jeandu53 a écrit : ↑05 octobre 2023 09:12Pourtant, on sait que les interventions LGBT en milieu scolaire se multiplient :
Mille fois trois fois rien, cela donne toujours à peu près trois fois rien.
Comme je le disais, cela fait parti des programmes, mais dans les faits, concernant l'impact sur l'institution ou les gosses, cela relève de l'anecdote.
Il y a eu l'affaire des drag-queens, aussi...
Ce n'était pas dans une école.
Je l'ai déjà dit: oui, il y a du wokisme dans les programmes.
Dans les faits, cela a un impact nul sur l'école. L'école en France, c'est l'endroit où des gosses peuvent se faire abattre par des islamistes et où des enseignants peuvent se faire tuer parce qu'ayant montré des caricatures de Mahomet.
Il est ridicule d'en faire des temples du wokisme où les enfants se feraient laver le cerveau.
Mesoke a écrit : ↑05 octobre 2023 11:13
Ce ne sont pas des lobbys LGBT à l'école. Un lobby c'est un groupe d'influence qui informe les dirigeants. Pas les enfants. Tu utilises ce terme comme un conspirationniste, comme si on avait un groupe secret qui influencerait le monde dans l'ombre.
Et on parle de quelques heures d'information par an, pas d'un cours hebdomadaire. Ca n'a strictement aucune influence sur les apprentissages scolaires de base.
Le rôle de l'école est bien de préparer les enfants à la réalité du monde. L'homosexualité et la dysphorie de genre sont bien des réalités. Il faut donc les évoquer.
Ce ne sont pas des lobbys, ce sont des associations... qui font aussi du lobby dans la plupart des cas. Bonnets blancs et blancs bonnets.
Et une assoc qui intervient pour expliquer qu'il n'y a pas deux sexes a autant sa place dans une école qu'une assoc venant expliquant que la Terre est plate.
vous êtes passablement hors sujet.
le sujet, c'est l’oppression que font certains parents d'élèves sous couvert politique, sur les enseignants qui ne font qu'appliquer les programmes.
Reste à voir ce qui est réellement enseigné en moyenne aux enfants.
Parce qu'à chaque fois on nous sort les cas extrêmes entendus lors d'un cours en particulier. Mais en 2 h dans une année je doute qu'ils embrayent direct sur la pansexualité ou savoir comment on doit se faire opérer les organes génitaux après avoir changé de genre.
Fonck1 a écrit : ↑05 octobre 2023 11:27
exactement.
d'où le fait que ce lobbying politique est insidieux.
Tout à fait. Ce lobbying LGBT n'a rien à faire à l'école et donc ces "parents vigilants" font un super job.
La déconstruction cela suffit.
Il faut arrêter de déconstruire notre société. En particulier l'école.
Stop à la déconstruction de l'école.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Mesoke a écrit : ↑05 octobre 2023 11:13
Ce ne sont pas des lobbys LGBT à l'école. Un lobby c'est un groupe d'influence qui informe les dirigeants. Pas les enfants. Tu utilises ce terme comme un conspirationniste, comme si on avait un groupe secret qui influencerait le monde dans l'ombre.
Et on parle de quelques heures d'information par an, pas d'un cours hebdomadaire. Ca n'a strictement aucune influence sur les apprentissages scolaires de base.
Le rôle de l'école est bien de préparer les enfants à la réalité du monde. L'homosexualité et la dysphorie de genre sont bien des réalités. Il faut donc les évoquer.
Vous avez mal lu. On parle bien d'associations LGBT qui interviennent à l'école.
Fonck1 a écrit : ↑05 octobre 2023 11:25vous êtes passablement hors sujet.
le sujet, c'est l’oppression que font certains parents d'élèves sous couvert politique, sur les enseignants qui ne font qu'appliquer les programmes.
Non, c'est dans le sujet. Les parents d'élèves en question luttent contre la dérive LGBT de notre système scolaire, et ils ont bien raison.
Ce serait plutôt place à la reconstruction originelle de l'école.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
jeandu53 a écrit : ↑05 octobre 2023 11:57
Vous avez mal lu. On parle bien d'associations LGBT qui interviennent à l'école.
Non non, j'ai bien lu Victor qui parle, lui, de lobby, comme un vulgaire conspirationniste.
Un lobby, c'est un groupe de pression, chargé de défendre les intérêts d'une catégorie de population. Les associations comme SOS Homophobie sont un lobby.
Fonck1 a écrit : ↑05 octobre 2023 11:25vous êtes passablement hors sujet.
le sujet, c'est l’oppression que font certains parents d'élèves sous couvert politique, sur les enseignants qui ne font qu'appliquer les programmes.
