Vivons nous dans une société perverse ?

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Vivons nous dans une société perverse ?

Message par Merci. » 12 juillet 2013 15:39

"Vivons nous dans une société perverse?"

Comprenez le sens de la question comme vous le voulez... tant que vous y répondez
Modifié en dernier par Merci. le 13 juillet 2013 09:37, modifié 1 fois.

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tisiphoné
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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par tisiphoné » 12 juillet 2013 15:50

sans les fautes SVP.

Fonck1
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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par Fonck1 » 13 juillet 2013 03:15

pour comprendre des choses,il faudrait que ce soit exprimé dans la langue.....
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....

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Samir
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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par Samir » 13 juillet 2013 08:12

Totalement perverse, je dirais même satanique dans le sens symbolique du terme, c'est a dire où toutes les valeurs sont inversées et cela sans que personne ne s'en soit rendu compte !
"Nos théories sont des représentations symboliques qui jamais ne s'identifient au monde. Entre les deux, aussi raffinée que soit notre connaissance, la distance n'est jamais nulle".
Michel Paty

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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par Merci. » 13 juillet 2013 09:38

tisiphoné a écrit :sans les fautes SVP.
Pardonnez moi , je n'y avait pas fait attention :rouge: :oops:

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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par mordred » 13 juillet 2013 16:40

Samir a écrit : Totalement perverse, je dirais même satanique dans le sens symbolique du terme, c'est a dire où toutes les valeurs sont inversées et cela sans que personne ne s'en soit rendu compte !
J'adhère. Le Monde tourne à l'envers.

Satan est là. Et Dieu n'existe pas. :combat141 :combat208
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Talleyrand.

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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par sanka » 14 juillet 2013 06:49

Merci. a écrit : "Vivons nous dans une société perverse?"

Comprenez le sens de la question comme vous le voulez... tant que vous y répondez


J ADORE LES MOTS POLYSEMIQUES ( qui ont plein de sens )

