qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
ben quand quelqu'un propose d'enterrer cette constitution anachronique histoire de remettre un peu le peuple au cœur des décisions, il est taxé de bolchévique donc bon ...
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
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Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
C'est que ta mémoire est pas bonne..NSC a écrit : Jde ne me rapelle pas Sarkozy se soit revendique du Gaullisme.
Déjà membre de l'Union des jeunes pour le progrès (UJP) dès son arrivée à la faculté, Nicolas Sarkozy adhère à l'Union des démocrates pour la République (UDR) en 1974. Il milite dès son entrée pour l'élection de Jacques Chaban-Delmas à la présidence de la République. Devenu délégué départemental des jeunes UDR des Hauts-de-Seine, il participe à ce titre au grand congrès de Nice de juin 1975, destiné à rallier Valéry Giscard d'Estaing aux gaullistes, alors majoritaires au Parlement. Dans son premier discours, prononcé pourtant bien après ceux des ténors du parti, il est longuement ovationné et remarqué entre autres par Charles Pasqua et Jacques Chirac. L'une de ses déclarations marquante est : « Être jeune gaulliste, c'est être révolutionnaire ! ». (Wikipédia)
Lion a écrit :
Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
Je ne vois rien dans ton texte qui dise quíl se revendique du Gaullisme.Lion blanc a écrit : C'est que ta mémoire est pas bonne..
Déjà membre de l'Union des jeunes pour le progrès (UJP) dès son arrivée à la faculté, Nicolas Sarkozy adhère à l'Union des démocrates pour la République (UDR) en 1974. Il milite dès son entrée pour l'élection de Jacques Chaban-Delmas à la présidence de la République. Devenu délégué départemental des jeunes UDR des Hauts-de-Seine, il participe à ce titre au grand congrès de Nice de juin 1975, destiné à rallier Valéry Giscard d'Estaing aux gaullistes, alors majoritaires au Parlement. Dans son premier discours, prononcé pourtant bien après ceux des ténors du parti, il est longuement ovationné et remarqué entre autres par Charles Pasqua et Jacques Chirac. L'une de ses déclarations marquante est : « Être jeune gaulliste, c'est être révolutionnaire ! ». (Wikipédia)
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Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
La gueule de bois te rends aveugle..NSC a écrit : Je ne vois rien dans ton texte qui dise quíl se revendique du Gaullisme.
Lion a écrit :
Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
et ce n'est qu'un exemple parmi d'autre. sans compter un bon nombre de sous fifre umpesque qui eux, s'en revendique ouvertement avec plus ou moins de vérité (souvent moins que plus d'ailleurs).A Colombey-les-Deux-Eglises, Nicolas Sarkozy a rendu hommage ce mardi au général de Gaulle pour le quarantième anniversaire de disparition. Un discours dans lequel il a salué « le sauveur de la France ». Le chef de l’Etat en a également profité pour faire un parallèle constant avec son action : « Le général de Gaulle n’a jamais cessé de vouloir réformer la France » a-t-il déclaré.
Un pupitre avec en arrière plan la croix de Lorraine sur un fond bleu-vert. C’est dans un dispositif qui n’est pas sans rappeler les discours du candidat Sarkozy en 2007, que le chef de l’Etat a rendu hommage au général de Gaulle. A Colombey-les-Deux-Eglises, devant le premier ministre François Fillon, les ministres Michèle Alliot-Marie, Luc Chatel et les parlementaires de la majorité dont Jean-François Copé, Nicolas Sarkozy a salué « l’homme de la France libre ».
« Qui se souvient du 9 novembre 1970, où la France apprit que le général de Gaulle était mort ? Ce fut la stupeur dans tout le pays que l’on soit gaulliste ou non. Depuis le 18 juin 40, il s’était installé comme la figure familière des Français. Les Français avaient soudainement du mal à croire que le général s’en allait à tout jamais. Un an auparavant, les Français l’avaient congédié et maintenant les Français se sentaient un peu coupables » a déclaré le président de la République en préambule.