Non, c'est dans le sujet. Les parents d'élèves en question luttent contre la dérive LGBT de notre système scolaire, et ils ont bien raison.
vous êtes en plein délire et n'avez pas du tout suivi le sujet :
déjà, le LGBT et sa mouvance ne fait pas partie du programme scolaire, uniquement à la prévention des discriminations.
l'éveil à l'homosexualité et surtout, l'oppression discriminatoire qui leur est faite est enseigné à l'école et c'est tout à fait normal, ne serait ce que pour instruire les responsabilités vis à vis de la loi.
Vous inquiétez pas pour cela, la nature reprends ses droits, même si ça vous défrise.
ensuite, vous n'empêcherez pas un homo de le devenir, c'est dans sa nature.
le frustrer ne fait que repousser l'échéance.
je vous rappelle la constitution :
La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales.
avant de parler de choses que vous ne connaissez pas, allez mettre vos fesses dans une école, dans une école, on y fait de la prévention à la discrimination, pas de la directivité à la sexualité ! ce serait hors la loi, c'est constitutionnel !
ensuite, cela représente 3 séances de 2x1h et 1 x2 h.
vous inquiétez pas les débiles mentaux de parents d'élèves de chez zemmour et consorts, ne vont pas retourner la tête de leur gosses, par contre, il sauront que discriminer un homosexuel, c'est répréhensible par la loi.
et pour finir, si ces abrutis ne sont pas contents, ils ont qu'à mettre leurs gosses dans un établissement catho, afin qu'ils finissent leur lobotomisation.
Non non, j'ai bien lu Victor qui parle, lui, de lobby, comme un vulgaire conspirationniste.
Un lobby, c'est un groupe de pression, chargé de défendre les intérêts d'une catégorie de population. Les associations comme SOS Homophobie sont un lobby.
sos homophobie ne fait pas de cours dans les établissement publics.
et même s'ils faisaient de la sensibilisation, ça n'a rien d'obligatoire, par contre, les luttes contre la discrimination le sont.
et je réitère : le sujet, c'est bien les sympathisants de Zemmour qui s'abroge le droit de mettre la pression sur les enseignants.
ils feraient mieux d'exiger que les compétences primaires soient acquises, et surtout à eux de faire leur travail de parents et toute la gestion qui va avec, ce qui est plus que rarement le cas aujourd'hui.
vraiment, ces politiques pourrissent nos écoles.
Quand je lis certains commentaires, et applaudissent les actions de ces "Parents vigilants", c'est à se demander s'ils ont lu l'article. Les enseignants se plaignent surtout des menaces et intimidations qu'ils subissent :
"En décembre 2022, Sophie Djigo et sa famille ont vécu six semaines sous protection policière. La professeure de philosophie en classe préparatoire au lycée Watteau de Valenciennes (Nord) est alors au cœur d’une campagne d’intimidation de la part de militants identitaires et d’extrême-droite pour avoir projeté une sortie scolaire avec ses élèves dans un camp de migrants. Sophie Djigo est auteure de plusieurs ouvrages sur les questions migratoires et fondatrice de l’association Migractions 59, deux communiqués de presse du Rassemblement national et de Reconquête l’accusent de faire de la propagande pro-migrants auprès de ses élèves d’hypokhâgne. Sous la pression, le rectorat de Lille annule la sortie, pourtant validée. Au printemps, Éric Zemmour s’en félicitait dans le magazine Causeur. "En novembre dernier, à Valenciennes, nous avons fait annuler une sortie scolaire. Il va falloir qu’ils s’y habituent !"
"Une enquête du parquet de Lille pour menaces de mort et cyberharcèlement est toujours en cours. "J’ai reçu des menaces de viol et de mort par courrier électronique, par courrier, par les réseaux sociaux ou encore par le standard de l'établissement, se souvient Sophie Djigo au micro de franceinfo. Quelqu’un a menacé de me dépecer." Ces pressions sont "largement efficaces", déplore la professeure, qui estime ne pas être un cas isolé. "J'ai reçu depuis beaucoup de messages de collègues dans toute la France, en particulier des enseignants de SVT, d'histoire et de lettres, qui se retrouvent confrontés à des pressions de groupes qui refusent l'enseignement de la théorie du genre, du fait islamique en cours d'histoire, l'enseignement de la Shoah, des mémoires de l'esclavage, de l'histoire coloniale ou de la décolonisation."
"La plupart des collègues avouent avoir renoncé à persévérer et donc s'autocensurent. Ils esquivent certaines parties du programme et sont très prudents au cas où il y aurait des menaces de la part de certains parents d'élèves."
