Silence ça tourne... Topic Cinéma !

[jabar]

Dernier message de la page précédente :

"El secreto de sus ojos". Rare de tomber sur un film d'une telle excellence.

[Once]

"The Killer" sur Netflix. Promotion top niveau du film. Une montagne qui accouche d'une souris à l'arrivée. Pour moi, nul. Franchement nul. "Le Samouraï" avec Delon c'était vraiment autre chose.

[Once]

" Le théorème de Marguerite". Un chouette film. Même si l'on ne comprend rien aux équations et recherches mathématiques de très haut niveau.

Amateurs de la Conjecture de Goldbach ne pas s'abstenir, un casse tête vieux de près de 3 siècles !

Ce serait un mathématicien algérien qui l'aurait résolue.

Mais il resterait encore quelque chose à prouver.

[Once]

" Boite noire", l' autre jour su France 2 : j'ai accroché.

"L'enlèvement" en salle : c'est du solide.

[danielle49]

Les "trois mousquetaires" 0% de panache et beaucoup d'ennui, en résumé : un beau film ou on s'ennuie.

[Once]

" Perfect days" : encore un film qui m'a touché.



Sinon revu avec plaisir hier soir "Le voyage à Tokyo" d'Ozu.

[Once]

Bodyguard : un bon thriller.



Même si... il faut savoir rester professionnel. "No Zob in Job" comme conseille le dicton.

[danielle49]

La ZONE d'INTERÊT : un film qui commence par un écran noir et se termine par un écran noir car "la terrible, l'indicible, l'impensable banalité du mal ne peut se résumer ni s'expliquer". (Anna Arendt)
La famille de l'obersturmbanfurher Rudolf Höss commandant du Konzentration Läger d'Auchzwitz mène une vie paisible dans sa somptueuse villa qui jouxte le camp de la mort que seul un mur sépare.
Leur petite vie bourgeoise n'est troublée en journée que par les salves des pelotons d'exécution, les hurlements des kapos, et les râles des prisonniers; et leurs nuits par le rougeoiment des fours crématoires.
Sandra Hüller interprète remarquablement une Hedwig Höss indifférente, n'ayant que le souci de son potager et des fleurs de son jardin.
Un film dérangeant et troublant.

[danielle49]

UNE VIE attention pas celle de Maupassant, mais celle de Sir Winton, sobrement mais magistralement interprété par Anthony Hopkins, un sujet de sa gracieuse majesté qui a sauvé 669 enfants juifs de Prague en 1939, alors occupée par les nazis, en parvenant à les faire venir en Grande Bretagne.
Un fait historique de la Shoah, peu connu et passé sous silence pendant 50 ans ?

[Once]

La ZONE d'INTERÊT : un film qui commence par un écran noir et se termine par un écran noir car "la terrible, l'indicible, l'impensable banalité du mal ne peut se résumer ni s'expliquer". (Anna Arendt)
La famille de l'obersturmbanfurher Rudolf Höss commandant du Konzentration Läger d'Auchzwitz mène une vie paisible dans sa somptueuse villa qui jouxte le camp de la mort que seul un mur sépare.
Leur petite vie bourgeoise n'est troublée en journée que par les salves des pelotons d'exécution, les hurlements des kapos, et les râles des prisonniers; et leurs nuits par le rougeoiment des fours crématoires.
Sandra Hüller interprète remarquablement une Hedwig Höss indifférente, n'ayant que le souci de son potager et des fleurs de son jardin.
Un film dérangeant et troublant.

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[Once]

" La salle des profs" , un film allemand, une sorte de thriller social haletant, on ne décroche pas une seule seconde. Acteurs vraiment excellents, notamment les gamins dans le rôle des jeunes élèves.

[danielle49]

BOLERO : un film de Anne Fontaine.
Boléro, le chef d'oeuvre de Maurice Ravel, est la pièce de musique la plus jouée et interprétée dans le monde, un "boléro" est interprété tous les 15 minutes dans le monde !
Le film montre la lente et douloureuse conception de ce chef d'oeuvre musical. Une opposition entre l'art dionysiaque et apollinien. La révélation artistique, "dionysiaque", est très souvent l'aboutissement de longues années de recherche, d'interrogations, d'efforts, de doutes, de souffrances.
Un film émouvant et bouleversant. Jeanne Balibar dans le rôle d'Ida Rubinstein, danseuse et chorégraphe, pour laquelle Boléro a été conçu, est flamboyante.

[Once]

"Inchallah un fils !"

On est en Jordanie, une épouse perd son mari mais comme elle n'a pas d'héritier mâle - c'est la loi que dénonce le film- un oncle fait tout pour la mettre à la porte de son appartement en essayant de lui piquer sa fille en plus !

C'est une sorte de thriller social féministe qui ne laisse pas indifférent : l'actrice principale est remarquable.

[Once]

"Un autre monde" : film exceptionnel qui nous plonge au cœur des cas de conscience d'un cadre d'entreprise de haut niveau chargé par la hiérarchie de "dégraisser" son entreprise.

Dans le registre de la guerre des chefs, du chacun pour soi, des coups tordus et de la loi de la jungle du monde capitaliste, tout va très très loin dans ce film.

Il y a des séquences d'anthologie comme celle du boss américain en visio conférence que je me suis repassée deux ou trois fois, tant j'ai trouvé ces deux ou trois minutes ahurissantes.

Les acteurs, tous les acteurs sont exceptionnels y compris les seconds rôles, tous ces employés de l'entreprise qui craignent le licenciement et qui luttent pour garder leur place et leur dignité après avoir déjà tant sacrifié d'eux mêmes pour leur entreprise.

Vincent Lindon mais aussi Marie Drucker sont tout simplement exceptionnels dans des rôles particulièrement ingrats et auxquels ils ne nous avaient guère habitués : ceux de "coupeurs de têtes". Mais même là, ils nous donnent l'impression de rester quand même assez humains et ils ne nous sont pas antipathiques, au fond.

Par contre le boss américain dans la fameuse séquence = toute l'horreur du monde capitaliste US.

La bande annonce qui semble donner la priorité à une banale histoire de couple reflète très mal l'essentiel de ce film consacré au monde de l'entreprise :

[Once]

"DOUTES"



Un huis clos théâtral tragique, un film très fort, sans effets spéciaux mais point besoin d'effets tout reposant sur le sujet, très fort, et les performances vraiment top niveau d' acteurs jouant sans filets.

[Once]

"RIPLEY" en mini séries sur Netflix.



Bon, l'histoire on la connaît depuis longtemps, c'est devenu un classique. Mais là, pour les amoureux du noir et blanc et des plans photographiques "léchés", il y a toute une esthétique remarquable qui vaut vraiment le détour.

Et dans le genre "bizarre", l'acteur qui incarne Ripley, et bien on peut dire qu'il fait fort. Très fort.