Moscovici place ses amis PS à la Cour des comptes

[LOFOTEN]

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ENQUÊTE - Outre Najat Vallaud-Belkacem, le premier président de la prestigieuse juridiction financière s’est entouré de nombreux anciens socialistes depuis sa nomination. Des recrutements très politiques qui soulignent l’habileté avec laquelle Pierre Moscovici a étendu son emprise sur la Cour.

Pour la discrétion, c’est raté : la nomination de Najat Vallaud-Belkacem comme conseillère maître à la Cour des comptes - le plus haut des grades de magistrat au sein de la juridiction financière, assorti d’une rémunération pouvant aller de 10.000 € à 15.000 € mensuels selon les profils - a fait grand bruit. En révélant ce «recyclage» à la Cour, le Canard enchaîné suggère même que l’ancienne ministre de l’Éducation nationale aurait bénéficié d’une forme de pacte politique entre François Bayrou et les socialistes : la nomination de l’épouse du chef de file du PS à l’Assemblée, Boris Vallaud, en échange d’une non-censure à l’automne.


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https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... e-20250718

[LeGrandNoir]

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ENQUÊTE - Outre Najat Vallaud-Belkacem, le premier président de la prestigieuse juridiction financière s’est entouré de nombreux anciens socialistes depuis sa nomination. Des recrutements très politiques qui soulignent l’habileté avec laquelle Pierre Moscovici a étendu son emprise sur la Cour.

Pour la discrétion, c’est raté : la nomination de Najat Vallaud-Belkacem comme conseillère maître à la Cour des comptes - le plus haut des grades de magistrat au sein de la juridiction financière, assorti d’une rémunération pouvant aller de 10.000 € à 15.000 € mensuels selon les profils - a fait grand bruit. En révélant ce «recyclage» à la Cour, le Canard enchaîné suggère même que l’ancienne ministre de l’Éducation nationale aurait bénéficié d’une forme de pacte politique entre François Bayrou et les socialistes : la nomination de l’épouse du chef de file du PS à l’Assemblée, Boris Vallaud, en échange d’une non-censure à l’automne.


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https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... e-20250718

C'est à vomir. Il fallait recaser Najat Vallaud-Belkacem, maintenant incapable de se faire élire où que ce soit, mais qui n'a pas les qualifications requises. Et la tractation évidente entre Bayrou et le groupe PS à l'AN est une honte.

[Fonck1]

c'est la politique et c'est un art.
ils ont du lui faire le champ libre sur d'autres points.

[papibilou]

C'est à vomir. Il fallait recaser Najat Vallaud-Belkacem, maintenant incapable de se faire élire où que ce soit, mais qui n'a pas les qualifications requises. Et la tractation évidente entre Bayrou et le groupe PS à l'AN est une honte.

J'ai la même réaction que vous, sans aller jusqu'à vomir.
Mais la situation de notre pays n'est elle pas si précaire qu'il faut peut-être accepter certaines compromissions minables pour que l'instabilité ne devienne un handicap bien trop lourd ? Autrement dit je me dis que si la stabilité gouvernementale et le vote d'un budget (insuffisant mais plutôt courageux) nécessitent pas qu'une dame obtienne un poste qu'elle ne devrait pas obtenir, tant pis.
Donc c'est un peu pourri mais des gens qui sont nommés pour des raisons politiques il y en a tous les jours alors si ça permet d'atteindre une certaine stabilité ...

[LeGrandNoir]

C'est à vomir. Il fallait recaser Najat Vallaud-Belkacem, maintenant incapable de se faire élire où que ce soit, mais qui n'a pas les qualifications requises. Et la tractation évidente entre Bayrou et le groupe PS à l'AN est une honte.

J'ai la même réaction que vous, sans aller jusqu'à vomir.
Mais la situation de notre pays n'est elle pas si précaire qu'il faut peut-être accepter certaines compromissions minables pour que l'instabilité ne devienne un handicap bien trop lourd ? Autrement dit je me dis que si la stabilité gouvernementale et le vote d'un budget (insuffisant mais plutôt courageux) nécessitent pas qu'une dame obtienne un poste qu'elle ne devrait pas obtenir, tant pis.
Donc c'est un peu pourri mais des gens qui sont nommés pour des raisons politiques il y en a tous les jours alors si ça permet d'atteindre une certaine stabilité ...

Surtout côté PS et Macron.