"Sophie Djigo a aujourd’hui accepté d’être mutée dans un autre établissement. Avec d’autres collègues, elle compte lancer une coordination indépendante pour aider d’autres profs dans la même situation. "Chaque semaine, partout en France, des enseignant·e·s sont ciblé ·e ·s pour avoir simplement fait leur travail, peut-on lire dans leur appel consulté par francenfo. Ils et elles se retrouvent taxé·e·s de propagande, jeté·e·s à la vindicte des réseaux sociaux, menacé·e·s jusque dans leur vie personnelle et leur vie tout court. Enseigner la réalité des faits (...) devient une prise de risques, et l’enseignement, un métier dangereux."
Dans le département du Nord, Valérie* a trouvé dans son casier le jour de la rentrée une enveloppe à son nom contenant un tract anti-migrants. "Je n’ai pas envie de vivre avec l’idée que tout d'un coup, on peut voir débarquer tout un tas de personnes qui vont mettre en cause de manière extrêmement violente notre enseignement, notre savoir, explique cette professeur de français. On ne dispense pas nos opinions à l'école. On dispense un savoir appuyé sur des lectures, des faits. Ça crée un phénomène d'autocensure, une crainte latente et parfois même, dans l'institution, le refus d'affronter véritablement ces difficultés.""
Des infirmières scolaires sont également remises en cause sur la question actuellement très clivante de l'éducation à la sexualité, explique Gwenaelle Thenoz du SNIES-Unsa Éducation. À Lyon ou Bordeaux, des parents en colère contre les cours d'éducation à la vie affective et sexuelle (Evas) ont menacé de porter plainte et intimidé des infirmières. "Ils mettent en cause l'éducation à la sexualité alors que les infirmières d'éducation nationale et de l'enseignement supérieur s'investissent énormément dans ces missions. Elles sont bien sûr formées. On n'intervient pas n'importe comment, on s'adapte aux attentes de l'enfant. Ce n'est pas un cours de pornographie. Absolument pas. On répond à leurs questionnements."
"
"Des noms de collègues balancés sur les réseaux sociaux, on sait jusqu’où ça peut mener ! On estime qu’il y a mise en danger de collègues. On ne peut pas attendre que l'événement arrive pour réagir et protéger les personnels. Ça peut arriver, en fait."
Fatna Seghrouchni, SUD éducation
à franceinfo
Parmi les groupes désignés par ces syndicats inquiets de l’influence de l’extrême-droite, la jeune association "Parents vigilants" est la plus régulièrement citée. Lancée par Eric Zemmour en septembre 2022, cette association et la campagne "Protégeons nos enfants" compteraient à ce jour 60 000 soutiens. Des sympathisants comptabilisés grâce au site internet de l’association qui incite les parents en colère à témoigner et se coordonner au niveau local en devenant des référents. Depuis son échec à la présidentielle, Eric Zemmour a fait de "Parents vigilants" l’aiguillon de son combat contre ce qu’il appelle le "grand endoctrinement" dans l'école. Au moment de sa création, il appelait les parents à "dénoncer", "protester", "ne plus rien laisser passer" grâce à ce réseau".
j'ai copier-coller certains paragraphes de l'article pour bien montrer aux défenseurs des "Parents Vigilants" que ceux-ci utilisent les mêmes méthodes que les islamistes, à savoir : la délation, la menace, l'intimidation.
Les 1ers qui hurlent au non respect des enfants envers leurs enseignants, mais sont également les 1er à applaudir sur les actions, inacceptables de ces soit-disant "Parents Vigilants".
Depuis quand les parents se donnent d'imposer leur programme aux enseignants ? Depuis quand se donne t-il le droit d'imposer leur idéologie crasseuse au corps enseignant ? Mais que cherchent-ils donc à revenir à l'école du début du siècle ou l'on cachait les choses du corps, ou la sexualité c'est tabou ?
E. Zemmour ne fait que chercher appliquer son racisme, son idéologie crasseuse dans l'Education en utilisant les mêmes armes que les islamistes qu'il prétend combattre !
Ces parents vigilants ne représentent qu'eux-mêmes, c'est à dire pas grand chose mais assez pour fragiliser encore plus ce métier, déjà bien malmené.
Ces parents vigilants ne sont que des êtres rétrogrades qui ont oublié d'évoluer avec la société et sont restés figés aux années 30, voire les années 50.
J'ai passé mon coup de gueule car je trouve cela inacceptable de nos jours, que des parents agressent les enseignants parce que leur rejeton a eu une mauvaise note, qu'ils pensent que la sexualité, c'est caca ; l'étude des religions, c'est caca, etc. Heureusement que l'école est là pour faire élever l'esprit de nos enfants en distillant la connaissance réelle, autre que les réseaux sociaux et les pensées rétrogrades, en leur ouvrant les yeux sur un monde en perpetuel mouvement, en acceptant les différences des autres, toutes les différences, qu'elles soient religieuses, sexuelles, etc.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells