Infos concernant le monde animal !
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b]Les activités de chasse du prince Philippe choquent Gaia[/b]
FAMILLES ROYALES
sam 19 jan
Le prince Philippe recevra lundi une lettre attristée de Gaia. La fondation de protection animale lui reproche d'avoir participé, incognito, à une partie de chasse au faisan le 13 janvier à Eeklo.
Dans sa lettre, Gaia déplore "qu'un membre de la famille royale belge puisse participer à une telle forme de souffrance animale".
L'association demande d'ailleurs au prince héritier de cesser ses activités de chasse. Le courrier a été envoyé jeudi.
Le porte-parole du Palais, Pierre-Emmanuel De Bauw, a réagi en indiquant laconiquement qu'"aucun commentaire n'était fait sur les activités privées du prince".
Une information à lire ce samedi dans les quotidiens du groupe Sud Presse et Het Laatste Nieuws.
http://www.rtlinfo.be/news/article/8445 ... w_comments
____________
FAMILLES ROYALES
sam 19 jan
Le prince Philippe recevra lundi une lettre attristée de Gaia. La fondation de protection animale lui reproche d'avoir participé, incognito, à une partie de chasse au faisan le 13 janvier à Eeklo.
Dans sa lettre, Gaia déplore "qu'un membre de la famille royale belge puisse participer à une telle forme de souffrance animale".
L'association demande d'ailleurs au prince héritier de cesser ses activités de chasse. Le courrier a été envoyé jeudi.
Le porte-parole du Palais, Pierre-Emmanuel De Bauw, a réagi en indiquant laconiquement qu'"aucun commentaire n'était fait sur les activités privées du prince".
Une information à lire ce samedi dans les quotidiens du groupe Sud Presse et Het Laatste Nieuws.
http://www.rtlinfo.be/news/article/8445 ... w_comments
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Nombre d'animaux utilisés au Canada pour la vivisection entre 1975 et 2006
pour le total des animaux rapportés
Depuis 2000 il y a eu une augmentation de un demi millions d'animaux de plus pour l'expérimentation au Canada !
ANN à ‰ES CHIFFRES
1975: 2 699 000
1980: 1 342 431
1982: 1 930 920
1985: 2 075 923
1986: 2 015 222
1989: 1 949 965
1991: 2 280 474
1992: 2 115 006
1993: 2 041 786
1994: 2 335 315
1995: 1 988 208
1996: 1 952 045
1997: 1 471 611
1998: 1 765 973
1999: 1 746 606
2000: 1 954 000
2001: 2 136 329
2002: 2 103 135
2003: 2 489 219
2004: 2 307 232
2005`2 316 285
2006: 2 535 989
Le chiffre officiel n'est pas de 2 millions, mais de 2, 535, 989
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... ntro.htm#1
Confirmation que le Québec fournit plus de chiens que l'Ontario pour l'expérimentation
Nombre de chiens utilisés en science au Canada en 2006
Chiens (total) d'élevage: 4 267
Chiens (total) de fourrière: 5 285
Grand total: 9 552
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... s_cdnh.htm
Nombre de chiens utilisés au Québec: 4 984
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... _index.htm
Nombre de chiens utilisés en 2006 en Ontario : 3 034
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... _index.htm
Nombre de chiens utilisés en 2006 dans les provinces de l'Atlantique (Nouvelle- à ‰cosse, Nouveau-Brunswick, àŽle-du-Prince- à ‰douard, Terre-Neuve: 540
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... _index.htm
Nombre de chiens utilisés en 2006 dans les provincesde l'Ouest (Manitoba, Saskatchewan, Alberta, Colombie-Britannique): 994
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... _index.htm
pour le total des animaux rapportés
Depuis 2000 il y a eu une augmentation de un demi millions d'animaux de plus pour l'expérimentation au Canada !
ANN à ‰ES CHIFFRES
1975: 2 699 000
1980: 1 342 431
1982: 1 930 920
1985: 2 075 923
1986: 2 015 222
1989: 1 949 965
1991: 2 280 474
1992: 2 115 006
1993: 2 041 786
1994: 2 335 315
1995: 1 988 208
1996: 1 952 045
1997: 1 471 611
1998: 1 765 973
1999: 1 746 606
2000: 1 954 000
2001: 2 136 329
2002: 2 103 135
2003: 2 489 219
2004: 2 307 232
2005`2 316 285
2006: 2 535 989
Le chiffre officiel n'est pas de 2 millions, mais de 2, 535, 989
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... ntro.htm#1
Confirmation que le Québec fournit plus de chiens que l'Ontario pour l'expérimentation
Nombre de chiens utilisés en science au Canada en 2006
Chiens (total) d'élevage: 4 267
Chiens (total) de fourrière: 5 285
Grand total: 9 552
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... s_cdnh.htm
Nombre de chiens utilisés au Québec: 4 984
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... _index.htm
Nombre de chiens utilisés en 2006 en Ontario : 3 034
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... _index.htm
Nombre de chiens utilisés en 2006 dans les provinces de l'Atlantique (Nouvelle- à ‰cosse, Nouveau-Brunswick, àŽle-du-Prince- à ‰douard, Terre-Neuve: 540
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... _index.htm
Nombre de chiens utilisés en 2006 dans les provincesde l'Ouest (Manitoba, Saskatchewan, Alberta, Colombie-Britannique): 994
http://www.ccac.ca/fr/Publications/New_ ... _index.htm
Tout être vivant a droit au respect et a la liberté !
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http://www.gaia.be/fra/control.php?&top ... pname=cp99
Cinq organisateurs de combats de coqs de Saint-Trond condamnés
Le tribunal de Hasselt alloue 1 euro à titre de dédommagement moral à GAIA
Cinq organisateurs de combats de coqs ont été pris par la police le 30 septembre 2006 à Zepperen (commune appartenant à l'arrondissement de Saint-Trond) gr à ¢ce aux indications de GAIA. Ils sont aujourd'hui déclarés coupables par le tribunal de première instance de Hasselt. Hendrik M., Eric L., Freddy S., Roger C. et Guido V. ont été chacun condamnés à une amende de
2750 euros et à une interdiction définitive de possession de coqs de combat.
GAIA, qui avait introduit la plainte et se constituait partie civile, a reçu 1 euro du tribunal à titre de dédommagement moral. L'organisation de défense des droits animaux s'est montrée satisfaite lors de la prononciation du jugement.
