bonjour Mr Oscar . pas mécontent de votre retour et de vos caricatures . Cela me fait du bien au moral Bonne journée a vous .
Bonjour petitloup44!
vos appréciations sympathiques me touchent, d'autant plus que sur un autre site vous n'avez pas idée petitloup44! à quel point on peut me détester.
j'ai éte dans l'obligation de cesser mes caricatures
pour info sur ce forum je ferais tout mon possible pour éviter des futiles embrouilles
"La liberté n'existe pas, seul l’imaginaire à le choix de ses libertés!"
lepicard a écrit : en plus des allégations foireuses , vraiment vous etes acculés
oh purée j'avais lu autre chose
http://i86.servimg.com/u/f86/16/39/51/81/dictat10.jpg "Les prophètes font parler Dieu, comme un ventriloque fait parler sa marionnette" P. Gripari. "Ce n'est pas parce que l'on n'est pas d'accord avec l'autre qu'on a raison "
Dans leurs procès-verbaux consultés par Le Monde, trois policiers mis en examen présentent Alexandre Benalla comme l'homme de confiance d'Emmanuel Macron. Une version tout à fait différente de celle livrée par les proches du président.
Jusqu'où ira cette "affaire Benalla" ? Après les violences lors des manifestations du 1 er mai place de la Contrescarpe.
Après les nouvelles vidéos impliquant l'ancien chargé de mission de l'Elysée au jardin des Plantes dans d'autres faits de violences. Après la perquisition à son domicile juste avant laquelle un ami d'Alexandre Benalla a "mis en sécurité" certains objets dont des armes. S'ajoutent désormais les déclarations de policiers, mis en examen pour "violation du secret professionnel" et "détournement d'images issues d'un système de vidéo-protection" qui viennent contredire les propos de l'Elysée au sujet d'Alexandre Benalla.
"L'homme de confiance"
On reproche à ces trois policiers, très expérimentés et haut-placés dans la hiérarchie policière, d'avoir transmis les images des caméras de la Préfecture de police afin "d'aider" l'ex-chargé de mission à préparer sa défense. Leurs versions des faits diffèrent sensiblement, mais tous s'accordent sur un point : ils n'auraient jamais agi de la sorte si Alexandre Benalla ne leur était pas apparu comme l'homme de confiance du président de la République.
Face aux enquêteurs, il y a le haut- gradé Laurent Simonin. Trente années de carrière dont plus de quinze au sein de la direction de l'ordre public et de la circulation à la Préfecture de police, il est contrôleur général et chef d'état-major adjoint. Il y a aussi Jean-Yves Hunault, officier de liaison à l'Elysée. Il venait de passer dix ans à la direction de l'ordre public et de la circulation et "avait pour mission d'assurer un lien étroit entre l'Elysée et la PP, tout en s'occupant de " l'entourage" de l'Elysée", précise Le Monde. Et puis, il y a Maxence Creusat, jeune commissaire dont les déclarations ont le plus retenu l'attention, car elles reviennent avec plus de précisions sur le rôle d'Alexandre Benalla au sein du dispositif de sécurité présidentiel.
Pour un ancien du GSPR, Benalla "perturbait" la sécurité du présidentpar BFMTV
"Depuis l'élection de M.Macron, les chefs du groupe de sécurité de la présidence de la République [étaient] ostracisés par la présence de M. Benalla", aurait-il déclaré aux enquêteurs, selon les informations du journal. "Lors des déplacements (...), [il communiquait] les souhaits et les volontés du président." D'après ce policier de la DOPC, en poste depuis 2011, M. Benalla était, en outre, destinataire, "au quotidien, des télégrammes et notes confidentielles".
"Pour nous, Benalla [représentait] Macron pour tous les sujets sécurité"
Plus précis encore, le policier donne des exemples des situations dans lesquelles il a vu Alexandre Benalla en action, au plus près du président de la République : "quand le chef de la DOPC, du GSPR et M. Benalla [étaient] ensemble sur un service d'ordre, et que le président communiquer une volonté en matière de sécurité (...), il M. Benalla sur son téléphone". Lors de la descente des Champs-Elysées du bus de l'équipe de France de football, "plusieurs témoins" auraient été impressionnés de son "lien direct téléphonique avec le président de la République afin de caler le timing", relate Le Monde. "Pour nous, M. Benalla [représentait] Macron pour tous les sujets sécurité."
Ces déclarations contredisent les explications fournies par l'entourage d'Emmanuel Macron et notamment le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler. Devant la commission d'enquête du Sénat, le 25 juillet dernier, il avait affirmé que "la sécurité du président de la République [était] toujours assurée par le commandement militaire ou le GSPR" et qu'Alexandre Benalla "n'avait pas de responsabilités les concernant", assurant que la présidence n'employait pas "de vigiles privés pour assurer la sécurité du chef de l'État".
