Peracetic a écrit : La pauvreté à l’origine de la délinquance? Pas certain !
La récession de 2008-2009 a réfuté l’une des théories sociales les plus destructrices qui soit sortie des années 1960 : l’idée que les causes profondes (« root cause ») de la criminalité résident dans l’inégalité des revenus et dans l’injustice sociale. Ce concept fut battu en brèche au US : L’économie ayant entrainé une suppression massive d’emplois en 2008, des criminologues et experts ont prédit que le crime exploserait, car la pauvreté serait, selon cette théorie, la cause profonde de l’augmentation des criminels. Pourtant, c’est le contraire qui s’est passé. Après sept millions d’emplois perdus, la criminalité a chuté à son plus bas niveau depuis le début des années 1960.
Quoi qu'il en soit dans tous les pays :L'état doit contrôler les comportements antisociaux, garantir la sécurité publique et faire appliquer la loi. De plus l’État a le droit moral et l’obligation de le faire, indépendamment des conditions économiques ou de l’inégalité des revenus.
Oui,je connais ces travaux c'est de Becker , (prix Nobel des banques Oslo )et, parait t'il expert en criminologie..Il prône aussi une sociodicée bref, il est battu à plate couture par Bourdieu ( France ) et Chomsky ( USA ) qui dénoncent la manipulation.
Ces travaux sont dorénavant considéré comme de la " Daube ". Il sera aussi remis en cause par Reich ( le plus grand économiste du monde ( économiste démocrate )
Idem partout dans le monde. La criminalité à explosé et explose toujours..
Bref, sans rancune, c'est sympa de participer
Ps :Critiques
Wiki )
Les hypothèses de Gary Becker sont largement liées à une vision égoïste de l'homme calculateur rationnel évacuant les implications sociologiques et psychologiques ( de la psychanalyse aux développement récents des neurosciences) des questions (sociales) posées. Dans les écrits de Becker, la légitimité de cette approche économiciste n'est nullement étayée par une base épistémologique solide.
La question des anticipations rationnelles a largement été contredite par les multiples crises financières car elle suppose une omniscience des marchés alors que les phénomènes d'aléas moraux ainsi que les avancées des courants néo-institutionnalistes plaident plus pour une lecture psychosociale et juridique des phénomènes financiers.
Conclusion : Travaux sans valeur, individu cynique et calculateur .Tout est faux, tout est violence, tout est barbarie chez lui. Le droit américain devient sous son influence un droit pourri qui pourtant s'impose par la force. ( Bien lire les contrats si c'est du droit américain.)
L'enfer est vide, tous les démons sont ici.( shakespeare ).Avant de dire, il faut savoir ( lidio ).Ventre comme grenier trop plein, la vermine y abonde..( Diogéne )