"Le tribunal a ainsi démontré très clairement que de telles cruautés illégales ne pouvaient pas être tolérées.", a déclaré le président de GAIA, Michel Vandenbosch.
La police a pu identifier les cinq inculpés. Elle a confisqué sur place un coq mort et un autre animal ensanglanté mais encore vivant. Une trace de sang menait à une cabane sur un terrain appartenant à l'un des inculpés. Les organisateurs des combats de coqs (l'un d'eux ne s'est pas présenté au tribunal) niaient toute relation avec cette affaire et se confondaient en
arguments. Le juge a cependant considéré les faits comme suffisamment manifestes.
Les combats de coqs sont interdits dans notre pays depuis 1929. Depuis 1991, la loi du bien-être animal condamne de maltraitance animale toute personne qui participe d'une quelconque façon (et donc aussi en tant que spectateurs) à ces combats.
===========
LANGUE BLEUE
Lutgen et l'aide fédérale (La D.H. du 30/01/2008)
Hier, au Parlement wallon, Beno àt Lutgen a rappelé les mesures déj à prises au niveau de la Région wallonne. C'est ainsi qu'une avance de 80 % de la prime vache allaitante a été versée aux agriculteurs au début du mois de décembre, au lieu des 60% autorisés en temps normal par les autorités européennes. Les exploitants qui ne pourraient pas respecter certains seuils en matière de quotas laitiers ou de vaches allaitantes percevront quand même les primes. Des reports de crédit pourront être sollicités par les agriculteurs. Par ailleurs, Beno àt Lutgen a introduit un dossier relatif à l'activation des crédits de soudure auprès de la Commission européenne. Le ministre wallon de l'Agriculture demande également au gouvernement fédéral de faire un geste vis- à -vis du monde agricole.
V.Li.
Cinq organisateurs de combats de coqs de Saint-Trond condamnés
Le tribunal de Hasselt alloue 1 euro à titre de dédommagement moral à GAIA
Cinq organisateurs de combats de coqs ont été pris par la police le 30 septembre 2006 à Zepperen (commune appartenant à l'arrondissement de Saint-Trond) gr à ¢ce aux indications de GAIA. Ils sont aujourd'hui déclarés coupables par le tribunal de première instance de Hasselt. Hendrik M., Eric L., Freddy S., Roger C. et Guido V. ont été chacun condamnés à une amende de
2750 euros et à une interdiction définitive de possession de coqs de combat.
GAIA, qui avait introduit la plainte et se constituait partie civile, a reçu 1 euro du tribunal à titre de dédommagement moral. L'organisation de défense des droits animaux s'est montrée satisfaite lors de la prononciation du jugement.
"Le tribunal a ainsi démontré très clairement que de telles cruautés illégales ne pouvaient pas être tolérées.", a déclaré le président de GAIA, Michel Vandenbosch.
La police a pu identifier les cinq inculpés. Elle a confisqué sur place un coq mort et un autre animal ensanglanté mais encore vivant. Une trace de sang menait à une cabane sur un terrain appartenant à l'un des inculpés. Les organisateurs des combats de coqs (l'un d'eux ne s'est pas présenté au tribunal) niaient toute relation avec cette affaire et se confondaient en
arguments. Le juge a cependant considéré les faits comme suffisamment manifestes.
Les combats de coqs sont interdits dans notre pays depuis 1929. Depuis 1991, la loi du bien-être animal condamne de maltraitance animale toute personne qui participe d'une quelconque façon (et donc aussi en tant que spectateurs) à ces combats.
===========
LANGUE BLEUE
Lutgen et l'aide fédérale (La D.H. du 30/01/2008)
Hier, au Parlement wallon, Beno àt Lutgen a rappelé les mesures déj à prises au niveau de la Région wallonne. C'est ainsi qu'une avance de 80 % de la prime vache allaitante a été versée aux agriculteurs au début du mois de décembre, au lieu des 60% autorisés en temps normal par les autorités européennes. Les exploitants qui ne pourraient pas respecter certains seuils en matière de quotas laitiers ou de vaches allaitantes percevront quand même les primes. Des reports de crédit pourront être sollicités par les agriculteurs. Par ailleurs, Beno àt Lutgen a introduit un dossier relatif à l'activation des crédits de soudure auprès de la Commission européenne. Le ministre wallon de l'Agriculture demande également au gouvernement fédéral de faire un geste vis- à -vis du monde agricole.
V.Li.
Tout être vivant a droit au respect et a la liberté !
encore un montage sortis du contexte et très orienté , a 10 mille lieux de se qu on peut voir chez un petit producteur ...naturelle a écrit :Vidéo sur le gavage des canards :
Ames sensibles s'abstenir !
http://video.google.fr/videoplay?docid= ... 8809005805
à bientôt
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Pensez ce que vous voulez ou surtout ce qui vous arrange pour vous donner bonne conscience. Ce que je sais c'est que ces animaux sont gavés et que ce n'est pas normal de leur infliger une telle torture que se soit chez un petit producteur ou une grande chaine alimentaire, la souffrance est la même. Merci à ces associations, qui ont le courage de filmer de telles horreurs afin d'informer le public qui souvent n'est pas averti de la réalité. Si vous tenez tant que ça à votre foie gras pourquoi ne pas essayer plutôt de consommer des pâtés végétaux qui sont succulents par exemple :" terrine forestière de Bjord "est excellent , je l'ai fait goûté à beaucoup de personnes qui étaient accrocs à la viande et qui adorent ça, elles m'ont même avouées que c'était bien meilleur qu'un pâté de foie !Rananen a écrit : encore un montage sortis du contexte et très orienté , a 10 mille lieux de se qu on peut voir chez un petit producteur ...
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Un chasseur dénonce les massacres de sangliers
« Aujourd'hui, on tue en une journée autant de sangliers que l'on tuait en une saison, il y a vingt ans. »
On sait que le 5 décembre, à la Moncelle, près de Sedan (Ardennes) un groupe de chasseurs a tué 26 sangliers. Cette battue illicite – qui n'est pas la première – a choqué même les chasseurs « modérés » car il s'agissait d'un troupeau de sangliers quasi apprivoisé qui se deplaçait en plaine, suivant, tous les jours et en plein jour, le même itinéraire.