Deja societé
j mets un spoil sinon ca va pourrir ma reponse

Societé

A. − État de vie collective; mode d'existence caractérisé par la vie en groupe; milieu dans lequel se développent la culture et la civilisation. Individu et société; nature et société; l'homme en société; vivre en société; concept, conception de la société.
− [P. oppos. à individu] Si chacun de nous vivait d'une vie purement individuelle, s'il n'y avait ni société ni langage, notre conscience saisirait-elle sous cette forme indistincte la série des états internes? (Bergson,Essai donn. imm., 1889, p. 110).C. H. Cooley − le seul sociologue américain qui ait conçu la réalité sociale comme un tout et qui ait insisté sur l'impossibilité d'opposer l'individu et la société comme les termes d'une alternative (Traité sociol., 1967, p. 16).
− [P. oppos. à nature] Jamais l'homme n'est en face des conditions de sa propre activité. La société fait écran entre la nature et l'homme. Être en face de la nature et non des hommes, c'est la seule discipline. Dépendre d'une volonté étrangère, c'est être esclave (S. Weil,Pesanteur, 1943, p. 156):
1. .... [Rousseau et Montesquieu] admirent comme base de la science de la société, ou du moins établirent dès l'entrée la bonté native de l'homme, et un prétendu état humain de pure nature antérieur à la société, et meilleur que la société. « L'homme est né bon, dit J.-J. Rousseau, et la société le déprave... Tout ce qui n'est pas dans la nature a des inconvéniens, et la société civile plus que tout le reste ». Bonald,Législ. primit., t. 1, 1802, p. 90.
B. −
1. Vieilli. Ensemble de relations éphémères ou durables, de rapports organisés ou fortuits que les êtres humains entretiennent entre eux. Ils partirent. Cette séparation me brisa le cœur. Ma société intime, presque réduite à ma famille, se trouvoit diminuée de ceux qui en faisoient le charme le plus précieux (Fiévée,Dot Suzette, 1798, p. 33).Ces hommes (...) n'ayant point une soirée à donner à l'amitié et à la société! Ouvriers solitaires et renfoncés, vivant loin de la vie, avec une pensée et une œuvre! (Goncourt,Journal, 1860, p. 711).
2. P. méton.
a) Compagnie, présence habituelle de quelqu'un. Synon. fréquentation.Société agréable, aimable; recherche de la société des femmes. Toute la maison a été dîner hier chez monsieur de Warberg, et comme la société de sa femme m'ennuie, j'ai pris le prétexte de ma santé pour rester chez moi (Sénac de Meilhan,Émigré, 1797, p. 1666).Mon ami Shaw (...) dit que désirer la société permanente d'une jolie femme, jusqu'à la fin de ses jours, c'est comme si, sous prétexte que l'on aime le bon vin, on voulait toujours avoir la bouche pleine (Maurois,Sil. Bramble, 1918, p. 132).
b) En société (avec). En compagnie (de). Je suis toujours languissant et faible, peu expansif, et taciturne en société (Maine de Biran,Journal, 1816, p. 224).L'homme isolé, peut souvent plus qu'en société avec mille autres (Rolland,Beethoven, t. 1, 1937, p. 74).
− P. anal. [À propos de plantes] Originaire d'Amérique du Nord (...), le sapin géant y vit en société avec (...) le thuya et diverses autres espèces (Cochet,Bois, 1963, p. 43).
c) Vieilli. Ensemble, réunion de personnes. Oh! la banban [Gervaise qui boite]! Et ce mot: la Banban, courut dans la société (Zola,Assommoir, 1877, p. 442).Après le dîner, il faut que je parte (...). Je quitte la société et je redescends du côté du faubourg Saint-Honoré (Vallès,J. Vingtras, Enf., 1879, p. 321).
♦ Jeu de société. Jeu (p. oppos. aux jeux et sports de plein air) qui réunit plusieurs personnes. Une dévote qui ne pouvait à seize ans souffrir qu'on l'embrassât dans des jeux de société (Senancour,Obermann, t. 2, 1840, p. 28).À la danse je préférais les petits jeux de société et les charades qui étaient en grande faveur chez mon parrain (France,Vie fleur, 1922, p. 505).
d) En partic. Groupe de personnes entretenant des relations mondaines, qui se réunissent pour se distraire, pour le plaisir de la conversation. Société brillante, mondaine, parisienne. On y jouissait d'une société fort agréable en hommes et en belles dames (Vigny,Serv. et grand. milit., 1835, p. 96).La princesse savait le regret qu'avait Mmede Cambremer d'être restée à la porte de la haute société aristocratique, où personne ne la recevait (Proust,Fugit., 1922, p. 665).
♦ Talent de société. Talent propre à distraire dans une réunion de salon. Il m'eût peut-être fait du tort: ses talents de société éclipsaient les miens; il devenait le héros de la fête (Reybaud,J. Paturot, 1842, p. 332).Surtout avec moi, qui n'ai rien que mon génie, et qui suis (...) absolument dépourvu de brillant, et sans conversation, et sans talent de société, et presque sans intelligence après tout! (Larbaud,F. Marquez, 1911, p. 157).
♦ Vers de société. Vers faciles propres à distraire dans une réunion de salon (d'apr. Littré).
