J'ai dit que ça n'était pas un assassinat ? On peut très bien tabasser un mec, lui faire prendre de force des somnifères et le coller dans le pauvre étang peu profond où il avait l'habitude d'aller.
Mesoke a écrit : ↑16 septembre 2024 14:30J'ai dit que ça n'était pas un assassinat ? On peut très bien tabasser un mec, lui faire prendre de force des somnifères et le coller dans le pauvre étang peu profond où il avait l'habitude d'aller.
J'ai juste dit qu'on peut se noyer dans 30cm d'eau si on est bourré de somnifère, je n'ai même pas parlé de qui lui avait filé ces cachetons, des raisons, des complots et compagnie. Juste qu'on peut se noyer quand on est drogué.
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Et voilà les premiers actes de procéduresTiens, toi qui adore Pasqua...tu sauras qu'une juge a rouvert le dossier Boulin. Sacrée droite!
Sacrée droite et sacré Guéant. Toujours fourré dans les mauvais coups.L'ancien ministre Claude Guéant et l'ancien député (RPR) Gaston Flosse ont été entendus comme témoins le 10 janvier par la juge d'instruction à propos de la mort en 1979 de Robert Boulin, alors ministre du Travail,
Des vrais gaullistes!https://www.francetvinfo.fr/faits-diver ... 24373.htmlL'ancien ministre Claude Guéant a été entendu comme témoin le 10 janvier dernier par la juge d'instruction à propos de la mort en 1979 de Robert Boulin, alors ministre du Travail, selon les informations de France Inter, dévoilées lundi 20 janvier. Le corps de Robert Boulin avait été retrouvé le 30 octobre 1979, en partie immergé dans un étang de la forêt de Rambouillet, dans les Yvelines.
: à lire aussi Affaire Robert Boulin : plus de 40 ans après la mort du ministre du Travail, un nouveau témoignage relance l'enquête
Toujours selon les informations récoltées par France Inter, les déclarations de Claude Guéant à la juge d'instruction confirment les incohérences dans la version officielle de sa mort, celle d'un suicide. Une thèse remise en cause par la famille qui affirme qu'il a été assassiné.
En 1979, au moment des faits, Robert Boulin (RPR) venait d'être mis en cause pour les conditions dans lesquelles il avait acheté un terrain à Ramatuelle, dans le Var, ce dont il s'apprêtait à se défendre. L'enquête a été rouverte en 2015, après une nouvelle plainte de Fabienne Boulin-Burgeat, fille de Robert Boulin.
Une déclaration "incompatible"
Le 30 octobre 1979, Claude Guéant, 34 ans, était conseiller technique au ministère de l'Intérieur. Devant la juge d'instruction, il s'est souvenu du moment où une réunion a été organisée d'urgence au ministère de l'Intérieur, vers 8 heures. "Dans mon souvenir, le ministre nous informait de la découverte du corps (de Robert Boulin) cette nuit-là", a déclaré Claude Guéant. Ce nouveau témoignage met, lui aussi, à mal la version officielle, constate Marie Dosé, avocate de Fabienne Boulin-Burgeat, auprès de France Inter.
"Les procès-verbaux de l'époque versés au dossier affirment que la découverte du corps de Robert Boulin est effective à 8h40 du matin et qu'à 8h35, on découvre son véhicule ; ce qui est absolument incompatible avec le fait que le ministère de l'Intérieur, lui, est informé de la découverte du cadavre de Robert Boulin dans la nuit", rappelle l'avocate, qui demandait depuis 2015, date de la réouverture du dossier, l'audition de Claude Guéant par la justice.
Une autre figure du RPR convoquée par la justice
Gaston Flosse, autre figure du RPR et député au moment des faits, a également été convoqué récemment par la justice dans cette affaire, rapporte France Inter. Le proche de Jacques Chirac et de Charles Pasqua est le dernier à avoir vu Robert Boulin vivant dans son ministère. Un homme qui n'avait pas du tout l'air préoccupé, s'est souvenu Gaston Flosse. "La thèse du suicide, en moi-même, je n'y ai pas cru", a admis cette autre figure de la droite face à la juge d'instruction, faisant part de sa perplexité. "J'ai été très étonné", a-t-il dit, "de ne pas avoir été convoqué ni entendu jusqu'à aujourd'hui".
Claude Guéant est aussi jugé depuis le 6 janvier pour une autre affaire, celle des soupçons de financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.
Dans l'affaire Boulin, il s'agit probablement d'un assassinat, sinon, et je suis d'accord avec Mesoke, on peut se noyer dans 50 cm d'eau.
