Georges61 a écrit : De tout façon c'est de sa faute, s'il avait été blanc et souchien, cela ne lui serait pas arrivé. Voilà ce qui arrive quand on s'obstine à rester noir.
On appelle ça du racisme anti blanc .Le jambon-beurre quoi .
Georges61 a écrit : De tout façon c'est de sa faute, s'il avait été blanc et souchien, cela ne lui serait pas arrivé. Voilà ce qui arrive quand on s'obstine à rester noir.
LOFOTEN a écrit : L’enquête sur le décès d’Adama Traoré en juillet 2016 lors de son interpellation, est terminée. Alors que trois gendarmes avaient été placés sous le statut de témoin assisté pour « non-assistance à personne en péril », aucune mise en examen n’a été prononcée.
L’enquête a été clôturée le 14 décembre dernier par les juges parisiens. Aucun des trois gendarmes mis en cause n’a été mis en examen selon des sources judiciaires concordantes.
Ces derniers avaient été placés sous le statut de témoin assisté pour « non-assistance à personne en péril » après leur audition par les juges d’instructions, les 27 et 28 novembre dernier. L’enquête pourrait donc se solder par un non-lieu alors que personne n’a été poursuivi dans cette affaire.
Adama Traoré avait été interpellé le jour de ses 24 ans à Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise) après avoir pris la fuite. Les gendarmes étaient parvenus à le rattraper et à le maitriser. Le suspect s’était plaint de difficultés à respirer avant de décéder.
Sa mort avait provoqué cinq nuits de violences urbaines dans le Val-d’Oise, tandis que les proches de l’homme décédé ont jusqu’ici, toujours dénoncé une interpellation violente, accusant dans le même temps les gendarmes de ne pas avoir porté secours à l’interpellé.
Des problèmes de santé et un pronostic vital engagé avant l’interpellation
Une expertise médicale remise aux juges dans le courant de l’année 2018, avait indiqué qu’Adama Traoré souffrait d’une maladie génétique, la drépanocytose, ainsi que d’une pathologie rare.
Des problèmes de santé qui, lors d’un épisode de stress et d’effort, auraient entraîné une asphyxie du jeune homme. L’expertise concluait par ailleurs que le pronostic vital de M. Traoré était « engagé de façon irréversible » et ce, avant son interpellation.
Une contre-expertise médicale a été refusée par les magistrats à la mi-février selon des sources judiciaires.
Fin de cette "affaire" ou début d'une autre.....
Au fait on entend plus parler dans la presse des condamnations des 2 frères.....et d'une partie de la famille pour fraudes
C'était un vrai voyou. Mais il ne serait pas le seul dans sa famille. Encore une richesse apportée par la diversité.Allora a écrit : j'espère qu'il y aura expertise, contre expertise et contre -contre expertise ..
mais avec certains -même si eux mêmes faisaient l'expertise pour arriver à la même triste constatation oui des fois il y a des gens qui meurent brutalement même des jeunes , ils nieraient l'évidence .
Ces crâmeurs de voitures se contrefichent de la victime - qui n'était pas un ange mais ça, c'est drôle, on en parle plus ..
Le délinquant devient un martyr
Comme un certain Theo et Hollande qui s'est précipité à son chevet.berger141 a écrit :C'était un vrai voyou. Mais il ne serait pas le seul dans sa famille. Encore une richesse apportée par la diversité.Allora a écrit : j'espère qu'il y aura expertise, contre expertise et contre -contre expertise ..
mais avec certains -même si eux mêmes faisaient l'expertise pour arriver à la même triste constatation oui des fois il y a des gens qui meurent brutalement même des jeunes , ils nieraient l'évidence .
Ces crâmeurs de voitures se contrefichent de la victime - qui n'était pas un ange mais ça, c'est drôle, on en parle plus ..
Le délinquant devient un martyr
Les voyous ont aussi des supporters comme Georges lorsqu'ils ne sont pas blancslatresne a écrit :Georges61 a écrit : De tout façon c'est de sa faute, s'il avait été blanc et souchien, cela ne lui serait pas arrivé. Voilà ce qui arrive quand on s'obstine à rester noir.
On appelle ça du racisme anti blanc .Le jambon-beurre quoi .
Surtout si il n'avait pas été delinquant par ailleurs !Georges61 a écrit : De tout façon c'est de sa faute, s'il avait été blanc et souchien, cela ne lui serait pas arrivé. Voilà ce qui arrive quand on s'obstine à rester noir.
il a peut être tout simplement "oublié" de respirer , ces gens là sont frequement frappés d'amnésieKelenner a écrit : Les circonstances sont au minimum très troubles... "Infection", crise cardiaque, et comme par hasard dans les 10 minutes où il se retrouve dans un fourgon de police ?
