« Seule l’AfD peut sauver l’Allemagne »,

[gare au gorille]

Je partage la vision qu'essayait de nous donner le Général De Gaulle de la France. Je suis issu de l'immigration mais j'ai été élevé avec l'idée d'appartenir à un grand pays qui est la France, d'être l'héritier d'un long passé, d'une longue histoire et je suis atterré de voir le renoncement de nos dirigeants actuels. La souveraineté de la France c'est le pouvoir de décider de nos lois, de notre politique, de nos orientations. Il est important de ne pas être un pays qui se referme sur lui même, et justement le Général n'a jamais fait que de l'ouvrir, de faire des alliances, des partenariats, pour autant il a toujours défendu farouchement la souveraineté de la France, il a toujours eu la volonté de ne pas laisser à d'autres le soin de décider pour nous. Il est aujourd'hui difficile d'agir pour un gouvernement tant le réel pouvoir a quitté la France pour s'établir à Bruxelles. Si tout cela nous avait pleinement profité je serais moins euros-septique mais le constat est désastreux dans tous le domaines et je continue à penser que la France est un grand pays qui mérite autre chose qu'être livrée au pouvoir d'une Commission Européenne technocratique qui nous paralyse et réduit à l'impuissance nos dirigeants politiques.

Le général de Gaulle est mort en 1969, il y a 56 ans. La géopolitique a changé un peu depuis.
- décider de nos lois ? Bien sûr c'est le cas. De nos politiques ? Bien sûr. Je vous ai fait remarquer que d'autres pays que le notre se sont mieux débrouillés bien qu'à l'intérieur de l'UE. Pour quelles raisons selon vous ? Peut être parce qu'en interne ils n'ont pas mené la même politique.
- un grand pays ? Oui dans l'histoire. Aujourd'hui nous sommes un nain comparé aux USA ou à la Chine. Par contre nous luttons dans la même catégorie avec l'UE.
- réel pouvoir ? Ou situez vous le pouvoir ?: le budget de l'état c'est nous, le social c'est nous, le régalien ( éducation, armée police ..) c'est nous....
Je crois que répéter souveraineté ne vous ouvre pas de perspectives claires sur ce que ce mot signifie.
L'UE trop technocratique ? Oui, changeons la. Mais ne faisons pas comme si, nous mêmes nous n'en rajoutions pas des couches et des couches. Un exemple les aides aux entreprises: 1200 différentes. Les niches fiscales , 470. Etc..
- impuissance politique ? Oui, mais l'UE n'y est pour rien. Ce n'est pas l'UE qui a voté aux législatives de 2022 et 2024 et fait 3 blocs politiques.

Vous nous expliquez qu'aujourd'hui nous ne sommes un nain comparé au USA, mais nous l'avons toujours été et ça n'empêchait pas la France d'être un pays prospère.
Nous avons trois blocs politiques, mais même avec une imposante majorité Macron n'a rien fait d'important si ce n'est de créer la crise des gilets jaunes par l'injustice d'une politique qui a mis dans la rue des gens qui n'avaient jamais manifesté de leur vie. Bon il n'a aucune volonté politique si ce n'est de brader toujours plus la France mais imaginez une autre personnalité politique à la tête du pays, ou sont donc les manettes qui nous permettraient de protéger nos entreprises, nous n'avons même plus la maitrise du tarif de notre électricité . Quelles lois pouvons nous prendre sur la protection de nos entreprises ou le contrôle de l'immigration qui ne soit empêchées par la Commission de Bruxelles? Regardez la Hongrie qui n'a pas du tout envie de subir le sort de la Belgique ou de la Suède ou même de la France et qui se voit l'objet de toutes les menaces pour refuser d'ouvrir son pays à l'invasion migratoire.
Ou est passée sa souveraineté ??
Ce que j'observe de cette U.E. c'est des couches administratives de plus, une débauche technocratique, un cout de fonctionnement faramineux pour un grand truc qui ne règle aucun problème et n'a de cesse d'en créer pour les citoyens. Encore une fois si j'observais l'abondance et la prospérité pour le pays ma défiance n'aurait aucun fondement, mais la je constate du recul, encore du recul et une U.E. qui ne règle aucun de nos problèmes si ce n'est qu'elle fasse elle même partie de nos problèmes.

