Once a écrit : ↑18 août 2025 16:53
ET RABIN A ETE ASSASSINE NON PAS PAR UN PALESTINIEN MAIS PAR UN ISRAELIEN DU CAMP DE NETENAYAOU. NETANYAOU ET SA CLIQUE les ultimes fossoyeurs de ces accords qui étaient bancals de toute façon.
Il faut être deux pour danser le tango.
Je précise que les Israëliens fêtaient Oslo et les approuvaient majoritairement. Ce fanatique représentait un petite minorité d'ultras.
En ce qui concerne les accords de Camp David 2 (juillet 2000) auxquels je pensais, (suivis par ceux de Taba (2001)
Responsabilité de l’échec des discussions
À l'issue du sommet, chacun des deux partis rejeta la responsabilité de l'échec des discussions. Les Palestiniens considérèrent qu'Israël ne leur avait pas proposé assez, tandis que les Israéliens clamèrent qu'ils ne pouvaient pas raisonnablement offrir davantage. Aux États-Unis comme en Israël, l'échec fut largement attribué à Yasser Arafat qui, pour eux, avait quitté la table des négociations sans faire de contre-proposition. Bill Clinton évoqua plus tard son « regret que Yasser Arafat ait raté l'opportunité de faire exister sa nation ». Nabil Amr, ancien ministre de l'Autorité palestinienne accusa également Arafat d'être responsable de l'échec des discussions[4]. Selon son ancien garde du corps, Mouhmad El-Daya, Arafat refusa toute négociation sur la question de Jérusalem car il craignait de se faire assassiner[5]. Par contre, l'Europe et les pays arabes considérèrent que les torts étaient partagés. (Wiki)
24 ans plus tard, Bill Clinton, qui s'exprimait en soutien à la campagne de K. Harris posait la question : les Palestiniens sont-ils prêts pour avoir un État ?
''l'accord proposé à Yasser Arafat (2000) aurait offert aux Palestiniens un État sur 96 % de la Cisjordanie et 4 % d’Israël, avec Jérusalem-Est comme capitale. Ils ont refusé.
Imaginez un instant s’ils avaient accepté cet accord. S’ils avaient eu une armée, comme le Hamas à Gaza, combien de pogroms y aurait-il eu ? Combien de roquettes auraient été tirées sur Israël ? Combien de victimes israéliennes cela aurait-il fait ? Ils ne voulaient pas la paix. Ils ne la veulent toujours pas.
La seule paix envisageable à leur yeux c’est la disparition complète d’Israël.
Je le dis et le répète : dans l’état actuel des choses, quiconque appelle à une solution à deux États souhaite de facto la disparition d’Israël, et se rend complice des plans des pires ennemis d’Israël.
Il faut bien sûr améliorer la vie des Palestiniens, les accompagner dans la lutte contre la haine et dans la quête de prospérité. Ce n’est qu’après de très longues années de progrès que la solution à deux États pourra être envisagée. Pas avant.''
Il aurait pu, en guise de conclusion, citer Golda Meir : ''La paix viendra quand les Arabes aimeront plus leurs enfants qu'ils ne nous détestent''
Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve.
Hölderlin