Infos concernant le monde animal !
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La fourrure des chiens et chats n'est pas interdite au Canada...
Chaque année, près de 2 millions de chiens et de chats sont massacrés en Asie, uniquement pour leur fourrure. Les produits de ces massacres sont vendus partout dans le monde, mais particulièrement en Europe et en Amérique du Nord. Les à‰tats-Unis et l'Europe ont déj à commencé à faire en sorte que ces produits soient définitivement interdits sur leur territoire. Le Canada, lui, n'a pas encore émis d'interdiction concernant l'importation ou la commercialisation de ces produits sur son territoire.
Même l'étiquetage de ces produits ne permet pas aux consommateurs canadiens de savoir ce qu'ils achètent réellement, puisqu'il est souvent trompeur ou mensonger, indiquant qu'il s'agit de «fausse fourrure», de «cuir véritable», etc., ou simplement made in China, «fait en Thaïlande», etc. Donc, sans le savoir, les Canadiens achètent tous les jours, des produits qui encouragent
un commerce basé sur la torture et le massacre de millions de chiens et de chats asiatiques. Et je dis bien torture et massacre, parce que les méthodes utilisées en Asie pour tuer ces animaux relèvent de la torture : pendaison, coups à la tête avec un bâton ou une pierre, égorgé puis écorché vivant, ébouillanté vivant, dépecé vivant, etc., tout cela, en présence de leurs
camarades qui attendent leur tour, impuissants et terrifiés.
Même pendant leur détention, ces animaux sont généralement maltraités et entassés à plusieurs dans des cages trop petites, où plusieurs se brisent des pattes ou meurent étouffés à cause du manque d'espace.
Ces chiens et ces chats sont littéralement traités comme s'ils étaient des objets incapables de ressentir de la douleur, ce qui n'est malheureusement pas le cas. Les chiens et les chats, partout dans le monde, côtoient et font confiance à l'homme puisqu'ils sont des animaux domestiques. Il faut donc absolument, que le Canada fasse comme les à‰tats-Unis et l'Europe, et qu'il
mette fin, lui aussi, à ce commerce barbare et inhumain.
Julie Saint-Hilaire
Québec
http://www.cyberpresse.ca:80/article/20 ... 26/CPSOLEI
Chaque année, près de 2 millions de chiens et de chats sont massacrés en Asie, uniquement pour leur fourrure. Les produits de ces massacres sont vendus partout dans le monde, mais particulièrement en Europe et en Amérique du Nord. Les à‰tats-Unis et l'Europe ont déj à commencé à faire en sorte que ces produits soient définitivement interdits sur leur territoire. Le Canada, lui, n'a pas encore émis d'interdiction concernant l'importation ou la commercialisation de ces produits sur son territoire.
Même l'étiquetage de ces produits ne permet pas aux consommateurs canadiens de savoir ce qu'ils achètent réellement, puisqu'il est souvent trompeur ou mensonger, indiquant qu'il s'agit de «fausse fourrure», de «cuir véritable», etc., ou simplement made in China, «fait en Thaïlande», etc. Donc, sans le savoir, les Canadiens achètent tous les jours, des produits qui encouragent
un commerce basé sur la torture et le massacre de millions de chiens et de chats asiatiques. Et je dis bien torture et massacre, parce que les méthodes utilisées en Asie pour tuer ces animaux relèvent de la torture : pendaison, coups à la tête avec un bâton ou une pierre, égorgé puis écorché vivant, ébouillanté vivant, dépecé vivant, etc., tout cela, en présence de leurs
camarades qui attendent leur tour, impuissants et terrifiés.
Même pendant leur détention, ces animaux sont généralement maltraités et entassés à plusieurs dans des cages trop petites, où plusieurs se brisent des pattes ou meurent étouffés à cause du manque d'espace.
Ces chiens et ces chats sont littéralement traités comme s'ils étaient des objets incapables de ressentir de la douleur, ce qui n'est malheureusement pas le cas. Les chiens et les chats, partout dans le monde, côtoient et font confiance à l'homme puisqu'ils sont des animaux domestiques. Il faut donc absolument, que le Canada fasse comme les à‰tats-Unis et l'Europe, et qu'il
mette fin, lui aussi, à ce commerce barbare et inhumain.
Julie Saint-Hilaire
Québec
http://www.cyberpresse.ca:80/article/20 ... 26/CPSOLEI
Tout être vivant a droit au respect et a la liberté !
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Jeudi 13 mars 2008
Deux baleines échouées ont été sauvées par un dauphin sur les côtes de Nouvelle-Zélande, ce qui pourrait être le premier cas connu d'un tel comportement, fait savoir un défenseur de l'environnement.
Le dauphin Moko, visiteur régulier de la côte de Mahia, sur la côte orientale de l' àle du Nord, a acquis le statut de héros en guidant lundi vers les eaux profondes deux baleines pygmées qui s'étaient échouées à plusieurs reprises...........
http://www.evana.org/index.php?id=31676&lang=fr
Deux baleines échouées ont été sauvées par un dauphin sur les côtes de Nouvelle-Zélande, ce qui pourrait être le premier cas connu d'un tel comportement, fait savoir un défenseur de l'environnement.
Le dauphin Moko, visiteur régulier de la côte de Mahia, sur la côte orientale de l' àle du Nord, a acquis le statut de héros en guidant lundi vers les eaux profondes deux baleines pygmées qui s'étaient échouées à plusieurs reprises...........
http://www.evana.org/index.php?id=31676&lang=fr
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Le saumon d'élevage est-il devenu le porc des mers ?
http://www.naturavox.fr/article.php3?id_article=3455
Le saumon d'élevage est-il devenu le porc des mers ?
Un article de l'Association Suisse pour le Végétarisme A l'époque où l'humanité n'exerçait pas encore d'influence notable sur les mers, les effectifs des poissons étaient considérablement plus élevés qu'aujourd'hui.
Depuis le 20e siècle, en raison des investissements croissants en matériel moderne comme les chaluts et les filets dérivants, ce sont des fonds marins entiers qui peuvent être vidés de leurs poissons. Cela conduit à un problème que nous appelons la surpêche. On capture et on tue plus de poissons qu'il n'en na àt. La surpêche signifie à terme l'extermination de la faune marine.
L'Aquaculture est elle une solution ?
En 2002, c'est plus de 100 millions de tonnes d'animaux marins qui ont été pêchés de par le monde. Entre temps, il s'avère que les océans s'épuisent et qu'ils ne peuvent plus donner ce que les pêcheurs en attendent. Le travail d'information des organisations écologistes et des médias a contribué à une prise de conscience de plus en plus large sur les conséquences
dramatiques de la surpêche et de plus en plus de personnes sont à la recherche de solutions alternatives.
L'une d'entre elles consiste à élever des poissons et d'autres animaux marins comme les crevettes dans des bassins séparés du grand large appelés exploitations piscicoles, afin que les effectifs des poissons sauvages puissent se rétablir. Désormais, un tiers des poissons consommés dans le monde proviennent de telles exploitations. Au départ, les éleveurs faisaient l'éloge de cette forme d'élevage prétendument durable et porteuse d'avenir.
Mais aujourd'hui, on sait que l'aquaculture ne constitue pas la solution espérée au problème de la surpêche - au contraire.
Augmentation de la surpêche :
De nombreux poissons ne sont pas végétariens. Et il faut d'autres poissons pour les nourrir (que ce soit sous forme d'huile, de farine ou de granulés de poisson). Par exemple, pour qu'un saumon prenne 1 kg, il faut lui donner environ 10 kg de nourriture. Pour cela, on utilise des espèces de poissons dont le goût ne convient pas aux êtres humains et que jusque-l à , la pêche
avait donc épargnées.
Ces espèces de poissons, considérées jusqu'alors comme impropres à la consommation humaine, se trouvent être consommées par d'autres espèces de poissons, dont la nourriture se trouve ainsi dérobée par les êtres humains.
Conséquence : les effectifs de ces espèces de poissons prédateurs s'effondrent eux aussi.
Aujourd'hui, à peu près un tiers des poissons pêchés dans le monde sont transformés en nourriture destinée aux poissons d'élevage.
Loin de constituer une solution à la surpêche, les fermes piscicoles ne font donc qu'aggraver le problème.
D'après le rapport sur la pêche « The state of World Fisheries and Aquaculture 2006 » de l'Organisation des Nations Unis pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO) publié en mars 2007, 52 % des populations de poissons marins subissent une pêche si intensive qu'il leur est désormais impossible d'augmenter leurs effectifs, 16% sont en surpêche, et 7% sont épuisées. Les
effectifs d'un pour cent seulement sont en voie de rétablissement.
Destruction des mangroves :
De même que la forêt tropicale est rasée pour faire place à des pâturages destinés à l'élevage bovin, des centaines de milliers d'hectares de mangroves sont irrémédiablement détruits aux profits de fermes à poissons et à crevettes.
Les mangroves sont des forêts aquatiques en eaux saumâtres peu profondes qui constituent un écosystème très riche ; elles accueillent de nombreuses esp à à à à à à à à à àèces de pois à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à àêêêêêêêêêêsons, d'oiseaux et autres espèces animales ; quand elles disparaissent, tous ces animaux disparaissent avec elles.
Par ailleurs, ces forêts épaissent protègent aussi les êtres humains en atténuant les effets de catastrophes naturelles comme les tsunamis.
"A l'origine il y avait aux Philippines pluis de 500000 hectares de mangroves. Aujourd'hui, il n'en reste plus de que 36000 hectares. Le reste (soit 93%) a été transformé en élevages à crevettes pour le marché mondial."
Conséquences écologiques de la consommation de viande, brochure de l'ASV (Association Suisse pour le Végétarisme).
Substances toxiques (métaux lourds / antibiotiques)
L'industrie de la pêche se trouve confrontée aux mêmes problèmes que ceux auxquels l'élevage industriel de masse doit faire face. De trop nombreux animaux sont maintenus sur un espace trop exigu ; pour prévenir et circonscrire les maladies, il s'avère nécessaire de leur inoculer des
médicaments et des antibiotiques par le biais de leur nourriture.
Mais cela ne les empêche pas de tomber malades. Ceux qui parviennent à s'échapper des cages et à gagner le large contribuent à propager ces maladies parmi leurs congénères vivant en liberté, et les effectifs de ces derniers se trouvent décimés.
Davantage que les animaux d'élevage herbivores, les poissons stockent et concentrent les substances toxiques, car ils consomment d'autres poissons eux-mêmes déjà contaminés. La concentration en substances toxiques augmente à chaque échelon de la chaîne alimentaire.
Les résidus de ces substances toxiques sont en partie évacués dans les excréments et ils polluent le milieu marin. Les laboratoires indépendants retrouvent également des résidus d'antibiotiques dans la chair des poissons et des crevettes roses.
A l'état naturel, les saumons sauvages parcourent des milliers de kilomètres. L'élevage en ferme piscicole est si dénaturé que leur chair ne prend pas cette couleur rose à laquelle les consommateurs sont habitués ; c'est pourquoi on ajoute des colorants artificiels à leur nourriture.
A l'instar de ce qui se passait encore il y a quelques années avec la viande, on fait croire au consommateur que le poisson est un aliment sain et nécessaire à une bonne santé. Quand on y regarde de plus près, on constate que cette consommation de poisson ne présente d'avantage ni pour la santé ni pour l'environnement. L'élevage industriel des poissons entraîne les mêmes
problèmes que les autres formes d'élevage industriel.
Dans les deux cas, des êtres vivants se trouvent maintenus en captivité au mépris de tous leurs besoins naturels ; on les engraisse, on les maltraite et on les met à mort pour que les êtres humains puissent les consommer.
Citation de l'article «La vie psychique des poissons»]
Le site de l'association
Photo : http://www.naturemoms.com/blog/2007/07/ ... ild-salmon
«Du point de vue anatomique, physiologique et biologique, le système nerveux des poissons est quasiment le même que celui des oiseaux ou celui des mammifères.»
Dr. Donald Bloom, délégué à la protection animale du gouvernement britannique.
EVB Alter
http://www.naturavox.fr/article.php3?id_article=3455
Le saumon d'élevage est-il devenu le porc des mers ?
Un article de l'Association Suisse pour le Végétarisme A l'époque où l'humanité n'exerçait pas encore d'influence notable sur les mers, les effectifs des poissons étaient considérablement plus élevés qu'aujourd'hui.
Depuis le 20e siècle, en raison des investissements croissants en matériel moderne comme les chaluts et les filets dérivants, ce sont des fonds marins entiers qui peuvent être vidés de leurs poissons. Cela conduit à un problème que nous appelons la surpêche. On capture et on tue plus de poissons qu'il n'en na àt. La surpêche signifie à terme l'extermination de la faune marine.
L'Aquaculture est elle une solution ?
En 2002, c'est plus de 100 millions de tonnes d'animaux marins qui ont été pêchés de par le monde. Entre temps, il s'avère que les océans s'épuisent et qu'ils ne peuvent plus donner ce que les pêcheurs en attendent. Le travail d'information des organisations écologistes et des médias a contribué à une prise de conscience de plus en plus large sur les conséquences
dramatiques de la surpêche et de plus en plus de personnes sont à la recherche de solutions alternatives.
L'une d'entre elles consiste à élever des poissons et d'autres animaux marins comme les crevettes dans des bassins séparés du grand large appelés exploitations piscicoles, afin que les effectifs des poissons sauvages puissent se rétablir. Désormais, un tiers des poissons consommés dans le monde proviennent de telles exploitations. Au départ, les éleveurs faisaient l'éloge de cette forme d'élevage prétendument durable et porteuse d'avenir.
Mais aujourd'hui, on sait que l'aquaculture ne constitue pas la solution espérée au problème de la surpêche - au contraire.
Augmentation de la surpêche :
De nombreux poissons ne sont pas végétariens. Et il faut d'autres poissons pour les nourrir (que ce soit sous forme d'huile, de farine ou de granulés de poisson). Par exemple, pour qu'un saumon prenne 1 kg, il faut lui donner environ 10 kg de nourriture. Pour cela, on utilise des espèces de poissons dont le goût ne convient pas aux êtres humains et que jusque-l à , la pêche
avait donc épargnées.
Ces espèces de poissons, considérées jusqu'alors comme impropres à la consommation humaine, se trouvent être consommées par d'autres espèces de poissons, dont la nourriture se trouve ainsi dérobée par les êtres humains.
Conséquence : les effectifs de ces espèces de poissons prédateurs s'effondrent eux aussi.
Aujourd'hui, à peu près un tiers des poissons pêchés dans le monde sont transformés en nourriture destinée aux poissons d'élevage.
Loin de constituer une solution à la surpêche, les fermes piscicoles ne font donc qu'aggraver le problème.
