jmarie a écrit :
Chacun doit se prendre en charge et à part le "en cas de vie ou de mort", il n'y a pas de raison d'accepter. Car en fait, c'est ça qui engendre la rancœur entre les gens car on entend souvent après :
"je suis trop gentil" ou "avec tout ce que j'ai fait pour lui ou "bah pour les remerciements que j'en ai eu. Alors que si on dit non, chacun prend ses responsabilités et chacun se respecte et respecte l'autre et au bout du compte, il n'y a pas de rancœur, il y a juste de la sincérité.
J'ai tellement vu de gens dire qu'ils font ça parce qu'il sont gentils puis être de vrais dictateurs ensuite pour recevoir en retour la monnaie de leur pièce "avec tout ce que j'ai fait pour toi, tu pourrais m'aider" et l'autre ne peut plus échapper...
En fait, après il y a aussi un jeu de pouvoir. On attend souvent (inconsciemment) un retour qui est parfois bien plus important que le service rendu. En plus la personne qui a reçu le service doit rendre service à son tour éternellement ensuite, sous peine d'être un ingrat.... (avec tout ce que j'ai fait pour toi....)
Alors on doit pas avoir les mêmes amis

! Si je rends un service, c'est pour moi, et pas pour la personne que je le fais ! Je comprends ce que tu dis, mais j'ai l'impression que tu es dans la sérié les feux de l'amour, entouré de salopard

, pour ma part, je n'ai pas beaucoup d'amis, mais ce sont des vrais, avec qui j'ai failli mourir, pour de vrai ou de rire, donc je n'ai pas de problèmes avec de la rancœur ! Si je n'ai pas envie de faire quelque chose, je ne le fais pas, si j'ai envie je le fais, on pourrait traduir par si le service vient d'un de mes amis, j'aurais envie de l'aider, mais je suis d'accord avec toi, certaines personnes sont trop gentilles, ma mère a été comme ca, mais encore une fois, je ne crois pas que ce soit une mauvaise chose, car le problème sont ceux qui en profite par les personnes gentilles ! voila !
"Nos théories sont des représentations symboliques qui jamais ne s'identifient au monde. Entre les deux, aussi raffinée que soit notre connaissance, la distance n'est jamais nulle".
Michel Paty