Un de ces chasseurs « modérés » qui se dit « vieux chasseur », titulaire du diplôme d'honneur de sa fédération départementale et membre de la Fédération des chasseurs de grand gibier, révolté, a adressé au quotidien « L'Ardennais » (6/1) un courrier titré « Saint-Hubert réveille-toi, ils sont devenus fous. »
Dans sa lettre, ce chasseur dénonce avec force la création de compagnies de sangliers et l'agrainage massif et permanent « qui a modifié les cycles de reproduction des laies avec des naissances toute l'année. »
Voil à donc où se trouve la cause de la surpopulation des sangliers qui sert de « justification » aux carnages. Des chasseurs font tout pour que les sangliers se multiplient. Ainsi ils peuvent les chasser et les tuer à volonté. Selon le vieux chasseur, « on y tue aujourd'hui en une journée ce que l'on tuait en une saison il y a vingt ans. »
L'auteur de la lettre s'élève aussi contre une véritable dérive financière de la chasse, particulièrement des sangliers, en raison de la très forte augmentation du prix de location du droit de chasse. Ce fait attire des riches chasseurs belges et néerlandais qui deviennent des actionnaires exigeants. Ce qui fait que les adjudicateurs des droits se sentent obligés de « maintenir à un niveau élevé les populations de sangliers pour retenir les actionnaires. » Et le vieux chasseur de révéler que le carnage du 5 décembre dernier a été précédé récemment par un « tableau » de 82 sangliers réalisé en une journée près de la Moncelle. « Ce n'est pas un tableau
d'honneur pour la chasse, c'est un tableau d'horreur même si chaque animal a bien été muni d'un bracelet », s'indigne-t-il.
Concernant le troupeau martyr du 5 décembre, qui a été photographié la veille du massacre, le vieux chasseur le compare à un troupeau de moutons et laisse parler sa colère : « Je voudrais que cette photo porte en légende "sangliers, le troupeau de la honte". Honte pour nous, les chasseurs, les seuls responsables de cette situation. C'est nous qui, en moins de trente ans, avons transformé le sanglier, l'animal mythique, en bête semi-domestique, en "cochonglier" selon le néologisme couramment employé. »
La lettre de ce chasseur décrit bien la situation actuelle. Il y a surpopulation de sangliers car on les nourrit et on les domestique pour pouvoir en tuer plus. En paraphrasant un slogan à la mode, on pourrait dire que la tendance actuelle chez beaucoup de chasseurs est « élever plus pour tuer plus ». La surpopulation des sangliers provoque aussi à l'agriculture des dégâts qui donnent droit à des indemnisations aux agriculteurs (quid des agriculteurs-chasseurs?).
Ceux qui ont nourri ces sangliers se présentent comme des sauveurs et demandent des dérogations et des battues « administratives » pour « réguler » cette surpopulation qu'ils ont créée eux-mêmes. Ainsi, sous le regard passif des pouvoirs publics, le sanglier est devenu gibier d'élevage et une cible facile pour beaufs et nouveau riches belges et néerlandais.
10.1.2008
« Les chrétiens et les animaux »
www.webzinemaker.com/saintfrancois
« Aujourd'hui, on tue en une journée autant de sangliers que l'on tuait en une saison, il y a vingt ans. »
On sait que le 5 décembre, à la Moncelle, près de Sedan (Ardennes) un groupe de chasseurs a tué 26 sangliers. Cette battue illicite – qui n'est pas la première – a choqué même les chasseurs « modérés » car il s'agissait d'un troupeau de sangliers quasi apprivoisé qui se deplaçait en plaine, suivant, tous les jours et en plein jour, le même itinéraire.
Un de ces chasseurs « modérés » qui se dit « vieux chasseur », titulaire du diplôme d'honneur de sa fédération départementale et membre de la Fédération des chasseurs de grand gibier, révolté, a adressé au quotidien « L'Ardennais » (6/1) un courrier titré « Saint-Hubert réveille-toi, ils sont devenus fous. »
Dans sa lettre, ce chasseur dénonce avec force la création de compagnies de sangliers et l'agrainage massif et permanent « qui a modifié les cycles de reproduction des laies avec des naissances toute l'année. »
Voil à donc où se trouve la cause de la surpopulation des sangliers qui sert de « justification » aux carnages. Des chasseurs font tout pour que les sangliers se multiplient. Ainsi ils peuvent les chasser et les tuer à volonté. Selon le vieux chasseur, « on y tue aujourd'hui en une journée ce que l'on tuait en une saison il y a vingt ans. »
L'auteur de la lettre s'élève aussi contre une véritable dérive financière de la chasse, particulièrement des sangliers, en raison de la très forte augmentation du prix de location du droit de chasse. Ce fait attire des riches chasseurs belges et néerlandais qui deviennent des actionnaires exigeants. Ce qui fait que les adjudicateurs des droits se sentent obligés de « maintenir à un niveau élevé les populations de sangliers pour retenir les actionnaires. » Et le vieux chasseur de révéler que le carnage du 5 décembre dernier a été précédé récemment par un « tableau » de 82 sangliers réalisé en une journée près de la Moncelle. « Ce n'est pas un tableau
d'honneur pour la chasse, c'est un tableau d'horreur même si chaque animal a bien été muni d'un bracelet », s'indigne-t-il.
Concernant le troupeau martyr du 5 décembre, qui a été photographié la veille du massacre, le vieux chasseur le compare à un troupeau de moutons et laisse parler sa colère : « Je voudrais que cette photo porte en légende "sangliers, le troupeau de la honte". Honte pour nous, les chasseurs, les seuls responsables de cette situation. C'est nous qui, en moins de trente ans, avons transformé le sanglier, l'animal mythique, en bête semi-domestique, en "cochonglier" selon le néologisme couramment employé. »
La lettre de ce chasseur décrit bien la situation actuelle. Il y a surpopulation de sangliers car on les nourrit et on les domestique pour pouvoir en tuer plus. En paraphrasant un slogan à la mode, on pourrait dire que la tendance actuelle chez beaucoup de chasseurs est « élever plus pour tuer plus ». La surpopulation des sangliers provoque aussi à l'agriculture des dégâts qui donnent droit à des indemnisations aux agriculteurs (quid des agriculteurs-chasseurs?).