« Dans beaucoup de moments tragiques, les Français ont vu le général de Gaulle comme un sauveur » a poursuivit Nicolas Sarkozy en égrenant les évènements historiques jusqu’à « mai 1968 quand il fallu mettre fin au désordre et à la violence. Pour beaucoup de Français, il était un recours rassurant. » Ce que lui-même voudrait être ?
Par ce discours et ses inflexions, Nicolas Sarkozy entend se placer dans les pas du général de Gaulle, faisant implicitement référence à sa propre action de chef d’Etat. Sans citer directement son combat pour une régulation de la finance mondiale lors du prochain G20, Nicolas Sarkozy n’en fait pas moins un parallèle avec de Gaulle en se référant à une célèbre petite phrase du général prononcée en 1966. « La Bourse, en 1962, était exagérément bonne, en 1966, elle est exagérément mauvaise, mais vous savez, la politique de la France ne se fait pas à la corbeille.»
Autre point commun Sarkozy/de Gaulle que le chef de l'Etat souhaite mettre en exergue : l’action et la volonté réformatrice : « A aucun moment, le général de Gaulle n'a été enfermé dans le passé. Il a toujours été tourné vers l’avenir. Le général savait que quand rien ne change, c’est le déclin. Le général de Gaulle n’a jamais cessé de vouloir réformer la France » a déclaré Nicolas Sarkozy.
Le chef de l’Etat a ensuite rappelé le rôle de Charles de Gaulle dans l’avènement de la Vème République et sur le rôle du Président : « De Gaulle a voulu que le chef de l’Etat soit désormais le chef du pouvoir, qui nomme réellement le gouvernement, que de lui émane toute décision importante (…) il a le devoir d’agir ». Manière pour Nicolas Sarkozy de légitimer son action et de répondre à ceux qui l’accusent d’ « hyperprésidentialisation » du pouvoir.
Un hommage appuyé en forme d’appropriation de la posture gaulliste. La majorité sur place est conquise et fait une standing ovation à Nicolas Sarkozy. Mais pas sûr que la mayonnaise prenne auprès de l'opinion publique, au moment où le chef de l’Etat continue de plonger dans les sondages. Reste l’ouverture du G20 jeudi où Nicolas Sarkozy tentera d’imprimer sa patte et de faire oublier « les désordres » causés par la réforme des retraites.
une telle mauvaise foi c'est maladif.
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
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Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
Cela fait que depuis 55 ans , tout le monde s'en accommodeJohan a écrit : Le problème avec De Gaulle en tant qu'homme politique, c'est que la Constitution de la 5ème Républiquer telle qu'il la pensée et fait rédigée par Debré, ce n'est pas un Constitutionb pour faire fonctionner un état démocratique sur le long terme. C'est une Constitution prévue pour que De Gaulle ait un maximum de pouvoir, qu'il ait les mains libres pour agir à sa guise.
Je crois pas (à vérifier) qu'il y ait une seule autre démocratie occidentale ou le Président ait autant de pouvoir et le Parlement si peu...
La constitution de la V° république est signe de stabilité .
Même le "grand" Mitterrand ne l'a jamais remise en question ; c'est bien lui qui , parlant de De Gaulle , avait écrit " le coup d'Etat permanent "
De Gaulle s'est-il servi de ses pouvoirs pour rétablir une dictature ? personnellement , je pense que la France est une démocratie
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
Georges Courteline
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Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
je ne suis pas d'accord. la démocratie ne se limite pas à des élections, c'est aussi une représentativité de la part des élus qui est de plus en plus ténue. entre l'abstention toujours plus importante et les coup de poignard dans le dos tel que le référendum sur l’Europe ou les cavaliers législatifs, et autre joyeuseté.VERNON a écrit : De Gaulle s'est-il servi de ses pouvoirs pour rétablir une dictature ? personnellement , je pense que la France est une démocratie
nous sommes encore en démocratie, mais elle commence à avoir du plomb dans l'aile et glisse tout doucement vers une oligarchie (et je suis gentil, parce qu'on est plus près du bas que du haut de la descente).
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
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Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
Si De Gaulle avait eu une longévité phénoménale et ait survécu jusqu'à nos jour.
