Bonjour à tous,
En tant que personne passionnée par les avancées scientifiques et technologiques, je suis toujours à la recherche de nouvelles connaissances et perspectives. Récemment, j'ai lu un article fascinant sur l'École Supérieure de Management en Alternance, qui propose une approche innovante de l'éducation, en liant étroitement les études académiques et l'expérience professionnelle dans le domaine des sciences et technologies.
L'article explique comment cette approche d'enseignement en alternance prépare les étudiants à relever les défis du monde professionnel en sciences et technologies, tout en leur donnant une solide base théorique. Cette méthode semble offrir un équilibre parfait entre théorie et pratique, une compétence essentielle dans notre domaine.
J'aimerais savoir si certains d'entre vous ont eu des expériences avec des programmes d'alternance ou des formations similaires. Comment pensez-vous que ces approches influencent les compétences et la préparation des futurs professionnels dans les domaines scientifiques et technologiques ?
J'ai hâte de lire vos opinions et expériences sur ce sujet passionnant !
Équilibrer théorie et pratique
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- Agnostirex
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Re: Équilibrer théorie et pratique
En tant que personne passionnée par les avancées scientifiques et technologiques, je suis toujours à la recherche de nouvelles connaissances et perspectives
J'ai la même orientation, même à un âge très avancé, avec une culture essentiellement littéraire. L'esprit inventif de certaines personnes m'émerveille !
J'ai la même orientation, même à un âge très avancé, avec une culture essentiellement littéraire. L'esprit inventif de certaines personnes m'émerveille !
"Qui cherche la vérité doit-être prêt à l'inattendu" Héraclite d'Ephèse.
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Re: Équilibrer théorie et pratique
J'ai vu passer bon nombre d'étudiants en école d'ingénieur en alternance. Pour l'entreprise il s'agissait de leur donner une vraie expérience pratique. Ils étaient immergés dans les équipes et participaient à des projets au même titre que les ingénieurs juniors en étant encadrés par ces ingénieurs et par la hiérarchie. Rapidement ils avaient des missions raisonnables mais réelles. La plupart préféraient les périodes en entreprise aux périodes à l'école.
Au bout de 3 ans d'école la plupart étaient pleinement opérationnels et certains étaient embauchés.
A côté on avait des recrutements en sortie de l'université. Ceux là mettaient un peu de temps à être opérationnels, toutefois ils avaient acquis un grande autonomie à l'université. Leur niveau théorique était supérieur à celui des écoles d'ingénieur. Leur carrière était souvent plus brillante, surtout pour les thésards.
Et puis il y avait les ingénieurs issus des grandes écoles. Moins nombreux, c'était parfois un peu des ovnis. Ils mettaient parfois du temps à décoller dans l'entreprise, mais ensuite ils pouvaient voler très haut. Mais pas toujours curieusement.
Je parle surtout des première années de carrière. Ensuite beaucoup changent d'entreprise et il est plus difficile de suivre leur évolution : on ne connaît pas le passé des ingénieurs expérimentés qui sont embauchés et on perd de vue ceux qui partent.
Au bout de 3 ans d'école la plupart étaient pleinement opérationnels et certains étaient embauchés.
A côté on avait des recrutements en sortie de l'université. Ceux là mettaient un peu de temps à être opérationnels, toutefois ils avaient acquis un grande autonomie à l'université. Leur niveau théorique était supérieur à celui des écoles d'ingénieur. Leur carrière était souvent plus brillante, surtout pour les thésards.
Et puis il y avait les ingénieurs issus des grandes écoles. Moins nombreux, c'était parfois un peu des ovnis. Ils mettaient parfois du temps à décoller dans l'entreprise, mais ensuite ils pouvaient voler très haut. Mais pas toujours curieusement.
Je parle surtout des première années de carrière. Ensuite beaucoup changent d'entreprise et il est plus difficile de suivre leur évolution : on ne connaît pas le passé des ingénieurs expérimentés qui sont embauchés et on perd de vue ceux qui partent.