Barbapoutre a écrit : Juste pour faire ch**r le contribuable!
Toulouse la municipalité lance un appel au civisme et à la vigilance de tous après la dégradation des vélostations le 14 juillet.
Je lance un appel à l'arrêt de ce fil d'une violence intolérable.
de lapin.
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
Bah! encore une et j'arrête!
A l'heure du petit déjeuner tout était calme à Ornolac, ou presque.
Jacques Arraud, âgé de 70 ans, était un agriculteur à la retraite, connu dans la commune, veuf et sans enfant. Voici quelques mois (quatre ou cinq suivant les personnes qui le connaissent), il s'est mis en ménage avec Michèle Denjean, 67 ans, divorcée et maman de deux filles. Le couple vit dans la maison de Jacques Arraud, tout en haut du village. Une maison agréable, bien entretenue, décorée de jolis massifs de fleurs.
Soudain un voisin entend deux coups de feu. Il ne s'étonne pas particulièrement, à la campagne de tels bruits sont habituels. Ce n'est que bien plus tard, qu'en passant devant la maison de Jacques Arraud, il voit les deux corps étendus à terre dans le jardin.
Saint-Ouen - Une adolescente violée à la piscine municipale
Un jeune homme, soupçonné d'avoir violé une jeune fille à la piscine avant de prendre la fuite en maillot sur un scooter volé, a été retrouvé et écroué.
Personne n'a rien vu, rien entendu. Les faits remontent à jeudi dernier, vers 15h30, à la piscine municipale de Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis. Econduit par une adolescente de 15 ans qu'il essayait de séduire au bord de la piscine, l'agresseur présumé, âgé de 21, l'aurait suivie dans les vestiaires où il l'aurait poussée dans une cabine avant de la forcée à avoir une relation sexuelle avec lui, indique-t-on de source policière. Dénoncé par sa victime peu après l'agression, le violeur présumé s'est enfui en maillot de bain, en volant un scooter dont il a désarçonné le conducteur. Il a été interpellé à son domicile samedi par les policiers qui ont obtenu son nom grâce aux copains qui l'accompagnaient à la piscine.
Pendant son audition, il a reconnu avoir eu un rapport sexuel avec la victime, mais a nié qu'il se soit déroulé sous la contrainte, selon des sources policières. Lundi, le jeune homme a été déféré devant le parquet de Bobigny, où une information judiciaire pour viol a été ouverte. Il a été écroué et placé sous mandat de dépôt, a-t-on précisé de source judiciaire.
Soulagée après l'incarcération du violeur présumé, l'association Ni Putes Ni Soumises s'est toutefois dite "inquiète", mardi dans un communiqué, du "déferlement de réactions machistes sur internet, qui montrent encore une fois des réactions du type: 'elle l'a bien cherché' ou encore 'mais pourquoi la fille était en maillot de bain?'". Le mouvement a en conséquence décidé de lancer à la rentrée 'le Web respect city', une initiative destinée à "sensibiliser filles et garçons à être eux-mêmes modérateurs des forums et des salons de discussion" sur internet
"mon Ãme est à Dieu, mon corps est à la France, mon honneur est à Moi !
L'objet de la guerre n'est pas de mourir pour son pays, mais de faire en sorte que le salaud d'en face meurt pour le sien.
Aix-en-Provence - Soupçonné d'avoir tué sa grand-mère pour sa carte bleue
Soupçonné d'avoir tué sa grand-mère pour sa carte bleue
Agé de 22 ans, le petit-fils de la victime est soupçonné d'avoir tué sa grand-mère à l'arme blanche pour lui voler sa carte bleue.
Il a été mis en examen et écroué dimanche pour "homicide volontaire par ascendant".
Un homme de 22 ans, soupçonné d'avoir tué sa grand-mère à l'arme blanche pour lui voler sa carte bancaire, a été mis en examen et écroué dimanche. La victime, âgée de 74 ans, est morte le 20 juillet à son domicile de Port-de-Bouc, dans les Bouches-du-Rhône.
