Comment les "Parents vigilants", créés par Eric Zemmour, mettent sous pression des professeurs

[Crapulax]

Avant il existait ce qui s'appelait des parents d'élèves..Qui pesaient lors des conseils de classes et dans certaines réunions administratives des établissements scolaires....Qu'en est-il aujourd'hui?

[Fonck1]

Avant il existait ce qui s'appelait des parents d'élèves..Qui pesaient lors des conseils de classes et dans certaines réunions administratives des établissements scolaires....Qu'en est-il aujourd'hui?

ben je pense que c'est toujours pareil sauf qu'ils viennent y mêler politique, et imposer leurs idéaux.

[Crapulax]

ben je pense que c'est toujours pareil sauf qu'ils viennent y mêler politique, et imposer leurs idéaux.

Au détriment des élèves.....Comme s'il ne pouvait y avoir consensus pour aller de l'avant....Punaise...L'école et même la FAC politisée..Quel pays de fous parfois.

[Fonck1]

ben je pense que c'est toujours pareil sauf qu'ils viennent y mêler politique, et imposer leurs idéaux.

Au détriment des élèves.....Comme s'il ne pouvait y avoir consensus pour aller de l'avant....Punaise...L'école et même la FAC politisée..Quel pays de fous parfois.

la fac c'est surtout des étudiants en dehors de la fac, et pas toutes les facs, c'est propre aux facs de lettres.

[Victor]

Quand je lis certains commentaires, et applaudissent les actions de ces "Parents vigilants", c'est à se demander s'ils ont lu l'article. Les enseignants se plaignent surtout des menaces et intimidations qu'ils subissent :

"En décembre 2022, Sophie Djigo et sa famille ont vécu six semaines sous protection policière. La professeure de philosophie en classe préparatoire au lycée Watteau de Valenciennes (Nord) est alors au cœur d’une campagne d’intimidation de la part de militants identitaires et d’extrême-droite pour avoir projeté une sortie scolaire avec ses élèves dans un camp de migrants. Sophie Djigo est auteure de plusieurs ouvrages sur les questions migratoires et fondatrice de l’association Migractions 59, deux communiqués de presse du Rassemblement national et de Reconquête l’accusent de faire de la propagande pro-migrants auprès de ses élèves d’hypokhâgne. Sous la pression, le rectorat de Lille annule la sortie, pourtant validée. Au printemps, Éric Zemmour s’en félicitait dans le magazine Causeur. "En novembre dernier, à Valenciennes, nous avons fait annuler une sortie scolaire. Il va falloir qu’ils s’y habituent !"

"Une enquête du parquet de Lille pour menaces de mort et cyberharcèlement est toujours en cours. "J’ai reçu des menaces de viol et de mort par courrier électronique, par courrier, par les réseaux sociaux ou encore par le standard de l'établissement, se souvient Sophie Djigo au micro de franceinfo. Quelqu’un a menacé de me dépecer." Ces pressions sont "largement efficaces", déplore la professeure, qui estime ne pas être un cas isolé. "J'ai reçu depuis beaucoup de messages de collègues dans toute la France, en particulier des enseignants de SVT, d'histoire et de lettres, qui se retrouvent confrontés à des pressions de groupes qui refusent l'enseignement de la théorie du genre, du fait islamique en cours d'histoire, l'enseignement de la Shoah, des mémoires de l'esclavage, de l'histoire coloniale ou de la décolonisation."

"La plupart des collègues avouent avoir renoncé à persévérer et donc s'autocensurent. Ils esquivent certaines parties du programme et sont très prudents au cas où il y aurait des menaces de la part de certains parents d'élèves."