"Il le connaissait de vue"
Plus gênant encore, le chef de cabinet de Gérard Collomb, Jean-Marie Girier, avait affirmé lundi à la commission d'enquête du Sénat sur l'affaire Benalla que son ministre ne connaissait de l'ex-collaborateur d'Emmanuel Macron "ni son nom, ni son prénom, ni ses fonctions", confortant des déclarations du ministre. "Il le connaissait de vue", a affirmé ce proche du ministre de l'Intérieur et ancien directeur de campagne d'Emmanuel Macron. Lors de son audition Gérard Collomb avait rappelé aussi à plusieurs reprises qu'il avait "croisé" Alexandre Benalla mais pensait qu'il était "policier". Difficile à croire à la lumière de ces nouveaux témoignages.
Attendons la suite, chaque jour amène des révélations
Une chose dont on ne parle pas n'a jamais existé - Oscar Wilde
Attention!
je traite le sujet de façon ironique et humoristique.
Je ne prétends pas un instant de connaitre la vérité cette obscure affaire.
Benalla barbouze?
Pour en revenir à Benalla, je n'arrive pas à percevoir où il fait preuve d'action de barbouze!
Fantasme de l'opposition?
Réalité?
Mais faut-il encore le prouver, mais pas sur des imbéciles apriorismes revanchards de post électoral...
"Quand aux armes de Mr Benalla cela me parait un élément insignifiant en rapport au contexte global de l’affaire."
Cela confirme bien, une tempête médiatique dans un verre d'eau.
Mr Macron subit à son tour un bizutage de diabolisation de la fonction de présidentielle.
Pendant que certains rongent l'os "Benalla " . Macron en marche met sur pieds de nouvelles réformes pour remplir les caisses vides de l'état. Un ancien banquier malin vaut au moins trois politiques.
"La liberté n'existe pas, seul l’imaginaire à le choix de ses libertés!"
lepicard a écrit :
la subtilité est un art Macronien , ça vous epate hein ! les proceduriers enrhumés du bulbe
tiens une autre
ai-je acculé mes adversaires !?
précocement ou pas?????
Houla-la m'dame Anne, j'vous trouve bien salace...
Anne32 a écrit : Dépêche AFP de ce jour à 21 heures
Dans leurs procès-verbaux consultés par Le Monde, trois policiers mis en examen présentent Alexandre Benalla comme l'homme de confiance d'Emmanuel Macron. Une version tout à fait différente de celle livrée par les proches du président.
Jusqu'où ira cette "affaire Benalla" ? Après les violences lors des manifestations du 1 er mai place de la Contrescarpe.
Après les nouvelles vidéos impliquant l'ancien chargé de mission de l'Elysée au jardin des Plantes dans d'autres faits de violences. Après la perquisition à son domicile juste avant laquelle un ami d'Alexandre Benalla a "mis en sécurité" certains objets dont des armes. S'ajoutent désormais les déclarations de policiers, mis en examen pour "violation du secret professionnel" et "détournement d'images issues d'un système de vidéo-protection" qui viennent contredire les propos de l'Elysée au sujet d'Alexandre Benalla.
"L'homme de confiance"
On reproche à ces trois policiers, très expérimentés et haut-placés dans la hiérarchie policière, d'avoir transmis les images des caméras de la Préfecture de police afin "d'aider" l'ex-chargé de mission à préparer sa défense. Leurs versions des faits diffèrent sensiblement, mais tous s'accordent sur un point : ils n'auraient jamais agi de la sorte si Alexandre Benalla ne leur était pas apparu comme l'homme de confiance du président de la République.
Face aux enquêteurs, il y a le haut- gradé Laurent Simonin. Trente années de carrière dont plus de quinze au sein de la direction de l'ordre public et de la circulation à la Préfecture de police, il est contrôleur général et chef d'état-major adjoint. Il y a aussi Jean-Yves Hunault, officier de liaison à l'Elysée. Il venait de passer dix ans à la direction de l'ordre public et de la circulation et "avait pour mission d'assurer un lien étroit entre l'Elysée et la PP, tout en s'occupant de " l'entourage" de l'Elysée", précise Le Monde. Et puis, il y a Maxence Creusat, jeune commissaire dont les déclarations ont le plus retenu l'attention, car elles reviennent avec plus de précisions sur le rôle d'Alexandre Benalla au sein du dispositif de sécurité présidentiel.
