiques, qui travaillent de la même manière générale que les autres scientifiques. Le GIEC c'est juste quelques membres qui ne font que compiler leur travail. Bref, parler du GIEC est totalement hors sujet par rapport à la discussion présente. Ca prouve juste, encore une fois, que tu ne comprends pas les bases de ce dont tu parles, et que tu n'as comme seule ressource qu'attaquer sur la base de quel dalle les auteurs, vu que tu ne comprends pas les arguments.
- Tu ne sembles toujours pas avoir compris ce dont on parle avec les 30 ans. 30 ans c'est juste la durée choisie pour réaliser une moyenne de température de référence avec laquelle comparer les relevés futurs, pour avoir une base. C'est comme un groupe témoin. Ca n'est pas la durée prise en compte pour analyser les évolutions de température. Cette durée là n'est pas définie, on en prend le maximum possible, soit depuis la période à laquelle on a commencé à réaliser des relevés de température dans le monde entier.
- Le principe c'est de fournir une évolution de température locale, et pas une température brute. Ce qui permet beaucoup plus de précision. Or une évolution c'est par rapport à une référence. Il faut donc bien définir une référence. Une moyenne de températures sur 30 ans est une super bonne référence, que ça te plaise ou non. Et faisant des relevés sur plusieurs décennies on peut tracer une courbe régulière, qu'on peut prolonger pour faire des prévisions sur le futur. C'est juste des bêtes maths ...
Les cartes biens rouges et les pics de chaleur n'ont strictement rien à voir avec ce dont on parle. On parle évolutions de moyennes de température, de climat, pas de météo. Soit tu t'es plantée d'endroit pour en parler, soit tu ne comprends pas de quoi on parle.
- Pour déterminer s'il y a ou non accélération du réchauffement ou même simplement réchauffement on analyse des données sur plusieurs décennies, typiquement 30 ans. Pas sur 8 ans choisis spécifiquement parce qu'il n'y a pas de réchauffement flagrant durant cette période. Si tu prends sur 30 ans il y a réchauffement. Même su 15 ans, sur 12 ans, sur 10 ans. Si dans 20 ans la température moyenne est toujours la même qu'aujourd'hui, alors on pourra déduire qu'il n'y a plus réchauffement. Plus haut tu critiques que les climatologues ne fasses des moyennes et ne prennent en compte que 30 ans, et là 8 ans c'est bon, ça valide ton narratif donc c'est correct. C'est vraiment du foutage de gueule méthodologique.
- Il y a bien contradiction quand tu réfutes une source qui montre qu'il y a réchauffement et que tu utilises la même source (mais en triant uniquement les données qui te plaisent) pour montrer qu'il n'y a pas réchauffement.
- Encore une fois tu prends les climatologues pour des crétins. On peut prendre en compte l'ensemble des stations météo pour réaliser des moyennes, mais en pondérant leurs données en fonction de la densité de stations météo dans leur zone. On ne réalise pas des moyennes en faisant bêtement (somme de températures relevées) / (nombre de stations totales). Les moyennes pondérées ça doit être des maths niveau lycée.
2- Les climatologues évoquent un réchauffement sans précédent en se basant sur le réchauffement des 30 dernières années. On parle de MOYENNES de températures. Pas de pics de chaleurs locaux dans l'espace et dans le temps. On parle climat, pas météo.
- Une moyenne de température sur 30 ans est représentative. Du coup ça marche.
3- Tu affirmes sans preuve que les modèles sont contestables. Ca fait des mois que tu nous sors ça, sans avoir jamais pu nous expliquer pourquoi ils le seraient. Parce que tu as juste lu ça quelque part, mais que tu ne le comprends pas. Et, comme d'habitude, tu attaques sans preuve la source des arguments quand les arguments ne te plaisent pas et que tu ne sais pas les contredire.
- Les sources du GIEC sont dans le rapport du GIEC, qui est facilement trouvable sur le net. Donc tu les y trouveras aussi facilement que moi. Vu qu'on parle climatologie en général et pas GIEC, c'est encore du hors sujet.
- On s'en fout de la com'. On parle climatologie, pas mauvaise médiatisation de la climatologie.