"Sophie Djigo a aujourd’hui accepté d’être mutée dans un autre établissement. Avec d’autres collègues, elle compte lancer une coordination indépendante pour aider d’autres profs dans la même situation. "Chaque semaine, partout en France, des enseignant·e·s sont ciblé ·e ·s pour avoir simplement fait leur travail, peut-on lire dans leur appel consulté par francenfo. Ils et elles se retrouvent taxé·e·s de propagande, jeté·e·s à la vindicte des réseaux sociaux, menacé·e·s jusque dans leur vie personnelle et leur vie tout court. Enseigner la réalité des faits (...) devient une prise de risques, et l’enseignement, un métier dangereux."

Dans le département du Nord, Valérie* a trouvé dans son casier le jour de la rentrée une enveloppe à son nom contenant un tract anti-migrants. "Je n’ai pas envie de vivre avec l’idée que tout d'un coup, on peut voir débarquer tout un tas de personnes qui vont mettre en cause de manière extrêmement violente notre enseignement, notre savoir, explique cette professeur de français. On ne dispense pas nos opinions à l'école. On dispense un savoir appuyé sur des lectures, des faits. Ça crée un phénomène d'autocensure, une crainte latente et parfois même, dans l'institution, le refus d'affronter véritablement ces difficultés.""

Des infirmières scolaires sont également remises en cause sur la question actuellement très clivante de l'éducation à la sexualité, explique Gwenaelle Thenoz du SNIES-Unsa Éducation. À Lyon ou Bordeaux, des parents en colère contre les cours d'éducation à la vie affective et sexuelle (Evas) ont menacé de porter plainte et intimidé des infirmières. "Ils mettent en cause l'éducation à la sexualité alors que les infirmières d'éducation nationale et de l'enseignement supérieur s'investissent énormément dans ces missions. Elles sont bien sûr formées. On n'intervient pas n'importe comment, on s'adapte aux attentes de l'enfant. Ce n'est pas un cours de pornographie. Absolument pas. On répond à leurs questionnements."

"

"Des noms de collègues balancés sur les réseaux sociaux, on sait jusqu’où ça peut mener ! On estime qu’il y a mise en danger de collègues. On ne peut pas attendre que l'événement arrive pour réagir et protéger les personnels. Ça peut arriver, en fait."
Fatna Seghrouchni, SUD éducation

à franceinfo

Parmi les groupes désignés par ces syndicats inquiets de l’influence de l’extrême-droite, la jeune association "Parents vigilants" est la plus régulièrement citée. Lancée par Eric Zemmour en septembre 2022, cette association et la campagne "Protégeons nos enfants" compteraient à ce jour 60 000 soutiens. Des sympathisants comptabilisés grâce au site internet de l’association qui incite les parents en colère à témoigner et se coordonner au niveau local en devenant des référents. Depuis son échec à la présidentielle, Eric Zemmour a fait de "Parents vigilants" l’aiguillon de son combat contre ce qu’il appelle le "grand endoctrinement" dans l'école. Au moment de sa création, il appelait les parents à "dénoncer", "protester", "ne plus rien laisser passer" grâce à ce réseau".

j'ai copier-coller certains paragraphes de l'article pour bien montrer aux défenseurs des "Parents Vigilants" que ceux-ci utilisent les mêmes méthodes que les islamistes, à savoir : la délation, la menace, l'intimidation.
Les 1ers qui hurlent au non respect des enfants envers leurs enseignants, mais sont également les 1er à applaudir sur les actions, inacceptables de ces soit-disant "Parents Vigilants".

