papibilou a écrit : ↑20 janvier 2025 16:26
Trump est-il un dictateur ? il semblerait bien que ce ne soit pas le cas. L'utilisation du terme fascisme est l'emploi d'un terme historique qui nous semble synonyme d'horreur parce que nous confondons volontiers Hitler et Mussolini.
On met beaucoup de sens dans ce terme, mais si on y met l'interdiction de l'opposition et le contrôle de l'information, ça n'a rien à voir avec Trump.
On ne parle pas du fascisme à l'ancienne, mais d'un fascisme "moderne". Il a tout fait pour s'approprier les pleins pouvoirs en plaçant ses pions dans les plus hautes juridictions, en priorité ses fidèles, ses amis et sa famille.
Le Trum de 2025 n'est plus celui de 2017, car il a obtenu ce qu'il n'avait pas la première fois : les pleins pouvoirs.
Ensuite, je vous laisse le soin de consulter le lien de mon 1er post résumant très bien en quoi D. Trump serait considéré comme fasciste, en adoptant certaines rhétoriques de l'ancien fascisme. Plusieurs chercheurs se rejoignent sur ce point.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
papibilou a écrit : ↑20 janvier 2025 16:26
Trump est-il un dictateur ? il semblerait bien que ce ne soit pas le cas. L'utilisation du terme fascisme est l'emploi d'un terme historique qui nous semble synonyme d'horreur parce que nous confondons volontiers Hitler et Mussolini.
On met beaucoup de sens dans ce terme, mais si on y met l'interdiction de l'opposition et le contrôle de l'information, ça n'a rien à voir avec Trump.
On ne parle pas du fascisme à l'ancienne, mais d'un fascisme "moderne". Il a tout fait pour s'approprier les pleins pouvoirs en plaçant ses pions dans les plus hautes juridictions, en priorité ses fidèles, ses amis et sa famille.
Le Trum de 2025 n'est plus celui de 2017, car il a obtenu ce qu'il n'avait pas la première fois : les pleins pouvoirs.
Ensuite, je vous laisse le soin de consulter le lien de mon 1er post résumant très bien en quoi D. Trump serait considéré comme fasciste, en adoptant certaines rhétoriques de l'ancien fascisme. Plusieurs chercheurs se rejoignent sur ce point.
Oui ce n'est pas du fascisme à l'ancienne. C'est de la démocratie illibérale.
Je ne sais pas si on peut parler de post-fascisme, mais c'est clairement de l'illibéralisme.
« Illibéralisme », une doctrine qui défend la majorité au détriment de l’Etat de droit
Le rejet de l’immigration et celui des droits des minorités sexuelles constituent deux aspects particulièrement répandus de ce concept devenu populaire et qui fait concurrence à celui de « populisme ».
Marlène Laruelle, professeure à l’université George-Washington (Washington, DC), où elle dirige le programme d’études de l’illibéralisme, le décrit comme un « univers idéologique de droite qui estime que le libéralisme, entendu comme un projet politique centré sur la liberté individuelle et les droits humains, est allé trop loin. Ce rejet s’accompagne de positions politiques plus ou moins clairement établies, s’appuyant généralement sur le souverainisme et la défense de la majorité contre les minorités. La nation est conçue de façon homogène et les hiérarchies traditionnelles célébrées ». https://www.lemonde.fr/idees/article/20 ... _3232.html
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
papibilou a écrit : ↑20 janvier 2025 16:26
Trump est-il un dictateur ? il semblerait bien que ce ne soit pas le cas. L'utilisation du terme fascisme est l'emploi d'un terme historique qui nous semble synonyme d'horreur parce que nous confondons volontiers Hitler et Mussolini.
On met beaucoup de sens dans ce terme, mais si on y met l'interdiction de l'opposition et le contrôle de l'information, ça n'a rien à voir avec Trump.
On ne parle pas du fascisme à l'ancienne, mais d'un fascisme "moderne". Il a tout fait pour s'approprier les pleins pouvoirs en plaçant ses pions dans les plus hautes juridictions, en priorité ses fidèles, ses amis et sa famille.
Le Trum de 2025 n'est plus celui de 2017, car il a obtenu ce qu'il n'avait pas la première fois : les pleins pouvoirs.
Ensuite, je vous laisse le soin de consulter le lien de mon 1er post résumant très bien en quoi D. Trump serait considéré comme fasciste, en adoptant certaines rhétoriques de l'ancien fascisme. Plusieurs chercheurs se rejoignent sur ce point.
Le fascisme est un système politique autoritaire qui associe populisme, nationalisme1 et totalitarisme au nom d'un idéal collectif suprême. Mouvement révolutionnaire, il s'oppose frontalement à la démocratie parlementaire et au libéralisme traditionnel, et remet en cause l'individualisme codifié par la pensée philosophique des Lumières.
Le fascisme correspond a une définition bien précise, il n'y a pas de notion ancien ou moderne. Et dans une démocratie il est courant de placer ses pions dans les instances nationales pour mieux les contrôler.
Trump n'a pas les pleins pouvoirs, les pouvoirs aux USA comme en France sont divisés, et même le PDR US a moins de pouvoirs que le PDR de la FRance.
Donc si Trump est un fasciste, macron l'est encore plus...
L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne
Le post fascisme est un concept qui concerne l'évolution de la droite radicale italienne. Pour Trump et sa clique, je ne suis pas sûr que le terme lui corresponde : le contexte est bien plus complexe.
Il faudrait inventer un nouveau concept plus approprié résumant ce cocktail : mélange d'arrivisme capitaliste sans vergogne, de populisme, d'affairisme familial, comportements illibéraux et autoritaires, mépris du droit international et de l'état de droit sur fond de mensonges permanents avec l'appui inconditionnel d'une base très homogène d'électeurs américains définitivement acquis à sa cause quoiqu'il dise, quoiqu'il fasse.
papibilou a écrit : ↑20 janvier 2025 16:26
Trump est-il un dictateur ? il semblerait bien que ce ne soit pas le cas. L'utilisation du terme fascisme est l'emploi d'un terme historique qui nous semble synonyme d'horreur parce que nous confondons volontiers Hitler et Mussolini.
On met beaucoup de sens dans ce terme, mais si on y met l'interdiction de l'opposition et le contrôle de l'information, ça n'a rien à voir avec Trump.
Pour l'instant c'est que de la gueule, que des paroles. Il faudra voir en acte.
Mais, encore une fois, une de ses premières déclarations une fois élu était qu'il briguerait un troisième mandat alors que c'est interdit. Briguer plus de mandats qu'autorisé et modifier des institutions pour pouvoir le faire c'est typiquement le genre de chose que font les dictateurs.
Je m'éloigne du sujet mais si Trump a gagné c'est aussi parce que les démocrates sont désormais à côté de la plaque.
Il faudrait ouvrir un autre sujet mais la dérive woke des démocrates est certainement l'une des raisons de leur cuisante défaite
On peut imaginer un ras-le-bol des américains face à l'extrême wokisation de la société américaine de ces dernières années.
Et Trump apparaît comme le meilleur rempart face à cette dérive woke de la société américaine.
Quand vous êtes un homme blanc hétérosexuel et que l'on vous explique que vous n'êtes pas embauché ou promu parce qu'il faut embaucher ou promouvoir une femme noire ou lesbienne, même nettement moins compétente que vous .. que votre employeur doit faire dans l'inclusion .. Une fois, deux fois et vous votez Trump les yeux fermés.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Victor a écrit : ↑20 janvier 2025 17:22
Je m'éloigne du sujet mais si Trump a gagné c'est aussi parce que les démocrates sont désormais à côté de la plaque.
Il faudrait ouvrir un autre sujet mais la dérive woke des démocrates est certainement l'une des raisons de leur cuisante défaite
On peut imaginer un ras-le-bol des américains face à l'extrême wokisation de la société américaine de ces dernières années.
Et Trump apparaît comme le meilleur rempart face à cette dérive woke de la société américaine.
Quand vous êtes un homme blanc hétérosexuel et que l'on vous explique que vous n'êtes pas embauché ou promu parce qu'il faut embaucher ou promouvoir une femme noire ou lesbienne, même nettement moins compétente que vous .. que votre employeur doit faire dans l'inclusion .. Une fois, deux fois et vous votez Trump les yeux fermés.
C'est pas vrai!
Les démocraties sont à la dérive, mais pas à cause des minorités. Je ne vois que l'exorcisme pour guérir les adeptes de la secte trumpiste.
Patchouli38 a écrit : ↑20 janvier 2025 12:12
On ne parle pas du fascime d'avant, de l'ère de Mussolini, mais Donald Trump en reprend les codes :
- identification de personnes comme étant des menaces pour l'Etat
- définition de l'identité américaine avec des critères raciaux et cultuels
- méfiance et discrédit sur les médias
- culte de la personnalité
- masculinité
- rassemblement des courants d'extrême-droite
- violation de l'Etat de droit
Bref, la démocratie se fissure petit à petit ou les Etats-Unis n'en ressortiront pas indemne.
L'article ci-dessous détaille les raisons qui feraient du Président des US un homme post-fasciste.
J'ai du mal à accepter l'idée de mettre les dirigeants dans des cases.
Si vous énoncez l'interdiction de l'opposition, le culte de la personnalité, la violation de l'état de droit, le contrôle des médias et de l'information, l'identification d'ennemis de l'état, ...vous pouvez y mettre le fascisme, le nazisme, le stalinisme ou le maoïsme.