Le meurtrier présumé a été mis en examen pour "homicide volontaire par ascendant", a indiqué mardi le parquet d'Aix-en-Provence. Lors de son audition, le suspect aurait reconnu avoir utilisé la carte bancaire de sa grand-mère après son décès, mais a nié l'homicide, sans fournir d'autres pistes aux enquêteurs.
Selon le quotidien La Provence, des faits de torture auraient été commis. Des informations non confirmés par le parquet.
"mon Ãme est à Dieu, mon corps est à la France, mon honneur est à Moi !
L'objet de la guerre n'est pas de mourir pour son pays, mais de faire en sorte que le salaud d'en face meurt pour le sien.
Une fusillade a éclaté mardi soir à Maisons-Alfort (Val-de-Marne) après l'attaque d'un bureau de tabac, annonce le site du Parisien. Un des malfaiteurs a tiré sur les policiers avec une arme qui pourrait être un pistolet-mitrailleur.
La patrouille a riposté, explique le journal, mais il n'y a pas eu de blessés. Le tireur et son complice ont été placés en garde à vue.
Le JDD.fr-28/07/2009 -21h54
"mon Ãme est à Dieu, mon corps est à la France, mon honneur est à Moi !
L'objet de la guerre n'est pas de mourir pour son pays, mais de faire en sorte que le salaud d'en face meurt pour le sien.
A Caen, depuis plusieurs semaines, un homme de 30 ans jette son dévolu sur les Twingo. Interpellé en fin de semaine dernière, il comparaît cet après-midi devant le tribunal correctionnel pour en avoir fracturé une soixantaine en un peu plus de deux mois !
terrible! Son enveloppe comprenant 23000 euros s'envole sur l'autoroute
Un automobiliste allemand a eu la mauvaise surprise de voir son enveloppe de 23000 euros s'envoler sur l'autoroute à proximité d'Hanovre.
Alors qu'il essayait la décapotable qu'il voulait s'offrir, l'enveloppe qui contenait l'argent avec lequel il voulait régler la note s'est envolé en petites coupures de 500 euros en pleine autoroute.
L'automobiliste s'est alors immédiatement mis à la recherche des billets égarés.
Bien heureusement pour lui, il a eu l'aide de la police qui a décidé de fermer l'autoroute le temps des recherches.
Au final il manquera tout de même au conducteur la somme de 3000 euros.
Axe Cinkassé-Tenkodogo : Un pneu éclate et fait deux morts
Un car de transport Cinkassé-Ouaga en partance pour la capitale a été victime d’une crevaison le mardi 28 juillet 2009 à une vingtaine de kilomètres de Tenkodogo. Il y a eu deux morts et une dizaine de blessés dont le chauffeur qui a percuté violemment un infirmier chef de poste (ICP).
Je sais que le titre c'est "Tour de France de..." mais je vous rappelle que le tour cycliste des rois du dopage se court aussi hors de France...
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
Règlements de compte entre un stagiaire et deux agents de la ville de Paris, mardi après-midi à la piscine de Reuilly (XIIe). Un stagiaire de 18 ans qui travaillait en tant qu'agent d'entretien a été interpellé vers 13h30 à la sortie de la piscine par la police. Il a été placé en garde à vue pour «tentative d'homicide volontaire par arme blanche».
D'après la police judiciaire, dont la seconde division a été chargée de l'enquête, il aurait poignardé en premier son maître d'apprentissage, âgé de 50 ans. «Manifestement, il s'est énervé parcequ'on lui donnait des instructions qui ne lui convenait pas», explique à 20minutes.fr une source proche de l'enquête.
Il s'est ensuite dirigé vers la loge du gardien, 52 ans, auquel il a porté plusieurs coups de couteaux.
Une femme russe qui n'a pas pu obtenir la nationalité française s'est vengée en jetant une tasse de thé contre la Joconde sans toutefois la dégrader, seule la vitre qui la protège a été rayée (ouf! on respire)
Bon on peut parier que maintenant elle n'aura plus aucune chance d'y arriver!
Règlement de compte sanglant à la piscine de Reuilly.