D'après le rapport sur la pêche « The state of World Fisheries and Aquaculture 2006 » de l'Organisation des Nations Unis pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO) publié en mars 2007, 52 % des populations de poissons marins subissent une pêche si intensive qu'il leur est désormais impossible d'augmenter leurs effectifs, 16% sont en surpêche, et 7% sont épuisées. Les
effectifs d'un pour cent seulement sont en voie de rétablissement.
Destruction des mangroves :
De même que la forêt tropicale est rasée pour faire place à des pâturages destinés à l'élevage bovin, des centaines de milliers d'hectares de mangroves sont irrémédiablement détruits aux profits de fermes à poissons et à crevettes.
Les mangroves sont des forêts aquatiques en eaux saumâtres peu profondes qui constituent un écosystème très riche ; elles accueillent de nombreuses esp à à à à à à à à à àèces de pois à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à àêêêêêêêêêêsons, d'oiseaux et autres espèces animales ; quand elles disparaissent, tous ces animaux disparaissent avec elles.
Par ailleurs, ces forêts épaissent protègent aussi les êtres humains en atténuant les effets de catastrophes naturelles comme les tsunamis.
"A l'origine il y avait aux Philippines pluis de 500000 hectares de mangroves. Aujourd'hui, il n'en reste plus de que 36000 hectares. Le reste (soit 93%) a été transformé en élevages à crevettes pour le marché mondial."
Conséquences écologiques de la consommation de viande, brochure de l'ASV (Association Suisse pour le Végétarisme).
Substances toxiques (métaux lourds / antibiotiques)
L'industrie de la pêche se trouve confrontée aux mêmes problèmes que ceux auxquels l'élevage industriel de masse doit faire face. De trop nombreux animaux sont maintenus sur un espace trop exigu ; pour prévenir et circonscrire les maladies, il s'avère nécessaire de leur inoculer des
médicaments et des antibiotiques par le biais de leur nourriture.
Mais cela ne les empêche pas de tomber malades. Ceux qui parviennent à s'échapper des cages et à gagner le large contribuent à propager ces maladies parmi leurs congénères vivant en liberté, et les effectifs de ces derniers se trouvent décimés.
Davantage que les animaux d'élevage herbivores, les poissons stockent et concentrent les substances toxiques, car ils consomment d'autres poissons eux-mêmes déjà contaminés. La concentration en substances toxiques augmente à chaque échelon de la chaîne alimentaire.
Les résidus de ces substances toxiques sont en partie évacués dans les excréments et ils polluent le milieu marin. Les laboratoires indépendants retrouvent également des résidus d'antibiotiques dans la chair des poissons et des crevettes roses.
A l'état naturel, les saumons sauvages parcourent des milliers de kilomètres. L'élevage en ferme piscicole est si dénaturé que leur chair ne prend pas cette couleur rose à laquelle les consommateurs sont habitués ; c'est pourquoi on ajoute des colorants artificiels à leur nourriture.
A l'instar de ce qui se passait encore il y a quelques années avec la viande, on fait croire au consommateur que le poisson est un aliment sain et nécessaire à une bonne santé. Quand on y regarde de plus près, on constate que cette consommation de poisson ne présente d'avantage ni pour la santé ni pour l'environnement. L'élevage industriel des poissons entraîne les mêmes
problèmes que les autres formes d'élevage industriel.
Dans les deux cas, des êtres vivants se trouvent maintenus en captivité au mépris de tous leurs besoins naturels ; on les engraisse, on les maltraite et on les met à mort pour que les êtres humains puissent les consommer.
Citation de l'article «La vie psychique des poissons»]
Le site de l'association
Photo : http://www.naturemoms.com/blog/2007/07/ ... ild-salmon
«Du point de vue anatomique, physiologique et biologique, le système nerveux des poissons est quasiment le même que celui des oiseaux ou celui des mammifères.»
Dr. Donald Bloom, délégué à la protection animale du gouvernement britannique.
EVB Alter
Tout être vivant a droit au respect et a la liberté !
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http://www.dhnet.be/infos/societe/artic ... -soin.html
Du caviar en crème de soin !(19/03/2008)
Les labos Diadermine utilisent des vrais oeufs d'esturgeon dans leurs nouveaux produits de beauté
MALINES "Absolument, c'est du vrai caviar, de vrais oeufs d'esturgeon. C'est d'ailleurs un extrait qui est incroyablement cher ! "
Annie Vranckx, responsable en Recherche et développement des labos Diadermine (groupe Henkel), est ainsi formelle : les chercheurs ont bien intégré la nourriture préférée des tsars dans un produit de beauté. Mieux, dans toute une nouvelle gamme baptisée à‚ge Excellium et proposée au plus grand nombre puisque vendue en grandes surfaces, à des prix tout à fait démocratiques (13,99 € le soin de jour).
Sur le principe, et ce n'est pas nouveau, on part du constat que dès 40 ans l'activité cellulaire fonctionne au ralenti, moins 30 %. La peau se renouvelle moins vite, perd sa fermeté, devient plus sèche et les rides apparaissent plus nombreuses. Comment insuffler un coup de jeune à sa peau ? Ici, les labos de recherche belge et allemand de la marque, ont tenté de reproduire dans une crème l'effet d'une thérapie bien connue et développée par le Professeur suisse Paul Niehans : la thérapie cellulaire. Début du 19e siècle, ce dernier a découvert qu'une cellule jeune, naissante, pouvait transmettre son énergie à une cellule vieillissante, entra ànant ainsi une revitalisation. Le traitement, toujours très populaire, consiste donc à injecter par perfusion des cellules embryonnaires animales (par exemple provenant de cochon) pour freiner le vieillissement.
Chez Diadermine, on a passé au microscope ces cellules embryonnaires pour découvrir leur secret. Et ce secret, c'est le vitellus , une lipoprotéine, en quelque sorte une réserve naturelle énergétique de graisse et de protéines qui est produite par la mère sous l'impulsion d'hormones de grossesse. Cette lipoprotéine permet le développement de l'embryon. Alors, quoi de similaire au vitellus dans la nature ? Ben... le caviar ! Qui, semble-t-il, contient des matières comparables pour aider la peau à se régénérer.
"Il est acheté en France, puis traité et clarifié pour l'industrie cosmétique. Des tests ont été faits avec 3 types de caviar, mais finalement le plus cher était le meilleur... On y a ajouté un complexe de protéines et constaté en labo que le renouvellement cellulaire était amélioré de 40 %." Si le prix reste toutefois abordable pour le client, c'est parce qu'on parle ici de grande distribution et de production de... masse !
Nancy Ferroni
Savez-vous, que pour extraire les oeufs d'esturgeon, les mères sont éventrées et rejetées à la mer ?
Du caviar en crème de soin !(19/03/2008)
Les labos Diadermine utilisent des vrais oeufs d'esturgeon dans leurs nouveaux produits de beauté
MALINES "Absolument, c'est du vrai caviar, de vrais oeufs d'esturgeon. C'est d'ailleurs un extrait qui est incroyablement cher ! "
Annie Vranckx, responsable en Recherche et développement des labos Diadermine (groupe Henkel), est ainsi formelle : les chercheurs ont bien intégré la nourriture préférée des tsars dans un produit de beauté. Mieux, dans toute une nouvelle gamme baptisée à‚ge Excellium et proposée au plus grand nombre puisque vendue en grandes surfaces, à des prix tout à fait démocratiques (13,99 € le soin de jour).
