Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
..J'apprécie tellement les Chips que parfois je leurs fais des bisous...
Manet a réalisé deux portraits de son épouse Suzanne en 1868. « La Lecture » est un vibrant hommage au charme de la jeune femme. Marié à Suzanne Leenhoff depuis 1863, Manet brosse quelques années plus tard plusieurs portraits de son épouse. Celle-ci était une pianiste remarquable, que le peintre et son entourage avaient grand plaisir à écouter.
"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo
Non, j'ai fait des recherches avec le nom du tableau mais rien d'autre qu'un lien vers un cabinet immobilier qui a d'autres tableaux.
"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas." Geronimo
La directrice du Musée Courbet d'Ornans fait part de son scepticisme à L'Express, après la découverte du supposé visage de L'Origine du monde de Gustave Courbet.
La nouvelle dévoilée par Paris Match a fait l'effet d'un coup de tonnerre. L'Origine du monde de Courbet, l'oeuvre la plus sulfureuse de l'Histoire de l'art, représentant un sexe de femme, aurait retrouvé son visage. C'est en tout cas ce que prétend John, un mystérieux amateur d'art. Comme l'indique le magazine, John aurait acquis en 2010 le portrait anonyme d'une jeune femme, tête renversée, lèvres entrouvertes. Deux ans d'enquêtes et d'analyses prouveraient qu'il s'agit de l'autre partie de L'Origine du Monde. Paris Match juxtapose les deux toiles.
Le visage de L'origine du monde
Cette révélation a provoqué la stupéfaction du milieu de l'art et notamment de Frédérique Thomas-Maurin. directrice du musée Courbet d'Ornans. "Dès qu'on a appris la nouvelle ce matin, on s'est téléphoné entre conservateurs", témoigne-t-elle. Frédérique Thomas-Maurin s'avoue d'autant plus surprise qu'elle prépare elle-même une exposition, consacrée à l'audacieuse toile. N'ayant pu avoir directement accès au dossier d'analyses, elle exprime pour le moment son scepticisme. "L'Origine du monde a toujours été considérée comme une oeuvre à part entière, explique-t-elle. Personne n'a jamais dit qu'elle aurait pu être scindée en deux." Quant à l'autre tableau, il ne figure pas au répertoire Courbet. "Le visage ne ressemble pas non plus à celui du modèle que le peintre a utilisé et dont on connaît l'identité", ajoute Frédérique Thomas-Maurin. Affaire à suivre, donc...