Pour un ancien du GSPR, Benalla "perturbait" la sécurité du présidentpar BFMTV
"Depuis l'élection de M.Macron, les chefs du groupe de sécurité de la présidence de la République [étaient] ostracisés par la présence de M. Benalla", aurait-il déclaré aux enquêteurs, selon les informations du journal. "Lors des déplacements (...), [il communiquait] les souhaits et les volontés du président." D'après ce policier de la DOPC, en poste depuis 2011, M. Benalla était, en outre, destinataire, "au quotidien, des télégrammes et notes confidentielles".
"Pour nous, Benalla [représentait] Macron pour tous les sujets sécurité"
Plus précis encore, le policier donne des exemples des situations dans lesquelles il a vu Alexandre Benalla en action, au plus près du président de la République : "quand le chef de la DOPC, du GSPR et M. Benalla [étaient] ensemble sur un service d'ordre, et que le président communiquer une volonté en matière de sécurité (...), il M. Benalla sur son téléphone". Lors de la descente des Champs-Elysées du bus de l'équipe de France de football, "plusieurs témoins" auraient été impressionnés de son "lien direct téléphonique avec le président de la République afin de caler le timing", relate Le Monde. "Pour nous, M. Benalla [représentait] Macron pour tous les sujets sécurité."
Ces déclarations contredisent les explications fournies par l'entourage d'Emmanuel Macron et notamment le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler. Devant la commission d'enquête du Sénat, le 25 juillet dernier, il avait affirmé que "la sécurité du président de la République [était] toujours assurée par le commandement militaire ou le GSPR" et qu'Alexandre Benalla "n'avait pas de responsabilités les concernant", assurant que la présidence n'employait pas "de vigiles privés pour assurer la sécurité du chef de l'État".
"Il le connaissait de vue"
Plus gênant encore, le chef de cabinet de Gérard Collomb, Jean-Marie Girier, avait affirmé lundi à la commission d'enquête du Sénat sur l'affaire Benalla que son ministre ne connaissait de l'ex-collaborateur d'Emmanuel Macron "ni son nom, ni son prénom, ni ses fonctions", confortant des déclarations du ministre. "Il le connaissait de vue", a affirmé ce proche du ministre de l'Intérieur et ancien directeur de campagne d'Emmanuel Macron. Lors de son audition Gérard Collomb avait rappelé aussi à plusieurs reprises qu'il avait "croisé" Alexandre Benalla mais pensait qu'il était "policier". Difficile à croire à la lumière de ces nouveaux témoignages.
Attendons la suite, chaque jour amène des révélations
c'est quand même curieux, tous les reproches viennent des flics ou des gendarmes.... tout cela se précise, on va finir par savoir d'où vient le buzzz
oscar a écrit : Attention!
je traite le sujet de façon ironique et humoristique.
Je ne prétends pas un instant de connaitre la vérité cette obscure affaire.
Benalla barbouze?
Pour en revenir à Benalla, je n'arrive pas à percevoir où il fait preuve d'action de barbouze!
Fantasme de l'opposition?
Réalité?
Mais faut-il encore le prouver, mais pas sur des imbéciles apriorismes revanchards de post électoral...
"Quand aux armes de Mr Benalla cela me parait un élément insignifiant en rapport au contexte global de l’affaire."
Cela confirme bien, une tempête médiatique dans un verre d'eau.
Mr Macron subit à son tour un bizutage de diabolisation de la fonction de présidentielle.
Pendant que certains rongent l'os "Benalla " . Macron en marche met sur pieds de nouvelles réformes pour remplir les caisses vides de l'état. Un ancien banquier malin vaut au moins trois politiques.
Tu sais mon Oscar, cette affaire aura au moins le mérite de remplacer ces fameuses sagas de l'été télévisées années 90, mais il va bien falloir que ça finisse cet automne...indien sans doute..
Anne32 a écrit : Dépêche AFP de ce jour à 21 heures
Dans leurs procès-verbaux consultés par Le Monde, trois policiers mis en examen présentent Alexandre Benalla comme l'homme de confiance d'Emmanuel Macron. Une version tout à fait différente de celle livrée par les proches du président.
Jusqu'où ira cette "affaire Benalla" ? Après les violences lors des manifestations du 1 er mai place de la Contrescarpe.
Après les nouvelles vidéos impliquant l'ancien chargé de mission de l'Elysée au jardin des Plantes dans d'autres faits de violences. Après la perquisition à son domicile juste avant laquelle un ami d'Alexandre Benalla a "mis en sécurité" certains objets dont des armes. S'ajoutent désormais les déclarations de policiers, mis en examen pour "violation du secret professionnel" et "détournement d'images issues d'un système de vidéo-protection" qui viennent contredire les propos de l'Elysée au sujet d'Alexandre Benalla.