Monsieur Boulin a très bien pu prendre des somnifères à son insu. Ces derniers ont très bien pu être glissé dans un verre de vin, un jus de fruit, etc. Des hommes arrivent très bien à glisser la drogue du violeur dans le verre de leur victime à l'insu de cette dernière, les assassins ont très bien pu faire de même avec le somnifère dans le verre de Monsieur Boulin.
merci d’adopter un autre ton avec vos interlocuteurs, merci.Mesoke a écrit : ↑20 janvier 2025 14:32 Toi pas avoir lire ce que moi avoir écrire.
Mourir dans 50cm d'eau être possible. Mais ça pas empêcher meurtre.
Si tu veux du fait divers sordide sur ce genre des cas :
Un enfant de 9 ans meurt dans 10 cm d'eau dans un parc de loisirs
Un marginal de 67 ans retrouvé mort dans 10 cm d'eau
Ah! ces gaullistes! Une belle mafia«Il avait l’air de tout, sauf d’un suicidé» : Claude Guéant et Gaston Flosse entendus comme témoins dans l’affaire Robert Boulin
L’ex-ministre de l’Intérieur et l’ancien président de la Polynésie française, dernière personne à avoir vu Robert Boulin vivant, ont été entendus le 10 janvier dans le cadre de l’enquête sur la mort, en 1979, du ministre du Travail.
publié le 22 janvier 2025 à 12h37
L’ex-ministre de l’Intérieur Claude Guéant et l’ancien président de la Polynésie française Gaston Flosse ont été entendus comme témoins dans le cadre de l’enquête sur la mort en 1979 de Robert Boulin, a annoncé mardi à l’avocate de la fille de Robert Boulin. L’audition de ces deux figures de la droite française a eu lieu le 10 janvier devant la juge d’instruction du tribunal judiciaire de Versailles (Yvelines) chargée du dossier, explique Me Marie Dosé, confirmant une information de France Inter. «Ils ont été entendus à ma demande», précise le conseil selon qui les déclarations de Claude Guéant «confirment qu’on nous a menti depuis le début sur l’heure de la découverte du cadavre du ministre».
«Ce que dit Guéant», alors conseiller technique au ministère de la place Beauvau, «c’est que le ministre de l’Intérieur [Christophe Bonnet, ndlr] a été informé dans la nuit» du décès, relate l’avocate. Or, poursuit-elle, le corps de Robert Boulin est censé avoir été découvert à 8 h 40 le lendemain de sa mort, selon les procès-verbaux de l’époque. Dernière personne à avoir vu Robert Boulin vivant, Gaston Flosse, 93 ans, a participé à l’audition par visioconférence depuis Papeete (Polynésie française). Ce proche de Jacques Chirac et Charles Pasqua, député au moment des faits, a confirmé avoir rencontré Robert Boulin à son ministère l’après-midi du 29 octobre 1979, jour de sa mort. Gaston Flosse a affirmé que le ministre avait «l’air de tout sauf d’un suicidé», rappelle Me Dosé.
Un faux suicide ?
Le corps de Robert Boulin, 59 ans, alors membre du RPR et ministre du Travail du gouvernement de Raymond Barre, avait été retrouvé dans un étang de la forêt de Rambouillet, dans les Yvelines. A l’époque, les enquêteurs ont conclu à un suicide par noyade après ingestion de barbituriques. Le ministre venait d’être mis en cause au sujet des conditions d’acquisition d’un terrain à Ramatuelle (Var). Sa famille conteste cette version et estime qu’il a été assassiné. Une thèse appuyée désormais par plusieurs journalistes et notamment Benoît Collombat de la cellule investigation de Radio France qui travaille depuis une vingtaine d’années sur l’affaire. «Ce que j’ai pu documenter, c’est que, à partir du moment où on a voulu le déstabiliser politiquement avec une affaire bidon de terrain, Robert Boulin menace de donner des informations sur le financement illégal du RPR, sur ses accointances avec la Françafrique, avec l’argent noir qui transite par le Gabon. Et c’est sa réaction qui va causer sa perte selon moi», expliquait-il en octobre dernier à France Bleu.
La famille de Robert Boulin assigne l’Etat pour «faute grave»
L’enquête, qui s’acheminait vers un non-lieu après un avis de fin d’information judiciaire et un réquisitoire du parquet en ce sens, a connu un rebondissement en 2022 après la manifestation spontanée d’un témoin. Ce témoignage a permis d’identifier un homme décédé en 1986 et désigné comme le meurtrier potentiel de Robert Boulin. «Nous avons attendu 10 ans pour que Claude Guéant soit entendu. Gaston Flosse s’est lui-même étonné de ne pas avoir été auditionné une seule fois en 45 ans», déplore Me Dosé. «Je ne peux que regretter que tout ceci arrive aussi tardivement», poursuit l’avocate, inquiète par ailleurs du fait que la magistrate qui instruit le dossier quitte ses fonctions à la fin du mois.