Bien que pour lui , retrouver "La santé" etait un objectif louablevivarais a écrit :LOFOTEN a écrit : L’enquête sur le décès d’Adama Traoré en juillet 2016 lors de son interpellation, est terminée. Alors que trois gendarmes avaient été placés sous le statut de témoin assisté pour « non-assistance à personne en péril », aucune mise en examen n’a été prononcée.
L’enquête a été clôturée le 14 décembre dernier par les juges parisiens. Aucun des trois gendarmes mis en cause n’a été mis en examen selon des sources judiciaires concordantes.
Ces derniers avaient été placés sous le statut de témoin assisté pour « non-assistance à personne en péril » après leur audition par les juges d’instructions, les 27 et 28 novembre dernier. L’enquête pourrait donc se solder par un non-lieu alors que personne n’a été poursuivi dans cette affaire.
Adama Traoré avait été interpellé le jour de ses 24 ans à Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise) après avoir pris la fuite. Les gendarmes étaient parvenus à le rattraper et à le maitriser. Le suspect s’était plaint de difficultés à respirer avant de décéder.
Sa mort avait provoqué cinq nuits de violences urbaines dans le Val-d’Oise, tandis que les proches de l’homme décédé ont jusqu’ici, toujours dénoncé une interpellation violente, accusant dans le même temps les gendarmes de ne pas avoir porté secours à l’interpellé.
Des problèmes de santé et un pronostic vital engagé avant l’interpellation
Une expertise médicale remise aux juges dans le courant de l’année 2018, avait indiqué qu’Adama Traoré souffrait d’une maladie génétique, la drépanocytose, ainsi que d’une pathologie rare.
Des problèmes de santé qui, lors d’un épisode de stress et d’effort, auraient entraîné une asphyxie du jeune homme. L’expertise concluait par ailleurs que le pronostic vital de M. Traoré était « engagé de façon irréversible » et ce, avant son interpellation.
Une contre-expertise médicale a été refusée par les magistrats à la mi-février selon des sources judiciaires.
Fin de cette "affaire" ou début d'une autre.....
Au fait on entend plus parler dans la presse des condamnations des 2 frères.....et d'une partie de la famille pour fraudes
lorsque l'on n'a pas la santé on ne devient pas délinquant
L’enquête des gendarmes avait débuté par le signalement d’une personne anonyme en juin 2017, indiquant qu’une livraison de résine de cannabis venait d’être effectuée chez Claire M. par un certain Julien L. Les enquêteurs ont découvert qu’un réseau de revente de cannabis s’était installé dans le quartier de Boyenval, à Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise) mais qu’il se déroulait aussi dans la maison d’arrêt d’Osny.
Plusieurs suspects identifiés avaient également envisagé de se lancer dans la culture de cannabis, dans une maison de Chalette-sur-Loing, près de Montargis (Loiret) raconte Le Parisien.
Bagui Traoré soupçonné d’avoir organisé la fourniture de cannabis aux parloirs des détenus
Parmi les mis en cause interpellés par les gendarmes et actuellement jugés, Ysoufou Traoré, 25 ans, soupçonné d’avoir dirigé ce trafic à Boyenval.
Son grand frère, Bagui, âgé de 27 ans, incarcéré à Fleury-Mérogis pour des tirs sur les forces de l’ordre lors des émeutes de 2016 à la suite de la mort d’Adama, est de son côté soupçonné d’avoir organisé la fourniture de cannabis aux parloirs des détenus de la prison d’Osny.
Également interpellée et jugée depuis lundi au tribunal correctionnel, Claire M., 41 ans, a reconnu avoir assuré un rôle de nourrisse chez elle, alors qu’elle entretenait également un réseau de clientèle. Julien L., 28 ans, a quant à lui nié son implication. L’homme était déjà visé par un mandat d’arrêt lorsqu’il a été interpellé dans le même temps que les autres suspects.
Le jugement des 16 prévenus doit se terminer jeudi.
LOFOTEN a écrit : Deux frères d’Adama Traoré jugés au tribunal correctionnel de Pontoise pour trafic de cannabis
L’enquête des gendarmes avait débuté par le signalement d’une personne anonyme en juin 2017, indiquant qu’une livraison de résine de cannabis venait d’être effectuée chez Claire M. par un certain Julien L. Les enquêteurs ont découvert qu’un réseau de revente de cannabis s’était installé dans le quartier de Boyenval, à Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise) mais qu’il se déroulait aussi dans la maison d’arrêt d’Osny.