- coincetabulle
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Re: Le réchauffement climatique n’est pas naturel
(pour ceux que ça intéresse. pour les autres il y a france soir.)Quelles sont les méthodes d’évaluation et de validation des modèles climatiques ?
Les exigences sur la qualité des simulations climatiques ne cessent de croître. De nombreuses observations, tests théoriques et prévisions rétrospectives permettent de vérifier si les grandes caractéristiques climatiques, ainsi que les mécanismes et processus mis en jeu, sont bien représentés.
L’évaluation de la capacité des modèles à représenter les différentes caractéristiques du climat consiste à confronter les résultats d’une simulation aux différentes observations disponibles. Les méthodes utilisées vont de simples comparaisons de cartes de moyenne et de variabilité (température, pluies…) à des estimations plus sophistiquées de l’accord modèles-données, faisant appel à des méthodes statistiques complexes. Ces méthodes plus avancées permettent de donner une mesure objective, en tenant compte notamment des incertitudes à la fois sur les observations et sur les simulations, en particulier celles liées à un échantillonnage temporel limité.
Chaque composante d’un modèle de climat (océan, atmosphère, glace de mer, végétation…) est d’abord validée séparément avant d’être intégrée au système complet. Cette première étape permet de juger des performances intrinsèques de chaque élément. Le système complet, ou couplé, est ensuite évalué sur divers aspects : représentation du climat moyen (répartition des nuages, principaux vents, température…), capacité à reproduire les caractéristiques saisonnières du climat dans chaque région (aptitude à simuler les moussons tropicales, l’englacement de l’Arctique en hiver…), mais aussi capacité à simuler la variabilité interannuelle à décennale observée dans l’océan, l’atmosphère. Pour illustration, les modèles actuels sont ainsi capables de simuler et même de prévoir, jusqu’à 6 mois à l’avance, l’émergence de températures de surface de la mer anormalement chaudes dans le Pacifique, phénomène connu et observé sous le nom d’El Niño. En revanche, les modèles de climat ont en général beaucoup de difficulté à représenter de façon satisfaisante les nuages dans l’atmosphère, et en particulier les nuages bas qui ont une extension verticale faible. Or, il est bien établi maintenant que les incertitudes sur l’évolution du climat au XXIe siècle sont principalement liées à la représentation même des processus nuageux et que l’effort doit être porté, entre autres, sur ce sujet. La communauté française a beaucoup œuvré ces dernières années pour améliorer la représentation des nuages. Par ailleurs, de nouvelles techniques de validation utilisant les données satellites, essentielles aux études climatiques, commencent à être utilisées afin d’échantillonner les caractéristiques des nuages simulés dans un modèle de manière correcte.
Les capacités des modèles à représenter les tendances récentes du climat observé (réchauffement global au XXe siècle de 0.74°C, hausse du niveau des mers de 17 cm) font aussi partie des critères de validation. Les simulations paléo-climatiques sont également appelées à la rescousse pour vérifier que l’on peut avoir confiance dans la capacité des modèles à reproduire les changements de climat importants déduits des enregistrements climatiques (carottes de glace, sédimentaire…) et résultant de forçages externes connus.
Les modèles français (IPSL
Institut Pierre-Simon Laplace (CNRS / UPMC / UPEC / Ecole Polytechnique/ CNES / IRD / ENS / Université Paris Diderot / UVSQ / CEA)
et CNRM
Centre national de recherches météorologiques (Météo France / CNRS)
-Cerfacs
Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique (CNRS / CERFACS / Total SA / Safran / EDF/ EADS France SAS / CNES / Météo-France / ONERA)
) qui ont participé au dernier exercice international de comparaison de simulations de climat actuels, passés et futurs (CMIP5
CMIP5 : Coupled Model Intercomparison Project, Phase 5 : projet international proposant un protocole commun pour réaliser des simulations climatiques et mettre à disposition les résultats
) ont été évalués intensivement par les équipes françaises pendant environ 2 années. Ces modèles ont ensuite été examinés de façon indépendante par des équipes du monde entier qui analysent l’ensemble des simulations CMIP5 disponibles. Chacune de ces études se focalise sur un aspect particulier du système climatique et permet de brosser une évaluation objective et multifacette des modèles.
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.