Ba je pense que le Front National n'aurais pas trop sa raison d'être, le Gaullisme aurait suffit
Ba je pense que le Front National n'aurais pas trop sa raison d'être, le Gaullisme aurait suffit
Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
Nus parlons de Sarkozy alors limitons nous a Sarkozy. Rendre hommage a de Gaulle nést pas faire du Gaullisme. Que cette hommage soit fait devant la croix Lorraine nén fait pas plus du gaullisme et ce nést pas par ce qu'il fait un paralelle entre la volonte reformiste de de Gaulle et la sienne que pour cela il devient gaulliste.coincetabulle a écrit : et ce n'est qu'un exemple parmi d'autre. sans compter un bon nombre de sous fifre umpesque qui eux, s'en revendique ouvertement avec plus ou moins de vérité (souvent moins que plus d'ailleurs).
une telle mauvaise foi c'est maladif.
A aucun moment il n'a clairement dit qu'il se disait Gaulliste. Apres les interpretations des journaliste n'ont de valeur que pour ceux qui les ecoutes.
Dis moi si une fois Sarkozy a dit "je suis gaulliste"
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Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
NSC a écrit : Nus parlons de Sarkozy alors limitons nous a Sarkozy. Rendre hommage a de Gaulle nést pas faire du Gaullisme. Que cette hommage soit fait devant la croix Lorraine nén fait pas plus du gaullisme et ce nést pas par ce qu'il fait un paralelle entre la volonte reformiste de de Gaulle et la sienne que pour cela il devient gaulliste.
A aucun moment il n'a clairement dit qu'il se disait Gaulliste. Apres les interpretations des journaliste n'ont de valeur que pour ceux qui les ecoutes.
Dis moi si une fois Sarkozy a dit "je suis gaulliste"
Il l'a surement dit à Carla..
Lion a écrit :
Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
tu prends vraiment tes interlocuteurs pour des glands NSC.
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Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
Pure speculation mais une fois de plus rien de concret. (specialite de gauchisteLion blanc a écrit :
Il l'a surement dit à Carla..
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Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
En matière de spéculation, et à travers tes interventions, tu en est déjà le roi..NSC a écrit : Pure speculation mais une fois de plus rien de concret. (specialite de gauchiste)
Lion a écrit :
Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
Nicolas Sarkozy a notamment justifié la réforme des retraites... en citant de Gaulle. "Le général de Gaulle n'a jamais reculé devant la nécessité de décider,
"Aidez-moi" : pourquoi Sarkozy reprend une formule gaulliste.
Française, Français, aidez-moi !", lance Charles de Gaulle, ce jour-là, depuis Matignon.
quelques exemple trouvé en vitesse.Reprenant à son compte le refrain gaulliste de la rencontre d’un homme et d’un peuple, l’ancien président de l’UMP a rappelé qu’un candidat ne saurait être l’homme d’un parti. Pour disqualifier tout à fait la primaire, il a ajouté cet argument institutionnel : «Le général de Gaulle a voulu une élection à deux tours, pas à quatre tours».
lorsqu'on invoque sans cesse le personnage, que l'on reprend ses termes etc, il y a clairement une volonté de se présenter en héritier.
les discours politiques ne sont pas fait à la va vite, chaque mot chaque expression est soigneusement étudiée, tu le sais, je le sais tout le monde ici le sait. je ne suis pas tombé de la dernière pluie et toi non plus alors arrête de te faire passer pour plus naïf qu'un gamin de douze ans stp ...
il n'est pas nécessaire de dire "je suis l'héritier de De Gaulle". d'ailleurs, si il avait dis ça, il se serait fait démonter par ses propres soutiens, les vrais gaullistes seraient monté au créneau.
mais les insinuations font mouches sur l'inconscient. ils l'ont parfaitement compris nos élus.
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Re: qui sont les "héritiers" de De Gaulle ??
