Bizarrement tu affirmes mais sans aucune source , tu en demandes aux autres je vais abréger tu ne signales qu'une cause et bizarrement ce site gouvernementl a écrit ceci La plupart des effets indésirables rapportés durant les essais cliniques sont desMesoke a écrit : ↑25 avril 2023 09:18Tu ingères largement plus d'aluminium en buvant une seule cannette de coca, ou en cuisinant dans une gamelle en alu, qu'en te faisant vacciner. Sachant que boire des cannettes ou cuisiner ça se fait plus souvent que se faire vacciner ...voileux a écrit : ↑25 avril 2023 08:53 Sauf qu'en lisnt ce site oh surprise , que de mensonges...Mon petit neveu est un légume, en cause les sels d'alumine, durée de l(instruction 9 ans apparemment cela ne provoque pas que de srougeurs ,comme c'est décrit , c'est après des poursuites pénales que des experts ont rendu ce verdict Plusieurs centaines d'enfants sont impactés (plus ou moins grave) selon le tribunal Le conseil d’État vient de reconnaître un lien de cause à effet entre l’aluminium utilisé comme adjuvant dans un vaccin contre l’hépatite B et la survenue d’une myofasciite à macrophages chez un agent de la ville de Paris. Actuellement, il n’y sur le marché aucun vaccin sans aluminium.
Moi je veux bien des liens vers tout ce que tu annonces. Parce que le consensus scientifique nous apprend que, justement, les doses d'alu dans les vaccins sont trop ridicules pour poser problème.
L'aluminium vaccinal peut causer une MFM (myofasciite à macrophages). Les macrophages sont des globules blancs qui "avalent" des agents extérieurs pour en débarrasser l'organisme. Ce sont les espèces de grosses grenouilles dans "il était une fois la vie". Du coup des restes d'alu peuvent se coincer au niveau de la piqûre, et des macrophages les "avalent" pendant des mois ou des années, provoquant une cicatrice locale.
Par contre le lien entre aluminium vaccinal et MFM chronique n'est pas scientifiquement établi. Ca c'est quand l'alu ne se ferait pas "avaler" par les macrophages, et migrerait dans le corps, provoquant d'autres problèmes. Seule une équipe française l'étudie, mais sans apporter de preuves fiables de son existence. Ca ressemble à la maladie de Lyme chronique : les symptômes sont des symptômes de stress ou de dépression, genre fatigue, et on colle ça sur une cause externe au lieu de traiter la vraie cause, soit le stress ou la dépression.
Bref je veux bien des sources pour ce que tu affirmes.
effets indésirables d’intensité légère à modérée disparaissant spontanément en
quelques jours. Ils sont communs aux autres types de vaccinations : douleurs au
site d’injection, céphalées, fatigue, myalgies, frissons, arthralgies, fièvre d’intensité
légère à modérée.
D’autres effets d’intensité plus sévère (des réactions d’hypersensibilité par
exemple) ont été rapportés et nécessitent une prise en charge médicale.
Comme lors de la mise à disposition de tout médicament, certains effets
indésirables peuvent être inattendus, car non mentionnés dans le Résumé des
Caractéristiques du Produit (RCP).
Les effets indésirables graves et/ou inattendus doivent être déclarés
immédiatement au Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) dont vous
dépendez afin de faire remonter le plus tôt possible des signaux et alerter les
autorités de santé.
En déclarant les effets indésirables qui ne sont pas encore connus(1) :
vous contribuez à renforcer les connaissances sur les effets indésirables
du vaccin ;
vous permettez aux autorités de santé de prendre au plus tôt les mesures
de réduction du risque nécessaires.
Votre patient(e)
a été vacciné(e)
contre la COVID-19
et vous signale
des symptômes
susceptibles d’être liés
à la vaccination
Pourquoi déclarer les
effets indésirables
graves ou inattendus ?
(1) Pour rappel, les médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes et pharmaciens ont l’obligation de signaler tout effet désirable suspecté d’être dû à un médicament ou produit de santé.
Comment les déclarer ?
Guide professionnels de santé
Suivez-nous sur @ansm ansm.sante.fr DÉCEMBRE 2020
Votre signalement est pris en charge par un professionnel de santé (médecin ou
pharmacien) du CRPV dont vous dépendez, qui pourra être amené à vous recontacter
si nécessaire pour obtenir des informations complémentaires dans le respect du secret
médical.
Tous les signalements sont analysés par le CRPV, puis enregistrés dans la base nationale
de Pharmacovigilance gérée par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des
produits de santé (ANSM). Une analyse des signalements est réalisée au niveau national
mais également au niveau européen avec les autres Etats-membres.
Elle peut mettre en évidence un nouveau risque ou un nouveau signal. Selon sa gravité,
son caractère inhabituel, sa fréquence, les mesures déjà existantes notamment, les
autorités de santé prendront les mesures nécessaires pour réduire ce risque (par
exemple l’ajout de précautions d’emploi, de contre-indications ou la mention du nouvel
effet dans la notice patient) ou le surveilleront de façon plus resserrée.
Comme tu peux le remarquer ici le nombre de cas est important, eux sont médecins , je pense que tu n'es que politisé
Juste pour stigmatiser le ministère de la santé , les effets de l'amiante étaient connus dès 1920 , le ministère français l'a supprimé 15 ans après les ricains en 2015 , à ceci une seule raison la corruption point