Pauvre taré, va te faire soigner

Pauvre taré, va te faire soigner
Et votre médiocrité elle s'incruste pas?
Soutenir Erdogan ? Tu plaisantes j'espère !crepenutella a écrit : ↑02 mars 2020 10:35 On n’a pas le choix, il faut soutenir Erdogan. On ne peut pas retenir des centaines de milliers de migrants. C’est lui Erdogan, le seul qui peut tenir le moyen orient. Et nous devrions lui verser tribus pour qu’il ne tourne pas les Yeux de la Sublime Porte vers nous!
Le problème est que l'UE est faible. Et puis, nous faisons partie de l'OTAN, comme la Turquie ! Et malheureusement, la règle veut que quand un pays de l'OTAN est en guerre ou est attaqué, les autres membres doivent lui porter secours et assistances ! Quelle connerie d'avoir réintégrée la France dans l'OTAN !sofasurfer a écrit : ↑02 mars 2020 09:03 Erdogan veut récupérer des territoires en Syrie et il souhaite le soutien de l'UE pour réaliser ses projets. l'UE doit se positionner fermement contre le projet territorial turc et le contraindre a retenir les migrants chez lui...
On ne peut pas commercialement se mettre les USA à dos...après il y aurait bien une autre façon de mener nos intérêts...soutenir Poutine, mais en utilisant aussi nos troupes pour créer une zone tampon en Turquie le long de la frontière bulgare et grecque, et intervenir au Kurdistan pour soutenir une nation kurdes dirigée contre la Turquie pour les calmer...mais pour ça il faudrait s’acheter une paire de couille que l’on a pas...donc vaut mieux payer et regarder les grandes personnes agir.oldeagle a écrit : ↑02 mars 2020 10:46Soutenir Erdogan ? Tu plaisantes j'espère !crepenutella a écrit : ↑02 mars 2020 10:35 On n’a pas le choix, il faut soutenir Erdogan. On ne peut pas retenir des centaines de milliers de migrants. C’est lui Erdogan, le seul qui peut tenir le moyen orient. Et nous devrions lui verser tribus pour qu’il ne tourne pas les Yeux de la Sublime Porte vers nous!
C'est un soutien des terroristes islamistes ! On ne va pas apporter notre aide à un type comme lui !
Erdogan ne tient pas du tout le moyen orient, il est belliqueux. Il se permet de lancer une offensive contre l'armée Syrienne.
Il ouvre les vannes pour nous envoyer les migrants et déstabiliser l'Europe.
Il cherche à adhérer à l'UE pour imposer la charia à tout le continent. Ce type avance masqué...
Non, ce qu'on devrait faire, en revanche, c'est soutenir Poutine !
Pourquoi on ne pourrait pas ? On est déjà sorti de l'OTAN avec de Gaulle. Je ne vois pas ce que cela pourrait nous coûter d'en sortir à nouveau.crepenutella a écrit : ↑02 mars 2020 10:52On ne peut pas commercialement se mettre les USA à dos...après il y aurait bien une autre façon de mener nos intérêts...soutenir Poutine, mais en utilisant aussi nos troupes pour créer une zone tampon en Turquie le long de la frontière bulgare et grecque, et intervenir au Kurdistan pour soutenir une nation kurdes dirigée contre la Turquie pour les calmer...mais pour ça il faudrait s’acheter une paire de couille que l’on a pas...donc vaut mieux payer et regarder les grandes personnes agir.oldeagle a écrit : ↑02 mars 2020 10:46
Soutenir Erdogan ? Tu plaisantes j'espère !
C'est un soutien des terroristes islamistes ! On ne va pas apporter notre aide à un type comme lui !
Erdogan ne tient pas du tout le moyen orient, il est belliqueux. Il se permet de lancer une offensive contre l'armée Syrienne.
Il ouvre les vannes pour nous envoyer les migrants et déstabiliser l'Europe.
Il cherche à adhérer à l'UE pour imposer la charia à tout le continent. Ce type avance masqué...
Non, ce qu'on devrait faire, en revanche, c'est soutenir Poutine !
Source:Le Figaro.«Pleine solidarité avec la Grèce et la Bulgarie, la France est prête à contribuer aux efforts européens pour leur prêter une assistance rapide et protéger les frontières», a souligné le chef de l'État dans un tweet dimanche soir. «Nous devons agir ensemble pour éviter une crise humanitaire et migratoire», a-t-il ajouté.
La commissaire européenne Ursula von der Leyen avait indiqué samedi que l'Union européenne observait avec «préoccupation» l'afflux de migrants sans contrôle depuis la Turquie vers ses frontières orientales, en Grèce et en Bulgarie. «Notre première priorité à ce stade est de veiller à ce que la Grèce et la Bulgarie reçoivent notre plein soutien. Nous sommes prêts à fournir un appui supplémentaire, notamment par l'intermédiaire de Frontex (l'agence européenne de garde-frontières) aux frontières terrestres», avait-elle affirmé dans un tweet.
Les autorités grecques, comme la Bulgarie, ont renforcé la sécurité à leur frontière avec la Turquie après l'annonce par Ankara qu'elle laisserait les demandeurs d'asile passer en Europe. Un haut responsable turc avait déclaré vendredi qu'Ankara n'empêcherait plus les migrants qui essaient de se rendre en Europe de franchir la frontière, peu après la mort d'au moins 33 militaires turcs dans la région d'Idleb (Nord-Ouest de la Syrie) dans des frappes aériennes attribuées par Ankara au régime syrien, soutenu militairement par la Russie.