♦ La société. L'ensemble des personnes qui ont une vie sociale ou mondaine. On ne peut vivre dans la société après l'âge des passions. Elle n'est tolérable que dans l'époque où l'on se sert, de son estomac pour s'amuser, et de sa personne pour tuer le temps (Chamfort,Max. et pens., 1794, p. 36).La (bonne) société. Synon. le monde, le gratin (fam.), la haute (fam.).Proust prit son essor dans la société lors de l'affaire Dreyfus, chez Geneviève Halévy (Blanche,Modèles, 1928, p. 103).
♦ La haute, la meilleure société. L'ensemble des personnes les plus connues pour leur naissance, leur fortune, leur culture, leur influence, leur pouvoir, etc. Synon. le grand* monde.Les trois quarts de ses personnages [de M. Ohnet] appartiennent à la meilleure société, sont ducs, marquis ou comtes: dans chacun de ses romans vous trouverez la description consciencieuse d'un vieux château de famille (Lemaitre,Contemp., 1885, p. 351).Elle était retournée à Paris et y avait institué un ouvroir, tâche qui l'avait mise en rapport avec la haute société parisienne (Billy,Introïbo, 1939, p. 28).
♦ La bonne société. L'ensemble des personnes importantes, dont les idées, les manières sont conformes aux valeurs en vigueur. Il faut bien que tu lui montres que nous connaissons de la bonne société, quelque chose d'élevé (Janin,Âne mort, 1829, p. 142).Un inspecteur général me protégeait, la bonne société d'Aurillac voulait bien me recevoir, ma jeune femme me portait l'affection la plus tendre (Sartre,Mots, 1964, p. 153).
II.
A. − Communauté organisée d'individus conçue comme une réalité distincte de l'ensemble des individus qui la composent. Société idéale, future. C'est dans la société enfantine que les histoires de fées et de lutins, après avoir émerveillé les grandes personnes, trouvent leur suprême auditoire (Dévigne,Légend. de Fr., 1942, p. 13):
2. Non, dit-on, la société n'existait pas; les hommes étaient agglomérés, mais point associés: la constitution arbitraire de la propriété et de l'état, ainsi que le dogmatisme intolérant de la religion, le prouvent. Rhétorique pure: la société existe du jour où les individus, communiquant par le travail et la parole, ont consenti des obligations réciproques et donné naissance à des lois et à des coutumes. Sans doute la société se perfectionne à mesure des progrès de la science et de l'économie... Proudhon,Syst. contrad. écon., t. 1, 1846, p. 372.
♦ Société conjugale. Communauté dont l'équilibre repose sur la vie de couple. Faites régresser au delà d'un certain point la division du travail sexuel, et la société conjugale s'évanouit pour ne laisser subsister que des relations sexuelles éminemment éphémères (Durkheim,Divis. trav., 1893, p. 24).Les diverses adaptations sollicitées par la société conjugale et par les nouveaux groupements familiaux achèvent cette mise en place de la personnalité (Mounier,Traité caract., 1946, p. 153).
− P. anal. Communauté organisée d'animaux. Deux méthodes mathématique et attrayante qui régissent l'ensemble de l'univers matériel et les sociétés d'animaux industrieux (Fourier,Nouv. monde industr., 1830, p. 73).L'homme d'aujourd'hui, né de l'évolution biologique et prenant sa place, simplement sa place, dans la hiérarchie des sociétés animales après la société simple de certains insectes, de certains oiseaux comme les chauve-souris, les sociétés d'animaux migrateurs comme celle des hirondelles, ou celle des bandes de criquets, enfin les sociétés à travail collectif dont le modèle est fourni par les castors, les termites, les abeilles (Univers écon. et soc., 1960, p. 62-15).
− P. métaph. La statue est seule. Même dans une société de statues, chacune est seule; il y a donc du sauvage et du rustique dans la statue (Alain,Beaux-arts, 1920, p. 219).
B. −
1. Communauté d'individus organisée autour d'institutions communes (économiques, politiques, juridiques, etc.) dans le cadre d'un état ou plus généralement dans le cadre d'une civilisation à un moment historique défini. Société actuelle, ancienne, moderne, de classes; crise, problème de société; rôle de la femme dans la société. Les sentiments, la culture, le bonheur; j'ai besoin de penser que dans la société sans classe l'humanité s'accomplira sans rien renier d'elle-même (Beauvoir,Mandarins, 1954, p. 195).
− [L'accent est mis sur les instit. pol., jur., etc.] Société démocratique. J'ai vécu (...) [le système politique] qui résultait de la constitution de 1790, le système républicain de 1793, le système de guerre et de conquête sous Buonaparte, et enfin l'établissement d'une nouvelle société basée seulement sur les besoins des hommes (Delécluze,Journal, 1827, p. 413).
− [P. oppos. à société politique] Société civile. La société civile n'est évidemment pas née en juin 1988 (...). C'est même une réalité permanente, puisqu'on pourrait la définir comme ce qui, dans la société, n'est pas directement la société politique, c'est-à-dire qu'elle n'exerce pas le pouvoir d'État (La Croix, 19 juill. 1988, p. 9, col. 1).