Tant que Trump ne tombe pas dans la dictature ( et ce sera compliqué avec la puissance des états et la constitution) j'estime que Trump n'a pas à être mis dans la case fascisme ou post-fascisme qui ne veut rien dire.
Sorry !
Victor a écrit : ↑20 janvier 2025 17:22
Je m'éloigne du sujet mais si Trump a gagné c'est aussi parce que les démocrates sont désormais à côté de la plaque.
Il faudrait ouvrir un autre sujet mais la dérive woke des démocrates est certainement l'une des raisons de leur cuisante défaite
On peut imaginer un ras-le-bol des américains face à l'extrême wokisation de la société américaine de ces dernières années.
Et Trump apparaît comme le meilleur rempart face à cette dérive woke de la société américaine.
Quand vous êtes un homme blanc hétérosexuel et que l'on vous explique que vous n'êtes pas embauché ou promu parce qu'il faut embaucher ou promouvoir une femme noire ou lesbienne, même nettement moins compétente que vous .. que votre employeur doit faire dans l'inclusion .. Une fois, deux fois et vous votez Trump les yeux fermés.
C'est pas vrai!
Les démocraties sont à la dérive, mais pas à cause des minorités. Je ne vois que l'exorcisme pour guérir les adeptes de la secte trumpiste.
États-Unis : la contre-révolution anti-woke marque-t-elle un tournant avec Trump ? L’anti-wokisme a joué un grand rôle dans la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle. Les Américains ont voté très largement contre un discours devenu hégémonique, qui conjugue racisme anti-Blancs, idéologie transgenre et culte de la diversité.
L’Américain ordinaire, qu’il soit blanc, noir ou latino, ne comprend pas trop pourquoi il faudrait se soumettre aux savants fous qui agressent idéologiquement les jeunes filles, en leur expliquant qu’elles ne sont pas nées dans le bon corps, et qu’elles se sentiront beaucoup mieux le jour où on leur aura ôté les seins en plus de leur imposer une thérapie hormonale censée leur permettre d’accéder à leur identité profonde. L’Américain ordinaire ne comprend pas non plus pourquoi il faudrait légitimer le racisme anti-Blancs en l’appelant antiracisme.
Il regarde la détresse des Américains des Appalaches et se demande où ils ont caché leur supposé privilège blanc. Il n’aime pas qu’on lui inflige en entreprise des ateliers de rééducation où il doit se livrer à une autocritique identitaire néo-maoïste et jurer de tout faire pour expier les péchés réels ou supposés de ses ancêtres.
États-Unis : Donald Trump, commandant en chef anti-woke
Il n’est pas convaincu non plus des vertus du révisionnisme façon Netflix, conduisant à la réécriture mortifère des origines du pays. Le décolonialisme qui pousse à la criminalisation des Pères fondateurs l’agace, et il se demande si ses enfants, en revenant de l’école, ou en entrant à l’université, commenceront eux aussi à verser dans ce rituel pénitentiel. Il a vécu comme un traumatisme les émeutes médiatiquement légitimées de Black Lives Matter. Cette exaspération est assurément partagée par l’immense majorité des Occidentaux. Mais aux États-Unis, l’anti-wokisme a dépassé le stade de la critique médiatique et idéologique et s’est incarné dans une série de mouvements populaires. Ses détracteurs ne se contentent pas de le décortiquer intellectuellement : ils organisent sa contestation institutionnelle.
Je pense que Trump représente pour beaucoup d'américains le commandant en chef anti-woke.
C'est du moins ce que l'équipe de Trump a réussi à faire passer comme message.
Mais il faut d'abord comprendre le ras-le-bol d'une grande partie des américains face au wokisme.
Si vous ne comprenez pas cela, effectivement vous ne comprendrez pas grand chose à la société américaine et à l'élection de Trump.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Patchouli38 a écrit : ↑20 janvier 2025 12:12
On ne parle pas du fascime d'avant, de l'ère de Mussolini, mais Donald Trump en reprend les codes :
- identification de personnes comme étant des menaces pour l'Etat
- définition de l'identité américaine avec des critères raciaux et cultuels
- méfiance et discrédit sur les médias
- culte de la personnalité
- masculinité
- rassemblement des courants d'extrême-droite
- violation de l'Etat de droit
Bref, la démocratie se fissure petit à petit ou les Etats-Unis n'en ressortiront pas indemne.
L'article ci-dessous détaille les raisons qui feraient du Président des US un homme post-fasciste.
Trump s'est présenté à une élection, il a été élu par le peuple américain pour défendre les intérêts du pays. Je ne vois pas en quoi la démocratie se fissure.
On te parle de fascisme à la mode du 21è s. Essaie de raisonner après avoir lu l'article qui rassemble le point de vue 2 historiens, d'un politologue et les commentaires d'intellectuels américains.