Article de 2010NSC a écrit :Dis moi si une fois Sarkozy a dit "je suis gaulliste"
Nicolas Sarkozy se revendique du gaullisme pour justifier son action
La France commémore ce mardi le quarantième anniversaire de la mort du général de Gaulle. Nicolas Sarkozy et François Fillon se sont rendus à Colombey-les-deux-Églises pour se recueillir sur la tombe de l'ancien président de la République.
L'héritage du général de Gaulle impose de prendre des décisions difficiles et de précéder les événements, a déclaré Nicolas Sarkozy mardi dans un discours en hommage au fondateur de la Ve République, disparu il y a 40 ans.
Sans citer la réforme des retraites, qu'il devrait promulguer dans les jours à venir après plusieurs mois de contestation sociale, le président de la République a insisté sur le besoin de "méditer sur ce que (de Gaulle) a fait".
"Fidèle à l'histoire de France et constamment tourné vers l'avenir"
"Le général de Gaulle n'a jamais reculé devant la nécessité de décider, quelles qu'aient pu en être les conséquences parfois douloureuses, parce qu'il savait qu'en repoussant trop longtempsla décision, les souffrances seraient plus grandes encore."
Né le 22 novembre 1890 à Lille, le général de Gaulle, chef de la France libre face à l'occupation allemande et au régime de Vichy, président du gouvernement provisoire de la France à la Libération, dernier président du Conseil de la IVe République, fondateur de la Ve dont il fut le premier président de 1959 à1969, est mort à Colombey-les-deux-Eglises le 9 novembre 1970.
L'exécutif et la majorité ont repris à l'occasion du 40e anniversaire de sa disparition la tradition du pèlerinage sur sa tombe, abandonnée depuis 1999 à la demande de la famille.
En fin de matinée, Nicolas Sarkozy s'est rendu sur les trois lieux de mémoire du gaullisme, séparés de quelques centaines de mètres dans la verdure humide de la Haute-Marne: la tombe blanche du général De Gaulle, dans le petit cimetière de
Colombey-les-deux-Eglises ; son bureau de la Boisserie, où le général a rendu son dernier souffle ; la Croix de Lorraine, symbole du gaullisme perché sur une colline.
"Faire ce qu'il y a à faire"
Il était accompagné de personnalités de la majorité, le Premier ministre, François Fillon, le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, et son homologue de l'Education, Luc Chatel, élu local, le président de l'UMP, Xavier Bertrand, et le chef de file des députés UMP, Jean-François Copé.
S'il s'est défendu de savoir ce qu'aurait fait Charles de Gaulle aujourd'hui, Nicolas Sarkozy, devant un public souvent en âge d'avoir connu le général, a dit assumer les devoirs qu'impliquaient les institutions pensées par de Gaulle.
"Il a voulu, le général de Gaulle, que le chef de l'Etat assumât le destin du pays, qu'il fixe les grandes priorités et qu'il prenne les grandes décisions qui préparent l'avenir", a dit le président de la République.
"Dans notre pays, dire ce qu'il y a à dire, ça, ça va, c'est facile. Faire ce qu'il y a à faire, voilà la première leçon du général de Gaulle", a-t-il insisté.
"Accomplir ce qu'exige l'intérêt national et pour cela chercher inlassablement, au milieu des intérêts contradictoires et légitimes, la voie de l'efficacité et de la justice. Ces préceptes du général de Gaulle sont d'une actualité absolument brûlante."
Citant l'homme du 18 juin 1940, Nicolas Sarkozy a justifié l'omniprésence qui lui a valu le surnom d'"hyperprésident": "Si la France m'a appelé à lui servir de guide, ce n'est certes pas pour présider à son sommeil".
Des problèmes plus complexes aujourd'hui
Le président français a toutefois estimé que les problèmes auxquels il était lui-même confronté étaient plus "complexes" que ceux auxquels a dû faire face le général de Gaulle.
"Ils se sont trouvés face à des événements absolument considérables qui étaient à la fois beaucoup plus difficiles que ceux que nous connaissons aujourd'hui, à affronter moralement, mais peut-être moins complexes dans l'analyse des sentiments de ce qu'il convient de faire dans le monde du XXIe siècle où il faut réinventer tant de choses", a-t-il dit après son discours.
