3La réplique du Rassemblement national ? Immédiate. Tout le week-end, ses cadres ont réagi. Les médias de Vincent Bolloré - CNews, Europe 1 - ont mis en scène cet affrontement : un chanteur bourgeois, parisien, qui insulte les Français. Vous suivez la logique : critiquer le RN, ce serait mépriser le peuple. Sébastien Chenu, vice-président du parti : Alain Souchon est un "vieux chanteur" : ses mots sont "déplacés", "déconnectés", "méprisants"."
Et la Dame de Montretout, coincé dans son château, elle est connectée aux problèmes des français, elle ? Surtout qu'elle n'a pas hésité à frauder le Parlement européen pour faire des économies à son parti, et participer à l'enrichissement des élus accusés. Surtout que l'argent européen vient aussi des impôts des français.
Et le Dauphin du RN ? Ce jeunot nourrit à l'argent de papa chaque mois qui lui a évité de travailler pour payer ses études et gagner sa croute, qui n'a pas eu besoin d'économiser son argent pour se payer une voiture, un appartement et un voyage aux USA.
Parce que Alain Souchon, malgré qu'il soit issu d'une famille aisée, a connu les difficultés financières suite au décès de son père quant il a eu 14 ans, et les petits boulots qu'il a dû effectué pour gagner sa vie.
"Élève distrait et rêveur, il a des résultats scolaires calamiteux, si bien qu'il est envoyé à l'âge de quinze ans en pension dans l'école d'horlogerie de Cluses en Haute-Savoie (actuellement lycée Charles-Poncet) où son frère aîné, professeur d'anglais, est aussi guide de montagne.[réf. souhaitée] La famille connaît alors des difficultés financières et sa mère doit gagner sa vie en écrivant des romans sentimentaux. Ne s'intégrant pas au milieu des autres élèves, il se réfugie dans la poésie et finit par se faire renvoyer pour indiscipline. En 1961, sa mère l'envoie dans un lycée français en Angleterre mais arrivé sur place, il se rend compte que sa famille n'a pas les moyens de payer les frais d'inscription[7]. Il convainc alors sa mère de lui permettre de passer le bac par correspondance et reste à Londres où il vit de petits boulots pendant dix-huit mois. C'est notamment en travaillant dans un pub qu'il développe son goût pour la chanson populaire.[réf. souhaitée] Il est surnommé le Frenchman.[réf. nécessaire] Certaines de ses rencontres lui donnent l'occasion de faire découvrir la chanson française (Georges Brassens, Léo Ferré, Jacques Brel, Guy Béart...) et lui permettent d'écouter le répertoire anglo-saxon. Il évoque ce passage de sa vie dans Londres sur Tamise sur l'album J'ai dix ans, ainsi que dans la chanson Jamais content. Il passe trois fois son baccalauréat par correspondance sans l'obtenir[6].
En 1971, il est membre de la Sacem (photo d'identité).
De retour en France, il enchaîne les petits boulots et se produit dans des salles parisiennes pour tenter sa chance dans la chanson. En mai 1968, il décide de quitter Paris. À son retour, il rencontre Françoise Villechevrolle qu'il épouse le 20 novembre 1971[8], et qu'il surnomme Belote (prononcé « Bélote », dérivé de belle). En 1972, il a un fils, Pierre Souchon, qui formera plus tard le groupe Les Cherche Midi avec Julien Voulzy, fils de Laurent Voulzy. La même année, trois 45 tours sont publiés chez Pathé Marconi, mais sont des échecs".
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Souchon
Alors, le chanteur n'a pas de leçon à savoir sur ce qu'est la vraie vie, vu qu'il l'a connu. Sa notoriété, il la doit à son travail et à ses rêves, et non à des selfies.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells