l'éphéméride de l'année interaldienne

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sihanouk
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23 février 1916.

Message par sihanouk » 21 février 2016 11:33

Dernier message de la page précédente :

Le 23 février 1916, il y a 100 ans, la Presse Française se pose la question : Que font les allemands depuis 48 heures ? Des attaques sporadiques ou une attaque générale de grande envergure ?

Le 21 février 1916n 48 heures auparavant, il y a 100 ans aujourd'hui, c'est le début de la bataille de Verdun ! Des mois de boucherie; des centaines de milliers de morts des deux côtés.

Il y a 100 ans, c'est une pièce importante du tremplin qui servira à Monsieur Hitler à partir de 1920.
La Sagesse n'est pas de ce monde.

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Toto75
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Re: 23 février 1916.

Message par Toto75 » 22 février 2016 21:27

sihanouk a écrit : Le 23 février 1916, il y a 100 ans, la Presse Française se pose la question : Que font les allemands depuis 48 heures ? Des attaques sporadiques ou une attaque générale de grande envergure ?

Le 21 février 1916n 48 heures auparavant, il y a 100 ans aujourd'hui, c'est le début de la bataille de Verdun ! Des mois de boucherie; des centaines de milliers de morts des deux côtés.

Il y a 100 ans, c'est une pièce importante du tremplin qui servira à Monsieur Hitler à partir de 1920.
Il y a erreur et confusion là: ce n'est pas suite à Verdun que Hitler a commencé à développer ses idées mais suite au traité de Versailles avec le démembrement maladroit de l'Europe. Le ressentiment de Hitler vis à vis des alliés a commencé sur cette idée là.

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Re: 23 février 1916.

Message par sihanouk » 23 février 2016 15:15

Oui; j'ai écris à partir de 1920.
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170 ans de Buffalo Bill.

Message par sihanouk » 26 février 2016 15:38

Buffalo Bill est né il y a 170 ans aujourd'hui. En 1846. Il est décédé en 1917.
Soldat; employé de messagerie; aventurier; monteur de spectacles... une vie bien remplie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Buffalo_Bill

La Sagesse n'est pas de ce monde.

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Re: 170 ans de Buffalo Bill.

Message par hornby » 29 février 2016 14:43

Un monsieur qui a surtout participé au génocide des amérindiens et des bisons, à oublier !

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Re: 170 ans de Buffalo Bill.

Message par sihanouk » 29 février 2016 15:34

Aussi, oui.
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Re: 170 ans de Buffalo Bill.

Message par Crapulax » 01 mars 2016 06:01

Un Homme qui a aussi était un visionnaire dans le divertissement lors de sa reconversion,son histoire avec sa troupe est tout simplement une réussite du genre,qui n'existait pas alors....Le succès fut phénoménal...
Une personne aussi qui garda d'excellentes relations avec de Grands Chefs de tribus Indiennes lors de l'exode de ces derniers dans les réserves.....
Il partageait volontiers un café ou un calumet avec ses anciens "ennemis"....Du reste il ne parlait pas leurs dialectes mais il arrivait à s'exprimer avec ses mains,j'ai vu des films d'époque ou l'on comparerait cela avec un langage des signes...

Très intéressant et sa vie privée fut un fiasco...
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
..J'apprécie tellement les Chips que parfois je leurs fais des bisous...

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Message par sihanouk » 01 mars 2016 16:24

J'ai oublié : William Cody, dit.....
Un homme à la croisée de deux époques.
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Re: 170 ans de Buffalo Bill.

Message par Crapulax » 02 mars 2016 05:33



Le reportage complet fait parti de la série documentaires Mystères d'archives.
Malheureusement TF1 a bloqué le droit de diffusion de ce dernier sur le net mais je l'avais vu en temps et en heure et j'y avais appris pas mal de choses intéressantes.
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PascalL
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Il y a 6 ans, disparaissait Jean Ferrat

Message par PascalL » 14 mars 2016 11:20

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Disparu le 13 mars 2010, le poète, chanteur, compositeur, Jean Ferrat laisse derrière lui une œuvre musicale foisonnante. À cette occasion, nous nous proposons de voir ou revoir notre documentaire multimédia consacré au chanteur : Avant, avec, après Ferrat : Antraigues, comment peut-on t’imaginer...