Ceux qui ont nourri ces sangliers se présentent comme des sauveurs et demandent des dérogations et des battues « administratives » pour « réguler » cette surpopulation qu'ils ont créée eux-mêmes. Ainsi, sous le regard passif des pouvoirs publics, le sanglier est devenu gibier d'élevage et une cible facile pour beaufs et nouveau riches belges et néerlandais.
10.1.2008
« Les chrétiens et les animaux »
www.webzinemaker.com/saintfrancois
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LE MONDE - EDITION DU MARDI 19 FEVRIER 2008 - PAGE 7
La toxicologie prépare sa " révolution cellulaire "
En testant la nocivité des composés chimiques sur des cellules humaines in vitro, et non plus sur
des animaux, la toxicogénomique devrait permettre à la fois d'augmenter la rapidité et de diminuer le coût des études.
BOSTON (Massachusetts) ENVOY à‰ SP à‰CIAL
La toxicologie est au seuil d'une nouvelle ère : de l'artisanat, elle devrait passer à l'industrie. Cette nouvelle toxicologie - dite " toxicologie cellulaire " ou encore " toxicogénomique " - permettra, dans un futur proche, d'accélérer considérablement les études de nocivité des
composés chimiques mis sur le marché. Et d'évaluer celle des dizaines de milliers de molécules de synthèse diffusées depuis plusieurs décennies dans l'environnement sans réelles études préalables.
Le signal de cette révolution méthodologique est donné par trois agences de recherche fédérales américaines dont l'Environment Protection Agency (EPA).
Elles ont annoncé, vendredi 15 février à Boston (Massachusetts), lors du congrès annuel de l'Association américaine pour l'avancement des sciences (AAAS), la signature d'un accord fondant un grand projet de recherche en toxicologie cellulaire.
*" La toxicologie que nous pratiquons depuis plusieurs décennies repose sur les animaux*, explique Francis Collins, directeur de l'Institut national de recherche sur le génome humain (NHGRI), impliqué dans le partenariat. *Nous prenons des espèces animales, nous leur administrons le composé chimique que nous voulons évaluer, à de différentes concentrations. Nous attendons de voir si ces animaux tombent malades et, si c'est le cas, nous les examinons
pour savoir quels organes ont été touchés. "*
La toxicologie cellulaire, elle, consiste à observer, *in vitro*, la réaction de cellules à une molécule. Nul besoin, donc, de cobayes, mais de lignées cellulaires humaines. Sur chaque type de cellules (rénales, hépatiques, pancréatiques, cérébrales, etc.), le composé chimique est
appliqué à des concentrations et pendant des durées variables. Les altérations du matériel génétique cellulaire sont ensuite relevées : ce sont elles qui peuvent, notamment, provoquer l'apparition de cancers.
L'intérêt de ce *modus operandi* est d'abord son haut niveau d'automatisation et sa rapidité, qui diminuent considérablement les coûts des études. La description de ses grands principes, publiée dans la revue * Science* du 15 février, évalue entre 10 et 100 le nombre de tests
toxicologiques menés chaque année sur des rongeurs alors que plus de 10 000 tests pourraient être conduits, en une seule journée, sur des lignées cellulaires humaines. Ce gain de temps rendrait possible non seulement les tests sur une seule molécule, mais sur les innombrables mélanges dont les toxicologues ignorent les effets avec précision.
*PROMESSES IMMENSES*
Pour l'industrie chimique, l'intérêt est considérable. Les entreprises verraient les coûts des études toxicologiques - généralement à leur charge - baisser substantiellement. En outre, beaucoup moins de temps s'écoulerait entre le développement d'une molécule et sa " qualification " pour arriver sur le marché. Enfin, le sacrifice de millions d'animaux de laboratoire pourrait être évité, avec d'autant plus de profit que la transposition des résultats à l'espèce humaine est sujette à caution, comme le font valoir infatigablement certaines associations de promotion de la toxicogénomique, comme Antidote Europe.
Les promesses sont immenses, mais la toxicologie cellulaire n'a pour l'heure qu'une existence théorique. Selon John Bucher, (Institut national de la santé environnementale), les premières molé à à àû à àc à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à àêules testées devront être *" les 2 500 environ sur lesquelles nous avons des données très riches "*. Il s'agira ainsi de vérifier que les effets sur les cellules isolées sont conformes à ceux documentés au cours des tests de toxicologie classiques.
L'Europe n'est pas absente de cette révolution en cours. Elle vient d'adopter un règlement, Reach, qui prévoit l'évaluation de quelque 30 000 molécules chimiques d'ici à 2018 - mais avant 2011 pour les substances dites " CMR " (cancérigènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction).
Cependant, selon Thomas Hartung (Institut pour la santé et la protection du consommateur, dépendant de la Commission européenne), l'Europe a *" délaissé ce secteur de recherche pendant vingt ans "*. En ce qui concerne les Etats-Unis, note M. Hartung, malgré l'annonce du partenariat entre l'EPA et les instituts nationaux américains de la santé (NIH), *" le projet présenté n'est pas encore budgété, et est en attente de financements supplémentaires
du Congrès "*.
En Europe, *" il y a des activités de recherche pertinentes sur ce sujet, avec des financements conséquents*, estime M. Hartung : *en particulier aux Pays-Bas, où un centre de toxicogénomique avec un financement de 25 millions d'euros est déjà en activité "*. Selon ce responsable européen, le financement d'une autre initiative est en cours de discussion entre l'UE et un consortium d'industriels de la cosmétique. De tels projets ne sont pas rares sur le Vieux Continent - au nombre de 17 selon M. Hartung - mais ils souffrent d'un manque de coordination des efforts de recherche.
La toxicologie cellulaire pourra-t-elle venir, à court terme, au secours du projet Reach ? Rien n'est moins sûr. Si certains scientifiques américains impliqués prédisent les premiers résultats pour *" dans deux à trois ans "*, M. Hartung ne voit pas ces nouvelles technologies se substituer aux
anciennes méthodes avant *" une dizaine d'années "*.
*Stéphane Foucart*
CHIFFRES
*12,1 MILLIONS.*
C'est le nombre d'animaux de laboratoire utilisés en 2005 dans l'UE (à 25 membres), toutes activités confondues, selon un rapport de la Commission de novembre 2007.
*53 %.*
La part des souris est d'un peu plus de la moitié de ce total, devant les rats (19 %) et les animaux à sang froid (15 %), suivis par les oiseaux (5,4 %), puis les équins, caprins, bovins, porcins et carnivores. Les primates non humains représentent 0,1 % du total.