− [L'accent est mis sur l'organ. écon.] Société bourgeoise, capitaliste, industrielle, libérale, paysanne, socialiste. Rome était essentiellement une société agricole et guerrière (Durkheim,Divis. trav., 1902, p. xxii).Keynes est mort et, avec lui, les politiques du « plein emploi ». La question qui se pose maintenant est: la troisième révolution industrielle va-t-elle conduire à la société du chômage ou à la société du temps libre? (Le Nouvel Observateur, 4 déc. 1978, p. 81, col. 2).
♦ Société d'abondance, de consommation*. Société dans laquelle les individus sont incités à satisfaire (au moyen de l'argent) des besoins artificiellement créés, pouvant aller jusqu'au gaspillage. Avec le crépuscule de la société d'abondance c'est la fin de la société permissive qui a fait un si mauvais usage de la liberté (Le Monde, 17 janv. 1974ds Gilb. 1980).V. consommation ex. 7.
♦ Société post-industrielle. V. post- B 1 c.
− [L'accent est mis sur un ensemble de valeurs, un mode de vie] Société chrétienne, occidentale, permissive. L'infiltration du christianisme dans les sociétés barbares pose-t-elle un autre problème de contact que l'infiltration de l'Islam dans les sociétés animistes de nos jours? (Philos., Relig., 1957, p. 44-8).Les bandits ordinaires de la « société de violence » dont parle l'avocat général (L'Express, 7 oct. 1978, p. 149, col. 1).
♦ Société de communication. Société dans laquelle les moyens d'information et de communication les plus divers ont une grande importance dans la vie quotidienne. Une expérience en vraie grandeur de ville câblée par fibres optiques permet de préfigurer l'avenir de la société de communication. Grâce à un réseau télévisé bidirectionnel, les habitants ont à leur disposition l'interrogation d'une banque de données, la participation directe aux émissions, les échanges mutuels (L'Express, 28 juill. 1979, p. 56, col. 3).
− [L'accent est mis sur une situation historique définie] Société antique, contemporaine, médiévale. Nous avons vu comment le mouvement général de transition, qui s'accomplit au milieu de la société européenne du treizième au quatorzième siècle, devait se faire ressentir dans la marche de l'esprit humain (Ozanam,Philos. Dante, 1838, p. 85).Le système juridique de la société féodale peut d'ailleurs être caractérisé par la prépondérance très accentuée des différents ordres du droit social non étatique sur le droit individuel (Traité sociol., 1968, p. 200).
− [L'accent est mis sur le classement ethnol.] Société archaïque, civilisée, matriarcale, patriarcale, primitive. Le problème du primitivisme d'une société est généralement posé par le contraste qu'elle offre avec ses voisins proches ou lointains (Lévi-Strauss,Anthropol. struct., 1958, p. 126):
3. Le monde qui a pratiqué la chasse aux têtes, est aussi celui qui a connu la maison des hommes et qui, d'une façon générale, possède encore cette institution, tant dans les sociétés à descendance utérine que dans les sociétés de type patriarcal. Est-ce à dire que toute société où existe la maison des hommes est ou fut une société de chasseurs de têtes? Cuisinier,Danse sacrée, 1951, p. 75.
2. P. méton. Formes économiques et politiques, conduites sociales, valeurs morales engendrées par une communauté. Ce n'est pas en tant qu'il décrit une société pourrie que Proust fait œuvre révolutionnaire (Mauriac,Journal 2, 1937, p. 153).Dans une société cosmopolite comme fut l'hellénisme et comme l'est notre civilisation, un certain intérêt pour le mythe prend volontiers la forme de la gnose (Philos., Relig., 1957, p. 36-16).
SYNT. Base, classe, constitution, destruction, étude, évolution, fonctionnement, intérêt, liens, lois, maux, progrès, structure, transformation de la société; sciences de l'homme et de la société; histoire, origine, structure des sociétés; en marge de, au nom de la société; utile à la société; réformer la société; être mis au ban de la société.
III.
A. − Association d'individus soumis à un règlement (pouvant être juridique), fondée sur une communauté d'idées, d'intérêt(s) ou de travail. Société d'anthropologie, d'auteurs, de bibliophiles, de bienfaisance, de concerts, d'encouragement à, de gens de lettres, de géographie, de gymnastique, d'histoire, de secours mutuels; société fraternelle, littéraire, philharmonique, populaire; académies et sociétés savantes; faire partie, être membre d'une société. La société encyclopédique: quel était le but de l'institution? De dîner une fois par mois avec des boyards russes et des magnats hongrois (Reybaud,J. Paturot, 1842, p. 272):
4. Telles sont aussi les sociétés zoologiques, créées au cours du siècle en France, Angleterre (1826) et ailleurs et qui demeurent très vivantes, ou d'autres encore, plus spécialisées, comme les sociétés entomologiques. Ces diverses sociétés ont assuré la publication et la diffusion de nombreux travaux d'ordre systématique. Hist. gén. sc., t. 3, vol. 1, 1961, p. 403.