Lisez donc cet article du Figaro.fr: La Cour des comptes, cimetière des éléphants socialistes où Pierre Moscovici fait régner la loi de la jungle

ENQUÊTE - Outre Najat Vallaud-Belkacem, le premier président de la prestigieuse juridiction financière s’est entouré de nombreux anciens socialistes depuis sa nomination. Des recrutements très politiques qui soulignent l’habileté avec laquelle Pierre Moscovici a étendu son emprise sur la Cour.

Pour la discrétion, c’est raté : la nomination de Najat Vallaud-Belkacem comme conseillère maître à la Cour des comptes - le plus haut des grades de magistrat au sein de la juridiction financière, assorti d’une rémunération pouvant aller de 10.000 € à 15.000 € mensuels selon les profils - a fait grand bruit. En révélant ce «recyclage» à la Cour, le Canard enchaîné suggère même que l’ancienne ministre de l’Éducation nationale aurait bénéficié d’une forme de pacte politique entre François Bayrou et les socialistes : la nomination de l’épouse du chef de file du PS à l’Assemblée, Boris Vallaud, en échange d’une non-censure à l’automne.

L’insinuation est séduisante mais fragile : est-il besoin d’aller chercher si loin, alors tout simplement que Pierre Moscovici était lui-même au gouvernement de François Hollande en même temps que sa nouvelle recrue ? On jure du reste à Matignon que, si le décret présidentiel mentionne que les futurs magistrats financiers sont nommés «sur le rapport du premier ministre», la formule est rhétorique : c’est en réalité le premier président de la Cour des comptes qui décide seul. «Les nominations sont prononcées sur proposition du Premier président de la Cour des comptes», lit-on du reste sur le site Internet de la Cour.

Proximités troublantes
Curieusement, Pierre Moscovici jurait pourtant sur France Info jeudi matin qu’il n’y était pour rien : «Elle est arrivée par une procédure de recrutement professionnel parfaitement objective, parfaitement collective et sans que je sois intervenu en quoi que ce soit». En effet poursuit-il, la candidature de son ancienne collègue au gouvernement a été étudiée parmi «28 dossiers auditionnés par la commission d’intégration que certes je préside mais qui comporte six membres totalement indépendants et pas nommés par moi». Cela semble pourtant faux : parmi les cinq autres membres de cette commission, deux sont désignés directement par les services du premier président parmi les magistrats de la Cour ; quant aux trois autres hauts fonctionnaires qui complètent la commission, toutes les personnes interrogées rue Cambon assurent qu’elles sont choisies également par le premier président ou son entourage proche.

L’examen enfin de la liste des personnalités qui composent cette commission, et que Le Figaro s’est procurée, atteste de proximités troublantes avec la candidate. On y trouve l’ancien directeur de cabinet adjoint de Geneviève Fioraso, qui fut ministre en même temps que Najat Vallaud-Belkacem ; ou encore un ancien inspecteur de l’Éducation nationale, donc l’administration à la tête de laquelle s’est trouvée la candidate quand elle fut ministre.

Reste que, si François Bayrou a joué un rôle dans ce dossier-là, Pierre Moscovici n’avait manifestement pas attendu le centriste pour offrir un point de chute à d’anciens camarades. Car Najat Vallaud-Belkacem ne fait en réalité que suivre les pas d’autres anciens ministres comme Vincent Peillon ou Agnès Buzyn... et des piliers du Parti socialiste comme Valérie Rabault, ancienne présidente du groupe à l’Assemblée recrutée il y a peu. La pratique est courante, elle ne date pas d’hier ; et si l’impression que nombre de recrutements récents se font chez les éléphants socialistes, c’est aussi pour des raisons conjoncturelles : la fin de l’ère Hollande, comme chaque fin de règne, amenait avec elle son lot de ministres et de membres de cabinet à recaser ici ou là dans l’administration. La droite a aussi eu sa part : «Henri Guaino n’a pas la réputation d’être un travailleur assidu non plus, ça lui a même valu de se voir retirer ses primes» persifle par exemple un collègue de cet ancien conseiller de Nicolas Sarkozy.

Tradition immémoriale
À la Cour, beaucoup y voient certes une tradition immémoriale, mais qui a ses raisons : «l’exercice de hautes fonctions dans l’État apporte aussi une expérience que les anciens politiques apportent à la Cour», commente un magistrat. Peu suspecte d’accointances avec le vieux monde socialiste, Sarah Knafo (qui s’est mise en disponibilité de la Cour pour se consacrer à ses fonctions politiques) défend auprès du Figaro «la nécessité de recruter des profils variés, comme d’anciens militaires ou d’anciens ministres compétents», sans dissimuler toutefois ses réserves spécifiques sur les compétences de Najat Vallaud-Belkacem. Des réserves qui font du reste l’unanimité : plusieurs de ses futurs collègues soulignent avec cruauté que Najat Vallaud-Belkacem a échoué deux fois à l’ENA.