Depuis quand les parents se donnent d'imposer leur programme aux enseignants ? Depuis quand se donne t-il le droit d'imposer leur idéologie crasseuse au corps enseignant ? Mais que cherchent-ils donc à revenir à l'école du début du siècle ou l'on cachait les choses du corps, ou la sexualité c'est tabou ?
E. Zemmour ne fait que chercher appliquer son racisme, son idéologie crasseuse dans l'Education en utilisant les mêmes armes que les islamistes qu'il prétend combattre !
Ces parents vigilants ne représentent qu'eux-mêmes, c'est à dire pas grand chose mais assez pour fragiliser encore plus ce métier, déjà bien malmené.
Ces parents vigilants ne sont que des êtres rétrogrades qui ont oublié d'évoluer avec la société et sont restés figés aux années 30, voire les années 50.
J'ai passé mon coup de gueule car je trouve cela inacceptable de nos jours, que des parents agressent les enseignants parce que leur rejeton a eu une mauvaise note, qu'ils pensent que la sexualité, c'est caca ; l'étude des religions, c'est caca, etc. Heureusement que l'école est là pour faire élever l'esprit de nos enfants en distillant la connaissance réelle, autre que les réseaux sociaux et les pensées rétrogrades, en leur ouvrant les yeux sur un monde en perpetuel mouvement, en acceptant les différences des autres, toutes les différences, qu'elles soient religieuses, sexuelles, etc.

Je ne partage pas votre point de vue car au contraire les résultats catastrophiques de l'EN montrent clairement que celle-ci s'est perdue dans des missions qui ne sont pas les siennes.
Je soutiens les actions de ces parents vigilants car tous ces enseignants gauchistes sont ce qu'il y a de pire pour notre pays et pour nos enfants et nos jeunes.
Ils utilisent l'EN non pas pour enseigner correctement leur matière (français, maths, histoire, etc.) mais pour laver le cerveau de leurs élèves en les formattant avec leur idéologie mortifère.

[Hdelapampa]

Je ne partage pas votre point de vue car au contraire les résultats catastrophiques de l'EN montrent clairement que celle-ci s'est perdue dans des missions qui ne sont pas les siennes.
Je soutiens les actions de ces parents vigilants car tous ces enseignants gauchistes sont ce qu'il y a de pire pour notre pays et pour nos enfants et nos jeunes.
Ils utilisent l'EN non pas pour enseigner correctement leur matière (français, maths, histoire, etc.) mais pour laver le cerveau de leurs élèves en les formattant avec leur idéologie mortifère.

Ce qu'enseignent les enseignants, ce sont les programmes.
Ceux-ci contiennent les "missions" dont vous parlez et ce ne sont pas LES enseignants qui en décident, mais, en grande partie (pour l'ORIENTATION des programmes) par les élus (par QUI?) et les ministres.

[Fonck1]

Quand je lis certains commentaires, et applaudissent les actions de ces "Parents vigilants", c'est à se demander s'ils ont lu l'article. Les enseignants se plaignent surtout des menaces et intimidations qu'ils subissent :

"En décembre 2022, Sophie Djigo et sa famille ont vécu six semaines sous protection policière. La professeure de philosophie en classe préparatoire au lycée Watteau de Valenciennes (Nord) est alors au cœur d’une campagne d’intimidation de la part de militants identitaires et d’extrême-droite pour avoir projeté une sortie scolaire avec ses élèves dans un camp de migrants. Sophie Djigo est auteure de plusieurs ouvrages sur les questions migratoires et fondatrice de l’association Migractions 59, deux communiqués de presse du Rassemblement national et de Reconquête l’accusent de faire de la propagande pro-migrants auprès de ses élèves d’hypokhâgne. Sous la pression, le rectorat de Lille annule la sortie, pourtant validée. Au printemps, Éric Zemmour s’en félicitait dans le magazine Causeur. "En novembre dernier, à Valenciennes, nous avons fait annuler une sortie scolaire. Il va falloir qu’ils s’y habituent !"

"Une enquête du parquet de Lille pour menaces de mort et cyberharcèlement est toujours en cours. "J’ai reçu des menaces de viol et de mort par courrier électronique, par courrier, par les réseaux sociaux ou encore par le standard de l'établissement, se souvient Sophie Djigo au micro de franceinfo. Quelqu’un a menacé de me dépecer." Ces pressions sont "largement efficaces", déplore la professeure, qui estime ne pas être un cas isolé. "J'ai reçu depuis beaucoup de messages de collègues dans toute la France, en particulier des enseignants de SVT, d'histoire et de lettres, qui se retrouvent confrontés à des pressions de groupes qui refusent l'enseignement de la théorie du genre, du fait islamique en cours d'histoire, l'enseignement de la Shoah, des mémoires de l'esclavage, de l'histoire coloniale ou de la décolonisation."

"La plupart des collègues avouent avoir renoncé à persévérer et donc s'autocensurent. Ils esquivent certaines parties du programme et sont très prudents au cas où il y aurait des menaces de la part de certains parents d'élèves."

"Sophie Djigo a aujourd’hui accepté d’être mutée dans un autre établissement. Avec d’autres collègues, elle compte lancer une coordination indépendante pour aider d’autres profs dans la même situation. "Chaque semaine, partout en France, des enseignant·e·s sont ciblé ·e ·s pour avoir simplement fait leur travail, peut-on lire dans leur appel consulté par francenfo. Ils et elles se retrouvent taxé·e·s de propagande, jeté·e·s à la vindicte des réseaux sociaux, menacé·e·s jusque dans leur vie personnelle et leur vie tout court. Enseigner la réalité des faits (...) devient une prise de risques, et l’enseignement, un métier dangereux."

Dans le département du Nord, Valérie* a trouvé dans son casier le jour de la rentrée une enveloppe à son nom contenant un tract anti-migrants. "Je n’ai pas envie de vivre avec l’idée que tout d'un coup, on peut voir débarquer tout un tas de personnes qui vont mettre en cause de manière extrêmement violente notre enseignement, notre savoir, explique cette professeur de français. On ne dispense pas nos opinions à l'école. On dispense un savoir appuyé sur des lectures, des faits. Ça crée un phénomène d'autocensure, une crainte latente et parfois même, dans l'institution, le refus d'affronter véritablement ces difficultés.""

Des infirmières scolaires sont également remises en cause sur la question actuellement très clivante de l'éducation à la sexualité, explique Gwenaelle Thenoz du SNIES-Unsa Éducation. À Lyon ou Bordeaux, des parents en colère contre les cours d'éducation à la vie affective et sexuelle (Evas) ont menacé de porter plainte et intimidé des infirmières. "Ils mettent en cause l'éducation à la sexualité alors que les infirmières d'éducation nationale et de l'enseignement supérieur s'investissent énormément dans ces missions. Elles sont bien sûr formées. On n'intervient pas n'importe comment, on s'adapte aux attentes de l'enfant. Ce n'est pas un cours de pornographie. Absolument pas. On répond à leurs questionnements."

"

"Des noms de collègues balancés sur les réseaux sociaux, on sait jusqu’où ça peut mener ! On estime qu’il y a mise en danger de collègues. On ne peut pas attendre que l'événement arrive pour réagir et protéger les personnels. Ça peut arriver, en fait."
Fatna Seghrouchni, SUD éducation

à franceinfo

Parmi les groupes désignés par ces syndicats inquiets de l’influence de l’extrême-droite, la jeune association "Parents vigilants" est la plus régulièrement citée. Lancée par Eric Zemmour en septembre 2022, cette association et la campagne "Protégeons nos enfants" compteraient à ce jour 60 000 soutiens. Des sympathisants comptabilisés grâce au site internet de l’association qui incite les parents en colère à témoigner et se coordonner au niveau local en devenant des référents. Depuis son échec à la présidentielle, Eric Zemmour a fait de "Parents vigilants" l’aiguillon de son combat contre ce qu’il appelle le "grand endoctrinement" dans l'école. Au moment de sa création, il appelait les parents à "dénoncer", "protester", "ne plus rien laisser passer" grâce à ce réseau".

j'ai copier-coller certains paragraphes de l'article pour bien montrer aux défenseurs des "Parents Vigilants" que ceux-ci utilisent les mêmes méthodes que les islamistes, à savoir : la délation, la menace, l'intimidation.
Les 1ers qui hurlent au non respect des enfants envers leurs enseignants, mais sont également les 1er à applaudir sur les actions, inacceptables de ces soit-disant "Parents Vigilants".