Plusieurs suspects identifiés avaient également envisagé de se lancer dans la culture de cannabis, dans une maison de Chalette-sur-Loing, près de Montargis (Loiret) raconte Le Parisien.
Bagui Traoré soupçonné d’avoir organisé la fourniture de cannabis aux parloirs des détenus
Parmi les mis en cause interpellés par les gendarmes et actuellement jugés, Ysoufou Traoré, 25 ans, soupçonné d’avoir dirigé ce trafic à Boyenval.
Son grand frère, Bagui, âgé de 27 ans, incarcéré à Fleury-Mérogis pour des tirs sur les forces de l’ordre lors des émeutes de 2016 à la suite de la mort d’Adama, est de son côté soupçonné d’avoir organisé la fourniture de cannabis aux parloirs des détenus de la prison d’Osny.
Également interpellée et jugée depuis lundi au tribunal correctionnel, Claire M., 41 ans, a reconnu avoir assuré un rôle de nourrisse chez elle, alors qu’elle entretenait également un réseau de clientèle. Julien L., 28 ans, a quant à lui nié son implication. L’homme était déjà visé par un mandat d’arrêt lorsqu’il a été interpellé dans le même temps que les autres suspects.
Le jugement des 16 prévenus doit se terminer jeudi.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/deux- ... s-20190521
Que du beau monde !
Mais non l'affaire n'est pas close et ne le sera jamais même dans plusieurs générations.....La nouvelle expertise médicale attendue depuis plusieurs jours dans le cadre de l'affaire d'Adama Traoré écarte vendredi 29 mai la responsabilité des forces de l'ordre dans la mort du jeune homme de 24 ans en 2016, a appris franceinfo auprès d'une source proche de l'enquête. "M. Amada Traoré n’est pas décédé d’asphyxie positionnelle, mais d’un œdème cardiogénique", conclut l'expertise médicale auquelle a eu accès franceinfo. La précédente expertise, demandée par la partie civile, mettait en cause la technique d'intervention des gendarmes, d'où cette nouvelle expertise qui avait été ordonnée par les juges d'instruction
Adama Traoré est mort le 19 juillet 2016, à la caserne de Persan, dans le Val-d’Oise, deux heures après son interpellation mouvementée par des gendarmes à Beaumont-sur-Oise. Les proches d'Adama Traoré soutiennent que c'est la technique d'intervention des gendarmes, le plaquage ventral, qui a provoqué la mort du jeune homme.
"La conclusion est très claire: le plaquage ventral qui est dénoncé depuis le début par la famille comme étant l'origine du décès vient pour la troisième fois d'être infirmé par les experts médicaux", a réagi Rodolphe Bosselut, avocat de deux des gendarmes placés sous statut de témoin assisté. "Aucune responsabilité des gendarmes ne peut être engagée dans ce dossier", selon l'avocat. "Je pense que l'instruction peut être clôturée", conclut-il.
L'avocat de la famille dénonce "de pseudos-experts"
"Nous estimons que cette expertise n'a aucune valeur", a réagi auprès de franceinfo Yassine Bouzrou, avocat de la famille d'Adama Traoré. "Je m'interroge sur le travail réalisé par ces pseudos-experts. Je pense qu'ils ont été choisi pour rendre ce travail-là. Ils font honte à la médecine. Cette énième expertise réalisée par des médecins incompétents en la matière n'apporte absolument rien. C'est même très grave d'inventer une pathologie cardiaque, sachant que des cardiologues l'ont complètement écartée il y a quelques mois", déclare Yassine Bouzrou.
Yassine Bouzrou ajoute que "le rapport d'expertise se base sur un témoignage mensonger" : "Un témoin a fait état des difficultés respiratoires d'Adama Traoré. Ce témoin refuse de témoigner devant les juges d'instruction, refuse de se rendre aux convocations, et doit faire l'objet d'une arrestation afin de l'entendre. Une personne qui refuse à ce point de témoigner, en général on peut considérer que c'est un menteur."
Ce témoin, âgé de 38 ans, a affirmé au moment des faits qu’Adama était arrivé à son domicile déjà essoufflé, qu’il respirait bruyamment et qu’il ne parvenait presque pas à parler. Pour la partie civile, c’est en s’appuyant notamment sur ce témoignage, que les experts ont estimé qu’Adama Traoré était en état de détresse respiratoire, avant son interpellation mouvementée.
"Nous demandons aujourd'hui aux juges de convoquer les gendarmes, et de les mettre en examen, car il existe une quinzaine d'indices graves laissant présumer que les gendarmes ont tué Adama Traoré en mettant tout leur poids sur son corps", termine l'avocat de la famille d'Adama Traoré.