Les jeunes auditeurs se tiennent à carreau car ils ne doivent pas froisser le premier président, puisque leur intégration au corps est entre ses mains

Un jeune novice de la Cour
Mais de courante qu’elle était, la pratique s’est incontestablement répandue sous Moscovici. D’abord grâce à la réforme de la haute fonction publique conduite par Emmanuel Macron, et dont l’esprit général est de faciliter la circulation entre les administrations, en donnant aux grands corps un pouvoir discrétionnaire pour recruter les impétrants à travers des «tours externes» où un simple passage devant une commission remplace la sélection sur concours à l’entrée de l’ENA.

À lire aussi Aurélien Rousseau, Najat Vallaud-Belkacem… Qui pour diriger Sciences Po Paris ?

Devenue l’INSP, l’école des grands serviteurs de l’État ne permet plus, du reste, aux élèves les mieux classés d’accéder directement à la Cour des comptes : on n’y entre qu’après plusieurs années dans la haute fonction publique, et comme auditeur, donc on n’obtient pas tout de suite le rang de magistrat. «Les jeunes auditeurs se tiennent à carreau car ils ne doivent pas froisser le premier président, puisque leur intégration au corps est entre ses mains», observe un jeune novice de la Cour, qui attend lui-même sagement son tour.

Le système Moscovici
Ensuite, Pierre Moscovici n’a eu de cesse depuis 2020 d’accroître son emprise sur la Cour par une série de décisions qui, mises bout à bout, forment un véritable système de pouvoir pour faire de lui le seul maître à bord. Le tout au prétexte de réformer une institution pluriséculaire, dans le cadre de son plan «JF2025», un vaste projet de réformes du Code des juridictions financières. Première mesure, et non des moins décriées en interne, la mise en place d’une charte sur la diversité et l’inclusion. «La plupart des magistrats y étaient opposés car cela constitue une rupture d’égalité entre les candidats», souffle un membre éminent de la Cour, pour qui «désormais, on a plus de chances d’être nommé si l’on est une femme avec des origines immigrées et un parcours atypique». Tiens... ça vous évoque quelqu’un ?

Mais cette diversité est à géométrie variable. Depuis 1970, un usage mis en place par Michel Debré quand il était ministre de la Défense nationale prévoyait que la Cour réserve chaque année un poste d’auditeur à un officier. De l’avis de beaucoup, ces anciens militaires apportaient à la Cour une rigueur et une discipline de travail qui furent longtemps appréciées. Mais en 2022, alors qu’un ingénieur de l’armement issu de Polytechnique tenait la corde pour être intégré, Pierre Moscovici fit interrompre brutalement le processus de recrutement : le candidat malheureux fut laissé-pour-compte et la Cour n’a plus recruté d’officier depuis. Et pour cause : au même moment, l’une des dernières recrues passées par cette voie venait d’annoncer sa candidature aux élections législatives sous l’étiquette Reconquête!, ce que le premier président de la Cour n’a visiblement pas digéré.

D’autres évolutions de la Cour, impulsées par Pierre Moscovici, ont été mal reçues. «La collégialité, qui garantit le bien-fondé d’une décision prise par des magistrats, s’est altérée, commente un conseiller maître expérimenté. Sur certains rapports fondamentaux, par exemple concernant les collectivités locales, l’ensemble de la maîtrise participait aux travaux : ce n’est plus toujours le cas et le premier président peut décider de restreindre le nombre de conseillers consultés», déplore-t-il. Plusieurs magistrats de la Cour regrettent aussi la publication rendue systématique de tous les rapports, même ceux les moins aboutis ou n’ayant pas fait l’objet d’une relecture assez minutieuse. En interne, la parution de l’un d’eux qui remettait en cause le soutien à l’élevage en raison des émissions de carbone générées par les troupeaux, a suscité un vaste émoi. L’inévitable polémique ainsi suscitée «a affaibli l’image de la Cour, alors que jusqu’ici elle bénéficie d’une forte confiance de l’opinion, car on met sur le même plan des travaux plus ou moins aboutis», commente un autre membre du corps.