Un employé de la piscine municipale a blessé à coups de couteau deux autres agents de la ville de Paris ce mardi. L'un d'entre eux serait dans un état critique.
tisiphoné a écrit : Règlement de compte sanglant à la piscine de Reuilly.
Un employé de la piscine municipale a blessé à coups de couteau deux autres agents de la ville de Paris ce mardi. L'un d'entre eux serait dans un état critique.
Querelle de fonctionnaire sur la répartition des RTT ?
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
Football L1 : La saison a débuté... Les hostilités aussi !!
GF38/OM - Violents incidents avant le match : quatre blessés.
De violentes échauffourées ont éclaté hier aux abords du Stade des Alpes, 1 h 45 environ avant le match de football de Ligue 1 GF 38/OM. Selon nos informations, deux personnes ont été mordues par un chien policier et deux autres ont été interpellées par les forces de l'ordre. Par ailleurs, dans l'après-midi, une rixe opposant des supporters grenoblois et marseillais a fait deux blessés dans le secteur de la place Notre-Dame où une centaine d'ultras grenoblois attendaient le match à la terrasse des bars.
Certains supporters voulaient en découdre
Ce premier incident s'est produit dans des circonstances encore peu claires mais on sait que les sapeurs-pompiers ont porté assistance à un supporter marseillais de 35 ans victime de violents coups portés au visage. Il a été transporté au CHU de Grenoble-La Tronche pour des plaies au visage et des dents cassées. Il semble que le second blessé, atteint d'une plaie de plusieurs centimètres à un bras, soit un octogénaire qui s'est retrouvé par hasard au milieu de la rixe. Il a également été conduit à l'hôpital, mais son état n'inspirerait pas d'inquiétude. La police est intervenue dans le secteur pour rétablir le calme.
C'est vers 19 h 15 que les incidents les plus graves se sont produits, alors que l'arrivée des premiers cars de supporters marseillais s'était déroulée jusque-là dans une ambiance relativement calme. À cet instant, les effectifs de police de la Sécurité publique et deux unités de gendarmerie mobile, soit environ 150 hommes, avaient pris position depuis longtemps déjà autour du Stade des Alpes et plus particulièrement sur deux points névralgiques : devant la tribune des ultras grenoblois - côté mairie - et autour des barriérages réservés à la canalisation des cars et des supporters marseillais - côté avenue de Valmy -.
Cernés par des supporters, les policiers lâchent un chien
Une trentaine de supporters marseillais, arrivés par le boulevard Jean-Pain, ont tenté d'attaquer les Grenoblois qui attendaient d'entrer dans la tribune. Un peloton de gendarmes mobiles s'est interposé alors que les deux groupes échangeaient des jets de projectiles, et a dispersé l'ensemble des belligérants à coups de gaz lacrymogène. Dans les instants qui ont suivi, des groupes de supporters grenoblois ont alors contourné le stade et ont fondu sur les abords de la tribune marseillaise, le parcage marseillais étant bombardé à coups de canettes et de pierres. Plusieurs rixes très violentes ont alors éclaté à l'intersection de l'avenue de Valmy et du boulevard Clémenceau, se propageant sur les parkings situés devant le Palais des sports. Dans la mêlée, un groupe de policiers de l'Unité canine légère (UCL) qui intervenait pour séparer les antagonistes, s'est trouvé cerné par des supporters. Selon un responsable de la police grenobloise, les gardiens de la paix « n'ont pas eu d'autre choix que de démuseler et de lâcher un chien pour se dégager ». Deux supporters marseillais ont ainsi été mordus, dont un sérieusement. Les deux hommes ont été pris en charge par les équipes médicales stationnées au stade et ont été transportés au CHU.
Au cours de ces affrontements, deux supporters grenoblois ont été interpellés par les forces de l'ordre. Le premier pour jet de projectile et le second pour avoir volé à l'arraché un billet d'entrée à un Marseillais au cours d'une rixe à proximité du stade.
Dauphiné Libéré - 09.08.2009
"mon Ãme est à Dieu, mon corps est à la France, mon honneur est à Moi !
L'objet de la guerre n'est pas de mourir pour son pays, mais de faire en sorte que le salaud d'en face meurt pour le sien.