Sur le principe, et ce n'est pas nouveau, on part du constat que dès 40 ans l'activité cellulaire fonctionne au ralenti, moins 30 %. La peau se renouvelle moins vite, perd sa fermeté, devient plus sèche et les rides apparaissent plus nombreuses. Comment insuffler un coup de jeune à sa peau ? Ici, les labos de recherche belge et allemand de la marque, ont tenté de reproduire dans une crème l'effet d'une thérapie bien connue et développée par le Professeur suisse Paul Niehans : la thérapie cellulaire. Début du 19e siècle, ce dernier a découvert qu'une cellule jeune, naissante, pouvait transmettre son énergie à une cellule vieillissante, entra ànant ainsi une revitalisation. Le traitement, toujours très populaire, consiste donc à injecter par perfusion des cellules embryonnaires animales (par exemple provenant de cochon) pour freiner le vieillissement.
Chez Diadermine, on a passé au microscope ces cellules embryonnaires pour découvrir leur secret. Et ce secret, c'est le vitellus , une lipoprotéine, en quelque sorte une réserve naturelle énergétique de graisse et de protéines qui est produite par la mère sous l'impulsion d'hormones de grossesse. Cette lipoprotéine permet le développement de l'embryon. Alors, quoi de similaire au vitellus dans la nature ? Ben... le caviar ! Qui, semble-t-il, contient des matières comparables pour aider la peau à se régénérer.
"Il est acheté en France, puis traité et clarifié pour l'industrie cosmétique. Des tests ont été faits avec 3 types de caviar, mais finalement le plus cher était le meilleur... On y a ajouté un complexe de protéines et constaté en labo que le renouvellement cellulaire était amélioré de 40 %." Si le prix reste toutefois abordable pour le client, c'est parce qu'on parle ici de grande distribution et de production de... masse !
Nancy Ferroni
Savez-vous, que pour extraire les oeufs d'esturgeon, les mères sont éventrées et rejetées à la mer ?
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Tous les lapins et les œufs ne sont pas en chocolat !
A l'occasion des fêtes de Pâques, L214 lance un appel aux consommateurs.
60 millions de lapins de chair sont consommés chaque année en France, ainsi que 15 milliards d'Å“ufs produits par 45 millions de poules pondeuses.
100% des lapins vendus en grande surface et 80% des oeufs produits en France sont issus d'animaux qui ont passé la totalité de leur vie entassés dans des cages de batterie sur un sol grillagé.
Ne condamnons pas des animaux à vivre ainsi !
En avril prochain, nous révèlerons les images d'une enquête menée dans les élevages et abattoirs de lapins. En attendant, à l'occasion de Pâques, une page vient d'être publiée sur le site Internet de L214 pour commencer à lever le voile sur les conditions d'élevage
des lapins.
http://www.l214.com/vie-de-lapin
Nous publions également un dossier sur l'élevage des poules pondeuses avec des images exclusives filmées en 2001 dans un couvoir de la Sarthe.
http://www.l214.com/oeufs-poules-pondeuses
(sur les couvoirs : http://www.l214.com/couvoir-poules-pondeuses
Refusons la viande de lapin et les œufs de batterie !
Sensibilisez votre entourage !
L'équipe de L214
contact@L214.com - http://www.L214.com
Voir également notre communiqué de presse :
http://www.l214.com/communications/lapi ... s-chocolat
A l'occasion des fêtes de Pâques, L214 lance un appel aux consommateurs.
60 millions de lapins de chair sont consommés chaque année en France, ainsi que 15 milliards d'Å“ufs produits par 45 millions de poules pondeuses.
100% des lapins vendus en grande surface et 80% des oeufs produits en France sont issus d'animaux qui ont passé la totalité de leur vie entassés dans des cages de batterie sur un sol grillagé.
Ne condamnons pas des animaux à vivre ainsi !
En avril prochain, nous révèlerons les images d'une enquête menée dans les élevages et abattoirs de lapins. En attendant, à l'occasion de Pâques, une page vient d'être publiée sur le site Internet de L214 pour commencer à lever le voile sur les conditions d'élevage
des lapins.
http://www.l214.com/vie-de-lapin
Nous publions également un dossier sur l'élevage des poules pondeuses avec des images exclusives filmées en 2001 dans un couvoir de la Sarthe.
http://www.l214.com/oeufs-poules-pondeuses
(sur les couvoirs : http://www.l214.com/couvoir-poules-pondeuses
Refusons la viande de lapin et les œufs de batterie !
Sensibilisez votre entourage !
L'équipe de L214
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Voir également notre communiqué de presse :
http://www.l214.com/communications/lapi ... s-chocolat
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Une nouvelle députée abolitionniste à Toulouse!
Grâce à Hélène Vaquier, déléguée du CRAC pour la Haute-Garonne, une nouvelle députée vient de signer la pétition du CRAC. Je laisse à Hélène le soin de vous présenter cette excellente nouvelle (ci-dessous)! BRAVO Hélène!
Bien à vous
Jean-Pierre Garrigues
Ex-président du CRAC
=======================================
Signer une pétition contre la corrida est, pour un député socialiste, une épreuve dont il ne se remet que très difficilement , les irruptions vésiculaires sont vite l à accompagnées de tremblements fiévreux voire d'épisodes gastriques graves.
Heureusement pour notre lutte , certains bravent la difficulté sanitaire et apposent leur signature sur notre pétition . En Haute-Garonne ( huit circonscriptions détenues par le PS ) , après le député Gérard BAPT, cardiologue, voici que la députée Catherine LEMORTON, pharmacienne, vient, à son tour, de soutenir ce combat de longue haleine . Merci à eux deux ...
qu'ils soient tous deux des professionnels de la santé ne doit pas être étranger à cet engagement .
Vous pouvez la remercier brièvement ( ils sont débordés !) en écrivant ici :
Assemblée nationale
126 rue de l'Université
75355 Paris 07 SP
47 Bis Boulevard de Strasbourg
31000 Toulouse
catherine.lemorton@orange.fr
Grâce à Hélène Vaquier, déléguée du CRAC pour la Haute-Garonne, une nouvelle députée vient de signer la pétition du CRAC. Je laisse à Hélène le soin de vous présenter cette excellente nouvelle (ci-dessous)! BRAVO Hélène!
Bien à vous
Jean-Pierre Garrigues
Ex-président du CRAC
=======================================
Signer une pétition contre la corrida est, pour un député socialiste, une épreuve dont il ne se remet que très difficilement , les irruptions vésiculaires sont vite l à accompagnées de tremblements fiévreux voire d'épisodes gastriques graves.
Heureusement pour notre lutte , certains bravent la difficulté sanitaire et apposent leur signature sur notre pétition . En Haute-Garonne ( huit circonscriptions détenues par le PS ) , après le député Gérard BAPT, cardiologue, voici que la députée Catherine LEMORTON, pharmacienne, vient, à son tour, de soutenir ce combat de longue haleine . Merci à eux deux ...
qu'ils soient tous deux des professionnels de la santé ne doit pas être étranger à cet engagement .
Vous pouvez la remercier brièvement ( ils sont débordés !) en écrivant ici :
Assemblée nationale
126 rue de l'Université
75355 Paris 07 SP
47 Bis Boulevard de Strasbourg
31000 Toulouse
catherine.lemorton@orange.fr
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Incroyable ! Un éléphant peint un autoportrait !
