papibilou a écrit : ↑20 mai 2023 16:53
Vous n'avez aucune limite.
Comme si on pouvait comparer le traitement des juifs entre 42 et 45 à quoi que ce soit aujourd'hui chez nous. Vous comparez aux limites imposées dans la plupart des pays avancées durant le covid, comme si nous imposer un confinement momentané pouvait avoir quelque chose à voir avec la shoah. Vous déraisonnez totalement. Vous compareriez un vol de pomme avec un hold up sanglant. Confinement covid combien de mort violentes ?
Oui respecter leur mémoire c'est faire en sorte que ça ne se reproduise plus, et pour cela il faut bien se rendre compte de l'horreur que fut cet holocauste. Et c'est exactement l'inverse que vous faites.
Vous banalisez cette horreur. Décidément vos propos montrent à l'évidence que vous n'avez pas saisi ce que fut cette période.
Ce n'est pas du premier degré ces caricatures ? Qu'en savez vous ? Les auteurs sont ils venus vous expliquer le fond de leurs pensées? Ce n'est en fait que le degré zéro de la protestation, le degré zéro de la compréhension d'un des plus grands drames de l'humanité, un mépris à l'égard du peuple juif. Et ce mépris c'est le votre.
C'est vous qui ne comprenez rien , et qui piétinez du reste le ressenti de personnes on ne peut plus concernées par le sujet avec un déluge de bienpensance ... comme vous piétinez allègrement le code de Nuremberg qui interdit l'expérimentation sur l'homme sans consentement libre et éclairé , bien qu'il soit directement issu de cette sale période.
Epargnez moi donc votre indignation de façade , votre esprit est bien trop englué dans une idéologie infâme pour prendre conscience et mesurer la gravité des faits pendant la période covid.
Les covidistes acharnés se sont laissé bourrer le mou et ont accepté qu'une partie de la population soit humiliée et insultée, isolée et discriminée, sanctionnée arbitrairement, restreinte dans sa liberté d'aller et venir, de travailler , de subvenir à ses besoins , de se soigner ... que des scientifiques et médecins soient victimes de cabales et chasses aux sorcières, harcelés, suspendus arbitrairement ... pour avoir soigné leurs patients ou donné un avis scientifique contraire à celui des discours officiels ..... tout cela sous couvert de mensonges grossiers qui remontent à la surface depuis des mois
En cela, ils traduisent la même lâcheté et le même aveuglement volontaire que la masse d'endoctrinés qui ont fermé les yeux en faisant mine de ne rien savoir dans la période sombre que vous ne savez dénoncer que sur sa finalité ; en oubliant qu'un dictateur, quel qu'il soit , ne pourrait pas faire grand chose sans l'assentiment et la collaboration d'une masse de la population
Donc avant de parler de 6 millions de morts , demandez vous comment cela a été possible et pensez à ces millions d'individus manipulés qui ont troqué leurs valeurs morales contre leur petite sécurité et tranquillité , voire qui ont basculé dans la perversion et le sadisme en étant galvanisés par un pouvoir délirant , c'est bien cela le plus dangereux , et c'est bien cette manipulation mentale fondée sur des mensonges qu'on retrouve depuis quelques années dans des pseudo démocraties
Donc non, je ne banalise pas , bien au contraire ; c'est vous qui banalisez ou déniez les faits récents pour vous conforter dans votre idéologie, et pour continuer à vous gargariser de narratifs rassurants.
Vous devriez lire ou relire Hannah Arendt ou Ariane Bilherian pour mieux comprendre les origines du totalitarisme
Depuis l’année 2020, nos libertés, conquises de haute lutte durant des siècles, au prix du sang de nos ancêtres, se sont évaporées en fumée, jusqu’à la survenue de ce « passeport sanitaire », jugé impensable par la majorité des gens il y a quelques mois encore. En m’appuyant sur ma longue expérience professionnelle d’observations des groupes, des institutions et des entreprises, lorsqu’ils se transforment en îlots totalitaires, j’ai diagnostiqué rapidement l’existence d’un délire collectif dont je décrirai la nature aujourd’hui. En avril 2020, bien que certains signes eussent pu paraître insignifiants aux yeux du plus grand nombre, ils étaient suffisants pour caractériser l’entrée dans une psychose paranoïaque collective, en particulier, le déni de réalité, le mensonge, le clivage, la projection [4], l’interprétation, la persécution (ici, d’un virus, ennemi invisible, qui autorise la persécution des individus en tant qu’organismes porteurs d’une multiplicité de virus), la manipulation des masses (terreur, culpabilité et chantage), l’idéologie sanitaire (et la propagande qui la soutient), mais aussi la survenue d’une nouvelle langue pour raconter une « nouvelle normalité » ou une « nouvelle réalité » faisant table rase de l’ancien.
Il est important de nommer que nous avons déjà eu affaire dans un passé pas si lointain que cela, à une idéologie sanitaire de type épidémiologique, avec l’épidémie du typhus, que les nazis prétendaient combattre et éradiquer. C’est bien le déploiement de cette chasse à l’épidémie de typhus qui désigna une catégorie de la population comme en étant porteuse, et la traita comme des parasites propagateurs d’épidémies. L’épidémie de typhus se propageait, car toutes les conditions étaient réunies pour que ce soit le cas (distribution de couvertures infestées de punaises, entassement dans des ghettos insalubres, etc.). Je renvoie aux travaux de l’historien français Johann Chapoutot sur le sujet.
Car si le délire crée une nouvelle réalité pour remplacer l’ancienne (propos de l’idéologie), avec la paranoïa, il faut faire advenir cette nouvelle réalité. Le discours est un oracle performatif : il produit seul la réalité. Il n’y a plus de réflexivité avec l’expérience pour créer un chemin de vérité. La parole délirante est omnipotente et entend bien le démontrer, en marquant la réalité sous le sceau de l’idéologie.
Le meurtre est justifié et justifiable, puisqu’il est désormais permis de transgresser, au nom du Bien Commun.