Fonck1 a écrit : ↑18 août 2025 12:06
Kelenner a écrit : ↑18 août 2025 01:02
Le vrai scandale, ce sont les travaux facturés minimum le double du prix normal par les boites privées qui se gavent d’argent public. Après, faut pas être trop naïf, au delà des « procédures « on parle surtout copinage et corruption.
je ne pense pas qu'il y en ait, ou alors très peu.
par contre la normalisation, à juste titre, impose parfois de tels coups.
Que dirait-on si demain, une école prenait feu à cause d'un mobilier en pin hautement inflammable et qui a causé la mort de plusieurs gamins, je parle d'une école, mais ça peut être un hôpital ou une mairie.
en 2025 ce serait une honte absolue et inacceptable.
le choix de couts moins cher, c'est une meilleure formation des agents chargé des commandes (domaine de la sécurité et de l'incendie) , de plus de flexibilité à normes égales, un enseignants chercheur me disait, "si demain, on filait une prime de 10%, de la différence de cout gagné par un agent public entre un achat au marché et un achat pas au marché, à normes égales on ferait des milliards d'économie" et il a 100% raison.
certes , mais ce n'est pas facile , en particulier dans le cas d'une intercommunalité ,il faut rappeler que l'état ne donne plus de subventions au petites structures ,,, c'est ainsi qu'on se retrouve avec des "machins" ,qui fonctionnent au catalogue d'agréés
alors ,on fait des réunions et on ouvre le catalogue ,, l'essentiel est que les comptes soient carrés ,,, la notion de "moins cher" n'est pas de mise ,sans oublier que ça doit passer au percepteur
En plus ,,, vu que l'administration est considérée comme mauvais payeur ,, les fournisseurs ne se bousculent pas