Depuis quand les parents se donnent d'imposer leur programme aux enseignants ? Depuis quand se donne t-il le droit d'imposer leur idéologie crasseuse au corps enseignant ? Mais que cherchent-ils donc à revenir à l'école du début du siècle ou l'on cachait les choses du corps, ou la sexualité c'est tabou ?
E. Zemmour ne fait que chercher appliquer son racisme, son idéologie crasseuse dans l'Education en utilisant les mêmes armes que les islamistes qu'il prétend combattre !
Ces parents vigilants ne représentent qu'eux-mêmes, c'est à dire pas grand chose mais assez pour fragiliser encore plus ce métier, déjà bien malmené.
Ces parents vigilants ne sont que des êtres rétrogrades qui ont oublié d'évoluer avec la société et sont restés figés aux années 30, voire les années 50.
J'ai passé mon coup de gueule car je trouve cela inacceptable de nos jours, que des parents agressent les enseignants parce que leur rejeton a eu une mauvaise note, qu'ils pensent que la sexualité, c'est caca ; l'étude des religions, c'est caca, etc. Heureusement que l'école est là pour faire élever l'esprit de nos enfants en distillant la connaissance réelle, autre que les réseaux sociaux et les pensées rétrogrades, en leur ouvrant les yeux sur un monde en perpetuel mouvement, en acceptant les différences des autres, toutes les différences, qu'elles soient religieuses, sexuelles, etc.

Je ne partage pas votre point de vue car au contraire les résultats catastrophiques de l'EN montrent clairement que celle-ci s'est perdue dans des missions qui ne sont pas les siennes.
Je soutiens les actions de ces parents vigilants car tous ces enseignants gauchistes sont ce qu'il y a de pire pour notre pays et pour nos enfants et nos jeunes.
Ils utilisent l'EN non pas pour enseigner correctement leur matière (français, maths, histoire, etc.) mais pour laver le cerveau de leurs élèves en les formattant avec leur idéologie mortifère.[/spoiler]

donc en fait, victor soutien ces parents dont :

-certains sont inculpés pour menaces de mort et cyberharcèlement, menaces de viol
-certains ont fait une campagne d’intimidation de la part de militants identitaires et d’extrême-droite et mis la prof sous protection policière (ce qui devait être sévère pour en arriver là)
-certains ont affirmé que des « salles de prière » étaient proposées aux collégiens palois de Clermont, en sortie scolaire à Arette, sous la pression de parents musulmans. Une information largement démentie depuis, donc des mensonges à tous les étages.
-d'autres ont menacé des infirmières sur des sensibilisations à l'éducation sexuelles.

c'est beau comme de l'ultra conservatisme catholique, qui d'ailleurs en belgique, s'est associé aux conservateurs musulmans.
ya plus qu'à baiser les cul des gosses avec leur grosse tub comme le font les curés et on est bon.
ce pays part vraiment en couille.

[Victor]

Je ne partage pas votre point de vue car au contraire les résultats catastrophiques de l'EN montrent clairement que celle-ci s'est perdue dans des missions qui ne sont pas les siennes.
Je soutiens les actions de ces parents vigilants car tous ces enseignants gauchistes sont ce qu'il y a de pire pour notre pays et pour nos enfants et nos jeunes.
Ils utilisent l'EN non pas pour enseigner correctement leur matière (français, maths, histoire, etc.) mais pour laver le cerveau de leurs élèves en les formattant avec leur idéologie mortifère.

Ce qu'enseignent les enseignants, ce sont les programmes.
Ceux contiennent les "missions" dont vous parlez et ce ne sont pas LES enseignants qui en décident, mais, en grande partie (pour l'ORIENTATION des programmes) par les élus (par QUI?) et les ministres.

Visiter un camp de migrants, c'est dans les programmes ?
Accueillir des drag queen aussi ?