Les critères énoncés par Patchouli sont tirés de situations réelles, vérifiées et qualifient parfaitement un néo fascisme à la sauce américaine.
Très dangereux pour les Américains et le monde
Et tout ça ne tient qu'à 135 207 électeurs dans 4 états que Kamala Harris n'a pas convaincus!
Le scrutin indirect, héritage historique du système électoral américain, permet parfois, comme pour Donald Trump en 2016, de gagner l’élection présidentielle sans avoir la majorité de voix à l’échelle nationale. Ce n’était pas le cas en 2024, puisque Kamala Harris avait 2,3 millions de voix de retard. Pourtant, selon nos calculs, elle aurait pu l’emporter si seulement 135 307 électeurs avaient voté pour elle plutôt que pour Donald Trump dans quatre Etats (Wisconsin, Nevada, Michigan et Géorgie).
Trump s'est présenté à une élection, il a été élu par le peuple américain pour défendre les intérêts du pays. Je ne vois pas en quoi la démocratie se fissure.
On te parle de fascisme à la mode du 21è s. Essaie de raisonner après avoir lu l'article qui rassemble le point de vue 2 historiens, d'un politologue et les commentaires d'intellectuels américains.
Les critères énoncés par Patchouli sont tirés de situations réelles, vérifiées et qualifient parfaitement un néo fascisme à la sauce américaine.
Très dangereux pour les Américains et le monde
Et Xi Jinping président à vie (et je ne parle même pas de poutine) cela ne vous dérange pas ?
Il faut garder raison. Même s'il y a beaucoup de choses inquiétantes chez Trump, les Etats-Unis restent une démocratie.
Ce n'est pas parce que Trump se pose en leader du renouveau des idées conservatrices que c'est obligatoirement un dictateur.
On peut très bien être opposé à l'avortement, pro peine de mort et pour le port d'armes et être un parfait démocrate.
Ce n'est pas parce que vous combattez ces idées que ceux qui les défendent sont d'affreux fascistes.
Vous avez une nette tendance à hystériser le débat démocratique et à considérer comme d'affreux fascistes tous ceux qui ne partagent pas vos idées.
C'est une approche stalinienne de la politique : "Ceux qui ne pensent pas comme moi sont d'affreux fascistes". C'est votre mode de pensée politique.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
De plus, et l'on peut ajouter le fait que Donald Trump cherchera d'abord à s'enrichir par le biais de ses sociétés, avant d'enrichir le peuple américain.
Il va profiter de son statut pour gagner encore plus d'argent, flirtant ainsi avec les conflits d'intérêts qui seraient nombreuses.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
papibilou a écrit : ↑20 janvier 2025 16:26
Trump est-il un dictateur ? il semblerait bien que ce ne soit pas le cas. L'utilisation du terme fascisme est l'emploi d'un terme historique qui nous semble synonyme d'horreur parce que nous confondons volontiers Hitler et Mussolini.
On met beaucoup de sens dans ce terme, mais si on y met l'interdiction de l'opposition et le contrôle de l'information, ça n'a rien à voir avec Trump.
On ne parle pas du fascisme à l'ancienne, mais d'un fascisme "moderne". Il a tout fait pour s'approprier les pleins pouvoirs en plaçant ses pions dans les plus hautes juridictions, en priorité ses fidèles, ses amis et sa famille.
Le Trum de 2025 n'est plus celui de 2017, car il a obtenu ce qu'il n'avait pas la première fois : les pleins pouvoirs.
Ensuite, je vous laisse le soin de consulter le lien de mon 1er post résumant très bien en quoi D. Trump serait considéré comme fasciste, en adoptant certaines rhétoriques de l'ancien fascisme. Plusieurs chercheurs se rejoignent sur ce point.
Moi non plus je n'aime pas Trump, mais pas au point de me vautrer dans la bêtise.
Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve.
Hölderlin
On ne parle pas du fascisme à l'ancienne, mais d'un fascisme "moderne". Il a tout fait pour s'approprier les pleins pouvoirs en plaçant ses pions dans les plus hautes juridictions, en priorité ses fidèles, ses amis et sa famille.
Le Trum de 2025 n'est plus celui de 2017, car il a obtenu ce qu'il n'avait pas la première fois : les pleins pouvoirs.
Ensuite, je vous laisse le soin de consulter le lien de mon 1er post résumant très bien en quoi D. Trump serait considéré comme fasciste, en adoptant certaines rhétoriques de l'ancien fascisme. Plusieurs chercheurs se rejoignent sur ce point.
Moi non plus je n'aime pas Trump, mais pas au point de me vautrer dans la bêtise.
Comme 80% des électeurs Français qui ne voteraient jamais pour un Donald Trump. Mais comme le français est bien trop souvent égocentrique, il estime que tout ce qui lui est étranger est forcément fasciste...
L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne