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Mon expérience est un peu différente. Le piédestal, je connais, dans mes tendres années, ma libido, c'était un chariot élévateur. L'objet de la flamme, les premières fois, c'était toujours l'idole adorée.L'idole éternelle, comme la sculpture de Rodin (demande à Google).
L'amant nu, agenouillé devant son idole. Je trouvais ça très beau.
L'amour de l'art, tu vois où ça mène?
Et ça n'empêche nullement le désir, et toutes les fantaisies du kamasoutra, d'avoir une adoration
quasiment mystique pour sa partenaire.
Le problème, c'est qu'avec ce bandeau rose, on n'entend que les battements de son coeur, on ne sent que la douceur de sa chair, et on met longtemps à découvrir qu'on a affaire à une gourde, une salope, ou une garce.
En amour, il faut toujours un perdant. (Julio)