[Fonck1]

Faut dire que c’est pas avec les gens de votre parti que ça s’améliore, ni de votre groupe d’ailleurs.
Taux d’absentéisme record, assistants qui ne bossent pas pour l’Europe, le peu de vote comptabilisés disent kon a tout, alors que des lois sont dans l’intérêt de tous les européens bah elles ne passent pas.
Vous plus l’afd ne requièrent évidement pas de sauver l’Allemagne .

[vivarais]

Faut dire que c’est pas avec les gens de votre parti que ça s’améliore, ni de votre groupe d’ailleurs.
Taux d’absentéisme record, assistants qui ne bossent pas pour l’Europe, le peu de vote comptabilisés disent kon a tout, alors que des lois sont dans l’intérêt de tous les européens bah elles ne passent pas.
Vous plus l’afd ne requièrent évidement pas de sauver l’Allemagne .

Toujours dans le leit motiv
Dans 10 mois on le verra pour les municipales ; Si les maires RN sont réélus ou pas et ce dés le premier tour
C'est là que l'on verra si le RN (et par déduction l'AfD) peut améliorer les choses
En Italie après 3 ans (gouvernement le plus long que l'italie ait connu) Melloni a démontré que cette orientation politique pouvait améliorer les choses
Alors comme avant 1981 pou le PS : que vaut l'argument "ils ne sauront pas gouverner et améliorer les choses
Depuis en Allemagne après MERKEL ; comme en Italie avant les gouvernements et le chanceliers n'arrivent pas au but de leur mandat
Donc peut être qu'il ne faudra pas attendre encore tout un mandat pour avoir si l'AfD pourra sauver l'Allemagne
Il n'y a qu'en france que le président désavoué est réélu en front républicain et se maintient au pouvoir de force

[Fonck1]

les maires ne feront rien pour l’Europe ou pour l'afd ça c'est sur.

[papibilou]

Vous nous expliquez qu'aujourd'hui nous ne sommes un nain comparé au USA, mais nous l'avons toujours été et ça n'empêchait pas la France d'être un pays prospère.
Nous avons trois blocs politiques, mais même avec une imposante majorité Macron n'a rien fait d'important si ce n'est de créer la crise des gilets jaunes par l'injustice d'une politique qui a mis dans la rue des gens qui n'avaient jamais manifesté de leur vie. Bon il n'a aucune volonté politique si ce n'est de brader toujours plus la France mais imaginez une autre personnalité politique à la tête du pays, ou sont donc les manettes qui nous permettraient de protéger nos entreprises, nous n'avons même plus la maitrise du tarif de notre électricité . Quelles lois pouvons nous prendre sur la protection de nos entreprises ou le contrôle de l'immigration qui ne soit empêchées par la Commission de Bruxelles? Regardez la Hongrie qui n'a pas du tout envie de subir le sort de la Belgique ou de la Suède ou même de la France et qui se voit l'objet de toutes les menaces pour refuser d'ouvrir son pays à l'invasion migratoire.
Ou est passée sa souveraineté ??
Ce que j'observe de cette U.E. c'est des couches administratives de plus, une débauche technocratique, un cout de fonctionnement faramineux pour un grand truc qui ne règle aucun problème et n'a de cesse d'en créer pour les citoyens. Encore une fois si j'observais l'abondance et la prospérité pour le pays ma défiance n'aurait aucun fondement, mais la je constate du recul, encore du recul et une U.E. qui ne règle aucun de nos problèmes si ce n'est qu'elle fasse elle même partie de nos problèmes.

Tant que l'économie n'a pas été totalement mondialisée, la France pouvait faire illusion, par son histoire.
Que Macron ait commis des erreurs colossales, c'est parfaitement exact. J'ai voté pour lui mais je reconnais qu'il n'a pas été à la hauteur. Et comme ça fait 50 ans que nous n'avons pas de véritables hommes d'état, ça n'a pas amélioré les choses. Mais ça, l'UE n'y est pour rien.
Le coût de l'UE? Très faible si vous comparez au coût de l'administration centrale US. Rajoutons le plan de relance next génération mais le contenu devrait vous satisfaire :
https://next-generation-eu.europa.eu/index_fr
Votre approche de l'UE n'est pas objective car elle ne pondère nullement les défauts de l'organe par ses avantages. Pour moi, l'UE a des défauts qu'il faut corriger mais des avantages qu'il faut accroître et ça nous ne le pourrons qu'en acceptant de reconnaître que la France sans l'UE deviendrait, non, resterait, une toute petite puissance incapable de peser sur le cours de l'histoire du monde.