Antraigues-sur-Volane (Ardèche), envoyée spéciale. «Ah, merde ! » C’est l’expression impressionnée qu’a eue Pascal, il y a deux ans, en arrivant au pied du village par la route de Vals-les-Bains. Avec son compagnon, Gaël, ils ont fui Paris pour reprendre une des deux épiceries du village. De Ferrat, à part la Montagne, Pascal ne sait pas grand-chose, si ce n’est que c’est un « grand monsieur ». Lui, son truc, c’est Mylène Farmer, dont le poster trône au milieu de produits du quotidien et de spécialités du pays. Un pays encore sous le choc des foules qui y ont déferlé après le décès du compositeur-auteur-interprète populaire, le 13 mars 2010. Une terre de cultures qui a eu une vie avant et après Jean Ferrat, et qui recommence doucement à imaginer l’avenir. Cultures au pluriel, oui. Sur un banc, au soleil, Paul Mazade se plaît à raconter la culture ouvrière des usines de fil de soie. La sienne. Cette industrie, en complément des revenus agricoles, maintenait au village et aux alentours des milliers de familles. Les usines ont fermé. Les pommes et les pêches se sont mises à pousser partout en France et à venir d’ailleurs. Les jeunes sont partis vivre en ville. Restent les châtaigniers, qui donnent de délicieuses confitures, mais aussi une farine sans gluten. Aujourd’hui, la demande dépasse l’offre. Mais un insecte menace les châtaigneraies. Et puis, l’automne dernier, des pluies diluviennes ont décimé une partie de la récolte. Jeannot Baratier, l’un des quatre habitants nés à Antraigues en 1939 (Antraïgues, comme ils disent), travaille encore dans la châtaigneraie et à l’élevage de chèvres et de brebis, avec son épouse qui, elle non plus, ne touchera pas grand-chose à la retraite. Son épouse, Claudette, c’est les framboises. Deux récoltes par an. Et des confitures qui se retrouvent y compris sur la table du petit déjeuner du prince de Monaco ! Jeannot exerça deux mandats d’élu municipal, en même temps que Jean Ferrat. Il est formel, s’il n’y a pas de train dans le canton, c’est la faute à 14-18 ! Les ingénieurs avaient finalisé le tracé de la ligne, mais il a fallu forger des canons, et l’apparition des voitures a fini d’enterrer le projet. Par contre, s’il y a un court de tennis et l’électricité dans la vallée du Mas, c’est grâce à Ferrat ! « Il se faisait beaucoup de choses concrètes à cette époque », se souvient l’agriculteur. Si Ferrat est devenu ardéchois, c’est grâce à Jean Saussac, peintre, décorateur de cinéma, maire, communiste lucide et persuasif. L’homme a fait venir au village Brel, Nougaro, Lino Ventura… Mais, sous sa pression et celle de Christine Sèvres, sa première épouse, chanteuse de talent, Ferrat, lui, est resté. Christine n’aura connu que cinquante printemps. Mais ses chansons courent encore dans les calades du village, autour de l’ancienne cure où vivent Joëlle et Dominique Dumont. Le hasard des Pages jaunes a voulu que la journaliste de l’Huma loge dans leur gîte. Les albums photo de Joëlle, qui fut durant 25 ans la voisine du couple Christine-Jean, montrent à quel point leur « intégration » à Antraigues fut complète. Quant au piano et à la guitare classique de Dominique, musicien professionnel, ils sont souvent entre les doigts des « élèves », à qui il transmet volontiers ce qu’il connaît de chansons françaises. Et il en connaît ! Bernard Ranchon, ancien maire, passionné de patois et d’occitan, connaît aussi son lot de couplets et refrains ! Premier maire non communiste, bien qu’ayant quelques affinités avec les « rouges », élu dans les années 1990, fils de la boulangerie, il affirme que le village n’aurait pas survécu à l’exode rural sans les deux Jean, Ferrat et Saussac.


« La pétanque, oui, mais pas que! Là aussi, c’est toute une culture qui se réveille.»