♦ Société de courses. Société pour l'amélioration de la race chevaline, qui organise les paris sur les hippodromes. Il a été dit que les sociétés de courses étaient placées sous la tutelle de l'État. Comment cette tutelle s'exerce-t-elle? (P. Arnoult,Les Courses de chevaux, 1967, p. 63).
♦ Société léonine. V. léonin1.Société protectrice* des animaux.
♦ Société secrète. Association clandestine composée d'un nombre limité de personnes qui poursuivent des menées subversives à caractère politique, social ou religieux. J'ai connu jadis un vieux sénateur de la République qui, dans sa jeunesse, avait conspiré avec toutes les sociétés secrètes contre Charles X (France,Jard. Épicure, 1895, p. 73).Ce qu'il est intéressant de noter, ce sont les contacts d'Agrippa (...) avec des sociétés secrètes (Caron, Hutin,Alchimistes, 1959, p. 39).
− En partic. Association religieuse, ordre religieux. Il en est de même des églises; le gouvernement respectant tous les cultes, les protège également, et encourage les sociétés religieuses qui en construisent de nouvelles (Crèvecœur,Voyage, t. 2, 1801, p. 36).Société de Jésus (vx). Compagnie des Jésuites. Sûr de son affaire, il s'écrit: La société sera satisfaite! (C'est la société de Jésus) (Courier,Pamphlets pol., Procès, 1821, p. 103).
B. −
1. DR. Contrat entre deux ou plusieurs personnes qui conviennent de mettre quelque chose en commun dans un but lucratif en vue du partage des bénéfices résultants; p. méton., personne morale issue de ce contrat. Grande, grosse, importante société; société coopérative; type de société; siège de la société; constitution, liquidation d'une société. Je vous ai dit sans doute que mon ami Pagnerre était un des actionnaires de la nouvelle société qui possède les théâtres du boulevard (Flaub.,Corresp., 1863, p. 121).Les dix-huit compagnies du Nord et du Pas-de-Calais entrent en liquidation, comme toutes les autres sociétés minières, dont le patrimoine est transmis, dans toute la France, à des établissements publics nationaux (Chenot,Entr. national., 1956, p. 39).
♦ Société d'acquêts. Contrat qui, dans le régime de la séparation de biens, stipule que l'ensemble des économies et des biens acquis par les époux sera divisé entre eux à la dissolution du mariage. En se soumettant au régime dotal, les époux peuvent néanmoins stipuler une société d'acquêts, et les effets de cette société sont réglés comme il est dit aux articles 1498 et 1499 (Code civil, 1804, art. 1580, p. 292).
♦ Société de fait. Association de deux ou plusieurs personnes qui mettent leurs biens en commun avec partage des bénéfices et des pertes, sans contrat écrit ni statut. (Dict. xxes.).
♦ Société civile. ,,Société dont l'objet constitue une activité non commerciale et qui n'a pas adopté la forme anonyme, à responsabilité limitée, en nom collectif ou en commandite`` (Jur. 1985). Nous ne pouvons en ce moment entrer plus à fond dans la critique des sociétés civiles et de commerce (Proudhon,Syst. contrad. écon., t. 1, 1846, p. 250).À 72 ans, Henri Jannès (...) lance une nouvelle croisade: contre les sociétés civiles immobilières qu'il accuse de pratiquer des frais de gestion exorbitants aux dépens de leurs 100 000 souscripteurs (Le Point, 5 janv. 1976, p. 64, col. 1).
− [P. oppos. à société civile]
♦ Société commerciale et, p. ell., société. Société qui a pour objet l'accomplissement d'opérations commerciales, à but essentiellement lucratif, régie par les règles du droit civil et le code du commerce. Les ventes de la société commerciale à l'étranger sont ainsi passées de 397 000 tonnes (...) en 1952 à 550 000 tonnes en 1953 (Industr. fr. engrais chim., 1956, p. 18).Société de capitaux. Société commerciale dans laquelle chaque associé n'est tenu responsable des dettes qu'à la proportion de son apport. La difficulté de l'articulation entre la société papetière et la société forestière, celle-ci société de personnes devant être, en fait sinon en droit, une simple filiale de celle-là, société de capitaux (Industr. fr. bois, 1955, p. 25).Société de personnes, en nom collectif (p. oppos. à société de capitaux). Société commerciale dans laquelle les associés sont responsables sur tous leurs biens de l'ensemble des engagements de la société. La Société constituée sous forme de nom collectif... est transformée, à partir de ce jour, en Société à responsabilité limitée (Contrat de société, 1928ds Doc. hist. contemp., p. 161).Société mère. Importante société de capitaux qui détient plus de la moitié du capital d'une autre appelée filiale. Les participations. Outre celle de Goodrich il faut citer celle de l'US Rubber au capital d'Englebert par l'intermédiaire de la société mère belge (Industr. fr. caoutch., 1965, p. 43).Société par actions. Société de capitaux dans laquelle la participation de chacun des associés est matérialisée par des actions transmissibles. Aujourd'hui, nous avons progressé. On ne vole plus, on fait des coups de bourse et on monte des sociétés par actions (Farrère,Homme qui assass., 1907, p. 42).Société en commandite* et, p. ell., commandite. Société filiale et, p. ell., filiale*.