[Corvo]

Au parlement allemand, les députés déploient des stratagèmes pour tenir l’extrême droite à l’écart

Bien que l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), parti d’extrême droite, soit devenue la deuxième force politique au Bundestag avec près d’un quart des sièges, elle continue de se heurter à un mur politique. Le 21 mai, lors de la première réunion des commissions parlementaires depuis les élections de février, ses candidats ont une nouvelle fois été écartés des postes à responsabilité au sein de l’hémicycle.

Ce blocage, devenu une routine à Berlin, s’appuie sur la conviction largement partagée par les députés que l’AfD est trop radicale pour être traitée comme une formation politique ordinaire. En conséquence, les usages habituels du parlement sont contournés afin de l’empêcher d’accéder à des postes clés.

Traditionnellement, la répartition des présidences de commissions reflète le poids des partis au sein du Bundestag, et les candidats de l’opposition sont normalement approuvés par leurs collègues députés lors d’un vote à bulletin secret. Mais mercredi, les autres formations ont rejeté les six candidatures proposées par l’AfD, bien que celle-ci ait obtenu 20,8 % des voix lors des législatives de février. À titre de comparaison, Die Linke, parti de gauche radicale n’ayant obtenu que 9 %, a obtenu deux présidences.

Les chrétiens-démocrates de centre-droit au pouvoir avaient recommandé aux députés de ne pas soutenir les candidats de l’AfD après que les services de renseignement allemands ont officiellement désigné le parti comme un mouvement d’extrême droite au début du mois.

Dirk Wiese, le whip en chef de leur partenaire de coalition, le Parti social-démocrate (SPD), a déclaré que les précédents présidents de commission de l’AfD avaient nui à l’institution en tenant des « propos inappropriés et incendiaires ».

L’hostilité envers l’AfD remonte à 2017, année de son entrée au Bundestag. Cette année là, le parti avait décidé de présenter Stephan Brandner à la présidence de la commission des Affaires juridiques, malgré ses liens étroits avec la frange extrémiste du parti.

À peine deux ans plus tard, Stephan Brandner est devenu le premier président de commission de l’histoire de l’Allemagne d’après-guerre à être démis de ses fonctions après avoir tenu des propos choquants en ligne sur les mémoriaux dédiés aux victimes d’un attentat terroriste d’extrême droite.

En parallèle, l’AfD s’est aussi vue systématiquement refuser les postes de vice-président du parlement, une pratique comparable à celle en vigueur au Parlement européen, où l’extrême droite est largement tenue à distance des postes stratégiques.


Un consensus qui s’effrite ?
Cependant, il devient de plus en plus difficile de tenir l’extrême droite à l’écart. Depuis les dernières élections, l’AfD a même temporairement pris la tête de certains sondages.

Le consensus centriste qui prévalait jusqu’ici à Berlin commence à se fissurer. Certains responsables de centre-droit, comme Jens Spahn (CDU), ont récemment exprimé leur mécontentement à l’égard de cette stratégie.

Il suggère de « traiter l’AfD comme un parti d’opposition au même titre que n’importe quel autre parti d’opposition en termes de procédures et de processus » et estime que les électeurs qui ont soutenu l’AfD doivent être « pris au sérieux ».

Le poids politique croissant de l’AfD et l’affaiblissement du centre ont également nécessité des solutions de contournements. Par exemple, les chrétiens-démocrates ont été contraints de s’allier à Die Linke afin de réunir une majorité des deux tiers sans avoir à se tourner vers l’AfD au sein du parlement.

Les chrétiens-démocrates, en particulier, craignent que le fait de continuer à exclure l’extrême droite — et de contourner les règles pour y parvenir — ne finisse par profiter à l’AfD en renforçant son image anti-establishment.

Bloquer les candidats de l’AfD aux présidences de commissions leur aurait permis de « conserver leur statut de martyrs », avait averti le mois dernier le chrétien-démocrate Johann Wadephul, aujourd’hui ministre des Affaires étrangères.

https://www.euractiv.fr/section/politic ... -a-lecart/