[Fonck1]

Ce qu'enseignent les enseignants, ce sont les programmes.
Ceux contiennent les "missions" dont vous parlez et ce ne sont pas LES enseignants qui en décident, mais, en grande partie (pour l'ORIENTATION des programmes) par les élus (par QUI?) et les ministres.

Visiter un camp de migrants, c'est dans les programmes ?
Accueillir des drag queen aussi ?

ça s'appelle une sortie éducative, et cette prof est d'ailleurs une grande spécialiste du sujet.
quand aux drag queen, cette sortie était peut être pour des trop jeunes, mais dans tous les cas, il faut casser ces éducations discriminatoires aux gens d'un genre différent, et je trouve ça plutôt pas mal, ça dépends comment ça a été présenté.
ça a été validé par la mairie de bordeaux, et ça ne s'est pas fait dans le cadre de l'école, mais dans le cadre de la bibliothèque de bordeaux, si les administrés n'en sont pas content, qu'ils changent de maire, par ailleurs, ça n'avait rien d'obligatoire.

[Hdelapampa]

Visiter un camp de migrants, c'est dans les programmes ?
Accueillir des drag queen aussi ?

1) Toute sortie de l'école, sur donc le temps scolaire, est précédée d'une demande d'autorisation qui DOIT être accompagnée d'un projet pédagogique justifiant de sa conformité aux programmes. Si donc un camp de migrants a été visité par une classe, la sortie a été VALIDEE par l'Inspecteur-trice de Circonscription, comme conforme et justifiée par les programmes (Education Civique, Géographie très certainement).

2) Pour les lectures aux enfants par des drags queens , vous mélangez tout: ce ne sont pas les enseignants (bien qu'ils l'auraient pu) mais la MAIRIE qui l'a organisée et SEULS les enfants des familles VOLONTAIRES y ont assisté.
https://www.bfmtv.com/lyon/lyon-polemiq ... 30809.html
https://www.20minutes.fr/societe/402029 ... mee-mairie

Je vais donc me contenter de dire que vous êtes "mal informé" et que Reconquête se mêle de ce qui ne le regarde pas.


Concernant la lecture aux enfants SUR LE TEMPS SCOLAIRE, dans la Bibliothèque (ou Médiathèque) Municipale, à l'extérieur de l'école, il est obligatoire d'y assister (assiduité aux enseignements).
C'est une sortie régulière (une fois tous les quinze jours, mois, etc selon les moyens), la lecture est assurée soit par l'enseignant lui-même (ou elle-même) soit par le personnel (de la FPT) de la Bibliothèque réputé agréé par l'Education Nationale.
Habituellement ce personnel n'a pas de tenue (laïcité) et de moeurs affichés.
Mais il pourrait parfaitement se justifier que ponctuellement, une ou plusieurs séquences de lecture par des drags queens (compétentes) soient organisées et donc soumises à une autorisation sur la base d'un projet pédagogique: éducation civique (loi sur les discriminations homophobes, tolérance aux différences etc, afin de PREVENIR le harcèlement au collège).

Attention: vous risquez de sortir du sujet qui n'est pas l'enseignement de la théorie du genre.

[Patchouli38]

Ce qu'enseignent les enseignants, ce sont les programmes.
Ceux contiennent les "missions" dont vous parlez et ce ne sont pas LES enseignants qui en décident, mais, en grande partie (pour l'ORIENTATION des programmes) par les élus (par QUI?) et les ministres.

Visiter un camp de migrants, c'est dans les programmes ?
Accueillir des drag queen aussi ?

Déjà, les parents avaient été tenus au courant du lieu de sortie de leurs gamins, et tous avaient donné leur autorisation. Alors je ne vois pas ou se situe le problème. Par ailleurs, visiter un camp de migrants a permis à la jeunesse de se faire une autre idée du migrant que celle véhiculée par l'extrême-droite, à savoir le méchant migrant voleur, violeur, assassins et j'en passe.

Et concernant les drag queens, je pense qu'aucun enfant n'est sorti de la bibiiothèque traumatisé.