♦ Société anonyme (S.A.). Société de capitaux d'au moins sept personnes, dont les actions sont transmissibles et où la personnalité de chaque associé disparaît derrière la personnalité morale de la société. Avec les sociétés anonymes par actions tout lien personnel entre le propriétaire et l'objet de sa propriété disparaît (Jaurès,Ét. soc., 1901, p. 257).Société à responsabilité limitée (S.A.R.L.). Société de capitaux dont les parts sociales ne sont transmissibles qu'à un autre associé (pour toute cession à un tiers, l'agrément des autres associés est requis). Il existe une forme de société, intermédiaire entre les sociétés de personnes et celles de capitaux: la loi française de 1925 a précisé le fonctionnement des « sociétés à responsabilité limitée » (SARL) qui groupent plusieurs associés, propriétaires de « parts sociales » du capital (Lesourd, Gérard,Hist. écon., 1968, p. 22).Société (de) portefeuille. Société de capitaux qui possède de nombreuses actions dans des sociétés, les contrôle et les dirige financièrement, sans s'occuper de l'exploitation. Synon. holding.Cette société n'est plus qu'une société de portefeuille depuis qu'elle a constitué en 1951, une filiale (Industr. fr. caoutch., 1965, p. 37).
♦ Société d'économie mixte. Société anonyme dans laquelle l'État ou une collectivité locale sont associés à des capitaux privés. Apporter des garanties d'emprunt, des dons en terrains, des participations financières aux offices d'HLM (...) et parfois à des sociétés d'économie mixte (Belorgey,Gouvern. et admin. Fr., 1967, p. 266).Société d'aménagement foncier et d'établissement rural (S.A.F.E.R.). Société d'économie mixte qui a pour objectif l'amélioration de la structure des exploitations familiales. Éviter à la fois l'éclatement des exploitations et la concentration des propriétés. Ceci s'exprime notamment dans l'action des sociétés d'aménagement foncier et d'établissement rural (SAFER) et dans celle du crédit agricole (Belorgey,Gouvern. et admin. Fr., 1967, p. 370).Société d'investissement. Société anonyme qui gère un portefeuille de valeurs mobilières en répartissant les risques. Le principal mérite des sociétés d'investissement et des fonds communs de placement réside dans leurs possibilités d'attirer l'épargne vers des emplois intéressant immédiatement les activités économiques du pays (Univers écon. et soc., 1960, p. 30-16).Société d'investissement à capital variable (S.I.C.A.V.). Société d'investissement qui peut accueillir à tout moment un nouvel actionnaire et laisse libre tout actionnaire de quitter la société; p. méton., action appartenant à cette société. La reprise amorcée au lendemain des élections vire à l'euphorie avec les mesures de René Monory en faveur de l'épargne investie en actions françaises (...). Le Crédit lyonnais a recueilli en deux jours, pour sa « SICAV 5 000 », 50 millions de Francs (L'Express, 7 oct. 1978, p. 117, col. 1).
♦ Société par intérêts. ,,Société à laquelle chaque associé est réputé n'avoir donné son consentement qu'en considération de ses coassociés et qui exige leur collaboration personnelle à la poursuite du but social, d'où il résulte que la part sociale de chacun d'eux, appelée intérêt, n'est transmissible qu'en vertu d'une clause expresse et avec le consentement des coassociés`` (Cap. 1936).
− Règle de société. Règle de partage des bénéfices entre chaque associé. (Ds DG, Rob., Lar. Lang. fr.).
− P. méton.
♦ Entreprise gérée par une société. Société immobilière, industrielle ; véhicule, voiture de société. La société aura extrait 10 000 tonnes métriques de charbon, dont le quart a été dirigé sur Paris (E. Schneider,Charbon, 1945, p. 145).Vous possédez une première expérience marketing ou commerciale acquise dans une société agro-alimentaire auprès d'une clientèle industrielle (L'Express, 18 avr. 1981, p. 157, col. 1).
♦ Société de service et de conseil en informatique (S.S.C.I.). Société commerciale qui offre l'assistance d'un personnel spécialisé pour la mise au point ou l'exploitation de systèmes informatiques, bureautiques, télématiques (d'apr. Bureautique 1982).
2. DR. INTERNAT. Société des Nations (S.D.N.). Organisation internationale d'états qui visait à maintenir la paix, instituée par le traité de Versailles en 1919 et dissoute en 1947 au profit de l'Organisation des Nations Unies. Cette situation ne pourrait, en effet, être modifiée qu'avec l'assentiment du Conseil de la Société des Nations, avec le consentement du Gouvernement des États-Unis (De Gaulle,Mém. guerre, 1954, p. 573).
Ensuite le mot "perverse"

