pas toi cathy,NON!!cathy a écrit : j étais a la maison je regardais le film bidon de l aprés midi sur la 6








pas toi cathy,NON!!cathy a écrit : j étais a la maison je regardais le film bidon de l aprés midi sur la 6
??Fonck1 a écrit : Intéressant la théorie du complot démontée....
un documentaire de Stéphane Malterre sur la théorie du complot, selon laquelle les attentats du 11 septembre auraient été commandités par les militaires, la CIA ou le gouvernement Bush...
Il y a plusieurs variantes à cette théorie. La plus connue s’appuie sur un film d’une heure et demi, Loose Change, un des plus gros téléchargements sur la toile. Ce film, très bien fait, veut prouver qu’il y avait des explosifs dans les tours jumelles, ou que c’est un missile et non un avion qui s’est écrasé sur le Pentagone. Toutes choses que réfute Stéphane Malterre dans le documentaire de ce soir.
L’auteur de Loose Change s’appelle Dylan Avery. C’est un jeune homme de 24 ans, autodidacte. Dylan Avery dit "nous sommes des journalistes, nous sommes les nouveaux médias". Le problème est qu’il élabore un scénario digne de la série de fiction 24 heures chrono en accumulant les éléments qui confortent sa théorie et en ne tenant pas compte des autres. Une théorie qu’il a élaborée a priori puisque, avant qu’il ne se prenne à son propre jeu, son projet était de réaliser une fiction sur le 11 septembre.
Est-ce que les tenants de la théorie du complot ont une orientation politique ?
le documentaire de Stéphane Malterre remonte jusqu’à l’extrême droite américaine antisémite et négationiste dont s’est inspiré Dylan Avery. Mais de Jean-Marie Le Pen à Hugo Chavez, de l’extrême droite à la mouvance altermondialiste, la théorie du complot séduit bien des gens persuadés de la duplicité des politiques et des médias. Des anti-américains, mais beaucoup d’américains également
pourquoi pas des fois oui je mets le film bidon pour m endormirFonck1 a écrit : pas toi cathy,NON!!![]()
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GECKO a écrit :
puis j'ai vidé un grand verre de whisky en me disant que les emmerdements allaient commencer..
:content115VERNON a écrit :Un autre détail ( réflexe de banquier ) = la bourse de Paris a chuté de 17,50 % en une séance.
GECKO a écrit :
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non, en fait c'est les emmerds que j'avais vu venir intuitivement, et tu me rappelles effectivement que la bourse avait dégringolé..VERNON a écrit :
Ben oui , tovaritch , on ne se refait pas ; je n'avais pas d'actions en bourse , je te signale
Dans quelle activité travaillais tu?GECKO a écrit :
le second pour moi, c'est le lendemain pour entrer dans ma boite : chicanes, controles, fouille véhicule..pendant des semaines
Tu iras raconter cette vanne écrite en rouge aux familles des disparus, de ceux qui ont été torturés durant toute la période de la dictature de Pinochet.Fonck1 a écrit : Le coup d’État du 11 septembre 1973 au Chili a été un évènement historique marquant à la fois de l'histoire du Chili et de la Guerre froide. Le 11 septembre 1973, le gouvernement du président démocratiquement élu Salvador Allende (socialiste) était renversé par un coup d'Etat militaire.
Celui-ci avait été planifié par les commandants en chef des trois armées et du chef de la police, et dirigé par le général d'armée Augusto Pinochet. Ce coup d'État eut lieu dans un contexte de crise politique, sociale et économique du Chili, avec une opposition entre le pouvoir exécutif et les pouvoirs législatif et judiciaire. Il intervenait notamment deux mois après le Tanquetazo, une première tentative de coup d'État (juin 1973).
À la suite du coup d'Etat, qui coûta la vie à Salvador Allende lors du siège du palais de la Moneda, la junte militaire prononça la dissolution du Congrès national, des conseils municipaux, des syndicats et des partis politiques. La liberté de la presse fut abolie, le couvre-feu instauré. Tout ce qui était littérature de gauche fut interdit et les opposants au régime arrêtés, torturés ou exécutés. La dictature militaire dirigea le pays jusqu'en 1990.
Le rôle exact des États-Unis a longtemps fait l'objet d'incertitudes. Souvent allégués, les appuis qu'ils auraient apportés aux militaires le 11 septembre 1973 n'ont jamais été démontrés et la commission Church n'en a trouvé aucune preuve. L'Union soviétique n'intervint pas, considérant le président chilien comme « trop faible » pour avoir refusé notamment de recourir à la force contre l'opposition[1].