Regardez cette vidéo c'est hallucinant, même pour ceux qui comme moi en en vu déj à pas mal en matière de conscience animale ...
http://www.koreus.com/video/elephant-pe ... trait.html
Regardez cette vidéo c'est hallucinant, même pour ceux qui comme moi en en vu déj à pas mal en matière de conscience animale ...
http://www.koreus.com/video/elephant-pe ... trait.html
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C'est horrible, ce sont des monstres !
La fin tragique de Quamille !
http://www.equi-blog.com/quamille/page1.html
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Exact, la terre ne s'est pas arrêté de tourner. Simplement, c'est horrible de perdre un être cher , et justement cette personne adorait son cheval, pour elle il représentait son ami, c'est terrible de perdre un ami surtout dans de telles conditions. Un peu d'humanité, je vous prie !Rananen a écrit :
(quote réparéee cdlt M1)
qui ? pourquoi ? comment ?
bon un cheval est mort ... bizarre la terre c est pas arrêtez de tournez ...
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Grippe aviaire - Oiseaux migrateurs
Le mythe des "oiseaux migrateurs-principal vecteur de la maladie" a la vie dure
Le samedi 5 avril, en Egypte, un jeune homme de 19 ans est mort du sous-type H5N1 du virus de la grippe aviaire. Jusqu' à présent, en Egypte, 21 personnes ont trouvé la mort en Egypte à cause du H5N1. Dans le triste classement du nombre des victimes humaines, l'Indonésie arrive en tête avec 107 morts, suivie du Vietnam avec 52 morts et de l'Egypte avec 21 morts. Suivent la
Chine (20 morts déclarés) et la Thaïlande (17).
Le quotidien régional français "L'Union" (6/4), qui rapporte ces faits, conclut ainsi (reproduisant propablement telle quelle quelque dépêche d'agence): "L'Egypte est située sur un couloir de migrations des oiseaux qui peuvent être porteurs du virus."
Plusieurs enquêtes et études scientifiques ont demontré que les oiseaux migrateurs ne sont pas le principal vecteur de la grippe aviaire. D'autre part, il est bien connu que les victimes humaines en Egypte étaient en général des personnes qui vivaient en symbiose avec des oiseaux d'élevage
domestique. Mais cela ne fait rien! Le rédacteur de la dépêche préfère utiliser, sans esprit critique, le cliché qui fait peur: "Les oiseaux migrateurs sont le vecteur de la grippe aviaire."
Un mythe qui arrange bien les affaires des éleveurs industriels de volailles car il fait oublier la réalité des contaminations par le sous-type H5N1 du virus de la grippe aviaire (au Royaume Uni, en Hongrie et ailleurs) des volailles, élevées intensivement en milieu clos et artificiel, ne pouvant
pas avoir de contact direct ou indirect avec les oiseaux migrateurs et leurs excréments.
Le mythe des "oiseaux migrateurs-principal vecteur de la maladie" a la vie dure
Le samedi 5 avril, en Egypte, un jeune homme de 19 ans est mort du sous-type H5N1 du virus de la grippe aviaire. Jusqu' à présent, en Egypte, 21 personnes ont trouvé la mort en Egypte à cause du H5N1. Dans le triste classement du nombre des victimes humaines, l'Indonésie arrive en tête avec 107 morts, suivie du Vietnam avec 52 morts et de l'Egypte avec 21 morts. Suivent la
Chine (20 morts déclarés) et la Thaïlande (17).
Le quotidien régional français "L'Union" (6/4), qui rapporte ces faits, conclut ainsi (reproduisant propablement telle quelle quelque dépêche d'agence): "L'Egypte est située sur un couloir de migrations des oiseaux qui peuvent être porteurs du virus."
Plusieurs enquêtes et études scientifiques ont demontré que les oiseaux migrateurs ne sont pas le principal vecteur de la grippe aviaire. D'autre part, il est bien connu que les victimes humaines en Egypte étaient en général des personnes qui vivaient en symbiose avec des oiseaux d'élevage
domestique. Mais cela ne fait rien! Le rédacteur de la dépêche préfère utiliser, sans esprit critique, le cliché qui fait peur: "Les oiseaux migrateurs sont le vecteur de la grippe aviaire."
Un mythe qui arrange bien les affaires des éleveurs industriels de volailles car il fait oublier la réalité des contaminations par le sous-type H5N1 du virus de la grippe aviaire (au Royaume Uni, en Hongrie et ailleurs) des volailles, élevées intensivement en milieu clos et artificiel, ne pouvant
pas avoir de contact direct ou indirect avec les oiseaux migrateurs et leurs excréments.
Tout être vivant a droit au respect et a la liberté !
Je ne comprends pas très bien, ce sous-type de virus est-il alors capable de se générer spontanément?naturelle a écrit :Grippe aviaire - Oiseaux migrateurs
Le mythe des "oiseaux migrateurs-principal vecteur de la maladie" a la vie dure
Le samedi 5 avril, en Egypte, un jeune homme de 19 ans est mort du sous-type H5N1 du virus de la grippe aviaire. Jusqu' à présent, en Egypte, 21 personnes ont trouvé la mort en Egypte à cause du H5N1. Dans le triste classement du nombre des victimes humaines, l'Indonésie arrive en tête avec 107 morts, suivie du Vietnam avec 52 morts et de l'Egypte avec 21 morts. Suivent la
Chine (20 morts déclarés) et la Thaïlande (17).
Le quotidien régional français "L'Union" (6/4), qui rapporte ces faits, conclut ainsi (reproduisant propablement telle quelle quelque dépêche d'agence): "L'Egypte est située sur un couloir de migrations des oiseaux qui peuvent être porteurs du virus."
Plusieurs enquêtes et études scientifiques ont demontré que les oiseaux migrateurs ne sont pas le principal vecteur de la grippe aviaire. D'autre part, il est bien connu que les victimes humaines en Egypte étaient en général des personnes qui vivaient en symbiose avec des oiseaux d'élevage
domestique. Mais cela ne fait rien! Le rédacteur de la dépêche préfère utiliser, sans esprit critique, le cliché qui fait peur: "Les oiseaux migrateurs sont le vecteur de la grippe aviaire."
Un mythe qui arrange bien les affaires des éleveurs industriels de volailles car il fait oublier la réalité des contaminations par le sous-type H5N1 du virus de la grippe aviaire (au Royaume Uni, en Hongrie et ailleurs) des volailles, élevées intensivement en milieu clos et artificiel, ne pouvant
pas avoir de contact direct ou indirect avec les oiseaux migrateurs et leurs excréments.
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Chasse aux phoques
OTTAWA (AFP) - Une organisation de défense des animaux a accusé lundi les autorités canadiennes de "piraterie" pour avoir arraisonné son navire, tout en reconnaissant que cette opération fait une publicité inespérée à sa cause.
Les autorités canadiennes ont arraisonné samedi le Farley Mowat, navire de la Sea Shepherd Conservation Society qui voulait observer la chasse aux phoques afin de la dénoncer et arrêté le capitaine néerlandais et le second suédois du navire.
Paul Watson, le chef de la Sea Shepherd Society a annoncé lundi qu'il allait payer une bonne partie de la caution de 10.000 dollars fixée pour la libération conditionnelle des deux hommes en pièces de deux dollars.
"Puisqu'ils ont pris d'assaut notre navire en haute mer et saisi notre propriété, je considère que ce sont des pirates et nous allons leur payer une rançon de pirates", a-t-il dit dans une interview à la cha àne publique CBC.