*8 %.*
C'est la proportion de ces animaux utilisés en toxicologie, dont la moitié lors d'essais médicaux ou vétérinaires.
Les tests consacrés aux produits chimiques concernent un tiers de ces 8 %.
La toxicologie prépare sa " révolution cellulaire "
En testant la nocivité des composés chimiques sur des cellules humaines in vitro, et non plus sur
des animaux, la toxicogénomique devrait permettre à la fois d'augmenter la rapidité et de diminuer le coût des études.
BOSTON (Massachusetts) ENVOY à‰ SP à‰CIAL
La toxicologie est au seuil d'une nouvelle ère : de l'artisanat, elle devrait passer à l'industrie. Cette nouvelle toxicologie - dite " toxicologie cellulaire " ou encore " toxicogénomique " - permettra, dans un futur proche, d'accélérer considérablement les études de nocivité des
composés chimiques mis sur le marché. Et d'évaluer celle des dizaines de milliers de molécules de synthèse diffusées depuis plusieurs décennies dans l'environnement sans réelles études préalables.
Le signal de cette révolution méthodologique est donné par trois agences de recherche fédérales américaines dont l'Environment Protection Agency (EPA).
Elles ont annoncé, vendredi 15 février à Boston (Massachusetts), lors du congrès annuel de l'Association américaine pour l'avancement des sciences (AAAS), la signature d'un accord fondant un grand projet de recherche en toxicologie cellulaire.
*" La toxicologie que nous pratiquons depuis plusieurs décennies repose sur les animaux*, explique Francis Collins, directeur de l'Institut national de recherche sur le génome humain (NHGRI), impliqué dans le partenariat. *Nous prenons des espèces animales, nous leur administrons le composé chimique que nous voulons évaluer, à de différentes concentrations. Nous attendons de voir si ces animaux tombent malades et, si c'est le cas, nous les examinons
pour savoir quels organes ont été touchés. "*
La toxicologie cellulaire, elle, consiste à observer, *in vitro*, la réaction de cellules à une molécule. Nul besoin, donc, de cobayes, mais de lignées cellulaires humaines. Sur chaque type de cellules (rénales, hépatiques, pancréatiques, cérébrales, etc.), le composé chimique est
appliqué à des concentrations et pendant des durées variables. Les altérations du matériel génétique cellulaire sont ensuite relevées : ce sont elles qui peuvent, notamment, provoquer l'apparition de cancers.
L'intérêt de ce *modus operandi* est d'abord son haut niveau d'automatisation et sa rapidité, qui diminuent considérablement les coûts des études. La description de ses grands principes, publiée dans la revue * Science* du 15 février, évalue entre 10 et 100 le nombre de tests
toxicologiques menés chaque année sur des rongeurs alors que plus de 10 000 tests pourraient être conduits, en une seule journée, sur des lignées cellulaires humaines. Ce gain de temps rendrait possible non seulement les tests sur une seule molécule, mais sur les innombrables mélanges dont les toxicologues ignorent les effets avec précision.
*PROMESSES IMMENSES*
Pour l'industrie chimique, l'intérêt est considérable. Les entreprises verraient les coûts des études toxicologiques - généralement à leur charge - baisser substantiellement. En outre, beaucoup moins de temps s'écoulerait entre le développement d'une molécule et sa " qualification " pour arriver sur le marché. Enfin, le sacrifice de millions d'animaux de laboratoire pourrait être évité, avec d'autant plus de profit que la transposition des résultats à l'espèce humaine est sujette à caution, comme le font valoir infatigablement certaines associations de promotion de la toxicogénomique, comme Antidote Europe.
Les promesses sont immenses, mais la toxicologie cellulaire n'a pour l'heure qu'une existence théorique. Selon John Bucher, (Institut national de la santé environnementale), les premières molé à à àû à àc à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à à àêules testées devront être *" les 2 500 environ sur lesquelles nous avons des données très riches "*. Il s'agira ainsi de vérifier que les effets sur les cellules isolées sont conformes à ceux documentés au cours des tests de toxicologie classiques.
L'Europe n'est pas absente de cette révolution en cours. Elle vient d'adopter un règlement, Reach, qui prévoit l'évaluation de quelque 30 000 molécules chimiques d'ici à 2018 - mais avant 2011 pour les substances dites " CMR " (cancérigènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction).
Cependant, selon Thomas Hartung (Institut pour la santé et la protection du consommateur, dépendant de la Commission européenne), l'Europe a *" délaissé ce secteur de recherche pendant vingt ans "*. En ce qui concerne les Etats-Unis, note M. Hartung, malgré l'annonce du partenariat entre l'EPA et les instituts nationaux américains de la santé (NIH), *" le projet présenté n'est pas encore budgété, et est en attente de financements supplémentaires
du Congrès "*.
En Europe, *" il y a des activités de recherche pertinentes sur ce sujet, avec des financements conséquents*, estime M. Hartung : *en particulier aux Pays-Bas, où un centre de toxicogénomique avec un financement de 25 millions d'euros est déjà en activité "*. Selon ce responsable européen, le financement d'une autre initiative est en cours de discussion entre l'UE et un consortium d'industriels de la cosmétique. De tels projets ne sont pas rares sur le Vieux Continent - au nombre de 17 selon M. Hartung - mais ils souffrent d'un manque de coordination des efforts de recherche.
La toxicologie cellulaire pourra-t-elle venir, à court terme, au secours du projet Reach ? Rien n'est moins sûr. Si certains scientifiques américains impliqués prédisent les premiers résultats pour *" dans deux à trois ans "*, M. Hartung ne voit pas ces nouvelles technologies se substituer aux
anciennes méthodes avant *" une dizaine d'années "*.
*Stéphane Foucart*
CHIFFRES
*12,1 MILLIONS.*
C'est le nombre d'animaux de laboratoire utilisés en 2005 dans l'UE (à 25 membres), toutes activités confondues, selon un rapport de la Commission de novembre 2007.
*53 %.*
La part des souris est d'un peu plus de la moitié de ce total, devant les rats (19 %) et les animaux à sang froid (15 %), suivis par les oiseaux (5,4 %), puis les équins, caprins, bovins, porcins et carnivores. Les primates non humains représentent 0,1 % du total.