I. − Empl. adj.
A. − [En parlant d'une pers. ou d'une divinité]
1. Enclin au mal; qui fait, qui aime à faire le mal. Synon. corrompu, malfaisant, méchant.Créature, dieu, divinité, jouisseur, race pervers(e). L'homme (...) devient pervers; il vole, il ment; L'âme inconnue et sombre a des vices d'esclave (Hugo, Légende,t.2, 1859, p.605).Beaucoup de ces rustres (...) croient (...) aux ondines perverses et naufrageuses (Arnoux, Rhône,1944, p.64).
2. PSYCHOPATHOL. Qui est totalement dépourvu de sentiments et de sens moral (d'apr. Méd. Biol. t.3 1972). L'enfant dit «pervers», c'est-à-dire celui qui manifeste des tendances pathologiques à accomplir des actes immoraux, agressifs (Leif1974,s.v. perversité).L'homme pervers (atteint de perversité) «ne s'abandonne pas seulement au mal, mais le désire» (VirelPsych.1977).V. cupide B 2 ex. de Mounier.
− En partic. Dont le comportement sexuel s'écarte de la normalité. Synon. dépravé, vicieux.Bien des individus (...) résistent parfois difficilement à l'invasion de leur imagination par des fantasmes sexuels dits pervers sans qu'on puisse les classer parmi les personnalités perverses (Bastin1970, s.v. perversion).
B. − [P. méton., en parlant d'un attribut d'une pers., d'une manifestation de l'esprit humain]
1. Qui caractérise, qui est le fait d'une personne encline au mal, qui fait, qui aime à faire le mal. Je parle des femmes vraiment femmes, douées de cet esprit (...) de canaillerie charmante, de tromperie exquise, de délicieuse perfidie, de toutes ces perverses qualités qui poussent au suicide les amants imbécilement crédules (Maupass., Contes et nouv.,t.1, Avent. paris., 1881, p.761).Un besoin pervers et enfantin de mystifier le lecteur (Sarraute, Ère soupçon,1956, p.73).
SYNT. Âme, esprit, intelligence, nature pervers(e); conseil, curiosité, désir, goût, impulsion, instinct, joie, plaisir, sensualité, volupté pervers(e).
♦ P. anal. Effet pervers. Conséquence néfaste, pernicieuse, qui n'était pas prévue ou prévisible, et qui n'en est que plus redoutable. C'est (...) à l'actionnaire (l'État) ou à l'épargnant (en souscrivant à des emprunts) de financer l'investissement (...). D'abord, on risque de déclencher des «effets pervers», ces conséquences imprévues qui vont à l'encontre du but recherché (Le Point, 1ermai 1978, p.86, col. 2).La guerre des ondes a eu un autre effet pervers. En cryptant leurs programmes pour riposter au piratage, les responsables des chaînes câblées ont du même coup cassé le marché des installations satellites aux États-Unis (L'Express 2, 21 nov.-18 déc. 1986, p.34).
2. PSYCHOPATHOL. Qui caractérise un pervers constitutionnel (v. infra). Disposition perverse. Du point de vue médico-légal, (...) il convient d'apprécier dans quelle mesure un acte pervers est le résultat dans l'intention de mal faire, d'une libération volontaire des tendances mauvaises de la nature, ou l'effet malfaisant d'une détérioration pathologique de la personnalité morale (Porot1960).
− En partic. Qui caractérise un sujet dont le comportement sexuel s'écarte de la normalité. La disposition perverse polymorphe définit toute sexualité infantile, (...) la plupart des perversions se rencontrent dans le développement psychosexuel de tout individu (Lapl.-Pont.1967,s.v. perversion).Ce n'est qu'au cours de la deuxième poussée sexuelle (puberté) que la fraction des activités «perverses» (érotiques extra-génitales) qui n'a pas été refoulée (...) sera réintégrée à la sexualité, sous forme des plaisirs préliminaires (Chazaud1973, s.v. perversion).V. Bastin 1970 supra:
1. ... ce qui (...) leur avait été présenté comme vice, (...) −l'homosexualité, les drogues, les formes compliquées ou perverses de l'érotisme −la jeunesse en faisait étalage devant eux comme d'amusements presque normaux... Druon, Gdes fam.,t.1, 1948, p.26.
♦ P. méton. [En parlant d'une chose] Qui corrompt, qui incite à faire le mal dans le domaine sexuel. Beauté perverse. L'odeur perverse des parfums (Huysmans, À rebours,1884, p.72).Sa rousse et perverse chevelure (...) était parcourue (...) d'ondes étonnantes qui m'arrivaient droit par vibrations jusqu'au périnée (Céline, Voyage,1932, p.123):
2. Les sons pervers de l'accordéon perçaient encore ses oreilles, l'horreur des yeux humains excités par la concupiscence restait sur elle. Jouve, Paulina,1925, p.205.
II. − Empl. subst.
A. −
1. Personne qui est encline au mal, qui fait ou qui aime à faire le mal. Que toute la nature Crie à l'aspect de ces pervers: Hou, les vils scélérats! Les monstres! Les infâmes! (Chénier, Ïambes,1794, p.270).
2. PSYCHOPATHOL. Pervers (constitutionnel). ,,Sujet totalement dépourvu de sentiments et de sens moral, enclin à faire le mal volontairement et dont le caractère asocial se manifeste très tôt, dès l'enfance`` (Méd. Biol. t.3 1972). Méchanceté foncière du pervers. «L'honnête homme» (...) n'est «l'honnête homme» que pour lui, parce qu'il lui plaît. Le saint ni le pervers ne sont aussi bien maîtres d'eux-mêmes (Jouhandeau, M. Godeau,1926, p.55).Le niveau intellectuel du pervers conditionne largement son comportement social et rend compte du plan d'organisation plus ou moins habile de ses méfaits (Porot1960,s.v. perversion).Les véritables pervers sont rares; ce sont de «mauvais sujets», incapables de se plier à une discipline, égoïstes, (...) méchants, [ils] font souffrir les animaux, se répandent en calomnies (...) et prennent plaisir à accomplir des actes antisociaux ou contre nature (Sill.1965, s.v. perversion).V. perversité ex. de Mounier.
− En partic. Sujet dont le comportement sexuel s'écarte de la normalité. Pervers dont la satisfaction complète est inséparable des actes que l'on pourrait appeler accessoires ou préparatoires au coït normal (Porot1960,s.v. perversions sexuelles).Selon la théorie classique, le petit enfant humain est un pervers polymorphe, c'est-à-dire que ses désirs sexuels infantiles ne sont canalisés dans aucune direction et qu'il considère les différentes zones érogènes comme interchangeables (Rycr.1972, s.v. perversité polymorphe):
3. Elle trouva amusant de déniaiser ce gamin (...). Lui, immédiatement possédé, hanté, éperdu de passion pour cette perverse, en devint follement amoureux et jaloux. Van der Meersch, Invas. 14,1935, p.171.
B. − Empl. subst. masc. sing. à valeur de neutre, littér. et/ou PSYCHOPATHOL. Goût du mal, caractère de celui, celle qui est enclin au mal, qui fait, qui aime à faire le mal. Ce qui est nul finit un jour ou l'autre par tomber dans le pervers (Gobineau, Pléiades,1874, p.278).[L'] inactivité (...) oriente les nerveux vers le frémissement brutal de l'anormal et du pervers (Mounier, Traité caract.,1946, p.253):
4. ... Lafcadio (...) pousse son compagnon hors du wagon, pour rien, par curiosité de lui-même. Cette dangereuse curiosité de soi, c'est pourtant le principe de l'éthique d'André Gide, comme ce goût du pervers, celui de son esthétique. Massis, Jugements,1924, p.12.