M. Watson affirme que le Farley Mowat se trouvait hors de la limite de 12 milles des eaux territoriales canadiennes lorsque des hommes en armes de la Gendarmerie Royale du Canada (GRC) sont montés à son bord, ce qui est contraire au droit maritime et constitue selon lui un "acte de piraterie".
Les autorités canadiennes reprochaient aux défenseurs des animaux de s'être approchés, sans permis, à moins de 900 mètres des chasseurs de phoques et affirment que l'opération a eu lieu dans leurs eaux.
L'objectif de la Sea Shepherd Society est de collecter des images sur "le massacre inhumain" de phoques afin de convaincre les parlementaires européens d'interdire l'importation de produits dérivés du phoque, a indiqué M. Watson, ne cachant pas que l'opération contre le Farley Mowat donne un relief inespéré à sa campagne.
"J'avais dit que la meilleure chose qui pourrait nous arriver serait d'être arraisonné. Mais je ne pensais pas que (le ministre des pêches Loyola) Hearn serait assez bête pour faire ça", a-t-il dit.
Le quotidien de référence The Globe and Mail, a jugé "disproportionné" dans un éditorial lundi l'opération contre le Farley Mowat, estimant qu'Ottawa a rendu service à M. Watson en lui fournissant "plus de publicité gratuite qu'il ne pouvait en rêver".
Le Canada a autorisé cette année l'abattage de 275.000 phoques, un chiffre supérieur au quota de 270.000 fixé l'année précédente.
La chasse commerciale aux phoques s'est ouverte le 28 mars dans le golfe du Saint-Laurent. Elle a été marquée cette année par la mort de quatre chasseurs, qui se sont noyés lorsque leur navire s'est retourné alors qu'il était remorqué par une brise-glace des garde-côtes.
M. Watson avait provoqué des réactions indignées en jugeant la mort de milliers de bébés phoques plus tragique que celle des quatre chasseurs.
OTTAWA (AFP) - Une organisation de défense des animaux a accusé lundi les autorités canadiennes de "piraterie" pour avoir arraisonné son navire, tout en reconnaissant que cette opération fait une publicité inespérée à sa cause.
Les autorités canadiennes ont arraisonné samedi le Farley Mowat, navire de la Sea Shepherd Conservation Society qui voulait observer la chasse aux phoques afin de la dénoncer et arrêté le capitaine néerlandais et le second suédois du navire.
Paul Watson, le chef de la Sea Shepherd Society a annoncé lundi qu'il allait payer une bonne partie de la caution de 10.000 dollars fixée pour la libération conditionnelle des deux hommes en pièces de deux dollars.
"Puisqu'ils ont pris d'assaut notre navire en haute mer et saisi notre propriété, je considère que ce sont des pirates et nous allons leur payer une rançon de pirates", a-t-il dit dans une interview à la cha àne publique CBC.
M. Watson affirme que le Farley Mowat se trouvait hors de la limite de 12 milles des eaux territoriales canadiennes lorsque des hommes en armes de la Gendarmerie Royale du Canada (GRC) sont montés à son bord, ce qui est contraire au droit maritime et constitue selon lui un "acte de piraterie".
Les autorités canadiennes reprochaient aux défenseurs des animaux de s'être approchés, sans permis, à moins de 900 mètres des chasseurs de phoques et affirment que l'opération a eu lieu dans leurs eaux.
L'objectif de la Sea Shepherd Society est de collecter des images sur "le massacre inhumain" de phoques afin de convaincre les parlementaires européens d'interdire l'importation de produits dérivés du phoque, a indiqué M. Watson, ne cachant pas que l'opération contre le Farley Mowat donne un relief inespéré à sa campagne.
"J'avais dit que la meilleure chose qui pourrait nous arriver serait d'être arraisonné. Mais je ne pensais pas que (le ministre des pêches Loyola) Hearn serait assez bête pour faire ça", a-t-il dit.
Le quotidien de référence The Globe and Mail, a jugé "disproportionné" dans un éditorial lundi l'opération contre le Farley Mowat, estimant qu'Ottawa a rendu service à M. Watson en lui fournissant "plus de publicité gratuite qu'il ne pouvait en rêver".
Le Canada a autorisé cette année l'abattage de 275.000 phoques, un chiffre supérieur au quota de 270.000 fixé l'année précédente.
La chasse commerciale aux phoques s'est ouverte le 28 mars dans le golfe du Saint-Laurent. Elle a été marquée cette année par la mort de quatre chasseurs, qui se sont noyés lorsque leur navire s'est retourné alors qu'il était remorqué par une brise-glace des garde-côtes.
M. Watson avait provoqué des réactions indignées en jugeant la mort de milliers de bébés phoques plus tragique que celle des quatre chasseurs.
Tout être vivant a droit au respect et a la liberté !
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http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_ ... ?id=812142
Un nouveau centre de développement de vaccins
Le site Pfizer de LLN produit des vaccins pour animaux de compagnie
LOUVAIN-LA-NEUVE Pfizer est connu pour ses médicaments destinés aux humains, mais la société est aussi numéro 1 mondial en terme de ventes dans le domaine de la santé vétérinaire. Le site de Louvain-la-Neuve, qui emploie 220 personnes, est spécialisé dans la production et la distribution de vaccins pour chiens et chats, mais aussi pour les bovins et les porcs.
Le site accueille désormais une toute nouvelle unité, inaugurée hier, en présence du ministre wallon de l' à‰conomie, Jean-Claude Marcourt. Il s'agit d'une nouvelle ligne intégrée consacrée à la fabrication de deux vaccins. Le premier protège le porc contre la pneumonie. Le deuxième est un produit d'immuno-castration pour les porcs qui permet d'éliminer la castration physique. Déj à vendu en Australie, il fait l'objet d'une procédure d'enregistrement en Europe.
La société souhaite donc accélérer le développement, l'enregistrement et la mise sur le marché de ces nouveaux vaccins. D'une superficie de 360 m² sur trois étages, le nouveau centre de développement de vaccins vétérinaires accueille les opérations de développement des nouveaux produits et des processus de remplissage et de lyophilisation des vaccins.
"Ce bâtiment unique en Europe servira à la production des lots pilotes qui seront utilisés dans le cadre de la procédure d'enregistrement et d'autre part, pour réaliser des essais cliniques", précise le directeur du site de production Pfizer de Louvain-la-Neuve, Rudy Rosolen. "L'établissement de ce centre de développement sur le site même où ces vaccins seront fabriqués est un choix stratégique. Le site de production s'implique plus et plus rapidement dans le processus de développement de nouveaux produits. Cela contribue aussi à renforcer la collaboration entre l'usine et les divers départements de recherche et développement."
Le bâtiment devra être inspecté à la fin du mois et être approuvé par les autorités belges.
Laurence Dumonceau
http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_ ... ?id=811911
33.000 tonnes de bidoche
Colruyt investit 35 millions dans sa centrale de traitement de la viande
HAL Un végétarien en aurait la nausée : des quartiers de boeuf pendouillent par dizaines à des esses et arrivent, automatiquement, à la queue leu leu, dans l'atelier de découpe. Où des ouvriers en tabliers blancs tranchent savamment dans la masse à grand coup de couteau aiguisé... Nous sommes chez Colruyt, à Hal, dans la nouvellement rénovée centrale des viandes Vlevico, qui, pour l'occasion et très exceptionnellement, a ouvert ses portes hier.