Alors aujourd'hui, nos enfants ne doivent plus avoir d'éducation sexuelle, ni étudier les religions, ni visiter des camps de migrants, ni se faire raconter des histoires par des drag queens, ni , ni ni... Continuez comme ça, et nos enfants finiront totalement ignares sur les faits de la société ou ils vivent, et avoir des pensées complètement rétrogrades. A un moment donné, faut savoir évoluer avec son temps. Le monde est en perputel mouvement et cela doit refiler le vertige à certains.

[berger141]

Visiter un camp de migrants, c'est dans les programmes ?
Accueillir des drag queen aussi ?

Déjà, les parents avaient été tenus au courant du lieu de sortie de leurs gamins, et tous avaient donné leur autorisation. Alors je ne vois pas ou se situe le problème. Par ailleurs, visiter un camp de migrants a permis à la jeunesse de se faire une autre idée du migrant que celle véhiculée par l'extrême-droite, à savoir le méchant migrant voleur, violeur, assassins et j'en passe.

Et concernant les drag queens, je pense qu'aucun enfant n'est sorti de la bibiiothèque traumatisé.

Alors aujourd'hui, nos enfants ne doivent plus avoir d'éducation sexuelle, ni étudier les religions, ni visiter des camps de migrants, ni se faire raconter des histoires par des drag queens, ni , ni ni... Continuez comme ça, et nos enfants finiront totalement ignares sur les faits de la société ou ils vivent, et avoir des pensées complètement rétrogrades. A un moment donné, faut savoir évoluer avec son temps. Le monde est en perputel mouvement et cela doit refiler le vertige à certains.

Dans les années 50 et 60, l'Ecole française était performante, une des meilleures. On y apprenait les disciples fondamentales : le français, la littérature , les meilleurs auteurs, les maths, la physique, l'Histoire, la géographie, les sciences naturelles...
Pas d'éducation sexuelle, pas de drag queens, pas d'endoctrinement par des prof militants de gauche ou d'extreme gauche.

[Corvo]

L'entrisme de l'extrême droite à l'école en marche.

https://www.parents-vigilants.fr/

[Victor]

Visiter un camp de migrants, c'est dans les programmes ?
Accueillir des drag queen aussi ?

Déjà, les parents avaient été tenus au courant du lieu de sortie de leurs gamins, et tous avaient donné leur autorisation. Alors je ne vois pas ou se situe le problème.

C'est ça le problème, c'est que vous ne le voyez pas. Notre système éducatif coule. Le niveau baisse de plus en plus. On bourre la cervelle des enfants et des jeunes avec des trucs qui n'ont rien à voir avec l'école et vous comme beaucoup, vous ne voyez pas le problème !
Heureusement que certains, comme ces parents vigilants, le voient, eux, le problème.

[Fonck1]

Déjà, les parents avaient été tenus au courant du lieu de sortie de leurs gamins, et tous avaient donné leur autorisation. Alors je ne vois pas ou se situe le problème.

C'est ça le problème, c'est que vous ne le voyez pas. Notre système éducatif coule. Le niveau baisse de plus en plus. On bourre la cervelle des enfants et des jeunes avec des trucs qui n'ont rien à voir avec l'école et vous comme beaucoup, vous ne voyez pas le problème !
Heureusement que certains, comme ces parents vigilants, le voient, eux, le problème.

tout cela n'a absolument aucun rapport.
c'est marrant, dans ton équation victor, tu n'intègres pas le facteur primordial
de la déchéance des enfants dans leur éducation : les téléphones et tablettes.
ces pauvres parents désœuvrés par la peur, filent leurs téléphone et/ou tablette puis leur en achète un dès le plus jeune age, résultat, plus de devoirs, plus de travail, plus de lecture, et comme les parents ne vérifient rien, ça part dans tous les sens.
par contre tiktok, ça cartonne ! et sur tiktok, il y a des choses bien moins intentionnées que à l'école !