UBUROI a écrit :C'est quoi ce truc que tu dis sans lien :vivarais a écrit :
la justice a rejeté la demande du juge d'examen psychiatrique
heureusement qu'un juge aujourd'hui ne puisse plus faire n'importe quoi autrement on se retrouverait comme pour une affaire de pédophilie où 15 innocents ont été emprisonnés un s'est suicidé et les 14 autres ont eu leur vie sociale detruite
marine respecte la justice et a dit qu'elle se rendrait à la convocation du juge malgré que la procédure n'ait pas été respectée
la levée de l'immunité parlementaire (pour la même affaire Gilbert Collard a vu son immunité parlementaire levée et jugée et condamné à 1000 euros dans un delai tres bref)
meme affaire et pourquoi tant de lenteur pour MLP ?
le juge a du être déstabilisé qu'elle accepte de venir et donc a rajouté l'examen psychiatrique
même si la loi le permet , est ce pour autant qu'il soit nécessaire surtout pour un cas pareil
n'importe qui de bonne foi reconnaitra que cela est ubuesque
tout comme est ubuesque votre manière n'insister sur la choseC'est du charabia ton machin!la justice a rejeté la demande du juge d'examen psychiatrique
Pour faire plaisir à notre accrochttps://www.liberation.fr/france/2018/0 ... le_1680021Pourquoi l'expertise psychiatrique de Marine Le Pen est parfaitement normale
Par Frantz Durupt — 20 septembre 2018 à 12:29 (mis à jour à 14:59)
Marine Le Pen le 16 septembre à Fréjus, dans le Var. Photo Yann Coatsaliou. AFP
La présidente du Rassemblement national s'étonne de faire l'objet d'une expertise psychiatrique dans le cadre de la procédure qui la vise pour avoir posté des images d'exécutions de l'Etat islamique sur Twitter. Cette expertise est pourtant rendue obligatoire par la loi dans les affaires de ce type.
Pourquoi l'expertise psychiatrique de Marine Le Pen est parfaitement normale
«C’est proprement HALLUCINANT. Ce régime commence VRAIMENT à faire peur.» La personne qui a posté ce tweet ce jeudi matin n’est autre que Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national (ex-FN), choquée que la justice ait ordonné qu’elle fasse l’objet examen psychiatrique. «Je croyais avoir eu droit à tout : eh bien non ! Pour avoir dénoncé les horreurs de Daech par tweets, la "justice" me soumet à une expertise psychiatrique ! Jusqu’où vont-ils aller ?!» s’est-elle aussi exclamée par écrit, concluant par un emoticône dont la tête explose.
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inRead invented by Teads
En effet, cette expertise est demandée par le parquet de Nanterre dans le cadre de la procédure pénale visant Marine Le Pen après qu’elle a posté, en décembre 2015, des clichés d’exécutions commises par l’Etat islamique sur son compte Twitter. Elle a été mise en examen pour «diffusion de message violent, pornographique ou contraire à la dignité accessible à un mineur».
À lire aussi Photos trash de Daech : Marine Le Pen perd la tête sur Twitter
L’examen vise notamment à vérifier «si elle est en mesure de comprendre les propos et de répondre aux questions» et si «l’infraction reprochée au sujet est en relation avec des éléments factuels ou biographiques de l’intéressé». Devant la presse, à l'Assemblée nationale, Marine Le Pen a assuré qu'elle ne s'y soumettrait pas : «J’attends de voir comment le magistrat entend m’y contraindre.» En pratique, selon une avocate pénaliste contactée par Libération, elle ne risquera rien à ne pas s'y rendre.
La justice veut-elle empêcher Marine Le Pen de «dénoncer les horreurs de Daech» ? C’est ce que semble lui reprocher la dirigeante du RN, qui voit derrière cette décision la main du «régime» Macron. Elle a reçu le soutien de plusieurs personnalités de son parti, mais aussi du ministre italien de l'Intérieur, Matteo Salvini. Le leader d'extrême-droite a écrit «ne pas avoir de mots».
L’un de ses plus virulents opposants politiques, Jean-Luc Mélenchon, s’est aussi élevé contre cet examen psychiatrique, en dénonçant «la psychiatrisation de la décision politique». «Madame Le Pen est politiquement responsable de ses actes politiques. Tous les moyens ne sont ni bons ni acceptables pour la combattre. Ce n’est pas avec des méthodes pareilles qu’on fera reculer l’extrême droite», estime celui qui avait qualifié Marine Le Pen de «semi-démente» en 2012.
Une expertise obligatoire selon la loi
Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon semblent tous deux méconnaître la loi. L’expertise psychiatrique de l’ancienne candidate à l’élection présidentielle est en effet inscrite dans le code de procédure pénale, ont relevé des avocats sur Twitter. C’est écrit dans sa partie consacrée à la procédure applicable «aux infractions de nature sexuelle et de la protection des mineurs victimes» :
«Les personnes poursuivies pour l’une des infractions mentionnées à l’article 706-47 doivent être soumises, avant tout jugement au fond, à une expertise médicale. L’expert est interrogé sur l’opportunité d’une injonction de soins dans le cadre d’un suivi socio-judiciaire.»
L'article 706-47 du code de procédure pénale renvoie lui-même à l'article 227-24 du code pénal, où figurent les faits pour lesquels Marine Le Pen est poursuivie – ils peuvent lui valoir trois ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende.
Une «psychiatrisation» contestée
Cette expertise psychiatrique, bien qu'obligatoire, est-elle pour autant pertinente dans le cas présent ? Une magistrate a souligné que «nous sommes nombreux, magistrats et pas seulement, à dénoncer la tendance lourde à vouloir absolument "psychiatriser" certaines infractions. Parce que lorsqu’on ordonne une telle expertise pour un tweet d’une personne dont on n’a effectivement aucune raison d’imaginer qu’elle a une pathologie psy et ne soit pas responsable pénalement (racisme et indécence ne sont en effet pas une pathologie pénale), figurez-vous qu’en parallèle on fait face à une pénurie d’experts psychiatres, de sorte qu’on n’en ordonne pas pour beaucoup de justiciables pour lesquels une telle expertise serait pourtant pertinente.»
Après que plusieurs médias ont souligné l'automaticité de la procédure dont elle faisait l'objet, Marine Le Pen a rétorqué qu'«au regard du contexte politique des tweets, [il] est absolument aberrant» d’avoir, comme l’a fait le parquet, visé des articles relatifs à la «mise en péril des mineurs».
il vous faut suivre l'actualité au jour le jour
c'est comme pour l'hubris c'était ce matin à 11 h sur LCP
Il ne sufit pas de prendre une info lorsqu'elle parait , il faut par la suite la suivre
c'est comme le secours populaire à hayange au 10 rue jean jaures
par acquit de conscience je suis allé voir au 10 rue jean jaures lors de ma visite à la féte du cochon
je confirme c'est bien les resto du coeur