«Manquement grave au devoir de réserve»
Mais malheur à qui critique ouvertement les faits du prince ! La parution début juillet dans Le Monde d’un article faisant état de tensions internes au sujet des fins de carrière a mis Pierre Moscovici en furie. Des membres de la Cour s’épanchaient auprès du journaliste sur le refus par le premier président de prolonger des vieux magistrats au-delà de la limite d’âge. Le sujet est d’autant plus sensible que Pierre Moscovici lui-même, pourtant rattrapé aussi par cette limite, s’est vu prolonger d’un an son mandat par le président de la République au motif qu’il est le père d’un enfant en bas âge... Reste que dans la foulée, Pierre Moscovici a fait adopter par le Conseil supérieur de la Cour des comptes une déclaration condamnant avec acrimonie ce «manquement grave au devoir de réserve».

Si vous êtes étiqueté comme étant de droite, c’est plus difficile d’obtenir une promotion, alors que normalement elles se font à l’ancienneté

Un magistrat
Ce conseil supérieur, présidé par Pierre Moscovici lui-même, est souvent le théâtre d’incidents houleux. Un désaccord sur une nomination a poussé le président de l’association des magistrats (sorte de syndicat interne à la Cour) à faire consigner au procès-verbal des insultes proférées à son endroit par le premier président. C’est aussi là que l’on décide notamment de l’avancement des magistrats : «Si vous êtes étiqueté comme étant de droite, c’est plus difficile d’obtenir une promotion, alors que normalement elles se font à l’ancienneté» grommelle un magistrat qui s’estime laissé sur la touche. Mais d’autres décisions sont encore plus discrétionnaires, comme celles des présidents de chambre, qui sont tous aujourd’hui notoirement connus pour leur proximité avec les idées politiques de Pierre Moscovici : «le dernier président de chambre à ne pas être de gauche était Christian Charpy, mais il vient de quitter la Cour pour la Commission nationale des comptes de campagne» relève un familier de la maison. L’intérim a été confié après son départ à Roch-Olivier Maistre, ancien président de l’Arcom et tombeur de la chaîne C8.

«Moscovici n’aime pas qu’on lui résiste»
Quand elles viennent «d’en haut», les décisions sont parfois brutales, comme récemment la démission forcée de la présidente de la Chambre régionale des comptes de PACA, officiellement débarquée à cause d’erreurs de management. Des esprits chagrins soulignent qu’elle venait de pilonner le plan «Marseille en grand» voulu par le président de la République, qui aurait réclamé sa tête à Pierre Moscovici au moment où celui-ci sollicitait de l’Élysée le recul de son départ... «C’est possible, mais il ne faut pas négliger non plus des explications qui tiennent aussi au caractère de Moscovici : il n’aime pas qu’on lui résiste, et quand il ne peut pas blairer quelqu’un, il le dégage sans ménagement !» commente un témoin de cette décapitation sanglante.

Difficile toutefois d’occulter le caractère très politique de certaines de ces décisions brutales. La mésaventure qui est arrivée aux jeunes recrues des chambres régionales des comptes est éloquente à ce sujet : à l’issue du concours, la Cour a publié la liste des dix admis, le 2 décembre 2024, avant de la retirer de son site quelques minutes plus tard. Les heureux élus ont été laissés sans nouvelles pendant 15 jours. Officiellement, l’institution craignait de ne pas avoir les crédits suffisants pour embaucher tout le monde... Mais d’autres y voient une tout autre raison : les services du premier président ont découvert, mais trop tard, que deux des admis étaient d’anciens candidats RN et Reconquête!. Poussant les services de Pierre Moscovici à envisager les modalités juridiques de leur éviction, avant de se raviser face à la désapprobation du jury d’admission. En définitive, l’un des deux admis a préféré renoncer à rejoindre la Cour. Les deux admis n’étaient pourtant pas les seuls à être politisés : sur cette même liste, on retrouvait aussi un ancien candidat LR et une militante des Jeunes avec Macron.

Ces épisodes qui, en plus de se répéter, penchent presque toujours dans le même sens, poussent certaines voix à dénoncer une ingérence de plus en plus visible. Comme lorsque Pierre Moscovici diffère volontairement la publication d’un rapport sur l’immigration clandestine pour ne pas interférer avec les élections législatives. Pour autant, la collégialité des procédures rassure même jusqu’aux magistrats les plus critiques à l’égard de leur premier président : «Pour le moment, on ne peut pas dire que la Cour se politise dans ses décisions», note l’un d’eux. «La question relève davantage de la morale. Mais si cela continue à ce rythme, le risque est d’affaiblir la crédibilité de toute la juridiction !» conclut-il avec inquiétude.