"L'homme de confiance"
On reproche à ces trois policiers, très expérimentés et haut-placés dans la hiérarchie policière, d'avoir transmis les images des caméras de la Préfecture de police afin "d'aider" l'ex-chargé de mission à préparer sa défense. Leurs versions des faits diffèrent sensiblement, mais tous s'accordent sur un point : ils n'auraient jamais agi de la sorte si Alexandre Benalla ne leur était pas apparu comme l'homme de confiance du président de la République.
Face aux enquêteurs, il y a le haut- gradé Laurent Simonin. Trente années de carrière dont plus de quinze au sein de la direction de l'ordre public et de la circulation à la Préfecture de police, il est contrôleur général et chef d'état-major adjoint. Il y a aussi Jean-Yves Hunault, officier de liaison à l'Elysée. Il venait de passer dix ans à la direction de l'ordre public et de la circulation et "avait pour mission d'assurer un lien étroit entre l'Elysée et la PP, tout en s'occupant de " l'entourage" de l'Elysée", précise Le Monde. Et puis, il y a Maxence Creusat, jeune commissaire dont les déclarations ont le plus retenu l'attention, car elles reviennent avec plus de précisions sur le rôle d'Alexandre Benalla au sein du dispositif de sécurité présidentiel.
Pour un ancien du GSPR, Benalla "perturbait" la sécurité du présidentpar BFMTV
"Depuis l'élection de M.Macron, les chefs du groupe de sécurité de la présidence de la République [étaient] ostracisés par la présence de M. Benalla", aurait-il déclaré aux enquêteurs, selon les informations du journal. "Lors des déplacements (...), [il communiquait] les souhaits et les volontés du président." D'après ce policier de la DOPC, en poste depuis 2011, M. Benalla était, en outre, destinataire, "au quotidien, des télégrammes et notes confidentielles".
"Pour nous, Benalla [représentait] Macron pour tous les sujets sécurité"
Plus précis encore, le policier donne des exemples des situations dans lesquelles il a vu Alexandre Benalla en action, au plus près du président de la République : "quand le chef de la DOPC, du GSPR et M. Benalla [étaient] ensemble sur un service d'ordre, et que le président communiquer une volonté en matière de sécurité (...), il M. Benalla sur son téléphone". Lors de la descente des Champs-Elysées du bus de l'équipe de France de football, "plusieurs témoins" auraient été impressionnés de son "lien direct téléphonique avec le président de la République afin de caler le timing", relate Le Monde. "Pour nous, M. Benalla [représentait] Macron pour tous les sujets sécurité."
Ces déclarations contredisent les explications fournies par l'entourage d'Emmanuel Macron et notamment le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler. Devant la commission d'enquête du Sénat, le 25 juillet dernier, il avait affirmé que "la sécurité du président de la République [était] toujours assurée par le commandement militaire ou le GSPR" et qu'Alexandre Benalla "n'avait pas de responsabilités les concernant", assurant que la présidence n'employait pas "de vigiles privés pour assurer la sécurité du chef de l'État".
"Il le connaissait de vue"
Plus gênant encore, le chef de cabinet de Gérard Collomb, Jean-Marie Girier, avait affirmé lundi à la commission d'enquête du Sénat sur l'affaire Benalla que son ministre ne connaissait de l'ex-collaborateur d'Emmanuel Macron "ni son nom, ni son prénom, ni ses fonctions", confortant des déclarations du ministre. "Il le connaissait de vue", a affirmé ce proche du ministre de l'Intérieur et ancien directeur de campagne d'Emmanuel Macron. Lors de son audition Gérard Collomb avait rappelé aussi à plusieurs reprises qu'il avait "croisé" Alexandre Benalla mais pensait qu'il était "policier". Difficile à croire à la lumière de ces nouveaux témoignages.
Attendons la suite, chaque jour amène des révélations
c'est quand même curieux, tous les reproches viennent des flics ou des gendarmes.... tout cela se précise, on va finir par savoir d'où vient le buzzz
Comme il faut trouver des responsables, et que l'Elysée est au dessus de tout soupçon paraît il, les flics sont dans le collimateur, voilà d'excellents fusibles
Pas de remaniement ministériel, ça se fait pas, faut trouver des responsables , certains hauts gradés se retrouveront dans des placards dorés, et tout rentrera dans l'ordre.C'est l'espoir desespéré des macronistes, qui ne savent plus à quel saint se vouer......
Ce qui me choque c'est la disparition de ce coffre fort au domicile de Benalla, dans lequel il se trouvait des armes....Mais quoi de plus?????Pourquoi ce retard à la perquisition?Pourquoi avoir traîné les pieds? Pour faire le ménage??????
Comme transparence, on fait mieux, non?????
Une chose dont on ne parle pas n'a jamais existé - Oscar Wilde