Parmi les hôtes d'honneur : la ministre Sabine Laruelle, chargée notamment de l'Agriculture et, a-t-elle insisté, "très attachée à la qualité de la cha àne alimentaire en Belgique". Au même moment, la ministre a répété que la Belgique demandait le maintien de l'embargo sur l'importation des poulets américains désinfectés par une solution à base... d'eau chlorée.
Pas d'inquiétude à avoir concernant la viande de Colruyt, puisque ici tout est belge, 100 % du terroir ! "Et à travers cette centrale de traitement, c'est un nouveau pas vers l'amélioration accrue de la traçabalité." De fait, à Vlevico, où la température varie selon les endroits de 0 à 8°, chaque animal, qui arrive entier (moins cher et moins de déchets), est pourvu d'un numéro Sanitel unique. Puis, chaque gros quartier (4 au total) découpé reçoit un numéro propre d'identification Colruyt. "On peut suivre l'animal, depuis l'abattoir jusqu'au magasin du groupe où il sera vendu : le moindre problème et toute la viande débitéeû àç à à àê à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à àôôôôêê à à à à à à à de cet animal peut être localisée et retirée des rayons", explique Jean-Pierre Roelands, directeur commercial.
Vlevico, centrale exclusive dans son genre pour la grande distribution, c'est encore, en 2007, un chiffre d'affaires de 177 millions d'€ et une croissance annoncée de 10,44 % pour cette année ! 650 ouvriers tournent en deux pauses, pour débiter 11.281 tonnes de boeuf et 15.702 tonnes de porc (chiffres 2007) et les transformer en carbonnades, en saucisse ou en salami à destination des magasins...
Quant au cahier des charges, il est des plus stricts, explique Luc Rogge, directeur général des magasins. "Pas d'hormones, contrôle supplémentaire par Quality control, pas d'antibiotiques, pas de farines animales ni de farine de poisson, pas de tranquillisants pour les porcs... L'avenir, c'est une qualité supérieure." Sur les prix actuels de la viande, il se défend de léser les éleveurs. Et cite des exemples : le porc revient à 1,18 € le kilo sur pied et est revendu en final 7,48 € (2,97 € à 11,68 € pour le boeuf).
Nancy Ferroni
http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_ ... ?id=811956
Un inventaire mondial des animaux des eaux douces
Des chercheurs du Muséum des Sciences naturelles de Bruxelles ont collaboré entre mars 2005 et décembre 2007 à un vaste projet d'étude de la biodiversité qui aboutit aujourd'hui à la publication d'un ouvrage présentant un inventaire mondial des espèces actuellement connues d'animaux des eaux douces, annonce le Muséum mardi dans un communiqué. Les eaux douces et la vie dans les eaux douces sont davantage menacées que la vie sur terre ou en mer. "Entre 1970 et 2000, 32 % de la diversité de la vie sur terre et dans les mers a disparu alors que la vie dans les eaux douces a perdu 55 % de sa diversité sur la même période", indique le Muséum. L'ouvrage auquel ce projet a permis d'aboutir contient un inventaire des espèces, genres et sous-familles connus d'animaux des eaux douces. Cet inventaire reprend 126.000 espèces d'animaux, ce qui représente 9,5 % de toutes les espèces actuellement connues.
http://info.rsr.ch/fr/news/L_ours_JJ3_a ... 8261623000
L'ours "JJ3" a été abattu aux Grisons
L'ours "JJ3" a été abattu lundi soir dans les Grisons. L'animal était devenu dangereux pour l'homme, il venait chercher sa nourriture dans les agglomérations et ne se montrait absolument pas craintif.
Le plantigrade est arrivé en juin dans le Val Müstair, en Engadine. Il a commencé par piller des ruches et à égorger des moutons. Puis, en automne dernier, il s'est attaqué aux poubelles de diverses localités pour se rassasier. Après son hibernation de quatre mois, il a repris cette mauvaise habitude.
Les gardes-chasse étaient sur ses talons pour l'éloigner avec des balles en caoutchouc et lui faire peur avec des pétards. Rien n'y a fait, JJ3 ne se montrait absolument pas craintif. Les autorités suisses et grisonnes ont estimé que l'ours n'était pas rééducable et présentait un danger pour l'homme. Conformément au plan ours, ils ont donc décidé de l'abattre, a indiqué mardi l'Office fédéral de l'environnement.
Pas un trophée de chasse
"Nous ne pouvions plus assumer le risque potentiel que JJ3 blesse ou même tue une personne", a déclaré le conseiller d'Etat grison Stefan Engler devant les médias. "Nous avons tout tenté afin d'éviter cette ultime solution, la décision n'a pas été facile à prendr", a-t-il ajouté.
Selon lui, "personne ne s'en réjouit ni n'en tire aucune fierté". C'est aussi la raison pour laquelle aucune photo de l'exécution de JJ3 ne sera publiée. "Nous ne voulons pas exhiber de trophées de chasse".
Recours du WWF?
Suivi à la trace grâce à un collier-émetteur, JJ3 était en sursis. "Tirer l'animal n'est pas une solution", a critiqué le WWF. Car d'autres ours vont bientôt s'aventurer en Suisse, selon l'organisation, qui estime qu'il faudrait plutôt mettre en place des containers conçus pour résister aux plantigrades.
Le WWF n'exclut pas de faire recours contre l'exécution de JJ3. "L'ours ne s'est jamais montré agressif. Le canton aurait dû poursuivre encore les opérations pour l'effaroucher", affirme l'organisation.
De son côté, Pro Natura estime que les autorités ont été impatientes avec JJ3. Selon l'organisation de défense de la nature, le jeune animal n'était pas encore devenu un ours "à risque". Selon les critères de la Confédération, un ours l'est quand il se montre agressif envers l'homme. Or, JJ3 ne l'avait pas été jusqu'ici, a écrit Pro Natura mardi.
La semaine dernière, le parc animalier du Dählhölzli à Berne a offert l'asile à JJ3, mais Coire a estimé qu'enfermer un animal sauvage n'était pas une bonne solution. Après son autopsie, JJ3 sera empaillé au Musée d'histoire naturelle du canton.
Un nouveau centre de développement de vaccins
Le site Pfizer de LLN produit des vaccins pour animaux de compagnie
LOUVAIN-LA-NEUVE Pfizer est connu pour ses médicaments destinés aux humains, mais la société est aussi numéro 1 mondial en terme de ventes dans le domaine de la santé vétérinaire. Le site de Louvain-la-Neuve, qui emploie 220 personnes, est spécialisé dans la production et la distribution de vaccins pour chiens et chats, mais aussi pour les bovins et les porcs.
Le site accueille désormais une toute nouvelle unité, inaugurée hier, en présence du ministre wallon de l' à‰conomie, Jean-Claude Marcourt. Il s'agit d'une nouvelle ligne intégrée consacrée à la fabrication de deux vaccins. Le premier protège le porc contre la pneumonie. Le deuxième est un produit d'immuno-castration pour les porcs qui permet d'éliminer la castration physique. Déj à vendu en Australie, il fait l'objet d'une procédure d'enregistrement en Europe.
La société souhaite donc accélérer le développement, l'enregistrement et la mise sur le marché de ces nouveaux vaccins. D'une superficie de 360 m² sur trois étages, le nouveau centre de développement de vaccins vétérinaires accueille les opérations de développement des nouveaux produits et des processus de remplissage et de lyophilisation des vaccins.
