Jarod1 a écrit : Pitin, ça me rappelle qu'une fois, je ne pouvais tellement plus bouger que j'étais également incapable de sortir des chiottes chez une copine.
Et le pire, c'est que les chiottes étaient bouchés, je t'explique pas l'horreur.
Ah, on fait des trucs bizarre des fois.
Mais c'était juste que j'avais trop tiré sur un bong après avoir bu 25 whisky (-coca à l'époque, j'étais jeun's).
Comme quoi, même sans drogues dures...
on dirait un film avec Ben StillerJarod1 a écrit : Pitin, ça me rappelle qu'une fois, je ne pouvais tellement plus bouger que j'étais également incapable de sortir des chiottes chez une copine.
Et le pire, c'est que les chiottes étaient bouchés, je t'explique pas l'horreur.
Ah, on fait des trucs bizarre des fois.
Mais c'était juste que j'avais trop tiré sur un bong après avoir bu 25 whisky (-coca à l'époque, j'étais jeun's).
Comme quoi, même sans drogues dures...
Non, non, c'était Rue Paradis, une des plus chics d'ici, vieil immeuble, hauts plafonds, salle à manger immense. Et de la merde jusqu'à ras-bord. Quelle marrade. Les autres aussi se marraient bien, de temps en temps la porte des chiottes s'ouvrait et je voyais une tête hilare, et hop, la porte se refermait, un peu comme dans un cauchemar.Fonck1 a écrit :
te plains pas,c'était pas de chiots de gala étudiants
si t'as un problème avec la modération ici,tu t'exprimes en messagerie privée,pas la peine de continuer à pourrir le forum,quand on dit stop,c'est stop.avrilou a écrit : Tiens tiens après 2 pages de délire, soudain on rigole plus...
Alors pour en revenir au sérieux du sujet puisque l'humour est réservé à certains,
inoffensif?avrilou a écrit : Rien ne vaut un p'tit spliff tranquilou et inoffensif!
Le cannabis diminue les capacités de mémorisation et d’apprentissage, mais une prise peut également donner lieu à des symptômes psychiatriques : hallucinations ; troubles anxieux très intenses. Une consommation soutenue peut conduire à un désintérêt pour les activités habituelles, à une fatigue physique et intellectuelle, à des difficultés de concentration et de mémorisation et à une humeur dépressive [1].
À un niveau de consommation élevé, apparaît le risque de dépendance – psychique surtout – et peuvent survenir des problèmes relationnels, scolaires et professionnels. L’usage régulier de cannabis peut, par ailleurs, accompagner ou aggraver l’apparition de troubles psychiatriques [2].