Serge Petit, retraité d’EDF, tout ce qu’il connaît du monde d’aujourd’hui, c’est grâce à l’Humanité. « Si tu t’en tiens à la télé pour t’informer, ici, tu deviens un bourricot ! » comme il dit. Maaike Klein, céramiste hollandaise qui est restée à Antraigues tout comme reste son accent, et dont la renommée internationale n’est pas arrivée jusqu’ici, a fait poser Serge, il y a plusieurs années. Mais il fumait toutes les dix minutes à l’époque… Pas facile ! Le modelage trône dans le salon du retraité. Depuis janvier, il achète aussi Charlie Hebdo. Le village s’est mobilisé pour rendre hommage aux victimes des attentats. Gabin Aymard, jeune adjoint de la nouvelle municipalité élue en avril dernier, est monté sur une chaise et a prononcé quelques mots qui ont rassuré les villageois : la relève est assurée ! Le jeune éleveur, diplômé universitaire, a choisi de revenir et d’élever des vaches pour faire commerce de la viande en circuit court. On les voit à flanc de montagne. On n’avait pas vu ça ici depuis les années 1950 ! Et, surtout, Gabin fait partie de ceux qui relancent le club de foot. La pétanque, oui, mais pas que ! Là aussi, c’est toute une culture qui se réveille. « Le sport est culture », confie Jane, passionnée par la peinture de Jean Saussac et qui œuvre aux côtés de Colette Ferrat pour organiser le Festival Ferrat d’août. Il attirera, on l’espère, un public nombreux. Qui découvrira ou redécouvrira la place, avec sa fontaine et ses réverbères « importés » de Paris. Lo Podello (la poêle) sera ouvert, bien sûr. C’est le café mythique qu’a tenu Hélène Baissade. Cuisinière, dessinatrice, elle avait fait de ce lieu un point de rencontre entre les artistes et la population. Elle a reçu les insignes des Arts et des Lettres pour son œuvre. Aujourd’hui, elle a quatre-vingt-dix ans et ne regrette pas d’avoir quitté Neuilly-sur-Seine et ses « bourgeois » pour vivre ici. C’est Valérie, la fille adoptive de Colette Ferrat, qui a repris le café. Elle est aussi maman de deux filles, dont Julie qui n’hésitait pas à tirer la moustache de son « grand-père Ferrat ». C’est un autre moustachu, Jacques Boyer, qui a créé le café La Montagne, devenu depuis café-hôtel-restaurant, tenu par Jérôme. Un autre lieu mythique de la place. Jacques Boyer, c’est cinquante ans de vie commune avec Jean Ferrat. Ancien chanteur de cabaret, comédien, il devint régisseur, chauffeur, le monsieur « tout » de Jean. En veillée, l’homme est intarissable. Cuba, les deux tournées en Algérie, les milliers de kilomètres parcourus en voiture à travers la France. Quand Jean a quitté la scène, Jacques s’est fait cabaretier. Il a repris la guitare pour l’Huma et, ma foi, lui qui fut le créateur de la célèbre chanson Mon vieux, a toujours un joli brin de voix malgré ses soixante-dix-neuf balais qui n’ont rien balayé de sa joyeuse mémoire !

Un paradis pour tout ce qui est vivant et qui demande à être protégé

Même âge, même énergie, mêmes souvenirs intacts chez Francine Fleury-Rapiné. Ils se sont côtoyés pas mal avec Jean Ferrat. Notamment en 2002, en route pour la manif contre le FN organisée entre les deux tours de la présidentielle. Mais Jean n’a sans doute jamais su que Francine avait fait « de la taule ». Dix-huit mois de prison à vingt ans. Pincée pour avoir fait transiter des messages à l’intention du FLN pendant la guerre d’Algérie. Quelle histoire ! Cette « Amie de l’Humanité » force le respect lorsqu’elle gravit à pied la montagne par le sentier qui la ramène chez elle, tout là-haut. Un paradis pour les oiseaux, pour tout ce qui est vivant et qui demande à être protégé. Tous ces villageois, Stéphane Bern, traversant Antraigues « dans un nuage de parfum », dans le cadre de l’émission le Village préféré des Français, ne les a pas rencontrés. Dommage. Les pierres, même si elles ont plus d’une couleur à révéler, ne vous servent pas de soupe et de café. C’est pourtant autour d’un breuvage chaud, à la morte saison, une fois les « touristes partis » qu’Antraigues retrouve « face à lui-même, sa vérité, ses problèmes », comme le chanta si bien Ferrat. Mais, l’été, les autocaristes déversent leurs lots d’appareils photo, de caméras vidéo et de yeux qui jettent un coup d’œil à travers les fenêtres pendant la sieste ou s’incrustent au milieu d’une partie de pétanque. Un tour au cimetière, visite de la Maison Ferrat pour voir son piano et sa bibliothèque, et hop ! ils s’en retournent dans le bus, qui les emmène déjeuner à vingt kilomètres de là. Il va falloir avoir de l’imagination pour offrir « un tourisme intelligent ». Réguler sa présence, lui offrir autre chose que de la nostalgie… Et, surtout, conserver sur place les services publics, remplacer le médecin vieillissant, et satisfaire à tous les besoins du quotidien pour garder, voire développer la population. Car, sans population locale, pas de village, pas de nature praticable et, donc, plus de tourisme ! École, emploi, sport, culture… la nouvelle municipalité, élue en avril 2014, se veut volontariste, même si elle a écopé d’une dette « non déclarée » qui complique l’affaire. Et puis, le canton a été redécoupé. Antraigues aura sans doute à mettre en œuvre toutes ses utopies, toutes ses idées pour que le « vivre ensemble durable », cher à la gauche, puisse ici démontrer que la droite, contrairement au poète, n’a pas toujours raison…

Antraigues, on y va. On y vit. On y revient. 
On y meurt. On y revit, surtout. Enfin.