"Ce bâtiment unique en Europe servira à la production des lots pilotes qui seront utilisés dans le cadre de la procédure d'enregistrement et d'autre part, pour réaliser des essais cliniques", précise le directeur du site de production Pfizer de Louvain-la-Neuve, Rudy Rosolen. "L'établissement de ce centre de développement sur le site même où ces vaccins seront fabriqués est un choix stratégique. Le site de production s'implique plus et plus rapidement dans le processus de développement de nouveaux produits. Cela contribue aussi à renforcer la collaboration entre l'usine et les divers départements de recherche et développement."
Le bâtiment devra être inspecté à la fin du mois et être approuvé par les autorités belges.
Laurence Dumonceau
http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_ ... ?id=811911
33.000 tonnes de bidoche
Colruyt investit 35 millions dans sa centrale de traitement de la viande
HAL Un végétarien en aurait la nausée : des quartiers de boeuf pendouillent par dizaines à des esses et arrivent, automatiquement, à la queue leu leu, dans l'atelier de découpe. Où des ouvriers en tabliers blancs tranchent savamment dans la masse à grand coup de couteau aiguisé... Nous sommes chez Colruyt, à Hal, dans la nouvellement rénovée centrale des viandes Vlevico, qui, pour l'occasion et très exceptionnellement, a ouvert ses portes hier.
Parmi les hôtes d'honneur : la ministre Sabine Laruelle, chargée notamment de l'Agriculture et, a-t-elle insisté, "très attachée à la qualité de la cha àne alimentaire en Belgique". Au même moment, la ministre a répété que la Belgique demandait le maintien de l'embargo sur l'importation des poulets américains désinfectés par une solution à base... d'eau chlorée.
Pas d'inquiétude à avoir concernant la viande de Colruyt, puisque ici tout est belge, 100 % du terroir ! "Et à travers cette centrale de traitement, c'est un nouveau pas vers l'amélioration accrue de la traçabalité." De fait, à Vlevico, où la température varie selon les endroits de 0 à 8°, chaque animal, qui arrive entier (moins cher et moins de déchets), est pourvu d'un numéro Sanitel unique. Puis, chaque gros quartier (4 au total) découpé reçoit un numéro propre d'identification Colruyt. "On peut suivre l'animal, depuis l'abattoir jusqu'au magasin du groupe où il sera vendu : le moindre problème et toute la viande débitéeû àç à à àê à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à àôôôôêê à à à à à à à de cet animal peut être localisée et retirée des rayons", explique Jean-Pierre Roelands, directeur commercial.
Vlevico, centrale exclusive dans son genre pour la grande distribution, c'est encore, en 2007, un chiffre d'affaires de 177 millions d'€ et une croissance annoncée de 10,44 % pour cette année ! 650 ouvriers tournent en deux pauses, pour débiter 11.281 tonnes de boeuf et 15.702 tonnes de porc (chiffres 2007) et les transformer en carbonnades, en saucisse ou en salami à destination des magasins...
Quant au cahier des charges, il est des plus stricts, explique Luc Rogge, directeur général des magasins. "Pas d'hormones, contrôle supplémentaire par Quality control, pas d'antibiotiques, pas de farines animales ni de farine de poisson, pas de tranquillisants pour les porcs... L'avenir, c'est une qualité supérieure." Sur les prix actuels de la viande, il se défend de léser les éleveurs. Et cite des exemples : le porc revient à 1,18 € le kilo sur pied et est revendu en final 7,48 € (2,97 € à 11,68 € pour le boeuf).
Nancy Ferroni
http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_ ... ?id=811956
Un inventaire mondial des animaux des eaux douces
Des chercheurs du Muséum des Sciences naturelles de Bruxelles ont collaboré entre mars 2005 et décembre 2007 à un vaste projet d'étude de la biodiversité qui aboutit aujourd'hui à la publication d'un ouvrage présentant un inventaire mondial des espèces actuellement connues d'animaux des eaux douces, annonce le Muséum mardi dans un communiqué. Les eaux douces et la vie dans les eaux douces sont davantage menacées que la vie sur terre ou en mer. "Entre 1970 et 2000, 32 % de la diversité de la vie sur terre et dans les mers a disparu alors que la vie dans les eaux douces a perdu 55 % de sa diversité sur la même période", indique le Muséum. L'ouvrage auquel ce projet a permis d'aboutir contient un inventaire des espèces, genres et sous-familles connus d'animaux des eaux douces. Cet inventaire reprend 126.000 espèces d'animaux, ce qui représente 9,5 % de toutes les espèces actuellement connues.
http://info.rsr.ch/fr/news/L_ours_JJ3_a ... 8261623000
L'ours "JJ3" a été abattu aux Grisons
L'ours "JJ3" a été abattu lundi soir dans les Grisons. L'animal était devenu dangereux pour l'homme, il venait chercher sa nourriture dans les agglomérations et ne se montrait absolument pas craintif.
Le plantigrade est arrivé en juin dans le Val Müstair, en Engadine. Il a commencé par piller des ruches et à égorger des moutons. Puis, en automne dernier, il s'est attaqué aux poubelles de diverses localités pour se rassasier. Après son hibernation de quatre mois, il a repris cette mauvaise habitude.
Les gardes-chasse étaient sur ses talons pour l'éloigner avec des balles en caoutchouc et lui faire peur avec des pétards. Rien n'y a fait, JJ3 ne se montrait absolument pas craintif. Les autorités suisses et grisonnes ont estimé que l'ours n'était pas rééducable et présentait un danger pour l'homme. Conformément au plan ours, ils ont donc décidé de l'abattre, a indiqué mardi l'Office fédéral de l'environnement.
Pas un trophée de chasse
"Nous ne pouvions plus assumer le risque potentiel que JJ3 blesse ou même tue une personne", a déclaré le conseiller d'Etat grison Stefan Engler devant les médias. "Nous avons tout tenté afin d'éviter cette ultime solution, la décision n'a pas été facile à prendr", a-t-il ajouté.
Selon lui, "personne ne s'en réjouit ni n'en tire aucune fierté". C'est aussi la raison pour laquelle aucune photo de l'exécution de JJ3 ne sera publiée. "Nous ne voulons pas exhiber de trophées de chasse".
Recours du WWF?
Suivi à la trace grâce à un collier-émetteur, JJ3 était en sursis. "Tirer l'animal n'est pas une solution", a critiqué le WWF. Car d'autres ours vont bientôt s'aventurer en Suisse, selon l'organisation, qui estime qu'il faudrait plutôt mettre en place des containers conçus pour résister aux plantigrades.
Le WWF n'exclut pas de faire recours contre l'exécution de JJ3. "L'ours ne s'est jamais montré agressif. Le canton aurait dû poursuivre encore les opérations pour l'effaroucher", affirme l'organisation.
De son côté, Pro Natura estime que les autorités ont été impatientes avec JJ3. Selon l'organisation de défense de la nature, le jeune animal n'était pas encore devenu un ours "à risque". Selon les critères de la Confédération, un ours l'est quand il se montre agressif envers l'homme. Or, JJ3 ne l'avait pas été jusqu'ici, a écrit Pro Natura mardi.
La semaine dernière, le parc animalier du Dählhölzli à Berne a offert l'asile à JJ3, mais Coire a estimé qu'enfermer un animal sauvage n'était pas une bonne solution. Après son autopsie, JJ3 sera empaillé au Musée d'histoire naturelle du canton.
Tout être vivant a droit au respect et a la liberté !