peut etre, voit on le mal parce qu on nous a appris à le reconnaitre....

Et peut etre, ne nous a t on pas appris a reconnaitre le bien ???

bonne chance, chacun ses reponses, parce que ce sont nos problemes, pas ceux des autres

Carrie
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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par Carrie » 26 octobre 2013 03:24

OUI, nous vivons dans une société perverse !

Une société alambiquée, qui recherche toujours le profit, qui commence à se dénuer d'humanité, qui médiatise et accepte l'excès et influence sur la mauvaise pente la jeunesse de manière précoce sur des sujets à ne pas prendre à la légère (sexe, drogue), une société paradoxale et hypocrite :divers125

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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par sacamalix » 26 octobre 2013 06:48

Bien que je sois d'accord avec ton message, il faut faire attention sur un point :
Carrie a écrit : la mauvaise pente la jeunesse de manière précoce sur des sujets à ne pas prendre à la légère (sexe, drogue),
Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l’autorité et n’ont aucun respect pour l’âge - Socrate
Les jeunes ont de tout temps été montrés du doigt par leurs ainés... :icon_winks:
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.

La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.

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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par mordred » 26 octobre 2013 16:01

Une société désaxée. Des nations perturbées. Des gens adorant le Veau d'Or. Chaque individu est en partie responsable de cet état.
"Les mécontents, ce sont des pauvres qui réfléchissent".
Talleyrand.

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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par le parisien » 26 octobre 2013 21:30

mordred a écrit :Satan est là. Et Dieu n'existe pas. :combat141 :combat208
Si c'était le cas, le monde tournerait bien mieux. Dieu, Yahvé, Allah, Jésus, appellez-le comme vous voudrez mais lui et ceux qui se réclament de lui sont responsables, directement ou indirectement, d'au moins 80% de la merde de ce monde !


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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par avrilou » 27 octobre 2013 17:17

sacamalix a écrit : Bien que je sois d'accord avec ton message, il faut faire attention sur un point : Les jeunes ont de tout temps été montrés du doigt par leurs ainés... :icon_winks:
Oui tout ça "c'est la faute aux jeunes" :(

Quelle ingratitude pour leurs ainés!
Surtout quand on voit le cadeau parce que finalement cette société pourrie, désaxée, paradoxale, qui l'a faite, je vous l' demande?
;-)

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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par Carrie » 30 octobre 2013 21:39

sacamalix a écrit : Bien que je sois d'accord avec ton message, il faut faire attention sur un point : Les jeunes ont de tout temps été montrés du doigt par leurs ainés... :icon_winks:
Tu as raison. Mais j'avais un peu en tête l'exemple des clips qui passent sur les chaînes musicales que n'importe quel enfant de 6 ans peut voir, et qui dégradent souvent la femme avec les rappeurs bling bling qui prônent argent et substances illégales. A 6 ans, tu n'as pas encore l'esprit de discernement bien fixé. Tout ça, c'est dû à la pornographie qu'on banalise. Voilà, ce que je dénonce, pas la jeunesse en elle même.

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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par le parisien » 31 octobre 2013 00:34

J'ai toujours eu l'impression qu'on surestime grandement le pouvoir des médias dans ce domaine, qu'accuser les clips de rap "bling-bling" et les jeux videos "type GTA", c'est une bonne façon de dédouaner les premiers responsables de l'éducation des enfants : les parents.

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Re: Vivons nous dans une société perverse ?

Message par avrilou » 31 octobre 2013 10:53

Exact mais le temps que les parents passent avec leurs enfants est réduit... :(

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