Le premier ministre bulgare Boïko Borissov, dont le pays est voisin de la Turquie, doit rencontrer lundi à Ankara le président turc Recep Tayyip Erdogan pour discuter de l'aggravation de la situation à Idleb et de l'afflux de migrants aux portes de l'UE.
Alors que plusieurs milliers de migrants se sont rués ce week-end depuis la Turquie vers la frontière grecque, où la plupart ont été stoppés par les forces de l'ordre dépêchées par Athènes, la frontière bulgare n'a connu aucun mouvement comparable.
La Bulgarie entretient des relations diplomatiques et économiques privilégiées avec son voisin turc. Les deux pays partagent plus de 250 kilomètres de frontière le long de laquelle Sofia a fait ériger depuis 2016 une clôture pour bloquer les migrants.
Source:Le Figaro.
De jour comme de nuit, les patrouilles grecques des forces de l’ordre ratissent la frontière terrestre de 212 km qui la sépare de la Turquie. Aidés d’agriculteurs de la région, connaisseurs des moindres recoins, ils tentent de bloquer l’arrivée des milliers de migrants et réfugiés, qui cherchent désespérément un point de passage vers l’Europe. D’anciens hommes-grenouilles ont été rappelés dans la région pour surveiller le fleuve Évros. Il sépare les deux pays mais ses quelques mètres de largeur n’empêchent pas la traversée à la nage.
Selon les autorités, une soixantaine de migrants ont ainsi été reconduits de l’autre côté de la rive. Il n’empêche, ils sont de plus en plus nombreux à tenter ce passage. Dans le Nord, c’est donc l’alerte rouge. «Nous incitons via nos haut-parleurs, les migrants et réfugiés à rebrousser chemin car la frontière est fermée», explique Sotiris, un policier qui use des tirs de gaz lacrymogènes contre tous ceux qui tentent d’escalader ou de ciseler le mur de barbelés.
Plus de 9800 personnes ont été repoussées lundi, et 10.000 la veille. Au même moment, l’armée grecque montre les dents en multipliant des exercices de tirs à balles réelles, non seulement à la frontière Nord, mais également dans les îles situées face à la Turquie. Et dans ces îles, la tension est à son comble.
Au large de Lesbos, le corps d’un enfant sans vie a été repêché au moment ou la barque qui le transportait, avec 46 personnes à son bord, approchait du port de Mytilène. C’est la première victime de cette nouvelle vague migratoire. Un drame, qui a mis entre parenthèses, pendant quelques heures, l’escalade xénophobe qui s’est emparée de certains habitants de cette île de la mer Égée.
L’Union européenne refuse de céder au chantage de la Turquie:
Protestant contre la perspective de revivre la crise de 2015 - lorsque plus d’un million de migrants et réfugiés avaient traversé la Grèce vers le nord de l’Europe - quelques insulaires ont décidé d’agir violemment. Dimanche, certains ont essayé de bloquer l’arrivée d’une barque de 60 migrants et réfugiés, dont bon nombre d’enfants, à son entrée dans le port de Thermi ; pendant que d’autres incendiaient des voitures d’ONG.
Les autorités locales appellent au calme mais peinent à se faire entendre. Depuis quatre jours, une cinquantaine de bateaux, dont des navires de guerre, patrouillent autour des îles afin de repousser les embarcations de fortune. Malgré ce dispositif, près d’un millier de migrants et réfugiés ont pu atteindre les côtes grecques en 48 heures.
Les annonces des autorités turques, qui font état de plus de 150.000 migrants et réfugiés prêt à embarquer, ont poussé le gouvernement de Kyriakos Mitsotakis à parler de «menace asymétrique» contre son pays.
Ainsi, en plus de suspendre pendant un mois toutes les nouvelles demandes d’asile pour ceux qui entrent illégalement dans le pays, le premier ministre grec a fait appel à l’Union européenne, en vertu de l’accord 78-3 du traité européen. Cet après-midi, Ursula von der Leyen, Charles Michel et David Sassoli, les présidents respectifs de la Commission, du Conseil et du Parlement européen, se rendront dans la région de l’Évros. Une visite symboliquement forte, à la frontière extérieure de l’Europe, qui prend pleinement son sens.
Ils devraient ainsi déclencher l’opération Rabit de Frontex, agence européenne de contrôle des frontières, et dépêcher des policiers européens sur tous les points d’entrée en Europe. «Le défi que doit relever la Grèce est un défi européen», a déclaré Ursula von der Leyen en annonçant son déplacement et en confirmant le soutien «entier» des institutions européennes.
La présidente de la Commission européenne a reconnu que la Turquie, qui accueille 3,7 millions de migrants et réfugiés, était «dans une situation difficile, mais ce que nous voyons maintenant ne peut être ni réponse ni solution». L’Union européenne refuse de céder au chantage de la Turquie.
Pour Bruxelles, l’équation est simple: il existe un accord avec la Turquie depuis 2016, il faut donc qu’elle s’y tienne. Il prévoit, moyennant quelque 6 milliards d’euros, la maîtrise du flux migratoire par Ankara, or depuis quelques mois, il semble caduc. «L’Union européenne attend de la Turquie qu’elle respecte cet accord», a ajouté le porte parte d’Angela Merkel, la chancelière allemande. Reste à savoir si l’Union européenne arrivera à se faire entendre par le gouvernement turc.
crepenutella a écrit : ↑02 mars 2020 10:35 On n’a pas le choix, il faut soutenir Erdogan. On ne peut pas retenir des centaines de milliers de migrants. C’est lui Erdogan, le seul qui peut tenir le moyen orient. Et nous devrions lui verser tribus pour qu’il ne tourne pas les Yeux de la Sublime Porte vers nous!