Moscovici exerce donc une dictature à la Ceaucescu sur la Cour des Comptes.

[mic43121]

Le canard a raison ...
Le but de cette nomination ..https://www.lecanardenchaine.fr/politiq ... -de-bayrou
Acheter le PS ...

[UBUROI]

Fantasmes de vieilles badernes et/ou d'extrême droite.
Elle a passé les sélections, elle a réussi.
Fait chier les mal lotis qu'elle soit belle, maghrébine, humaine et compétente. C'est vrai qu'à côté de Knafo, promotion canapé, Dati mégère prompte à tout..., Marion anglophone de première et la tante corrompue!!!
On verra si Vallaud dirige le PS ils vireront Bayrou si le budget reste aussi anti social.

[LOFOTEN]

Fantasmes de vieilles badernes et/ou d'extrême droite.
Elle a passé les sélections, elle a réussi.
Fait chier les mal lotis qu'elle soit belle, maghrébine, humaine et compétente. C'est vrai qu'à côté de Knafo, promotion canapé, Dati mégère prompte à tout..., Marion anglophone de première et la tante corrompue!!!
On verra si Vallaud dirige le PS ils vireront Bayrou si le budget reste aussi anti social.

Belle occasion de se taire !

[oups]

Sinon, nomination " hors tour " à la cour des comptes à un sens assez précis, je vous laisse le découvrir

[mic43121]

Fantasmes de vieilles badernes et/ou d'extrême droite.
Elle a passé les sélections, elle a réussi.
Fait chier les mal lotis qu'elle soit belle, maghrébine, humaine et compétente. C'est vrai qu'à côté de Knafo, promotion canapé, Dati mégère prompte à tout..., Marion anglophone de première et la tante corrompue!!!
On verra si Vallaud dirige le PS ils vireront Bayrou si le budget reste aussi anti social.

Il y a des spécialistes pour cette fonction ... des gens qui n'ont fait des études conséquentes
POURQUOI ELLE ????
Tu as d'autres explications que son interrogation écrite ?
maghrébine humaine "compétente "...en économie tu penses que c'est suffisant ???
Allez parles nous de la guerre en Ukraine ..tu es plus performant ...

[gare au gorille]

Fantasmes de vieilles badernes et/ou d'extrême droite.
Elle a passé les sélections, elle a réussi.
Fait chier les mal lotis qu'elle soit belle, maghrébine, humaine et compétente. C'est vrai qu'à côté de Knafo, promotion canapé, Dati mégère prompte à tout..., Marion anglophone de première et la tante corrompue!!!
On verra si Vallaud dirige le PS ils vireront Bayrou si le budget reste aussi anti social.

Belle occasion de se taire !

Surement un zeste de jalousie de la part de ce monsieur, faut dire que si la talentueuse Knafo a succombée au charme de l'intelligence de Zemmour c'est pas une vieille baderne gauchiste qui va la faire grimper aux rideaux.

[oups]

Fantasmes de vieilles badernes et/ou d'extrême droite.
Elle a passé les sélections, elle a réussi.
Fait chier les mal lotis qu'elle soit belle, maghrébine, humaine et compétente. C'est vrai qu'à côté de Knafo, promotion canapé, Dati mégère prompte à tout..., Marion anglophone de première et la tante corrompue!!!
On verra si Vallaud dirige le PS ils vireront Bayrou si le budget reste aussi anti social.

Il y a des spécialistes pour cette fonction ... des gens qui n'ont fait des études conséquentes
POURQUOI ELLE ????
Tu as d'autres explications que son interrogation écrite ?
maghrébine humaine "compétente "...en économie tu penses que c'est suffisant ???
Allez parles nous de la guerre en Ukraine ..tu es plus performant ...

Ça c’est méchant, la dame a beaucoup travaillé pour être " belle et maghrébine " Sinon pour la nomination " hors tour " precise le décret
Sinon quand on est en position de distribuer des faveurs , on l’fait .A quoi bon se faire iech à acquérir du pouvoir si on ne s’en sert pas ?

[latresne]

Si j'ai bien lu ,le salaire serait entre 10.000 et 15.000 euros/mensuel.
Bonne paye pour une bonne planque.Ce CC devient une succursale du défunt PS.