*8 %.*
C'est la proportion de ces animaux utilisés en toxicologie, dont la moitié lors d'essais médicaux ou vétérinaires.
Les tests consacrés aux produits chimiques concernent un tiers de ces 8 %.
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http://www.clicanoo.com/index.php?id_ar ... ge=article
Saint-Leu : Un chien entravé dans une ravine
Une incroyable cha àne de solidarité s'est formée hier pour venir en aide à un petit chien de 6 mois, abandonné à Saint-Leu. L'animal a été retrouvé dans la ravine des Colimaçons, entravé par une cordelette de nylon qui reliait son cou et sa patte arrière gauche. Affaibli et très amaigri, il a
été conduit chez un vétérinaire.
Elle n'a pas mangé de la journée la petite à‹lleen, 15 ans. L'appétit coupé net par la vision du pauvre bougre qu'elle a vu dans la ravine des Colimaçons. Un petit chose presque chiot abandonné au vent, à la pluie, à la solitude. Pauvre diable va à‡a s'est passé hier. Comme tous les week-ends, à‹lleen et ses parents prennent le chemin du littoral pour une promenade au
grand air et aussi pour “prendre l'eau de merâ€
Saint-Leu : Un chien entravé dans une ravine
Une incroyable cha àne de solidarité s'est formée hier pour venir en aide à un petit chien de 6 mois, abandonné à Saint-Leu. L'animal a été retrouvé dans la ravine des Colimaçons, entravé par une cordelette de nylon qui reliait son cou et sa patte arrière gauche. Affaibli et très amaigri, il a
été conduit chez un vétérinaire.
Elle n'a pas mangé de la journée la petite à‹lleen, 15 ans. L'appétit coupé net par la vision du pauvre bougre qu'elle a vu dans la ravine des Colimaçons. Un petit chose presque chiot abandonné au vent, à la pluie, à la solitude. Pauvre diable va à‡a s'est passé hier. Comme tous les week-ends, à‹lleen et ses parents prennent le chemin du littoral pour une promenade au
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Je ne fais que transmettre cet appel que j'ai reçu dans mon courrier, si le cirque s'installe dans votre commune ou si vous l'apercevez, soyez assez aimable d'avertir Martine par E.mail.
Merci pour les animaux
Cirque REITZ
Contact mart_cha_8@yahoo.fr
Je lance un appel à qui pourrait voir se produire le cirque REITZ.
Les animaux manquent d'alimentation, d'eau,ils sont frappés, maigres, sales. C'est une horreur.
Un âne est presque tombé dans le coma. Beaucoup de personnes l'ont constaté et leur ont donné à manger et à boire mais ailleurs .....
Malheureusement, j'étais partie une semaine.
Il faut que je retrouve ce satané cirque REITZ.
Merci m'aider si vous avez des renseignements à me donner, ce serait super bien.
Bises
Martine
Merci pour les animaux
Cirque REITZ
Contact mart_cha_8@yahoo.fr
Je lance un appel à qui pourrait voir se produire le cirque REITZ.
Les animaux manquent d'alimentation, d'eau,ils sont frappés, maigres, sales. C'est une horreur.
Un âne est presque tombé dans le coma. Beaucoup de personnes l'ont constaté et leur ont donné à manger et à boire mais ailleurs .....
Malheureusement, j'étais partie une semaine.
Il faut que je retrouve ce satané cirque REITZ.
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Bises
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La présidente du refuge SPA fait de la résistance : elle refuse d'euthanasier les chiens classés dangereux
Si vous souhaitez contacter la présidente du refuge, voil à la page de contact du site avec l'adresse complète et les coordonnées téléphoniques:
http://www.spa-haguenau.org/pages%20sec ... acter.html
Il y a également une adresse mél :
fghoul.sabine@wanadoo.fr
http://tf1.lci.fr/infos/france/societe/ ... ance-.html
La gendarmerie la somme d'euthanasier des animaux classés dangereux. Elle refuse. Pour elle, ces chiens n'ont aucun problème de comportement.
Sabine Fghoul, présidente du refuge SPA de Haguenau, dans le Bas-Rhin, invoque pour justifier sa décision "l'éthique de la profession".
Son rôle est de protéger les animaux. Pas de les tuer. Voil à pourquoi la présidente du refuge SPA de Haguenau, dans le Bas-Rhin, refuse l'injonction de la gendarmerie. Celle-ci l'a pourtant sommée de rappeler tous les chiens classés dangereux placés dans des familles depuis 1999 pour les euthanasier.
La présidente, Sabine Fghoul, raconte elle-même que lors d'une convocation vendredi à la gendarmerie de Bischwiller, "on m'a signifié de manière un peu dure que j'avais un mois pour récupérer tous les chiens de première catégorie placés depuis 1999 et les euthanasier, de même que ceux qui sont encore au refuge, sous peine de poursuites pénales". Elle avait déj à été
convoquée une première fois par les gendarmes il y a une quinzaine de jours à la suite du contrôle du propriétaire d'un chien classé "dangereux". Cette personne avait indiqué avoir obtenu son animal en octobre 2007 à la SPA de Haguenau.
Ce sont les ma àtres qui rendent les chiens dangereux
Conséquence de ces convocations : une demi-douzaine de chiens placés pourraient être euthanasiés ainsi que cinq autres qui se trouvent encore dans le refuge, mais aucune décision n'a encore été prise, souligne Sabine Fghoul : "J'ai un mois pour m'exécuter et réfléchir avec notre avocat et l'ensemble des associations de protection des animaux à la suite des événements". Mais au final, pas question pour elle de céder : "Pour moi, il est hors de question de rappeler des chiens placés depuis plusieurs années sans le moindre problème : cela va à l'encontre de mon éthique et de l'éthique de la profession".
La gendarmerie se réfère à la loi du 6 janvier 1999 qui distingue deux catégories de chiens dits dangereux et interdit la cession, l'acquisition et l'importation de chiens de première catégorie, une loi que Sabine Fghoul juge "absurde". Selon elle, cette loi introduit un "délit de faciès.
N'importe quel chien peut devenir dangereux s'il reçoit une mauvaise éducation. En réalité, les chiens mordeurs sont essentiellement des chiens de 2e catégorie". A la SPA de Haguenau, "nous n'avons pas attendu cette loi pour procéder à l'euthanasie des chiens que nos vétérinaires et
comportementalistes jugent potentiellement dangereux, quelle que soit leur catégorie".
Sabine Fghoul demande donc une révision de la loi de 1999. Si elle avait été réellement appliquée, il n'y aurait plus de chiens de catégorie 1 en France aujourd'hui, estime-t-elle. Et elle déplore qu'on attaque aujourd'hui sur leur éthique "les refuges SPA, qui ne sont que le dernier maillon de la cha àne".
Si vous souhaitez contacter la présidente du refuge, voil à la page de contact du site avec l'adresse complète et les coordonnées téléphoniques:
http://www.spa-haguenau.org/pages%20sec ... acter.html
Il y a également une adresse mél :
fghoul.sabine@wanadoo.fr
http://tf1.lci.fr/infos/france/societe/ ... ance-.html
La gendarmerie la somme d'euthanasier des animaux classés dangereux. Elle refuse. Pour elle, ces chiens n'ont aucun problème de comportement.
Sabine Fghoul, présidente du refuge SPA de Haguenau, dans le Bas-Rhin, invoque pour justifier sa décision "l'éthique de la profession".
Son rôle est de protéger les animaux. Pas de les tuer. Voil à pourquoi la présidente du refuge SPA de Haguenau, dans le Bas-Rhin, refuse l'injonction de la gendarmerie. Celle-ci l'a pourtant sommée de rappeler tous les chiens classés dangereux placés dans des familles depuis 1999 pour les euthanasier.
La présidente, Sabine Fghoul, raconte elle-même que lors d'une convocation vendredi à la gendarmerie de Bischwiller, "on m'a signifié de manière un peu dure que j'avais un mois pour récupérer tous les chiens de première catégorie placés depuis 1999 et les euthanasier, de même que ceux qui sont encore au refuge, sous peine de poursuites pénales". Elle avait déj à été
convoquée une première fois par les gendarmes il y a une quinzaine de jours à la suite du contrôle du propriétaire d'un chien classé "dangereux". Cette personne avait indiqué avoir obtenu son animal en octobre 2007 à la SPA de Haguenau.
Ce sont les ma àtres qui rendent les chiens dangereux
Conséquence de ces convocations : une demi-douzaine de chiens placés pourraient être euthanasiés ainsi que cinq autres qui se trouvent encore dans le refuge, mais aucune décision n'a encore été prise, souligne Sabine Fghoul : "J'ai un mois pour m'exécuter et réfléchir avec notre avocat et l'ensemble des associations de protection des animaux à la suite des événements". Mais au final, pas question pour elle de céder : "Pour moi, il est hors de question de rappeler des chiens placés depuis plusieurs années sans le moindre problème : cela va à l'encontre de mon éthique et de l'éthique de la profession".
La gendarmerie se réfère à la loi du 6 janvier 1999 qui distingue deux catégories de chiens dits dangereux et interdit la cession, l'acquisition et l'importation de chiens de première catégorie, une loi que Sabine Fghoul juge "absurde". Selon elle, cette loi introduit un "délit de faciès.
N'importe quel chien peut devenir dangereux s'il reçoit une mauvaise éducation. En réalité, les chiens mordeurs sont essentiellement des chiens de 2e catégorie". A la SPA de Haguenau, "nous n'avons pas attendu cette loi pour procéder à l'euthanasie des chiens que nos vétérinaires et
comportementalistes jugent potentiellement dangereux, quelle que soit leur catégorie".
Sabine Fghoul demande donc une révision de la loi de 1999. Si elle avait été réellement appliquée, il n'y aurait plus de chiens de catégorie 1 en France aujourd'hui, estime-t-elle. Et elle déplore qu'on attaque aujourd'hui sur leur éthique "les refuges SPA, qui ne sont que le dernier maillon de la cha àne".
Tout être vivant a droit au respect et a la liberté !
- naturelle
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Les Humains sont-ils bien 'humains' ?
Nous sommes en droit de nous poser la question.
Cette vidéo nous montre comment les poulets sont tués dans les abattoirs, grace à une caméra cachée. Ils sont souvent ébouillantés vivants et j'en passe.
Vous pouvez visualiser cette vidéo, j'ai rectifié le lien.
http://fr.youtube.com/watch?v=noKhQzqvDDo
Nous sommes en droit de nous poser la question.
Cette vidéo nous montre comment les poulets sont tués dans les abattoirs, grace à une caméra cachée. Ils sont souvent ébouillantés vivants et j'en passe.
Vous pouvez visualiser cette vidéo, j'ai rectifié le lien.
http://fr.youtube.com/watch?v=noKhQzqvDDo
Modifié en dernier par naturelle le 11 mars 2008 17:20, modifié 2 fois.
Tout être vivant a droit au respect et a la liberté !
Pourriez vous faire une notice résumant le contenu de la vidéo? Il y a des utilisateurs de ce forum qui ne peuvent pas les lire.
Le réglement proscrit les liens sans explication.
http://interaldys.com/forum/topic3226.html
merci d'en tenir compte
La modération
Le réglement proscrit les liens sans explication.
http://interaldys.com/forum/topic3226.html
merci d'en tenir compte
La modération
- naturelle
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- Enregistré le : 18 juillet 2007 02:59
- Localisation : Touraine
Le Canada autorise la chasse de 275.000 phoques cette année
2008-03-10
OTTAWA (Source vérifiée)
Le Canada a autorisé lundi l'abattage de 275.000 phoques cette année, tout en adoptant une réglementation pour limiter les souffrances des mammifères pendant cette chasse annuelle qui suscite régulièrement des protestations des défenseurs des animaux.
Le ministère des Pêches a annoncé dans un communiqué que le "total admissible de captures (TAC) des phoques du Groenland pour 2008 a été établi à 275.000, sur un troupeau de plus de 5,5 millions".
Ce chiffre est supérieur au quota de l'an dernier, qui était de 270.000 phoques, mais il comprend un "report" de quelque 16.000 animaux pour les flotilles qui n'avaient pas atteint leur quota l'an dernier, précise-t-il.
Des organisations de défense des animaux, les Humane society du Canada et des Etats-Unis, ont aussitôt dénoncé ce quota qu'elles ont qualifié de "déraisonnable", reprochant à Ottawa de "céder aux intérêts commerciaux, sans le moindre souci de conservation" de l'espèce.
"Il est temps de mettre fin une fois pour toutes à ce massacre inutile", a déclaré Rebecca Aldworth, responsable de la branche canadienne de l'organisation.
Le ministère des Pêches a en même temps annoncé avoir accepté les recommandations d'un groupe international de vétérinaires préconisant une "méthode d'abattage sans cruauté en trois étapes".
Cette procédure sera mise en vigueur lors de la chasse de cette année, qui doit commencer dans les prochaines semaines, a précisé un porte-parole du ministère, Phil Jenkins.
Cette méthode prévoit qu'après avoir assommé le phoque avec un gourdin ou lui avoir tiré dessus, le chasseur confirme la perte de conscience en palpant le crâne ou en vérifiant l'existence d'un réflexe de la cornée, et enfin saigne l'animal en tranchant deux artères principales.
"Cela assure sans le moindre doute que le phoque est mort avant qu'il ne soit écorché", a expliqué M. Jenkins à l'AFP.
Cette mesure intervient alors que l'Union européenne envisage d'interdire l'importation et le commerce de produits issus de la chasse commerciale aux phoques pratiquée au Canada. La Belgique et les Pays-Bas notamment ont déj à décrété des interdictions, et l'Allemagne s'apprête à le faire.
M. Jenkins a affirmé que la mesure n'était pas liée à la crainte d'une interdiction des produits dérivés du phoque, notamment en Europe. "Nous travaillons l à -dessus depuis 2005. Nous avons commencé avant les menaces d'interdictions", a-t-il dit.
Il a noté qu'un récent rapport de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) portant sur l'abattage des phoques, se prononçait aussi pour la méthode en trois étapes.
La chasse aux phoques est régulièrement dénoncée pour sa cruauté par des organisations de défense des droits des animaux ainsi que par des vedettes comme l'ex-actrice française Brigitte Bardot, ou l'ex-Beatle Paul McCartney qui s'était rendu sur la banquise il y a deux ans.
Le ministre Hearn a défendu la chasse en faisant valoir qu'elle constitue "un pilier économique pour de nombreuses collectivités côtières du Canada atlantique, du Québec et du Nord"
"C'est en pensant à ces gens que nous prenons nos décisions, sur la base des données scientifiques, afin de maintenir une chasse au phoque rentable et durable", a-t-il ajouté.
Il doit annoncer prochainement les dates d'ouverture de la chasse. Celle-ci commence traditionnellement à la fin mars dans le sud du Golfe du Saint-Laurent et se poursuit en avril au large de Terre-Neuve et du Labrador.
2008-03-10
OTTAWA (Source vérifiée)
Le Canada a autorisé lundi l'abattage de 275.000 phoques cette année, tout en adoptant une réglementation pour limiter les souffrances des mammifères pendant cette chasse annuelle qui suscite régulièrement des protestations des défenseurs des animaux.
Le ministère des Pêches a annoncé dans un communiqué que le "total admissible de captures (TAC) des phoques du Groenland pour 2008 a été établi à 275.000, sur un troupeau de plus de 5,5 millions".
Ce chiffre est supérieur au quota de l'an dernier, qui était de 270.000 phoques, mais il comprend un "report" de quelque 16.000 animaux pour les flotilles qui n'avaient pas atteint leur quota l'an dernier, précise-t-il.
Des organisations de défense des animaux, les Humane society du Canada et des Etats-Unis, ont aussitôt dénoncé ce quota qu'elles ont qualifié de "déraisonnable", reprochant à Ottawa de "céder aux intérêts commerciaux, sans le moindre souci de conservation" de l'espèce.
"Il est temps de mettre fin une fois pour toutes à ce massacre inutile", a déclaré Rebecca Aldworth, responsable de la branche canadienne de l'organisation.
Le ministère des Pêches a en même temps annoncé avoir accepté les recommandations d'un groupe international de vétérinaires préconisant une "méthode d'abattage sans cruauté en trois étapes".
Cette procédure sera mise en vigueur lors de la chasse de cette année, qui doit commencer dans les prochaines semaines, a précisé un porte-parole du ministère, Phil Jenkins.
Cette méthode prévoit qu'après avoir assommé le phoque avec un gourdin ou lui avoir tiré dessus, le chasseur confirme la perte de conscience en palpant le crâne ou en vérifiant l'existence d'un réflexe de la cornée, et enfin saigne l'animal en tranchant deux artères principales.
"Cela assure sans le moindre doute que le phoque est mort avant qu'il ne soit écorché", a expliqué M. Jenkins à l'AFP.
Cette mesure intervient alors que l'Union européenne envisage d'interdire l'importation et le commerce de produits issus de la chasse commerciale aux phoques pratiquée au Canada. La Belgique et les Pays-Bas notamment ont déj à décrété des interdictions, et l'Allemagne s'apprête à le faire.
M. Jenkins a affirmé que la mesure n'était pas liée à la crainte d'une interdiction des produits dérivés du phoque, notamment en Europe. "Nous travaillons l à -dessus depuis 2005. Nous avons commencé avant les menaces d'interdictions", a-t-il dit.
Il a noté qu'un récent rapport de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) portant sur l'abattage des phoques, se prononçait aussi pour la méthode en trois étapes.
La chasse aux phoques est régulièrement dénoncée pour sa cruauté par des organisations de défense des droits des animaux ainsi que par des vedettes comme l'ex-actrice française Brigitte Bardot, ou l'ex-Beatle Paul McCartney qui s'était rendu sur la banquise il y a deux ans.
Le ministre Hearn a défendu la chasse en faisant valoir qu'elle constitue "un pilier économique pour de nombreuses collectivités côtières du Canada atlantique, du Québec et du Nord"
"C'est en pensant à ces gens que nous prenons nos décisions, sur la base des données scientifiques, afin de maintenir une chasse au phoque rentable et durable", a-t-il ajouté.
Il doit annoncer prochainement les dates d'ouverture de la chasse. Celle-ci commence traditionnellement à la fin mars dans le sud du Golfe du Saint-Laurent et se poursuit en avril au large de Terre-Neuve et du Labrador.
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Je m'excuse, il devait y avoir une petite erreur de copie, j'ai rectifié.Cave canem a écrit :Pourriez vous faire une notice résumant le contenu de la vidéo? Il y a des utilisateurs de ce forum qui ne peuvent pas les lire.
Le réglement proscrit les liens sans explication.
http://interaldys.com/forum/topic3226.html
merci d'en tenir compte
La modération
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