mais....tu as lu ce que je t'ai mis ou dessus,ou tu ne t'appuies que sur les commentaires de la première ligne?PascalL a écrit :Fukushima ne t'a donc rien appris... une centrale nucléaire ne s'arrête JAMAIS! JAMAIS! JAMAIS!
je suis quand même sur le cul, qu'on puisse en 2014 avoir ce type de commentaire.
les assurances,c'est des sociétés privées,hors les centrales c'est l'état. (qui au final,sera le contribuable)
Privé comme professionnelles on parle de GESTION du risque. Comme tu le sais, aucune assurance au MONDE n'assure une centrale nucléaire. Pourquoi à ton avis? Parce que ce risque ne peut être quantifié, puisque une fois parti en sucette ta centrale devient auto-génératrice de catastrophe, sans aucune possibilité d'arrêter quoi que ce soit...
mais elles sont assurées :des parame^tres du terrain.
c'est un base,et c'est effectivement difficilement quantifiable.Les conventions de Paris et de Bruxelles, qui datent de années 60 mais ont été plusieurs fois révisées, prévoient trois tranches d'indemnisation: la première tranche est payable par l'exploitant (jusqu'à 91 millions d'euros), la seconde par l'Etat où se trouve le réacteur (110 millions d'euros supplémentaires) et la troisième conjointement par les Etats ayant ratifié les conventions (pour une nouvelle tranche de 144 millions d'euros), soit un total de 345 millions d'euros. Un nouveau protocole, conclu en 2004 mais encore en cours de ratification, portera à 700 millions d'euros la part de l'exploitant.
tout a l'heure,t'étais ingénieur en communication et maintenant,t'es expert en certifications?je suis un expert en certification. Je sais mesurer un risque et comment il se mesure. Je sais ce que signifies un verdict!
et quand on me dit: risque non mesurable, je sais ce que cela veut dire!
georges,sort de ce corps
quoi qu'il en soit,tu n'est pas expert en nucléaire,ni même expert en certification nucléaire,donc tu n'as absolument aucune idée des paramètres du terrain,ni même de ce secteur industriel.