Pourquoi pas réorganiser le banquet républicain qui, de 1997 à 2006, parvenait à réunir l’ensemble de la population autour de valeurs progressistes ? Francesca Solleville chantant l’Internationale avec Saussac et Ferrat, ça avait de la gueule, tout de même ! Certes, la fête de la châtaigne, d’octobre, est toujours un grand moment de liesse et de retrouvailles, mais « c’est pas pareil… », dit-on au village. Hélène Terrisse, institutrice d’une époque, qui savait tout sur chacun et plus encore, a laissé de précieux écrits pour expliquer Antraigues. De quoi en parcourir les calades (les rues), les rives des trois rivières (Volane, Mazélande et Bise, qui font d’Antraigues un village « entre les eaux ») et la nature humaine avec un regard plus affûté. Et tous ceux qui ont pris des cours de peinture avec Jean Saussac ou Gamon, son fils, qui œuvre toujours, savent regarder au-delà des clichés de cartes postales.

Il faut aussi oser franchir le territoire de la commune pour aller à la rencontre de Christiane et de son auberge de Bise, où l’immense poète Allain Leprest, parti trop tôt, trouvait un chaleureux accueil. Son « copain », Petit Jean, en parle avec une rare tendresse, sous ses apparences de paysan rompu à toutes les épreuves de la vie. Il faut descendre jusqu’à Aubenas pour visiter La Bobine, le lieu culturel que crée Véronique Estel, fille de Christine Sèvres, que Ferrat a bercée tout bébé. Là, la danse côtoie la chanson, le yoga et les conférences sur le traité transatlantique, qui risque fort d’américaniser un peu plus le monde. Elle, se souvient avec tendresse d’Oural, le berger belge qui inspira son « re-père », comme elle dit. Pour elle, Antraigues, « c’est trop maman et Jean ». Elle a fait sa vie. Ailleurs. Mais pas loin. Antraigues, on y va. On y vit. On y revient. On y meurt. On y revit, surtout. Enfin.
« Le monde ne sera sauvé, s’il peut l’être, que par des insoumis » (André Gide)
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Message par gemmill » 14 mars 2016 14:42

mon premier souvenir de Jean Ferrat , c'est cette chanson:

si maupassant est devenu fou , c'est parce que il avait une conscience aigüe de la matiére , du néant et de la mort.
"extension du domaine de la lutte".michel houellbecq

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Message par gemmill » 14 mars 2016 14:45

j'aime beaucoup celle-là:

si maupassant est devenu fou , c'est parce que il avait une conscience aigüe de la matiére , du néant et de la mort.
"extension du domaine de la lutte".michel houellbecq

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Message par sihanouk » 14 mars 2016 14:49

Je n'aime pas. Pas l'homme; mais l'oeuvre. Ca n'accroche pas.
Deux retraités de ma commune de la périphérie de Brest étaient devenus ses amis. En visitant son village, tout simplement.
La Sagesse n'est pas de ce monde.

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Message par PascalL » 14 mars 2016 16:43

sihanouk a écrit : Je n'aime pas. Pas l'homme; mais l'oeuvre. Ca n'accroche pas.
Deux retraités de ma commune de la périphérie de Brest étaient devenus ses amis. En visitant son village, tout simplement.
C'est honnête, mais pour un homme de gauche, l'œuvre de Ferrat interpelle jusqu'au plus profond de l'être. Sa voix, ses mots, ses thèmes parlent à l'âme autant qu'au cœur.
« Le monde ne sera sauvé, s’il peut l’être, que par des insoumis » (André Gide)
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Re: Il y a 6 ans, disparaissait Jean Ferrat

Message par sihanouk » 15 mars 2016 15:23

Ce qu'il a fait est très beau. Les mots. La musique, l'interprétation, je n'aime pas.
La Sagesse n'est pas de ce monde.

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Re: Il y a 6 ans, disparaissait Jean Ferrat

Message par LOFOTEN » 15 mars 2016 19:51

Et il était facile d'approche et toujours agréable au détour d'un chemin du coté d'Antraigues quant on passait en VTT a proximité de sa vieille ferme.

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